Rejoignez-nous

Culture

L'acteur Gene Hackman et sa femme retrouvés morts à leur domicile

Publié

,

le

L'acteur a été oscarisé à deux reprises au cours de sa carrière (archives). (© KEYSTONE/AP/MARK J. TERRILL)

L'acteur Gene Hackman multi-oscarisé et sa femme, la pianiste Betsy Arakawa, ont été retrouvés morts à leur domicile de Santa Fe, au Nouveau-Mexique, selon les médias américains. Les circonstances exactes des décès restent à déterminer.

Le bureau du shérif du comté de Santa Fé, cité par plusieurs médias, n'a pas précisé la cause du décès du couple, mais a indiqué n'avoir pas trouvé de trace d'un acte criminel. Le cadavre de leur chien a également été retrouvé à leur domicile.

Considéré comme un géant d'Hollywwod, Gene Hackman, était âgé de 95 ans, et était apparu pour la dernière fois à l'écran dans le film "Bienvenue à Mooseport" (2004). Son épouse était elle âgée de 63 ans.

Né le 30 janvier 1930, l'acteur avait remporté deux Oscars, notamment celui du meilleur acteur en 1972 pour son rôle dans "French Connection", où il campait le légendaire flic Jimmy "Popeye" Doyle.

Il avait ensuite remporté en 1993 l'Oscar du meilleur second rôle pour sa performance dans "Impitoyable", de Clint Eastwood. Il y campait un ancien tueur devenu shérif d'une petite ville du Wyoming.

"Retraite" en 2008

Au fil des années, l'acteur avait travaillé avec de nombreux grands noms du cinéma, notamment Francis Ford Coppola dans le film "Conversation secrète", Christopher Reeve dans Superman en 1978, et Al Pacino dans le méconnu "L'Epouvantail", un film dont Gene Hackman disait qu'il était le préféré de toute sa carrière.

Discret, Gene Hackman n'accordait que peu d'entretiens à la presse et fréquentait encore moins le monde en vase clos d'Hollywood. "A Hollywood, tout tourne autour du cinéma: les conversations, les gens que l'on voit, la vie de tous les jours. C'est totalement narcissique. On finit par oublier pourquoi on fait ce métier", disait-il à L'Express. L'acteur avait annoncé en 2008 sa "retraite" des plateaux de cinéma.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

La 14e édition des Athénéennes, entre Eros et Thanatos

Publié

le

La 14e édition du festival genevois Les Athénéennes propose plus de 40 événements, avec de la musique classique, du jazz et de l'électro. L'Orchestre de Chambre de Genève se produira dans le cadre du nouveau petit festival parallèle destiné au jeune public (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La 14e édition du festival genevois Les Athénéennes, qui s'ouvre mercredi et dure jusqu'au 14 juin, thématise la dualité Eros-Thanatos. Plus de 40 événements sont programmés pendant onze jours, avec de la musique classique en début de soirée, suivie par du jazz, avant de finir à l'électro.

Ce décloisonnement des genres musicaux propre aux Athénéennes, un festival dirigé par les pianistes Audrey Vigoureux, Marc Perrenoud et Valentin Peiry, se retrouve dans le nouveau petit festival parallèle destiné au jeune public. Dans ce cadre, Sabine Quindou, de l'émission "C'est pas sorcier", et le pianiste Simon Zaoui, raconteront Gershwin.

L'Ochestre de Chambre de Genève (OCG) accompagnera les "Silly Symphonies", des studios Disney, dans des transcriptions originales, ainsi que "Cherche et trouve autour du monde", avec l'illustratrice Chloé Pérarnau en live. L'Ensemble Variante racontera au piano à quatre mains, avec Joan Mompart en récitant, "Peer Gynt", de Grieg, d'après un conte d'Ibsen.

Hommage à Ravel

Du côté du programme principal, le luthiste Thomas Dunford ouvrira le festival avec des morceaux qui iront de Vivaldi aux Beatles. L'Ensemble Sequenza 9.3 interprétera des oeuvres de Tavernier, Pärt et Mozart. "Harawi", chant d'amour et de mort de Messiaen, fera l'objet d'un ciné-concert. Le pianiste Jean-Marc Luisada interprétera Haydn, Liszst et Chopin.

Les Athénéennes accueillent pour la première fois le pianiste Ricardo Castro, qui a choisi de jouer des oeuvres de Mozart et de Villa-Lobos. Par ailleurs, un concert rendra hommage à Ravel, et la correspondance entre Clara et Robert Schumann sera au centre d'un spectacle musical. La soirée de clôture réunira l'OCG et l'Ensemble vocal de Lausanne pour le Requiem, de Fauré.

