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Envolée du prix des logements en 2019
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Les prix des logements se sont envolés l'année dernière à des niveaux inédits depuis cinq ans, les tarifs pour les maisons et les appartements ayant progressé d'environ 2%. Cette tendance a principalement été portée par les faiblesse des taux d'intérêt.
"Les prix à l'achat des logements ont augmenté le plus fortement dans les régions urbaines à l'économie dynamique", ont souligné jeudi les économistes d'UBS dans leur étude Real Estate Focus 2020.
Les plus importantes flambées des prix ont ainsi été observées dans les centres urbains de Zurich, Bienne, Fribourg, Lausanne et Genève, mais aussi dans certaines régions du Valais et de l'Engadine.
Parallèlement, le taux de vacance - la part de logements inoccupés sur l'ensemble du parc locatif - a poursuivi sa croissance, progressant de 1 point de pourcentage sur un an à 1,7%. En 2013, ce taux se situait encore à seulement 1%.
La rareté de l'offre devrait soutenir les prix cette année et ces derniers devraient afficher une "légère augmentation", a pronostiqué Claudio Saputelli, responsable du secteur immobilier auprès de la division Gestion de fortune d'UBS.
En milieu urbain, les achats d'investisseurs à des fins de location et la demande en résidences secondaires assèchent le marché, de l'aveu de la banque aux trois clés.
Alors que les tarifs pour les appartements en propriété devraient rester stables en 2020, ils devraient augmenter de 0,5% pour les maisons individuelles.
Malgré 70'000 appartements vides en 2019, les investisseurs sont toujours avides de ce type de placement. En 2019, quelque 44'000 logements ont ainsi été autorisés à la construction. Ce chiffre est cependant en baisse de 14% par rapport à 2018.
Zurich, Genève et Lucerne ont enregistré le plus grand nombre de demandes de permis de construire.
La suroffre pèse cependant sur les revenus locatifs, notamment à Soleure et au Tessin, et donc sur les projections de rentabilité des immeubles. "Dans ces régions, chaque appartement ne rapporte, en moyenne, pas de revenus pendant un mois sur douze", a souligné le groupe bancaire zurichois.
Ce dernier anticipe pour cette année une baisse de 1% des loyers.
Situation difficile pour les bureaux et le commerce
Dans le segment des bureaux et des surfaces commerciales, la situation demeure difficile, surtout en périphérie. Pour UBS, "la croissance de l'emploi recule et des perspectives économiques moins favorables pèsent sur la demande en surfaces de bureaux".
Concernant les bureaux, une récente étude de la société de conseils immobiliers Jones Lang LaSalle (JLL) avait relevé que leur surface cumulée avait augmenté en 2019 de 58'000 m2 à un total de 765'000 m2 dans toute la Suisse.
Les surfaces commerciales font quant à elles face à la pression des magasins en ligne. Le e-commerce devrait progresser cette année d'environ 10% pour la troisième année consécutive, alors que le commerce traditionnel devrait enregistrer "au mieux" une stagnation des recettes.
Malgré cette situation défavorable, le parc de surfaces commerciales augmente, "car de nombreux magasins continuent d'apparaître dans le cadre de projets mixtes", a noté UBS. S'ajoute à cela la construction de nouveaux centres commerciaux, dont quatre d'une surface supérieure à 5000 m2 seront inaugurés d'ici l'année prochaine dans les cantons de Genève et Vaud.
Dans l'immédiat, l'offre excédentaire n'a pas eu d'impact sur les loyers de ce type d'immobilier. "Les loyers sont en moyenne encore trop élevés et une baisse est inévitable", a averti M. Saputelli.
Pour cette année, UBS table sur des loyers en repli de 0,5% pour les surfaces de bureaux et l'immobilier commercial.
Suisse
Exercice national de gestion de crise: bilan intermédiaire positif
La Confédération tire un bilan intermédiaire positif de l'exercice national de gestion de crise qui s'est déroulé jeudi et vendredi. Une multitude d'acteurs, aux trois échelons de l'Etat, ont collaboré durant cet "exercice intégré".
Selon ce premier bilan, l'objectif d'examiner la collaboration et la coordination de la gestion de crise sur le plan politico-stratégique à l'échelle nationale a été atteint. L'évaluation finale de l'exercice sera réalisée durant la première moitié de 2026, a indiqué vendredi la Chancellerie fédérale dans un communiqué. Sur cette base, un rapport sera établi, avec des recommandations d'amélioration concrètes.
L'exercice, qui "s'est rapidement transformé en un défi complexe et plausible", a commencé jeudi à 03h00 du matin et s'est poursuivi jusqu'à vendredi soir. Dans le scénario, la Suisse devait gérer une menace hybride. Une guerre éclatait entre deux pays fictifs situés à la périphérie de l'Europe et le gouvernement de l'Etat attaqué se réfugiait à Genève.
Conséquence: la Suisse devait faire face à des revendications politiques, à des cyberattaques contre les infrastructures ferroviaires et hospitalières, à la présence de drones près d'infrastructures critiques et à des difficultés dans les chaînes d'approvisionnement. Elle devait encore faire face à une menace diffuse d'intervention militaire, à la perspective d'un afflux de réfugiés et à des attentes d'acteurs internationaux à son égard.
