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Caprices Festival: 73 personnes dénoncées en rapport avec des stups

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Au Caprices Festival de Crans-Montana, 73 personnes ont été dénoncées pour infraction à la loi sur les stupéfiants (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MAXIME SCHMID)

Le Caprices Festival qui s'est tenu à Crans-Montana (VS) les deux premiers week-ends d'avril affiche un bilan sécuritaire positif. Aucun incident grave n’a été signalé au cours de cette édition, relève la police valaisanne. En revanche, 73 personnes ont été dénoncées pour détention ou consommation de substances illicites.

Une activité soutenue en lien avec la loi fédérale sur les stupéfiants a une nouvelle fois été constatée dans le cadre de ce festival, indique la police valaisanne lundi dans un communiqué. Les saisies ont porté sur une large variété de produits, notamment de la cocaïne, de la kétamine, du LSD, de la MDMA, des ecstasys, du haschich, de la marijuana, de champignons hallucinogènes et du crystal meth.

L’ensemble des contrevenants a été dénoncé au Ministère public pour infractions à la loi fédérale sur les stupéfiants. Le Caprices Festival s’est déroulé à Crans-Montana (VS) du 4 au 6 et du 11 au13 avril.

La police cantonale, avec l’appui de la police intercommunale de Crans-Montana ainsi que de l’Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières, a mené des actions préventives à l'intérieur de la manifestation de même que sur les axes routiers concernés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Bluesky, rival de X, institue une icône pour les comptes certifiés

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Le réseau au papillon bleu a été créé par le cofondateur de Twitter Jack Dorsey en 2019 comme une émanation de la plateforme, avant de devenir indépendant (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Bluesky, rival du réseau X d'Elon Musk, a annoncé lundi mettre en place une icône bleue pour symboliser les comptes certifiés.

"La confiance est fondamentale", écrit la plateforme sur son blog. "Bluesky vérifiera proactivement les comptes authentiques et importants et affichera une icône bleue à côté de leur nom".

L'icône est similaire au badge utilisé jadis par Twitter, qui avait mis cette possibilité en place afin de déjouer les impostures et permettre aux utilisateurs de certifier leur identité.

Mais Elon Musk a supprimé la vérification après avoir racheté Twitter en 2022 pour 44 milliards de dollars, avant de le rebaptiser X. A la place, l'homme le plus riche du monde a réservé ces coches bleues aux abonnés payants.

"Les réseaux sociaux nous ont fortement interconnectés mais ils ne nous ont pas toujours donné les outils qui permettent de savoir avec qui nous échangeons ni si nous pouvons leur faire confiance", a souligné Bluesky.

Le réseau au papillon bleu a été créé par le cofondateur de Twitter Jack Dorsey en 2019 comme une émanation de la plateforme, avant de devenir indépendant avant le rachat par Elon Musk.

Plus de 30 millions d'utilisateurs

Bluesky (littéralement "ciel bleu") a revendiqué plus de 30 millions d'utilisateurs en début d'année. Le réseau connaît une expansion rapide depuis le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, qui a chargé Elon Musk d'une mission d'amaigrissement de l'Etat fédéral.

La plateforme permet déjà à ses utilisateurs de certifier leur identité en se présentant sous leur nom de domaine.

Elle va permettre en outre à des organisations de certifier elles-mêmes d'autres comptes: par exemple en autorisant un média à distribuer lui-même des icônes bleues à ses journalistes.

"Cette année sera celle de notre sortie au grand jour", a déclaré le mois dernier la directrice des opérations de Bluesky, Rose Wang, à l'AFP.

