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International

Oklahoma City mène 2-0 en finale à l'Ouest

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Shai Gilgeous-Alexander a une nouvelle fois sorti le grand jeu jeudi (© KEYSTONE/AP/Nate Billings)

Le Thunder a dominé les Minnesota Timberwolves 118-103 jeudi pour mener 2-0 en finale de la Conférence Ouest de NBA.

Oklahoma City a pu compter sur un Shai Gilgeous-Alexander en mode MVP pour faire la différence dans ce match 2.

Désigné meilleur joueur de la saison régulière 24 heures plus tôt, Shai Gilgeous-Alexander a inscrit 38 points jeudi, à 12/21 au tir. Le meneur canadien, qui a reçu son trophée avant le début de cette partie, a ajouté 8 passes décisives, 3 rebonds et 3 interceptions tout en ne commettant qu'une seule perte de balle.

Déjà devant (58-50) à la mi-temps, OKC a pris définitivement le large dans un troisième quart-temps remporté 35-21. Le Thunder, qui a également pu compter sur Jalen Williams (26 points) et sur Chet Holmgren (22 points) pour faire la différence, a compté jusqu'à 24 longueurs d'avance (93-69 à 35'' de la fin du troisième quart).

Meilleure équipe de la saison régulière, Oklahoma City est donc à deux succès de ses premières Finales NBA depuis 2012. Le Thunder, qui comptait alors le Vaudois Thabo Sefolosha dans son effectif, s'était incliné en cinq matches face au Miami Heat de LeBron James au stade ultime il y a 13 ans.

Minnesota a pourtant pu s'appuyer sur un Anthony Edwards en pleine forme (32 points, certes à 1/9 derrière l'arc, 9 rebonds et 6 passes décisives) jeudi. Mais les Timberwolves sont déjà dos au mur avant de retrouver leur public pour les actes III et IV de cette série.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Fluminense défie Chelsea pour éviter la mainmise de l'Europe

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Thiago Silva et Fluminense défient Chelsea mardi en demi-finale du Mondial des clubs (© KEYSTONE/EPA/CRISTOBAL HERRERA-ULASHKEVICH)

Fluminense va tenter de sauver l'honneur du football sud-américain, et plus particulièrement brésilien, mardi à East Rutherford face à Chelsea.

La formation brésilienne s'érige en rempart contre une finale 100% européenne au Mondial des clubs.

Après avoir enflammé le tournoi par leurs résultats et la ferveur de leurs supporteurs, les représentants de l'Amsud ne peuvent plus compter que sur les Cariocas pour éviter une domination totale du Vieux Continent. L'autre demi-finale doit opposer le PSG, vainqueur de la Ligue des champions, au Real Madrid de Kylian Mbappé, mercredi, toujours au MetLife Stadium dans le New Jersey.

Pour le président de la FIFA Gianni Infantino, qui a poussé pour imposer cette nouvelle formule à 32 équipes afin notamment de casser l'hégémonie de l'UEFA sur le football de clubs, il en va en partie de la crédibilité de cette compétition. "Flu" est ainsi devenu l'ultime recours pour contester une éventuelle mainmise européenne.

Portés par une escouade de vieilles gloires, du gardien Fabio (44 ans) au "Monstro" Thiago Silva en défense (40 ans) en passant par l'attaquant argentin German Cano (37 ans) et le meneur de jeu Ganso (35 ans), les Brésiliens ont démontré qu'ils avaient largement les moyens de lutter à armes égales avec les cadors venus de l'autre côté de l'Atlantique.

Les coéquipiers du virevoltant ailier colombien Jhon Arias ont fait plus que résister contre les deux derniers finalistes perdants de la C1, tenant en échec le Borussia Dortmund au premier tour (0-0) avant d'éjecter l'Inter Milan (2-0) en 8es de finale. Chelsea, qui a connu quelques difficultés pour se défaire des Brésiliens de Palmeiras en quarts de finale (2-1), est prévenu.