Création mondiale

En deuxième partie de soirée, le festival programme du jazz sous toutes ses formes, de l'électro du groupe The Big Tusk au progressif de Tigran Hamasyan, en passant par le néo-classicisme et folk expérimental de Kyrie Kristmanson avec le Trio SR9 et le funk minimal du collectif zurichois Nik Bärtsch's Ronin. Pour son premier concert à Genève, le Swiss Jazz Orchestra présentera une création mondiale.

Italo-disco, hommage à Barbara, rock ou encore flamenco rumba seront aussi à l'honneur en fin de soirée. Et pour la seconde année de suite, le festival collabore avec le club Chez Jean-Luc, où des DJ set et, pour la première fois, des concerts live feront danser les festivaliers les plus aguerris.

www.lesatheneennes.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Lausanne: 140 projets artistiques gratuits au Festival de la Cité

Publié

le

Arts vivants et musique seront à nouveau au coeur de la programmation du Festival de la Cité à Lausanne (archives). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Le Festival de la Cité à Lausanne proposera pas moins de 140 projets artistiques et 200 représentations sur une vingtaine de scènes, du 1er au 6 juillet prochain. Si arts vivants et musique demeurent au coeur de cette manifestation gratuite, le projet de choeur participatif à l'occasion des 750 ans de la cathédrale promet de s'inscrire comme l'un des temps forts de cette 53e édition.

"Sous la direction de Johanna Hernandez, chantez avec nous un programme varié et accessible: l'intemporel Amazing Grace, le sublime Locus Iste de Bruckner et une oeuvre originale composée pour l'occasion" par la chanteuse Louise Knobil, invitent les organisateurs. "Il est possible d'embarquer dans cette aventure en tout temps, puisque les partitions sont disponibles librement sur le site internet du festival", précisent-ils dans le programme de l'édition 2025 dévoilé mercredi.

Sur la place du Château, l'installation monumentale "Crescendo", de l'artiste suisse Julian Vogel, devrait elle aussi marquer les esprits. "Lieu de spectacles et de rencontres, elle incarne l'esprit du Festival: un carrefour artistique qui invite à la découverte, au dialogue et à l'émerveillement collectif", souligne la directrice de la manifestation, Martine Chalverat.

Corde à sauter et électro congolaise

Du côté des arts vivants, une trentaine de spectacles sont à découvrir. Théâtre, cirque, danse, magie, récital queer, roller, corde à sauter ou encore "drum poésie" devraient trouver un large public.

Côté musique, une quarantaine de concerts tous azimuts figurent au programme. L'occasion pour les festivaliers d'écouter ou découvrir l'accordéoniste explorateur biélorusse Yegor Zabelov, les "paysages sonores" de l'Egyptien Maurice Louca, l'électro congolaise de Ngwaka Son Systéme, le "reggaetton ravetton" de l'Argentine Fiah Miau ou encore la multi-instrumentiste zurichoise Palinstar. En dernière partie de soirée, les "after de Tridel" réuniront les plus infatigables des festivaliers jusqu'au petit matin dans l'usine d'incinération du même nom.

Enfants pas oubliés

Comme les autres années, un riche programme attend le jeune public. Au menu, des spectacles comme "Les 3 Grâââââââces" aux costumes et décors exclusivement en carton, des acrobaties avec "Moi aussi!" et une déambulation mêlant récit, cirque et musique avec "Le Royaume de Kensuké". Des ateliers participatifs sont également prévus, parmi lesquels un "atelier gifles" dès 12 ans, ou un atelier d'éveil musical dès 18 mois.

La 53e édition mettra à l'honneur la scène musicale féminine suisse, avec un coup de projecteur particulier sur "les personnes intersexes, trans, agenre et non-binaire", soulignent les organisateurs.

Enfin, pour plus de durabilité et d'inclusivité, le festival propose un service de covoiturage par internet et prévoit la possibilité de louer un vélo électrique à un tarif préférentiel pour toute la durée de la manifestation. Les personnes en situation de handicap peuvent quant à elles bénéficier d'un service d'accompagnement.

L'an dernier, pendant six jours et par une météo changeante, environ 100'000 personnes avaient fréquenté la manifestation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

La chanteuse Nicole Croisille est morte à 88 ans

Publié

le

La voix de Nicole Croisille s'est tue (illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Nicole Croisille, voix de la chanson française dans les années 1970 mais aussi comédienne et danseuse, est morte à 88 ans dans la nuit de mardi à mercredi "des suites d'une longue maladie", a annoncé son agent à l'AFP mercredi.

"Jusqu'au bout, elle s'est battue avec beaucoup de force et de courage", a déclaré Jacques Metges, indiquant que l'interprète des tubes "Parlez-moi de lui" et "Téléphone-moi" et de l'entêtant "dabadabada" du film "Un homme et une femme" était décédée à Paris.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

USA: l'avocat de Weinstein demande l'acquittement

Publié

le

Harvey Weinstein lors de son procès à New York. (© KEYSTONE/AP/Steven Hirsch)

"Il a violé trois personnes, voilà pour nous sommes là!", a martelé mardi dans son réquisitoire final la procureure pour tenter de convaincre les jurés de condamner Harvey Weinstein. L'ancien producteur est rejugé à New York pour viol et agressions sexuelles.

