International
Le Hamas perd le contact avec le groupe détenant un otage
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2025/04/yael-alexander-avec-le-portrait-de-son-fils-edan-le-hamas-dit-avoir-perdu-le-contact-avec-le-groupe-qui-le-detient-1000x600.jpg&description=Le Hamas perd le contact avec le groupe détenant un otage', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le mouvement islamiste Hamas a affirmé mardi avoir "perdu le contact" avec le groupe détenant à Gaza l'otage israélo-américain Edan Alexander, dont la libération serait prévue dans la dernière proposition israélienne de trêve.
Dans le même temps, le bureau de Benjamin Netanyahu a annoncé que le premier ministre israélien s'était rendu mardi dans le nord de la bande de Gaza, où son armée a intensifié ses opérations pour étendre son contrôle à de vastes pans du petit territoire assiégé.
Après deux mois de trêve, Israël a repris le 18 mars ses bombardements aériens suivis d'une offensive terrestre dans la bande de Gaza, M. Netanyahu estimant qu'une pression militaire accrue était le seul moyen de forcer le Hamas à rendre les otages.
Ces derniers ont été enlevés lors d'une attaque sans précédent perpétrée le 7 octobre 2023 par le Hamas dans le sud d'Israël, qui a déclenché la guerre à Gaza. Sur les 251 personnes prises en otage, 58 sont toujours retenues à Gaza dont 34 mortes selon l'armée.
"Nous avons perdu le contact avec le groupe détenant le soldat Edan Alexander après un bombardement qui a visé l'endroit où ils se trouvaient, et nous continuons à tenter de les joindre", a indiqué Abou Obeida, le porte-parole de la branche armée du Hamas, les Brigades Ezzedine al-Qassam, dans un message sur Telegram.
Il s'agit du seul otage vivant ayant la nationalité américaine encore retenu à Gaza. Le Hamas a diffusé une vidéo de lui samedi.
Proposition de trêve
Les Brigades Ezzedine al-Qassam ont ensuite diffusé une vidéo montrant des combattants portant des cercueils. "Vos dirigeants ont signé la décision d'exécuter les prisonniers à Gaza", est-il écrit en sous-titre.
Cette annonce survient alors qu'un dirigeant du Hamas a indiqué mardi que le mouvement allait "très probablement" répondre "d'ici 48 heures" à une proposition israélienne de cessez-le-feu à Gaza, impliquant une libération des otages.
Le mouvement islamiste, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007 et est considéré comme une organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne, a dit avoir reçu, via les médiateurs égyptiens, la proposition israélienne.
Un autre responsable du Hamas a indiqué lundi à l'AFP qu'Israël demandait le retour de dix otages vivants en échange d'une trêve d'"au moins 45 jours", de la libération d'un total de 1231 prisonniers palestiniens détenus par Israël et d'une autorisation de faire entrer de l'aide humanitaire dans Gaza.
Selon lui, Israël exige "en signe de bonne volonté" le retour, au premier jour de l'accord, de l'otage Edan Alexander.
D'après ce même responsable, la proposition israélienne évoque aussi une "fin permanente à la guerre" qu'Israël conditionne au désarmement du Hamas, "une ligne rouge (...) non négociable" pour le mouvement.
Israël ne s'est pas exprimé sur le contenu de cette proposition.
51'000 morts à Gaza selon le Hamas
L'attaque du 7 octobre a entraîné la mort de 1218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des chiffres officiels.
Mardi, le ministère de la Santé du Hamas a annoncé qu'au moins 1630 Palestiniens avaient été tués depuis le 18 mars.
Ce qui porte selon lui à 51'000 le nombre de morts à Gaza depuis le début, il y a 18 mois, de l'offensive dévastatrice d'Israël en riposte à l'attaque du 7 octobre.
Une trêve, entre le 19 janvier et le 17 mars, a permis le retour en Israël de 33 otages, incluant huit morts, en échange de la sortie d'environ 1800 Palestiniens des prisons israéliennes.
Lundi, l'ONU a averti que la bande de Gaza traversait "probablement la pire" situation humanitaire depuis le début de la guerre, Israël bloquant l'entrée de toute aide sur le territoire.
La petite enclave où s'entassent 2,4 millions d'habitants déplacés plusieurs fois souffre d'une pénurie de nourriture, d'eau, de carburants et d'autres produits de première nécessité, selon le Bureau des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha).
Sur un autre plan, M. Netanyahu a dit au président français Emmanuel Macron, lors d'un entretien téléphonique mardi, que l'établissement d'un Etat palestinien serait "une énorme récompense pour le terrorisme".