"Les gens veulent savoir ce qui se passe dans le monde et ont besoin d'un espace sûr pour discuter, s'amuser et se faire des amis. Pour l'instant, ils ne trouvent cela nulle part ailleurs", avait-elle confié.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Recherche en ligne et IA: démantèlement de Google réclamé

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Les autorités antitrust américaines veulent que Google se sépare de Chrome, le navigateur internet le plus utilisé au monde (archives). (© KEYSTONE/AP/MARK LENNIHAN)

Google était de retour au tribunal lundi, dans le cadre d'auditions pour déterminer si le géant technologique, jugé coupable d'abus de position dominante, doit se séparer de son navigateur Chrome, alors que la course à l'IA menace de chambouler la recherche en ligne.

"Aujourd'hui s'ouvre le dernier chapitre de ce procès historique", a déclaré lundi Gail Slater, responsable du département antitrust du ministère américain de la Justice.

"C'est l'avenir de l'internet qui est en jeu", a-t-elle ajouté dans ses remarques préliminaires.

"Allons-nous donner des choix aux Américains et permettre à l'innovation et à la concurrence de prospérer en ligne ? Ou allons-nous maintenir le statu quo qui favorise les monopoles des grandes entreprises technologiques ?"

Le groupe californien a été jugé coupable l'été dernier de pratiques illégales pour établir et maintenir son monopole dans la recherche en ligne par Amit Mehta. Ce juge fédéral de Washington interroge à nouveau les deux parties avant de se prononcer sur la peine imposée à l'entreprise.

Dossier distinct

Ce dossier est distinct de celui dans lequel la juge fédérale de Virginie Leonie Brinkema a rendu jeudi une décision, concluant que Google était en situation de monopole dans le domaine de la publicité en ligne.

Les autorités antitrust américaines veulent que Google se sépare de Chrome, le navigateur internet le plus utilisé au monde, parce qu'il constitue un point d'accès majeur au moteur de recherche, sapant ainsi les chances de potentiels concurrents.

Elles demandent également au juge d'interdire à la firme de signer des accords avec Apple, Samsung et d'autres fabricants de smartphones pour installer par défaut Google sur leurs appareils.

Sans Chrome, "Google perdrait une énorme source de données sur les recherches des consommateurs et leur comportement en ligne", commente Yory Wurmser, analyste d'Emarketer.

"L'objectif de toutes ces mesures n'est pas seulement de donner plus de choix aux consommateurs, mais aussi de fournir aux concurrents les données dont ils ont besoin pour créer un moteur de recherche aussi efficace", ajoute-t-il pour l'AFP.

Des exigences que l'entreprise a qualifiées de "radicales" en novembre dernier.

"L'approche du ministère de la Justice entraînerait un excès de pouvoir sans précédent de la part du gouvernement qui nuirait aux consommateurs, aux développeurs et aux petites entreprises américaines - et mettrait en péril le leadership économique et technologique mondial de l'Amérique", avait affirmé Kent Walker, président des affaires mondiales de Google.

Risque de monopole dans l'IA

Pour Gail Slater, nommée au ministère de la Justice par Donald Trump, un démantèlement est nécessaire pour favoriser l'innovation à l'heure où la concurrence fait rage dans l'IA générative.

L'avènement des interfaces telles que ChatGPT (OpenAI) et Gemini (Google) représente la plus grande menace à la domination de Google dans la recherche en ligne depuis sa création, car les chatbots sont désormais capables de répondre à toutes sortes de questions des utilisateurs, y compris celles qu'ils auraient jusqu'à présent posées au leader d'internet.

Le groupe de Mountain View (Silicon Valley) intègre de plus en plus l'IA générative pour répondre directement aux internautes dans Google.

Le parquet américain veut empêcher la firme de transformer son monopole actuel en un autre monopole, alors qu'OpenAI et d'autres start-up, telles que Perplexity AI essaient de rivaliser dans la recherche en ligne boostée à l'IA.

Si Donald Trump a volontairement marqué une rupture politique nette avec Joe Biden, son gouvernement a repris, dans ce dossier, les demandes déjà formulées par l'administration précédente en fin d'année dernière.

