International
Ukraine: Trump attaque à nouveau Zelensky
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Le président américain Donald Trump a assuré mercredi qu'un accord de cessez-le-feu en Ukraine était "très proche". Il a toutefois accusé son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky de compliquer les pourparlers avec ses "propos incendiaires" sur la Crimée.
Cette nouvelle sortie du septuagénaire contre Volodymyr Zelensky intervient au moment où des discussions entre responsables américains, ukrainiens et européens se sont tenues à Londres.
Sur sa plateforme Truth Social, Donald Trump, qui avait précédemment qualifié le président ukrainien de "dictateur", s'en est une nouvelle fois pris à lui l'accusant d'entraver les pourparlers en cours.
La Crimée, "territoire russe"
Il lui a notamment reproché d'avoir répété que l'Ukraine ne reconnaîtrait pas la souveraineté de la Russie sur la péninsule de Crimée, annexée par Moscou en 2014.
"Il peut avoir la paix ou il peut se battre encore trois ans avant de perdre tout le pays", a déclaré Donald Trump. "Nous sommes très proches d'un accord, mais cet homme qui n'a pas les cartes en main doit maintenant conclure", a-t-il ajouté.
Menace de "retrait" américain
Plus tôt mercredi, le vice-président américain JD Vance a sommé Moscou et Kiev de parvenir à un accord, sans quoi les Etats-Unis "se retireront" du processus. Le vice-président américain a suggéré de "geler les lignes territoriales à un niveau proche de ce qu'elles sont aujourd'hui".
"Cela signifie que les Ukrainiens et les Russes doivent tous deux abandonner une partie du territoire qu'ils possèdent actuellement", a-t-il ajouté. "Il va falloir procéder à des échanges territoriaux".
Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a estimé qu'il ne s'agissait cependant pas d'un ultimatum. "Les Etats-Unis poursuivent leurs efforts de médiation, et nous nous (en) félicitons", a-t-il déclaré.
"Kiev doit décider de son avenir"
Le président Volodymyr Zelensky a lui insisté sur la nécessité d'avoir un cessez-le-feu "immédiat, complet et inconditionnel" en Ukraine en amont de négociations de paix.
Londres a redit qu'il appartenait "à l'Ukraine de décider de son avenir". La présidence française a elle affirmé que l'"intégrité territoriale" de l'Ukraine était une "exigence très forte" des Européens.
Sur le terrain, les attaques aériennes russes ont repris en Ukraine à la suite d'une brève trêve de Pâques. Neuf personnes ont été tuées et 32 blessées dans une attaque de drone russe contre un bus à Marganets, dans le sud-est de l'Ukraine.
"Irréaliste"
Kiev et ses alliés européens réclament un retour complet de l'Ukraine dans ses frontières d'avant 2014, une position que le ministre américain de la Défense Pete Hegseth avait qualifiée en février d'"irréaliste".
A Londres, des discussions se sont tenues à un niveau inférieur à celui qui était prévu initialement. Elles devaient s'inscrire dans la foulée de celles qui ont eu lieu à Paris la semaine dernière mais le Foreign Office a annoncé mercredi matin un "report" des pourparlers au niveau des ministres des Affaires étrangères, les discussions se tenant au niveau des conseillers de premier plan.
Kellogg à Londres
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio avait dit la semaine dernière à Paris qu'il irait à Londres s'il le jugeait utile.
C'est finalement l'émissaire spécial pour l'Ukraine, le général Keith Kellogg, qui a fait le déplacement. La France était représentée par Emmanuel Bonne, le conseiller diplomatique du président Emmanuel Macron.
Côté ukrainien, le chef de l'administration présidentielle Andriï Iermak, le chef de la diplomatie Andriï Sybiga et le ministre de la Défense Roustem Oumerov étaient présents. Ces deux derniers ont rencontré leurs homologues britanniques David Lammy et John Healey en marge de la réunion.
"Fausses informations"
Mardi, le Kremlin a mis en garde contre toute précipitation dans les discussions visant à obtenir un cessez-le-feu plus de trois ans après l'invasion russe. Donald Trump avait dit dimanche espérer un accord "dans la semaine" entre Moscou et Kiev.
Entre-temps, l'émissaire américain Steve Witkoff prévoit un voyage à Moscou cette semaine, selon la Maison Blanche et le Kremlin, sans que la date soit précisée.
Selon le Financial Times, Vladimir Poutine a proposé à M. Witkoff début avril d'arrêter son invasion et de geler la ligne de front actuelle si les Etats-Unis accèdent à ses revendications majeures, comme la reconnaissance de la souveraineté de la Russie sur la péninsule de Crimée, annexée en 2014, et la non-adhésion de l'Ukraine à l'Otan.