Plus tôt mardi, lors de sa plaidoirie finale, l'avocat de l'ex-roi du cinéma avait décrit ses accusatrices comme des "femmes aux rêves brisés" pour demander aux jurés de l'acquitter. Le réquisitoire de la procureure Nicole Blumberg doit se poursuivre mercredi. Le juge Curtis Farber doit ensuite donner ses instructions aux jurés qui se retireront pour décider d'un verdict.

Harvey Weinstein, dont la chute a entraîné en 2017 le début de la vague mondiale #MeToo, a comparu depuis le 15 avril à New York après l'annulation retentissante l'année dernière, pour des raisons procédurales, de sa condamnation en 2020 à 23 ans de prison pour l'agression sexuelle de Mimi Haley en 2006 ainsi que le viol de Jessica Mann en 2013.

Le procès porte aussi sur une nouvelle inculpation pour une agression sexuelle de Kaja Sokola, qui avait 19 ans à l'époque des faits, en 2006.

Les trois femmes ont longuement témoigné devant les jurés. "Ce n'était certainement pas drôle", mais "elles veulent que l'accusé soit tenu responsable de ses actes", a souligné la procureure.

Harvey Weinstein, en prison à cause d'une autre condamnation pour crimes sexuels en Californie, a comparu chaque jour en chaise roulante, physiquement diminué. Il a gardé le silence tout au long du procès.

"C'est lui qu'on a utilisé"

"S'il y a le moindre doute dans le dossier, vous devez jeter tout cela" et déclarer Harvey Weinstein, 73 ans, non coupable, a lancé l'avocat Arthur Aidala.

Près de 20 ans après les faits les plus anciens, il a cherché à miner la crédibilité des accusatrices. Pour Arthur Aidala, il ne s'agit pas de démontrer que les relations sexuelles avec ces trois femmes étaient consenties, exhortant les jurés à ne pas confondre "immoralité" et "criminalité".

A ses yeux, "c'est transactionnel", de la "promotion canapé" entre de jeunes femmes qui "utilisent leur beauté, leur charmes" et un homme plus âgé qui peut leur ouvrir des portes. "C'est lui qu'on a utilisé", a-t-il même affirmé, cherchant visiblement à faire mentir les procureurs qui ont décrit Harvey Weinstein comme un homme tout puissant.

Pour Arthur Aidala, l'accusation a recours à des témoignages mensongers de la part de "femmes qui ont eu leurs rêves brisés" pour parvenir une nouvelle fois à la condamnation du "pécheur originel du mouvement #metoo".

Le verbe haut, multipliant les métaphores, l'avocat a cherché plusieurs fois à s'attirer la sympathie du jury avec des plaisanteries. Il a aussi parfois mimé les victimes pour pointer des incohérences, comparant l'une d'elles à un enfant pris en flagrant délit de mensonge.

"Enterrer le traumatisme"

L'avocat insiste sur le fait que les victimes ont toutes continué à fréquenter Harvey Weinstein après les violences dont elles l'accusent, ce qu'elles n'ont pas contesté, expliquant n'avoir pas voulu gâcher leurs carrières. Elles ont aussi confié avoir eu peur de ne pas être prises au sérieux face au fondateur des studios Miramax, dont les films accumulaient les Oscars.

"Elles savaient qu'il fallait rester de son côté" et ont préféré "enterrer leur traumatisme", a justifié la procureure Nicole Blumberg.

Durant le procès, les trois victimes ont assuré que les relations sexuelles avec Harvey Weinstein n'étaient pas consenties. "Je lui ai dit d'arrêter (...), mais il ne m'a pas écoutée", a assuré Kaja Sokola.

Miriam Haley avait assuré avoir supplié en vain le producteur de renoncer à lui imposer une relation sexuelle. "Je me suis dit: 'Je me fais violer, voilà c'est comme ça'", a-t-elle témoigné devant la cour.

En 2020, lorsque le premier procès d'Harvey Weinstein s'était tenu à New York, des manifestations contre les violences sexuelles avaient lieu presque chaque jour au pied du tribunal.

Cette fois, les audiences se sont déroulées avec moins d'attention médiatique, et à l'ombre du procès du magnat du hip-hop P. Diddy, qui comparaît à quelques rues de là devant la justice fédérale pour trafic sexuel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

FLAMES

DAVID GUETTA & SIA

14:43

Les 2 derniers titres

MORE THAN WORDS

EXTREME

14:40

NEXT SUMMER

DAMIANO DAVID

14:37

Votre Horoscope

Balance

Période magistrale de transition pour vous faire trouver l’équilibre entre la peur des erreurs et les chances à saisir. Belle initiation en vérité !

Les Sujets à la Une