"L'administration Trump a donné la priorité aux politiques qui soutiennent et font progresser l'intelligence artificielle", a assuré Gail Slater.

"Mais rien ne fera progresser l'intelligence artificielle plus rapidement qu'un marché ouvert et concurrentiel, exempt de gardiens et de monopoles".

Appel

Les patrons des grandes entreprises technologiques courtisent Donald Trump depuis sa victoire en novembre, espérant s'attirer ses faveurs notamment dans le cadre des nombreuses enquêtes et procès antitrust en cours.

Mais Mark Zuckerberg n'a pas réussi à éviter le procès de son groupe Meta qui s'est ouvert la semaine dernière.

Et les autorités américaines de la concurrence semblent décider à en découdre. Gail Slate a comparé le monopole "écrasant" de Google à celui de Standard Oil dans le pétrole et d'AT&T dans les télécommunications au XXe siècle.

Quelle que soit la décision du juge Mehta, Google devrait faire appel de cette décision, ce qui prolongera le processus pendant des années. L'affaire pourrait même remonter jusqu'à la Cour suprême.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Lausanne: plus de 51'000 spectateurs au Capitole en 2024

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Installée au Capitole, la Cinémathèque a désormais pignon sur rue (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La Cinémathèque suisse affiche un résultat réjouissant pour sa première année dans les murs du Capitole à Lausanne. Depuis son installation fin février 2024 dans le mythique cinéma, elle a accueilli plus de 51'000 spectateurs, soit en dix mois une fréquentation en hausse de 53% par rapport à l'année précédente.

"Ce bilan est extrêmement positif, d'autant plus qu'il ne porte pas sur une année complète", s'est réjoui Frédéric Maire, directeur de la Cinémathèque suisse. "Le résultat 2025 sera probablement encore meilleur", a-t-il déclaré à Keystone-ATS.

Outre celui des 51'043 spectateurs, un chiffre encore plus fiable et plus révélateur, est le nombre moyen de spectateurs par séance, selon le responsable. Là aussi, la même augmentation de 53% est constatée, avec 66,12 spectateurs par projection contre 40,17 en 2023. A titre de comparaison, la Cinémathèque suisse avait atteint son plus haut record, soit 50,77 spectateurs, en 2019, a-t-il relevé.

Et de préciser que "ces chiffres de fréquentation n'incluent pas les Rencontres du 7e art, le festival organisé par Vincent Perez. Les abonnements se sont également très bien vendus, mais pas dans une proportion aussi importante. Ils concernent essentiellement un public d'habitués".

Pignon sur rue

Pour Frédéric Maire, ce succès s'explique par plusieurs facteurs, dont l'attrait patrimonial et l'emplacement du Capitole. "Le Casino de Montbenon est perçu par les Lausannois comme hors du centre-ville. La Cinémathèque y était légèrement cachée, les salles n'avaient pas une vraie visibilité, pas de néon, pas de lumière", dit-il.

Voisine de l'Opéra avec qui elle collabore, l'institution est désormais au centre de la cité, dans ce qui est parfois appelé "la rue des deux théâtres".

Par ailleurs, la dimension patrimoniale du lieu, entièrement rénové mais gardant son charme d'époque, attire du public supplémentaire, y compris et surtout parmi les plus jeunes. De nouveaux spectateurs découvrent par ailleurs le Capitole lors d'événements comme les Rencontres du 7e art, note le directeur.

Un patrimoine qui plaît

La qualité de la programmation joue également un rôle de premier plan. "Pour nous, il est très satisfaisant de voir que le cinéma de patrimoine, le cinéma du passé, marche extrêmement bien", observe Frédéric Maire, citant en exemple le succès du Festival Lumière à Lyon (F).

Le patrimoine prend beaucoup plus de valeur pour le public qui préfère revenir à des films avec une aura ou revoir des films connus dans une salle mythique. "Le Capitole est arrivé au bon moment", glisse-t-il. L'arrivée du numérique qui a permis de restaurer des films classiques, jusqu’alors souvent montrés dans des copies usagées et rayées, a également favorisé ce regain d'intérêt, estime le spécialiste.