M. Macron a dit avoir plaidé pour la réouverture d'"une perspective de solution politique à deux Etats" pour régler le conflit israélo-palestinien vieux de plusieurs décennies.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
La banque centrale chinoise abaisse deux taux d'intérêt clé
La banque centrale chinoise a abaissé mardi deux taux d'intérêt clé à des niveaux historiquement bas, dernier effort des autorités pour stimuler la croissance sur fond de tensions commerciales avec Washington et de crise du secteur immobilier.
Le LPR à un an, qui constitue la référence des taux les plus avantageux que les banques peuvent offrir aux entreprises et aux ménages, a été abaissé de 3,1% à 3%, a indiqué la Banque populaire de Chine (PBoC).
Le LPR à cinq ans, la référence pour les prêts hypothécaires, a été abaissé de 3,6% à 3,5%, selon la même source.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump autorisé à révoquer le statut d'immigrés vénézuéliens
La Cour suprême des Etats-Unis a autorisé lundi l'administration de Donald Trump à révoquer le statut de protection temporaire (TPS) qui lui interdisait d'expulser quelque 350'000 Vénézuéliens.
La plus haute juridiction américaine, à majorité conservatrice, a répondu favorablement à une demande de la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, qui souhaitait pouvoir lever ce statut pendant qu'un litige judiciaire sur le sujet suit son cours.
Mme Noem avait en effet annulé une prolongation de 18 mois du TPS pour les Vénézuéliens, décidée en janvier par l'administration du démocrate Joe Biden et qui devait entrer en vigueur au début avril.
Mais un juge fédéral de Californie (ouest) avait suspendu cette décision fin mars, soulignant le risque de "préjudice irréparable pour des centaines de milliers de personnes" et déplorant le "racisme" exprimé selon lui par l'assimilation de l'ensemble des bénéficiaires vénézuéliens du TPS à des criminels.
Le statut de protection temporaire protège d'une expulsion et octroie un droit de travail. Il est offert aux immigrés dont la sécurité n'est pas assurée s'ils rentrent dans leur pays en raison de conflits, de catastrophes naturelles ou d'autres conditions "extraordinaires".
Il a largement été accordé aux Vénézuéliens sous Joe Biden, car Washington considère le Venezuela de Nicolas Maduro comme un régime autoritaire.
La tentative de lever le TPS est "une attaque xénophobe, discriminatoire, raciste et coordonnée depuis plus d'un an à l'encontre d'une population dont le seul péché a été de fuir une dictature criminelle et d'essayer de trouver refuge là où on nous a dit qu'il y en avait un", a indiqué à l'AFP Adelys Ferro, cofondatrice du Venezuelan American Caucus, un groupe de soutien à la communauté vénézuélienne.
Elle a souligné que les Etats-Unis cherchaient à expulser ces personnes vers un pays qu'ils jugent eux-mêmes "tellement dangereux" qu'ils déconseillent formellement à leurs ressortissants de s'y rendre.
Donald Trump a fait campagne en promettant l'expulsion de millions d'immigrés sans-papiers, qu'il accuse d'avoir provoqué une vague de criminalité aux Etats-Unis, ce qu'aucune statistique officielle n'atteste.
Depuis son retour au pouvoir en janvier, nombre de ses décisions sur les sujets de l'immigration ont rencontré l'opposition de juges à travers les Etats-Unis, y compris au niveau de la Cour suprême, dont il a nommé trois des neuf juges lors de son premier mandat.
Son administration accuse systématiquement ces magistrats d'"empiéter" sur les prérogatives du pouvoir exécutif.
La semaine dernière, le président américain avait critiqué la Cour suprême, qui lui avait infligé un nouveau revers en prolongeant son interdiction d'expulser des immigrés vénézuéliens en vertu d'une loi d'exception. Elle "ne me laisse pas faire ce pour quoi j'ai été élu", s'était-il plaint.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Etape cruciale avant l'approbation de l'accord anti-pandémies mardi
Les membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ont franchi une étape cruciale à Genève pour approuver mardi l'accord pour mieux préparer le monde contre les pandémies. Lundi soir, l'arrangement a été validé en commission après un vote.
Le projet de résolution à l'Assemblée mondiale de la santé a été approuvé par 124 voix, contre aucune opposition et 11 abstentions. Deux tiers des suffrages étaient requis. Avant même le résultat, les délégations ont applaudi pendant de longues secondes et se sont levées. Certains hauts responsables de l'OMS étaient en pleurs.
Le directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus souhaitait un consensus. Il aura même appelé dans l'après-midi le Premier ministre slovaque Robert Fico pour le convaincre de renoncer à demander un vote.