D'autant que Fluminense n'est pas un novice en la matière. Victorieuse de la Copa Libertadores en 2023, la formation basée à Rio avait déjà atteint la même année la finale de la Coupe du monde des clubs ancienne mouture, où elle avait été rossée par le Manchester City de Pep Guardiola (4-0).

"Nous en voulons plus"

Les succès accumulés aux Etats-Unis ont donc encore un peu plus décomplexé les Brésiliens, déterminés à continuer de jouer les trouble-fêtes face à une richissime écurie européenne.

"Nous sommes peut-être inférieurs sur le plan financier mais sur le terrain, c'est une autre histoire, c'est onze contre onze et c'est celui qui en veut le plus qui gagne. Et nous, nous en voulons plus", a estimé l'entraîneur Renato Gaucho.

De quoi donner à son homologue chez les Blues de solides arguments pour se méfier de son adversaire. "L'énergie de Fluminense dans cette compétition a été très forte", a déclaré Enzo Maresca, qui craint une équipe "bien organisée".

Chelsea, 4e de Premier League et lauréat de la Conference League, n'a sans doute pas oublié sa défaite cuisante contre Flamengo (3-1), autre club carioca, qui lui a coûté la première place du groupe D. Mais les Londoniens ont depuis effectué un sans-faute, emmenés par leur leader technique Cole Palmer. Et malgré l'usure mentale et physique au bout d'une saison interminable, le groupe ne veut surtout pas lâcher le morceau si près du but.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Gaza: reprise des négociations pour une trêve - pression de Trump

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Mohammed Abu Qas pleure sur le corps de sa soeur de 12 ans tuée par un bombardement israélien, à l'hôpital de Nuseirat. (© KEYSTONE/AP/Abdel Kareem Hana)

Les négociations indirectes sur un cessez-le-feu à Gaza entre Israël et le Hamas ont repris mardi au Qatar. Cela au lendemain d'une rencontre à Washington où Donald Trump a pressé Benjamin Netanyahu de conclure un accord de cessez-le-feu.

Après 21 mois de guerre, dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien déclenché par une attaque du Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, l'armée israélienne a annoncé la mort de cinq soldats à Beit Hanoun, ville dans le sud du territoire palestinien dévasté et en proie à une catastrophe humanitaire.

Les pourparlers engagés dimanche à Doha se poursuivent dans la capitale qatarie pour une quatrième session, a indiqué à l'AFP une source palestinienne proche des discussions, mais sans "aucune percée" jusque-là.

"Les choses se passent très bien"

Recevant à dîner le premier ministre israélien pour leur troisième rencontre en six mois, le locataire de la Maison Blanche a nié tout "blocage" dans les discussions. "Je pense que les choses se passent très bien", a-t-il affirmé, se disant convaincu que le mouvement islamiste palestinien Hamas était prêt à accepter un accord.

"Ils veulent une rencontre et ils veulent ce cessez-le-feu", a assuré le président, dont la "priorité absolue", selon la Maison Blanche, est de "mettre fin à la guerre à Gaza, et le retour de tous les otages" israéliens encore retenus dans le territoire palestinien.

L'émissaire américain Steve Witkoff doit se rendre dans la semaine à Doha, selon la Maison Blanche.

"Bonne foi" exigée des Israéliens

Les pourparlers "portent toujours sur les mécanismes de mise en oeuvre (d'un accord de cessez-le-feu), en particulier les clauses relatives au retrait (de l'armée israélienne) et à l'aide humanitaire" pour le territoire palestinien affamé et assiégé, a précisé mardi la source palestinienne proche des discussions.

Ils sont menés via les médiateurs qatari, égyptien et américain, entre deux salles où sont séparées les délégations du Hamas et d'Israël.