"De nombreuses fausses informations sont publiées en ce moment", a réagi le Kremlin.
"Accusations sans fondement"
Par ailleurs, Pékin a dénoncé mercredi des "accusations sans fondement" après que l'Ukraine a affirmé que des soldats chinois combattaient au sein de l'armée russe et que des entreprises chinoises aidaient Moscou à fabriquer du matériel militaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
La Suisse remporte son premier match aux Etats-Unis
L'équipe de Suisse a entamé sa tournée américaine par une victoire samedi face au Mexique en match amical. La sélection de Murat Yakin s'est imposée 4-2 à Salt Lake City.
Ce premier match aux Etats-Unis n'a pas été parfait. La Suisse a paru fébrile par moments, mais elle s'est aussi montrée diablement efficace pour battre une formation mexicaine jamais facile à manoeuvrer.
Habitué des surprises, Yakin avait fait le choix d'aligner Aurèle Amenda en défense centrale et Silvan Widmer sur le flanc droit. Avec Fabian Rieder, titularisé en attaque, le Bâlois faisait confiance à trois hommes loin d'être indiscutables en club.
Le manque de rythme d'Amenda et de Widmer s'est d'ailleurs fait ressentir en début de match, même si le Biennois a pris confiance au fil des minutes dans un Rice-Eccles Stadium un brin moins rempli qu'annoncé (41'508), mais dans lequel les supporters mexicains ont mis une belle ambiance.
Le sang-froid d'Embolo
La défense suisse a ainsi paru fébrile par moments, jusqu'à l'ouverture du score signée Breel Embolo. Parfaitement lancé par Ricardo Rodriguez, le Bâlois a inscrit son 17e but en sélection avec beaucoup de sang-froid, devançant la sortie du gardien mexicain Raul Rangel (20e).
Les joueurs de Murat Yakin ont ensuite pris le contrôle du match et auraient pu faire le break avant la pause. Mais Dan Ndoye (22e) et Widmer (40e) ont buté sur Rangel tandis que Vincent Sierro (34e) a touché la barre transversale.
Les introductions d'Ardon Jashari (pour Granit Xhaka) et d'Ulisses Garcia (pour Rodriguez) après le thé ont quelque peu perturbé l'équilibre helvétique. Et c'est une intervention ratée du latéral gauche genevois qui a offert l'égalisation à la Tri (51e Gimenez).
Deuxième mi-temps spectaculaire
Mais la Suisse a montré une belle réaction sous la chaleur de l'Utah. Peu après avoir remplacé Embolo, Zeki Amdouni, oublié dans par la défense mexicaine, a redonné l'avantage à ses couleurs (64e) avant que Dan Ndoye ne marque le troisième but d'un tir létal au premier poteau (71e).
La réduction du score rapide du Mexique à la 75e signée Angel Sepuvelda a donné l'espoir d'une remontée aux supporters de la Tri. Mais Fabian Rieder a assuré le succès des Suisses en fin de match (90e).
Forts de cette victoire, les hommes de Murat Yakin s'envoleront dimanche pour le Tennessee. Mardi à Nashville (2h00 en Suisse), ils défieront les Etats-Unis avec l'espoir de conclure cette tournée américaine sur un deuxième succès.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Sierro et Amenda titulaires, Jashari sur le banc
Ardon Jashari devra encore attendre avant de fêter sa première titularisation avec la Suisse. Murat Yakin a préféré aligner Vincent Sierro au milieu pour affronter le Mexique à Salt Lake City samedi.
Le forfait de Denis Zakaria a également changé les plans du sélectionneur, qui n'avait pas caché son envie d'aligner le Genevois dans une défense à trois. Il a finalement opté pour une ligne de quatre, dans laquelle Aurèle Amenda va faire la paire avec Manuel Akanji. Ricardo Rodriguez et Silvan Widmer devraient occuper les côtés.
La Suisse devrait selon toute vraisemblance évoluer dans un 4-3-3 avec Granit Xhaka, Remo Freuler et Sierro dans l'entrejeu et Dan Ndoye, Breel Embolo et Fabian Rieder en attaque.
La composition suisse: Kobel; Widmer, Amenda, Akanji, Rodriguez; Xhaka, Sierro, Freuler; Rieder, Embolo, Ndoye.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Trump menace Musk de représailles s'il s'oppose aux républicains
Le président américain Donald Trump a menacé dans une interview samedi son ancien allié Elon Musk de "très lourdes conséquences" s'il tentait de nuire à des élus républicains, deux jours après leur violente rupture qui a éclaté aux yeux du monde entier.