Succès spatial

Pour l'heure, l'objectif est de continuer à satisfaire les cinéphiles, tout en élargissant l'assistance. "Nous essayons de toucher des publics différents, y compris les enfants. La machine est bien partie. Un buzz se crée; nous sommes pour l'instant dans un trend positif".

Le film qui a connu le plus de succès? "2001, l'Odyssée de l'espace, de Stanley Kubrick, projeté en pellicule 70 mm", répond Frédéric Maire. "Au vu de la liste d'attente énorme, nous avons doublé la projection en numérique dans la salle Lucienne Schnegg. Au total plus de 900 personnes ont assisté à la projection", raconte-t-il.

Et de citer également "Les Temps modernes" en numérique avec un orchestre symphonique, "Jurassic Park" de Steven Spielberg ou des avant-premières telles que le "Procès du chien" de Laetitia Dosch et "La Cache" de Lionel Baier.

Pas trop grand

"Nous faisons régulièrement salle comble", ajoute-t-il. Contrairement à ce que beaucoup ont dit quand la Ville de Lausanne a racheté le cinéma en 2010 à la petite dame du Capitole, Lucienne Schnegg, cette salle n'est pas trop grande pour Lausanne, affirme M. Maire, rappelant que la ville est l'une des plus cinéphiles de Suisse, aux côtés de Genève et Zurich.

"Au contraire aujourd'hui, la tendance est de se dire qu'il aurait fallu garder les grandes salles, à l'instar des Arcades à Neuchâtel".

"C'est une réussite qu'on nous envie en Suisse et à l'étranger. Pour moi, c'est un aboutissement, un chantier que j'ai mené de bout en bout avec les autorités lausannoises. Désormais il est sur les rails, il s'agit de le porter en avant, avec de nouvelles énergies, d'autres idées pour le faire évoluer", souligne celui qui prendra sa retraite en septembre prochain.

Pour mémoire, ouvert en 1928, transformé dans les années 50, le Capitole est le plus grand cinéma de Suisse encore en activité. Racheté en 2010 par la Ville de Lausanne, il s'est mué en Maison du cinéma en 2024 au terme de trois ans de rénovation, avec deux salles de 736, respectivement 140 places. De nouveaux espaces (médiathèque, boutique spécialisée, café) ont été créés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Nemo et Gjon's Tears sur la scène de l'Eurovision

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Gjon's Tears ve remonter sur la scène de l'Eurovision pour un medley avec d'anciens candidats suisses. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Nemo et Gjon's Tears se retrouvent sous le feu des projecteurs grâce à la prochaine Eurovision en mai à Bâle. Le Biennois viendra avec une nouvelle chanson tandis que le Fribourgeois sera sur scène lors de la finale pour un medley.

Nemo participera comme invité au concours Eurovision avec une nouvelle chanson, indiquait en fin de semaine dernière la SSR sur son compte Instagram. Personne n'a encore entendu ce titre.

En janvier dernier, des rumeurs laissaient entendre que les choses n'allaient pas bien pour le jeune artiste biennois, vainqueur de l'Eurovision l'an dernier à Malmö. Outre des difficultés avec des dates de tournée ou le management, on lisait dans la presse alémanique que la nouvelle star suisse était sous pression pour créer de nouveaux hits.

Un rap contre l'industrie musicale

A la mi-avril, Nemo a participé à "Bounce Cypher", le marathon rap de la radio et de la télévision suisse alémanique SRF, où il a fait ses débuts à l'âge de 16 ans. Il a lancé une critique rap acerbe contre l'industrie musicale évoquant manque de soutien, stress de la promotion et bas salaires.