"Le Hamas est sérieux et soucieux d'aboutir à un accord (...) à condition que la partie israélienne fasse preuve de bonne foi", a affirmé lundi un responsable palestinien.

Trêve de 60 jours

Selon des sources palestiniennes proches des discussions, les pourparlers portent sur une proposition américaine comprenant une trêve de 60 jours, pendant laquelle le Hamas relâcherait dix otages encore en vie et remettrait des captifs morts, en échange de la libération de Palestiniens détenus par Israël.

Sur 251 personnes enlevées lors du 7-Octobre, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 déclarées mortes par l'armée israélienne.

Deux trêves, d'une semaine en novembre 2023, puis de deux mois début 2025, ont permis le retour de nombreux otages en échange de la libération de prisonniers palestiniens.

Netanyahu avait jugé "inacceptables" samedi les "changements" demandés par le Hamas. Lundi soir, il a affirmé qu'Israël conserverait "toujours" le contrôle de la sécurité dans la bande de Gaza.

L'ONU doit reprendre l'aide

Selon des sources palestiniennes, le Hamas demande le retrait israélien de Gaza, des garanties sur l'arrêt des hostilités après les 60 jours, et sur une reprise en main de l'aide humanitaire par l'ONU et des organisations internationales reconnues.

L'essentiel des distributions d'aide est assuré depuis fin mai par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par les Etats-Unis et Israël, dont le fonctionnement, dénoncé par la communauté humanitaire, est régulièrement entaché de scènes chaotiques et meurtrières.

Toujours à Washington, Netanyahu a déploré une "matinée difficile", après l'annonce de la mort des cinq soldats tués lors de combats, selon l'armée israélienne. D'après certains médias israéliens, ils ont été pris dans un accrochage après l'explosion de deux engins explosifs contre une force d'infanterie.

Selon l'armée israélienne, 450 de ses soldats ont été tués dans la campagne militaire de représailles à Gaza depuis le début de l'offensive au sol le 27 octobre 2023. Le nombre de morts palestiniens s'élève lui à plus de 57'523, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l'ONU.

"Pour le bien des combattants, pour leurs familles, pour les kidnappés, pour l'Etat d'Israël: cette guerre doit cesser", a réagi Yaïr Lapid, le chef de file de l'opposition.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump promet d'envoyer plus d'armes "défensives" à l'Ukraine

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La Maison-Blanche avait annoncé suspendre certaines livraisons la semaine passée, notamment de missiles Patriot (archives). (© KEYSTONE/AP/EFREM LUKATSKY)

Les Etats-Unis vont envoyer des armes supplémentaires à l'Ukraine, a promis Donald Trump. Cette nouvelle déclaration intervient quelques jours après l'annonce d'une suspension de certaines livraisons américaines et au moment où la diplomatie se heurte à une impasse.

"Nous allons devoir envoyer plus d'armes, principalement des armes défensives", a déclaré lundi le locataire de la Maison Blanche, qui s'est dit "mécontent" à l'égard du dirigeant russe Vladimir Poutine. "Ils sont frappés de manière très, très dure", a ajouté le septuagénaire à propos des Ukrainiens.

Donald Trump s'est rapproché depuis janvier de Vladimir Poutine, mettant la pression pour obtenir un arrêt des combats, sans toutefois parvenir à des progrès concrets.

De façon inattendue, son gouvernement a annoncé avoir cessé de fournir certaines armes à Kiev, officiellement en raison d'une inquiétude quant à la baisse des stocks de munitions des Etats-Unis - le premier soutien militaire de l'Ukraine depuis le début de l'invasion russe en février 2022.

Pas de nouvelles aides depuis janvier

Des responsables américains se sont efforcés ensuite de minimiser l'impact de cette mesure sans donner plus de détails.

Pendant le mandat de l'ancien président Joe Biden, Washington s'était engagé à fournir plus de 65 milliards de dollars d'aide militaire à l'Ukraine. Donald Trump n'a, lui, pas annoncé de nouvelles aides à Kiev depuis janvier.

