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Affaire Jaquenoud à St-Maurice: pétition déposée à la Chancellerie

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La pétition déposée à la Chancellerie du Valais demande la réintégration de Roland Jaquenoud comme enseignant au Collège de l'abbaye de Saint-Maurice (photo d'illustration). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Une pétition en ligne demandant la réintégration du chanoine Roland Jaquenoud comme enseignant au Collège de l'abbaye de Saint-Maurice a récolté 328 signatures. Elle a été déposée mercredi dernier à la Chancellerie du Valais, a indiqué dimanche le groupe de soutien à M. Jaquenoud dans un communiqué.

Ce dernier estime "qu'en privant Roland Jaquenoud de sa réintégration en tant qu'enseignant, l'Etat du Valais commet un acte d'injustice envers un citoyen accusé à tort et blanchi par la justice". "Il est inadmissible que les autorités tolèrent et ajoutent de l'injustice là où il y en a déjà trop eu", écrit le groupe.

L'ancien père-abbé ad intérim de la congrégation des chanoines de Saint-Maurice avait été suspendu de sa fonction d'enseignant en novembre 2023, afin d'éclaircir sa situation personnelle. Fin octobre 2024, après treize mois d'enquête, la justice valaisanne avait classé l'affaire des abus sexuels présumés au sein de l'Eglise, en Valais.

Recours au Tribunal cantonal

Concernant le professeur de latin et grec, une ordonnance de classement avait été rendue en l'absence de comportements pénalement répréhensibles. En fin d’année scolaire 2023-2024, avant même le terme de l'enquête du Ministère public, le Service de l'enseignement avait choisi de licencier le chanoine.

Celui-ci s'est donc retrouvé sans poste de travail pour l'année scolaire en cours. C'est toujours le cas aujourd’hui.

A noter qu'un recours contre la décision de résiliation de son contrat de travail a été déposée mi-janvier dernier auprès du Tribunal cantonal. La procédure administrative est en cours.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Valais: 22 infractions contre le patrimoine élucidées

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Plus d'une vingtaine d'infractions contre le patrimoine ont été élucidées en Valais et dans d'autres cantons (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La police valaisanne a mis la main sur un homme suspecté d'avoir commis 22 infractions contre le patrimoine dans différents cantons, entre mai et décembre 2024. Ce Moldave de 35 ans, placé en détention provisoire, aurait commis différents types de vols, notamment dans des véhicules.

Le montant du préjudice, hors dommages matériels, s'élève à plus de 100'000 francs, indique vendredi la police cantonale dans un communiqué. En Valais, neuf infractions ont pu lui être imputées, commises entre mai et juin 2024 dans la région de Conches.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Budget: les Etats approuvent la proposition de conciliation

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Le Conseil des Etats était le premier à se prononcer vendredi sur la proposition de conciliation concernant le budget 2026. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le Conseil des Etats a validé vendredi le budget 2026. Il a accepté à l'unanimité la proposition de la conférence de conciliation. Le National doit encore se prononcer.

L'enveloppe d'un peu plus de 90 milliards de francs prévoit un solde structurel, soit une marge de manoeuvre, de 84,6 millions.

La part belle est donnée à la sécurité et à l'agriculture. Des coupes ont en revanche été effectuées dans la coopération internationale et dans l'administration fédérale. Le budget doit encore être validé au National.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

France: prévisions de croissance révisées à la hausse

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La Banque de France a relevé sa prévision de croissance à 0,9% pour 2025 et 1% pour 2026, notamment en raison de chocs sur l'économie française aux effets moindres qu'escompté il y a quelques mois, et malgré un contexte budgétaire incertain. (archives) (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

La Banque de France a relevé vendredi sa prévision de croissance à 0,9% pour 2025 et 1% pour 2026, notamment en raison de chocs sur l'économie française aux effets moindres qu'escompté il y a quelques mois, et malgré un contexte budgétaire incertain.

Dans le sillage de l'Insee, l'institution monétaire a annoncé une prévision de croissance à 0,9% en 2025, après 1,1% en 2024, révisant à la hausse sa projection annuelle.

Elle tablait jusqu'ici sur une progression du PIB français de 0,7% en 2025 et 0,9% en 2026, tandis que le ministère de l'Economie anticipe toujours une croissance à 0,8% en 2025.

Selon la Banque de France, la croissance du PIB progresserait de 1% en 2026. Elle estime que l'inflation devrait s'établir à 0,9% en 2025, après 2,3% en 2024, une prévision sensiblement inférieure à ses estimations il y a un an, et au niveau de l'inflation dans la zone euro qui s'établit, selon la Banque centrale européenne (BCE), à 2,1%.

