Culture
Céline Dion reste "déterminée à remonter un jour sur scène"
La chanteuse canadienne Céline Dion, toujours souffrante, reste "déterminée à remonter un jour sur scène" et à "surmonter" sa maladie. C'est ce qu'elle a déclaré vendredi dans une mise à jour à ses fans sur Instagram.
Diagnostiquée à l'automne 2022 d'une pathologie neurologique rare, le syndrome de la personne raide (SPR), la mégastar québécoise de bientôt 56 ans a confié que surmonter cette maladie auto-immune "a été l'une des expériences les plus difficiles de (sa) vie".
"Mais je reste déterminée à remonter un jour sur scène et à mener une vie aussi normale que possible", a-t-elle ajouté en légende d'une rare photo où elle pose, sourire aux lèvres, avec ses trois fils pour la Journée internationale de sensibilisation au SPR. "Je suis profondément reconnaissante de l'amour et du soutien de mes enfants, de ma famille, de mon équipe et de vous tous!", a souligné la chanteuse de 55 ans.
Dernier concert en 2020
La dernière fois que Céline Dion est apparue en public, c'était lors d'une brève apparition surprise à la cérémonie des Grammy Awards à Los Angeles, aux Etats-Unis, début février pour remettre l'album de l'année à Taylor Swift. Escortée par son fils aîné, l'artiste aux plus de 250 millions d'albums vendus en 40 ans de carrière a alors reçu une ovation par le public.
La star québécoise n'est plus montée sur scène depuis un concert à Newark (États-Unis) en mars 2020. Sa tournée Courage World Tour avait alors été interrompue par la pandémie de Covid-19. Et depuis 2021, elle souffre des manifestations du SPR.
Touchant environ une personne sur un million, ce syndrome entraîne des douleurs aiguës et des difficultés à se mouvoir, empêchant les activités physiquement contraignantes. Fin février, Amazon Prime Video a annoncé la sortie prochaine d'un documentaire sur la chanteuse, "I Am: Céline Dion", dans lequel elle veut "sensibiliser" sur sa maladie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
"#MeToo a eu un début fracassant, c'était nécessaire"
"Le mouvement #MeToo a eu un début fracassant, c'était nécessaire", a déclaré l'acteur Jean Dujardin devant l'Assemblée nationale, à propos de la vague de libération de la parole des victimes de violences sexuelles, qui a démarré il y a huit ans dans le cinéma.
La star de "The Artist" et "OSS 117" a été entendue début mars aux côtés de trois autres acteurs français, Pio Marmaï, Gilles Lellouche et Jean-Paul Rouve, par la commission d'enquête sur les violences dans le cinéma. L'audition s'était tenue à huis clos mais son verbatim a été publié mardi.
"Au début, j'ai eu le sentiment que ça commençait mal mais il ne pouvait pas en aller autrement: il fallait taper fort pour que la parole soit entendue, ce qui est encore le cas", a déclaré l'acteur oscarisé pour "The Artist".
"On ne dit plus ce qu'on disait il y a dix ou quinze ans et on ne le dira plus non plus dans dix ans (...) J'ai le sentiment que le réflexe sexiste et la phrase lourde tendent à disparaître", a-t-il ajouté. Il a aussi expliqué sa stratégie pour éviter les ambiances toxiques sur les tournages.
"Généralement, quand je rencontre un metteur en scène, je lui pose une question un peu crue (...): 'Est-ce que t'es un connard ?' (...) Je veux juste savoir si je vais être témoin de scènes un peu gênantes, humiliantes. Je n'ai pas envie de ça. (...) Et, généralement, cela n'arrive pas: la personne n'est jamais désagréable, peut-être parce qu'elle sait que ça peut sortir", a-t-il raconté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Le Niger se retire de l'Organisation de la Francophonie
Le Niger, pays dirigé par un régime militaire hostile aux pays occidentaux, a annoncé lundi son retrait de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), par un communiqué de son ministère des Affaires étrangères.
"Le gouvernement nigérien a décidé souverainement du retrait du Niger de l'Organisation internationale de la Francophonie", a écrit le secrétaire général du ministère, Laouali Labo. Le Niger avait été suspendu de l'organisation quelques mois après le coup d'Etat qui avait renversé en juillet 2023 le président élu Mohamed Bazoum.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Partir au bout du monde et créer des amitiés pour la vie
De la Suisse à la Nouvelle-Zélande, trois gymnasiennes vaudoises et leurs correspondantes racontent leur échange linguistique.
Pour apprendre une nouvelle langue, les échanges linguistiques restent probablement l’une des meilleures méthodes. Cet été, trois gymnasiennes de la région de Morges se sont rendues en Nouvelle-Zélande pour deux mois. Elles ont ensuite accueilli leurs correspondantes en Suisse cet hiver. Et elles ont partagé leur expérience à notre micro.
Maeva (droite) et sa correspondante Dani (gauche).
Louisa (gauche) et sa correspondante Zaria (droite).
Culture
L'administration Trump commence à licencier à Voice of America
Des personnels contractuels de Voice of America (VOA) ont dit avoir reçu dimanche un mail leur notifiant que leur contrat prenait fin à la fin du mois, au lendemain de l'annonce par l'administration du président américain Donald Trump d'une mise en congé générale.
La mise en congé des personnels des radios Voice of America (VOA), Radio Free Asia et d'autres médias publics avait été signifiée samedi, dans le cadre des coupes budgétaires promises par M. Trump.
Dès dimanche, les personnels contractuels, qui forment l'essentiel des services non-anglophones de VOA, ont reçu un mail les informant que leur contrat prendrait fin au 31 mars, ont indiqué plusieurs d'entre eux à l'AFP.
De nombreux contractuels de VOA ne sont pas des citoyens américains et risquent de voir, pour ceux basés aux Etats-Unis, leur permis de séjour remis en cause.
Les employés statutaires de VOA, qui ont eux aussi été mis en congé d'office, n'ont pour leur part par pas eu de lettre de licenciement à ce stade, selon des informations de l'AFP.
Assaut contre la presse
Liam Scott, un journaliste de VOA qui a appris son licenciement au 31 mars, a estimé sur X que la fermeture par l'administration Trump de VOA et de médias similaires "s'inscrit dans les efforts pour démanteler le gouvernement de manière plus générale".
Plus largement, cette initiative "fait aussi partie de l'assaut plus large de l'administration contre la liberté de la presse et les médias", a-t-il ajouté. "Je couvre la liberté de la presse depuis longtemps et je n'ai jamais vu quelque chose comparable à ce qui se passe aux Etats-Unis depuis deux mois."
Voice of America, créé pendant la Seconde guerre mondiale, Radio Free Europe, formée pendant la Guerre froide et Radio Free Asia, créée en 1996, sont destinés à porter la "voix de l'Amérique" à travers le monde et notamment dans des pays autoritaires.
M. Trump a signé vendredi un décret qui range l'agence gouvernementale chapeautant ces médias (USAGM), qui comptait 3.384 employés en 2023, parmi les "éléments inutiles de la bureaucratie fédérale".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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