Diplomatie au point mort

La diplomatie est au point mort entre les belligérants. Deux cycles de pourparlers entre Russes et Ukrainiens en Turquie le 16 mai et le 2 juin n'ont pas abouti à une percée majeure, et un troisième cycle n'a toujours pas été annoncé.

Vendredi, Donald Trump s'est dit "très mécontent" d'un appel téléphonique organisé la veille avec Vladimir Poutine. "Il veut aller jusqu'au bout, juste continuer de tuer des gens, ce n'est pas bien", a affirmé le milliardaire à la presse à bord d'Air Force One.

Il a laissé entendre qu'il pourrait être prêt à durcir les sanctions contre Moscou, après avoir évité pendant ces six derniers mois d'y recourir alors qu'il tentait de persuader son homologue russe de mettre fin à la guerre.

Poutine maintient ses exigences

Vladimir Poutine maintient toujours ses demandes maximalistes, en particulier que Kiev cède à la Russie les régions ukrainiennes annexées et que l'Ukraine renonce à rejoindre l'Otan. Les dirigeants ukrainiens et leurs alliés occidentaux jugent ces conditions inacceptables.

L'Ukraine, pour sa part, exige que l'armée russe se retire entièrement de son territoire, occupé à hauteur d'environ 20%.

"Zone tampon" ?

Sur le terrain, la Russie a revendiqué lundi la prise d'une localité dans la région de Dnipropetrovsk, dans le centre-est de l'Ukraine, une première depuis février 2022.

Ce village, Datchnoïe, est situé à quelque 70 km de la grande ville de Donetsk sous contrôle russe. Kiev n'a pas réagi dans l'immédiat à cette annonce. Plus tôt lundi, l'état-major de ses forces armées avait assuré que des assauts russes avaient été repoussés la veille dans les environs du village.

Pour Oleksiï Kopytko, un expert militaire ukrainien, la Russie peut tenter d'établir "une zone tampon" pour limiter les frappes ukrainiennes sur le front et en profondeur.

Cet ancien conseiller du ministère ukrainien de la Défense a néanmoins affirmé à l'AFP que Moscou n'avait "pas et (n'aurait) pas les ressources nécessaires pour avancer rapidement".

Villes toujours sous les bombes

Les forces russes continuent par ailleurs de bombarder quasi quotidiennement des villes ukrainiennes, tandis qu'en riposte, l'Ukraine mène également, presque chaque jour, des attaques aériennes en Russie.

Dans la nuit de lundi à mardi, l'armée de l'air ukrainienne a rapporté la présence de drones dans les régions septentrionales de Soumy et Kharkiv.

Dans le sud du pays, le maire de Mykolaïv Oleksandre Senkevytch a fait état sur Telegram d'une explosion et averti d'une menace de drone. Un homme de 51 ans a été blessé en périphérie de la ville et hospitalisé, a indiqué le gouverneur régional Vitaly Kim.

La nuit précédente, Moscou avait envoyé 101 drones et tiré quatre missiles en direction de l'Ukraine, faisant au moins quatre morts et plusieurs dizaines de blessés au total dans différentes régions, selon les autorités ukrainiennes. Deux centres de recrutement militaire, à Kharkiv et Zaporijjia (sud) ont notamment été touchés, faisant quatre blessés, selon Kiev.

Rafinerie de pétrole russe touchée

L'Ukraine a, elle, lancé 91 drones d'attaque dans la nuit de dimanche à lundi, selon Moscou. Le renseignement militaire ukrainien (GUR) a affirmé qu'une raffinerie de pétrole de la région russe de Krasnodar (sud-ouest), "directement impliquée dans la guerre d'agression", avait été frappée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Les inondations au Texas ont fait plus de 100 morts

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Les crues subites ont été provoquées par des pluies diluviennes dans le centre du Texas très tôt vendredi, jour de la fête nationale américaine, qui ont fait monter les eaux du fleuve Guadalupe de huit mètres en seulement 45 minutes. (© KEYSTONE/EPA/DUSTIN SAFRANEK)

Le bilan des inondations au Texas, dans le sud des Etats-unis, est monté à plus de 100 morts, ont annoncé lundi les autorités locales. Le seul comté de Kerr, le plus durement touché, dénombre 84 victimes, dont 28 enfants.