Dans ce contexte, la communauté des fans écoutera avec attention ce que Nemo proposera à l'Eurovision cette année. Sur Instagram, le chanteur a en tout cas fait savoir que c'était un grand honneur de revenir sur scène avec une nouvelle chanson. "Je suis vraiment excité de me produire", a-t-il déclaré en anglais.

Talents suisses à l'Eurovision

Gjon's Tears sera lui sur scène lors de la finale du concours de la chanson le 17 mai, pour un medley avec d'anciens candidats suisses. Parmi eux, la chanteuse st-galloise Paola, qui a terminé 4e en 1980 avec "Cinéma" qu'elle a chanté en français, le trio Peter, Sue & Marc, classé quatre fois à l'Eurovision (1971, 76, 79 et 81 avec des titres en français, anglais, allemand et italien) et Luca Hänni, 4e (anglais) en 2019.

Pour Gjon's Tears, le fait que l'Eurovision ait lieu en Suisse a un impact évident sur la scène musicale helvétique. "Cela met en avant le fait que la Suisse vaut quelque chose musicalement et que l'on a des talents qui méritent d'être vus et entendus", a-t-il expliqué à Keystone-ATS.

"Et l'Eurovision, ce n'est pas seulement une émission, c'est aussi toutes les infrastructures qui vont être créées à Bâle pour des milliers de personnes vont se rendre dans cette ville", poursuit-il.

Eloges pour Zoë Më

Il ne tarit pas d'éloges sur Zoë Më, qui représente la Suisse cette année, avec "Voyage", un chanson en français. "Je pense qu’elle a la possibilité de briller lors de cette Eurovision. Je suis fier d'elle, car elle est restée proche de ses valeurs, de qui elle est et de sa musique."

Sa troisième place à l'Eurovision il y a quatre ans a eu un impact majeur sur le parcours de Gjon's Tears: "oui forcément, cela a changé ma vie." C'est plus de 180 millions de spectateurs qui ont écouté le chanteur suisse interpréter "Tout l'univers", dans la deuxième émission au monde en termes d'impact global, après le Super Bowl américain.

La célébrité, avec "forcément des hauts et des bas"

Il dit avoir "très bien" géré la célébrité avec "forcément des hauts et des bas". Après l'Eurovision, il s'est installé en France: "un pays qui suit assez peu l'Eurovision, même si elle envoie des mastodontes, des artistes confirmés depuis trois ans, comme Louane cette année".

Nouvelle étape dans sa carrière, Gjon's Tears vient de signer avec un label indépendant à Los Angeles. Après l'Eurovision, il avait d'abord posé ses valises à Paris où il a sorti un album "The Game" en 2023.

Après deux ans dans la ville Lumière, il est rentré en Suisse. Proche de sa famille, il est resté une année chez lui avant de retrouver l'envie de faire de la musique.

Passage à vide

"J'ai eu de très belles expériences et je pense que Paris est l'une des plus belles villes en termes d'opportunités artistiques, mais j'ai aussi vécu des expériences qui m'ont extrêmement marqué. J'ai été dégoûté de la musique, au point de ne plus vouloir en faire et jusqu'à quasiment arrêter de travailler", explique l'artiste.

Il a retrouvé la force de faire de la musique grâce à sa manager. "Elle m'a rappelé que ce qui m'a donné envie de faire de la musique, c'était le piano. Alors je me suis acheté un vrai instrument." Le Fribourgeois a recommencé à chanter il y a quelques mois.

"Et j'ai eu cette rencontre avec ce label américain qui m'a découvert sur Spotify". Il a signé pour deux singles "pour commencer".

Ses influences musicales principales restent les mêmes: le cinéma et la musique anglophone. Sa voix et son élasticité continuent d'être des atouts indéniables. "J'en profite, mais je n'ai pas envie de n'être considéré que comme un bout de performance", dit Gjon's Tears, qui a pour ambition d'être un artiste accompli dans tous les sens du terme.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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