Sur les réseaux sociaux, le dirigeant slovaque, proche du président américain Donald Trump, s'est dit "surpris" par une approche qu'il considère comme n'étant pas démocratique. Il avait annoncé que son pays voterait non, embrassant des arguments conspirationnistes. Finalement, il a été désavoué par son représentant, qui a demandé un vote, mais ne s'est pas prononcé contre le texte.
Après cette étape, le feu vert en plénière mardi matin ne devrait, sauf surprise, constituer qu'une formalité. Mais tout n'est pas réglé. Les membres vont lancer un groupe de travail pour établir une annexe sur les modalités du nouveau système d'accès aux agents pathogènes et de partage des avantages (PABS).
Selon le directeur général de l'OMS, cette discussion pourrait prendre un an. Il faudra plutôt un an et demi à deux ans, estiment une source diplomatique européenne et la conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider. Ensuite seulement, l'accord pourra être signé. Il entrera en vigueur un mois après avoir atteint 60 ratifications des Etats.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
OMS: le numéro deux sortant pressenti pour la présidence irlandaise
Il aura été le visage remarqué de la lutte contre la pandémie à l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Loué pour son empathie et pour ses discours de clarté, le numéro deux de l'instance Michael Ryan est pressenti pour être candidat à la présidence irlandaise.
Sur le front des urgences sanitaires mondiales depuis de nombreuses années, au premier plan puis comme chef, cet Irlandais de 60 ans à la silhouette bonhomme ne fait pas partie des sept directeurs qui vont rester. Le directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus avait dévoilé mercredi cette liste, avec 50% de hauts responsables en moins en raison des effets du retrait prévu des Etats-Unis.
"La seule raison pour laquelle il s'en va est qu'il dit qu'il est fatigué", a affirmé lundi soir l'Ethiopien devant les Etats membres à l'Assemblée mondiale de la santé. "Je l'ai vu" sur lui et "je l'ai accepté", a-t-il ajouté, provoquant une ovation debout pour son "soldat" de la santé.
Les deux hommes ont constitué un binôme depuis plusieurs années. A tel point que M. Tedros n'a pas hésité à en faire son numéro deux en plus de la direction du programme d'urgences de l'OMS.
Au plus fort de la pandémie, M. Ryan avait comme toujours su parler à des populations harassées par des mois de restrictions. "Nous sommes tous fatigués. Je suis fatigué", avait-il affirmé, leur demandant encore des efforts et admettant alors n'avoir pu voir ses enfants depuis près d'un an en raison du coronavirus.
Pas un homme de parti
Défendant toujours les travailleurs de santé en première ligne, il se sera également battu pour faire prévaloir la science sur les relais conspirationnistes. Parfois en tapant du poing sur la table, tant il était frustré par cette situation.
De même, il ne cachait récemment pas sa colère sur la situation humanitaire dans la bande de Gaza, disant que la communauté internationale était "complice" si elle ne mettait pas un terme aux souffrances des Palestiniens.
Interrogé il y a quelques semaines par Keystone-ATS sur la possibilité qu'il devienne un jour ministre de la santé dans son pays, il avait répondu ne pas être un politique. Et qu'il fallait être un homme de parti pour accéder au gouvernement irlandais.
Il semblerait que les formations politiques aient un autre plan pour lui. Selon les médias irlandais, le parti travailliste souhaiterait en faire le candidat de toute la gauche à la présidence irlandaise, malgré son manque d'expérience politique.
"Il s'est vu offrir un poste qui est bon pour un retraité, mais avec beaucoup de sagesse", a plaisanté lundi M. Tedros. Ce qui a fait rire, comme souvent, celui qui est encore pour quelques semaines son numéro deux.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
SuisseIl y a 3 jours
Un motard héliporté au CHUV après un grave accident
-
CultureIl y a 2 jours
"Oui, Céline Dion est à Bâle", confirme Jean-Marc Richard
-
VaudIl y a 1 jour
Un motard perd la vie dans un accident à l'Etivaz (VD)
-
CultureIl y a 2 jours
Nemo chante "The Code" à l'ouverture de la finale de l'Eurovision
-
CultureIl y a 2 jours
L'Autriche remporte l'Eurovision devant Israël
-
InternationalIl y a 3 jours
Ukraine: neuf morts dans une attaque de drone sur un minibus
-
SuisseIl y a 3 jours
La police arrête trois auteurs de vols dans les cimetières
-
ClimatIl y a 2 jours
Le danger subsiste dans la zone du Lötschental en aval des glaciers