Malgré une accalmie apparente depuis vendredi, les deux hommes s'étant souhaité mutuellement "bonne chance" et Elon Musk ayant supprimé plusieurs messages accusateurs et menaçants, les deux hommes semblent décidément bien loin d'un potentiel rabibochage.
Née d'un désaccord sur la vaste loi budgétaire voulue par le républicain, la rupture entre le président de la première puissance mondiale et l'homme le plus riche de la planète pourrait être porteuse de lourdes conséquences politiques et économiques.
Interrogé sur la possibilité que le richissime entrepreneur finance des candidats démocrates en campagne contre des élus républicains soutenant ce texte, Donald Trump a répondu à la chaîne NBC: "s'il le fait, il devra en payer les conséquences".
"Il devra faire face à de très lourdes conséquences", a-t-il ajouté, sans détailler la nature de ces potentielles répercussions.
"Très irrespectueux"
Après des mois d'une alliance idyllique savamment mise en scène, Donald Trump et Elon Musk se sont déchirés publiquement jeudi à coup de messages interposés sur leurs réseaux sociaux respectifs, s'accusant de "folie" pour le premier, "d'ingratitude" pour le second.
Interrogé sur l'avenir de leur relation, le président américain a déclaré samedi n'avoir "aucun" désir de renouer avec M. Musk et "aucune intention de lui parler". "Il est très irrespectueux. On ne peut pas manquer de respect à la fonction présidentielle", a-t-il encore dit.
Après être resté longtemps silencieux face aux attaques incessantes de l'entrepreneur contre sa "grande et belle loi", un texte qui prévoit d'énormes allègements fiscaux, de lourdes dépenses pour la défense et des coupes dans les prestations sociales, Donald Trump a fini par répliquer jeudi vertement.
Le qualifiant de "fou", le président a menacé "d'annuler les subventions et contrats gouvernementaux" du patron de Tesla et SpaceX, ce dernier ripostant avec une flopée de posts dans lesquels il a notamment accusé Donald Trump d'être impliqué dans l'affaire Jeffrey Epstein, du nom d'un financier accusé d'exploitation sexuelle de mineures.
"Pas nouveau"
"Il est temps de lâcher la grosse bombe: (Trump) est dans les dossiers Epstein", avait-il ainsi écrit sur X. "C'est la véritable raison pour laquelle ils n'ont pas été rendus publics."
Ce message, comme d'autres publiés ou partagés le même jour par le multimilliardaire, dont l'un appelait à destituer le président, n'étaient plus visibles sur son compte samedi.
Interrogé par NBC sur ses liens amicaux passés avec le financier, mis en avant par Elon Musk, le républicain a répondu samedi: "ce n'est pas nouveau, on en parle depuis des années".
Si Donald Trump l'a côtoyé, il a toujours nié avoir passé du temps dans la propriété d'Epstein sur les îles Vierges américaines où, selon les procureurs, le financier se livrait à un trafic sexuel avec des jeunes filles mineures.
L'histoire de Jeffrey Epstein, au coeur d'un vaste scandale international de crimes et d'exploitation sexuels et qui s'est suicidé en prison en 2019 avant d'être jugé, alimente de nombreuses théories complotistes et obsède une partie de la droite radicale américaine.
"Même l'avocat d'Epstein a dit que je n'avais rien à voir avec cela", a réaffirmé Donald Trump samedi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Qualifications Mondial 2026: minimum syndical pour l'Angleterre
L'Angleterre a signé un troisième succès en trois matches lors des qualificatifs pour le Mondial 2026. Les Three Lions ont battu la modeste équipe d'Andorre 1-0 seulement.
Ils n'ont pas montré grand-chose, si ce n'est du côté de l'ailier Noni Madueke. Dans le stade de l'Espanyol, près de Barcelone, les vice-champions d'Europe ont longtemps buté sur la défense repliée de la 173e nation mondiale au classement FIFA.
Ils s'en sont sortis grâce à un centre de Madueke que le capitaine Harry Kane a repris en se jetant (50e). Ce but a permis au nouveau sélectionneur Thomas Tuchel de conserver un bilan immaculé avec trois victoires et aucun but encaissé, après les succès initiaux de mars contre l'Albanie (2-0) et la Lettonie (3-0).
Il n'a pas permis en revanche d'éviter quelques sifflets venus des spectateurs anglais, déçus au coup de sifflet final par le faible spectacle offert. "Ce n'était pas notre meilleure performance, je ne pense pas que beaucoup de gens s'en souviendront", a convenu Kane au micro du diffuseur ITV. "Mais nous pouvons en tirer des leçons. Il fait très chaud ici, le terrain est sec, les conditions sont probablement similaires à celles de la Coupe du monde l'année prochaine (au Mexique, aux Etats-Unis et au Canada)", a-t-il complété.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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