165 observateurs
De nombreux acteurs ont pris part à l'exercice: l'administration fédérale, les organisations de gestion de crise de tous les cantons, plusieurs chancelleries d'Etat, le Parlement fédéral, le Ministère public de la Confédération, la Principauté du Liechtenstein, plusieurs conférences intercantonales, les villes de Berne, Zurich, Genève, Bienne et Thoune, ainsi que des organisations scientifiques, Migros, les CFF et plusieurs hôpitaux.
Le Conseil fédéral a tenu trois séances extraordinaires pendant les deux jours de l'exercice. L'organisation de crise de l'administration fédérale, entrée en vigueur le 1er février dernier, a aussi pu être testée, avec la mise en place d'un état-major de crise politico-stratégique et d'un état-major de crise opérationnel.
Au total, 165 observateurs se sont répartis dans toute la Suisse et au Liechtenstein pour observer méthodiquement la gestion de crise au sein des organisations participantes, a développé la Chancellerie fédérale. Et de relever qu'il s'agissait d'un des exercices de crise les plus vastes et les plus complexes qui aient jamais été réalisés sur le plan politico-stratégique en Suisse.
L'exercice a été organisé conjointement par la Confédération et les cantons. La codirection était assurée par le conseiller d'Etat grison Martin Bühler et par Erika Laubacher-Kubat, de la Chancellerie fédérale. La plateforme politique du Réseau national de sécurité a assuré la supervision du projet.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Transition énergétique au 2e jour du sommet précédant la COP30
Le président brésilien Lula a estimé vendredi que "le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles" était intenable, au deuxième jour du sommet de dirigeants mondiaux en prélude à la COP30 à Belem.
Deux ans après l'adoption inédite à la COP28 à Dubaï d'un engagement général à sortir progressivement des énergies fossiles, le thème ne figure pas comme tel à l'agenda de la conférence climat qui s'ouvrira lundi dans cette ville d'Amazonie brésilienne.
Mais certains pays comme le Brésil - pourtant huitième producteur mondial de pétrole - tiennent à remettre le sujet au coeur des débats.
"La Terre ne peut plus supporter le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles qui a prévalu au cours des 200 dernières années", a lancé Luiz Inacio Lula da Silva en ouvrant une session consacrée à la transition énergétique, au deuxième et dernier jour du sommet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'ONU alerte sur la menace de violences massives au Kordofan
L'ONU lance "un fort avertissement" sur la menace de violences massives au Kordofan, après les massacres à El-Facher au Darfour. Vendredi à Genève, le Haut commissaire aux droits de l'homme s'est dit inquiet face aux "préparations pour des hostilités intensifiées".
"Depuis la prise d'El-Facher, les victimes civiles, la destruction et les déplacements de masse augmentent" au Kordofan, région voisine du Darfour, affirme Volker Türk. "Il n'y a pas de signe de désescalade", a-t-il déploré.
Il demande à nouveau aux Etats influents auprès des parties au conflit d'oeuvrer. Dans le cas contraire, "il y aura davantage de carnage et d'atrocités", insiste l'Autrichien. Il a rappelé que le Conseil de sécurité de l'ONU a exigé la fin des acheminements d'armements vers le Soudan.
Khartoum accuse les Emirats arabes unis de livrer ce matériel aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), responsables de crimes contre l'humanité selon la Mission internationale d'établissement des faits. M. Türk redoute aussi que les exécutions sommaires, les viols et les violences ethniques se poursuivent à El-Facher, alors que de nombreux civils restent bloqués dans la ville.
Depuis le début de la guerre, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées. Le conflit a fait près de 13 millions de déplacés, dont quatre millions de réfugiés. Selon les estimations, plus de 21 millions de personnes font face à une importante insécurité alimentaire. Plus de 206'000 sont confrontées à une situation de famine. Des dizaines de millions d'individus doivent être aidés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Le budget 2026 de Montreux dans le rouge pour 4,5 millions
Le budget 2026 de la commune de Montreux (VD) affiche un déficit de 4,5 millions sur une enveloppe globale de plus de 200 millions de francs. Des changements structurels au sein de l'administration et la nouvelle péréquation financière cantonale justifient une augmentation des charges de fonctionnement tout en maintenant un déficit constant, indique vendredi sa Municipalité.
Le déficit du budget 2025 était de 4,2 millions de francs. Les charges de fonctionnement atteignent 204 millions (+18,3% par rapport à 2025), principalement en raison de la réorganisation de la péréquation et des contributions intercommunales. Les recettes, elles, s’élèvent à près de 200 millions (+18,6 %), portées notamment par des revenus exceptionnels, dont un legs de 3,8 millions destiné à un fonds spécifique, précise la Ville dans son communiqué.
Les recettes fiscales demeurent stables à environ 103 millions de francs, tandis que le revenu du patrimoine progresse à 11,6 millions, "reflet d’une optimisation de la gestion des biens communaux", selon la Municipalité.
Malgré le résultat négatif, le budget 2026 conserve une marge d'autofinancement positive de 1,2 million, "signe d'une gestion prudente et responsable", selon la Municipalité.
Sur le plan économique, la Ville maintient ses investissements essentiels et "poursuit une politique budgétaire équilibrée, centrée sur la qualité des prestations à la population et la maîtrise des coûts". La fin prochaine du projet de rénovation du Centre de congrès (2m2c) marquera une étape-clé, en offrant un outil modernisé au service du développement économique et culturel de Montreux, soulignent encore les autorités communales.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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