Au total, au moins 104 décès liés aux inondations ont été signalés dans le centre de l'Etat. Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a averti lundi dans un communiqué qu'il y avait "toujours une menace de fortes pluies susceptibles de provoquer des inondations", tandis que les recherches se poursuivent.

"Le Texas est en deuil. La douleur, le choc de ce qui s'est passé ces derniers jours ont brisé le coeur de notre État", a déclaré le sénateur texan Ted Cruz.

Parmi les victimes figurent 27 enfants et moniteurs du camp de vacances chrétien pour filles de Camp Mystic, sur les rives du fleuve Guadalupe, qui accueillait quelque 750 personnes, ont annoncé ses responsables.

Le président américain Donald Trump prévoit de se rendre sur place vendredi. La Maison-Blanche a fustigé les critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux ont porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.

"Tenir le président Trump pour responsable de ces inondations est un mensonge odieux, qui n'a aucun sens en cette période de deuil national", a dénoncé lundi la porte-parole Karoline Leavitt.

Elle a affirmé que les services météorologiques américains (NWS) - dont plusieurs postes au Texas étaient vacants lors des inondations, selon le New York Times - avaient émis des "prévisions et alertes à la fois précises et en temps voulu".

"Cauchemar"

Estimant que les inondations étaient "une catastrophe comme l'on n'en a pas vu en 100 ans", Donald Trump a signé pendant le week-end une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les moyens du gouvernement fédéral.

Plus de 400 secouristes ainsi que des hélicoptères et des drones participent aux recherches, ont précisé les autorités.

Dans la localité de Hunt, à proximité de Camp Mystic, les équipes de secours ont tenté toute la journée de lundi de retrouver les corps manquants. Des sauveteurs en bateau et des plongeurs fouillent les eaux du fleuve, tandis que des volontaires patrouillent à cheval sur les berges, a constaté un journaliste de l'AFP.

Après deux jours de recherches au milieu des arbres déracinés et des décombres du centre de vacances, espérant jusqu'au bout "un miracle", Michael McCown a confirmé lundi à l'AFP que sa fille de huit ans, Linnie, était décédée.

"C'est le cauchemar de tous les parents", a dit le sénateur Ted Cruz, dont les enfants fréquentent ce camp depuis une dizaine d'années.

Sirène d'alerte

Des habitants de la zone se sont plaints au cours du week-end de ne pas avoir été avertis suffisamment tôt des risques d'inondations.

Après la catastrophe, Nicole Wilson, une mère de famille résidant à San Antonio, et qui a failli envoyer ses filles au camp Mistic, a lancé une pétition demandant au gouverneur de l'Etat d'approuver la mise en place d'un réseau d'alerte plus moderne. "Une sirène déclenchée, rien que cinq minutes, aurait pu sauver chacun de ces enfants", a-t-elle déclaré à l'AFP.

Les crues subites ont été provoquées par des pluies diluviennes dans le centre de l'Etat très tôt vendredi, jour de la fête nationale américaine, qui ont fait monter les eaux du fleuve Guadalupe de huit mètres en seulement 45 minutes. Il est soudain tombé près de 300 millimètres/heure de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes.

Le fleuve a retrouvé son lit lundi, mais les rives offraient toujours un spectacle de désolation.

Des alertes aux inondations étaient toujours en vigueur lundi dans certains secteurs du centre du Texas jusqu'à 19h00 locales.

Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l'activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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