Jeudi, la BCE a laissé ses taux inchangés pour la quatrième fois d'affilée, malgré une inflation sous contrôle.

Incertitudes

Ces données de la Banque de France sont publiées dans un climat politique et budgétaire national marqué par l'incertitude, alors qu'une réunion cruciale entre sénateurs et députés doit se tenir vendredi pour tenter d'aboutir à un compromis sur le budget.

En cas d'échec, le gouvernement pourrait envisager le vote d'une loi spéciale, ce qui permettrait de reconduire les impôts de 2025 en 2026 (hors mesures exceptionnelles), une solution temporaire avant de tenter de faire adopter un budget l'année prochaine.

C'est dans ce contexte que la Banque de France a présenté ses projections macroéconomiques, renouant avec les prévisions de croissance partagées un an auparavant, en décembre 2024.

Face à de multiples chocs d'incertitudes, et en particulier la menace des droits de douane américains, la Banque de France avait ensuite abaissé sa prévision de croissance au cours de l'année, à 0,6% au mois de juin.

"On revient en fin d'année aux projections d'il y a un an, un peu comme s'il n'y avait pas eu tous les chocs d'incertitude", relève l'économiste en chef de la Banque de France, Olivier Garnier, soulignant leur impact moindre qu'anticipé, mais estimant que les effets pourraient s'avérer "plus durables".

Pendant l'année, l'activité a notamment été tirée par l'aéronautique et des exportations très dynamiques au second semestre, et la demande adressée à la France a été "très sensiblement révisée à la hausse", a détaillé M. Garnier.

En 2026, la croissance serait soutenue par un redressement de la consommation des ménages et de l'investissement privé, estime la Banque de France, qui s'est toutefois gardée de fournir des prévisions chiffrées sur le déficit public, compte tenu de la forte incertitude.

Mais "en l'état actuel de la discussion", le déficit budgétaire "sera au mieux de 5% du PIB", note Olivier Garnier, une situation qui dépendra notamment de l'adoption d'un budget, de l'éventualité d'une loi spéciale, etc.

Le taux d'épargne, qui était stable autour de 14% à 15% depuis les années 1990, est nettement supérieur à ce niveau depuis 2020.

Cette situation tend à se confirmer en 2025, et le taux d'épargne devrait rester très haut, à 18,5% cette année, en légère augmentation après 18,2% en 2024, selon les prévisions de la Banque de France.

Il y a un an, l'institution monétaire anticipait pourtant une baisse du taux d'épargne en 2025, et selon ces nouvelles prévisions vendredi, le taux d'épargne "commencerait à se replier en 2026, sous réserve que le climat d'incertitude politique s'améliore".

Il resterait toutefois supérieur à sa moyenne d'avant crise du Covid-19.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Suisse

Clariant vend ses activités au Venezuela

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Clariant, ici son patron Hariolf Kottmann, est engagé dans un vaste programme d'économies, destiné à alléger de quelque 80 millions d'euros sa base de coûts annuelle à l'horizon 2027. (archives) (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Clariant poursuit l'optimisation de son portefeuille. Le chimiste de spécialités bâlois a cédé ses activités au Venezuela à la société locale CMV Química. La transaction se monte à environ 1,8 million de dollars (1,4 million de francs).

Les activités de Clariant au Venezuela ont généré en 2024 un chiffre d'affaires d'environ 3 millions de francs et recensaient une soixantaine d'employés, précise vendredi le groupe. Suite à cette transaction, des écarts de conversion cumulés d'environ 236 millions de francs seront comptabilisés dans le compte de résultat 2025 et viendront peser sur le bénéfice net.

Programme d'économies

L'opération n'a en revanche aucun effet sur les versements aux actionnaires et la prévision de marge opérationnelle Ebitda ajustée, celle-ci restant attendue entre 17 et 18% pour 2025, ajoute Clariant.

Clariant est engagé dans un vaste programme d'économies, destiné à alléger de quelque 80 millions d'euros sa base de coûts annuelle à l'horizon 2027. Dans ce cadre, le chimiste de Muttenz avait indiqué dans son rapport semestriel avoir aussi réduit ses effectifs, supprimant environ 200 équivalents plein-temps, sur un total de près de 10'500 fin 2024. Les coupes ont porté notamment sur les fonctions commerciales et administratives.

Les mesures ont aussi entrainé la fermeture de deux lignes de production et de deux sites non spécifiés. Fin septembre, Clariant évoquait des économies de 31 millions de francs depuis le début de l'année.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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