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Culture

Elon Musk rachète Twitter, valorisé à 44 milliards de dollars

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Elon Musk, l'homme le plus riche du monde, achète le réseau social Twitter pour 44 milliards de dollars. (photo symbolique) (© KEYSTONE/AP/Richard Drew)

Elon Musk a réussi son pari: le patron de Tesla et de SpaceX a passé un accord définitif avec le conseil d'administration de Twitter pour racheter le réseau social au prix de 54,20 dollars par action, et en faire une entreprise privée, non cotée en Bourse.

L'homme le plus riche au monde devient donc le propriétaire de la plateforme qu'il avait annoncé convoiter il y a moins de deux semaines, et malgré l'opposition initiale affichée par le conseil.

"La liberté d'expression est le socle d'une démocratie qui fonctionne, et Twitter est la place publique numérique où les sujets vitaux pour le futur de l'humanité sont débattus", a déclaré Elon Musk, cité dans le communiqué de Twitter.

L'action du groupe, coté au New York Stock Exchange, a été suspendue juste avant la parution du communiqué. Elle frôlait les 52 dollars en prenant plus de 6% vers 19h00 suisses, grâce aux rumeurs d'une acquisition imminente dans la presse américaine.

Elon Musk avait indiqué la semaine dernière qu'il avait sécurisé 46,5 milliards de dollars pour mener à bien cette acquisition grâce à deux prêts bancaires de Morgan Stanley, ainsi qu'à sa fortune personnelle.

Il avait également évoqué la possibilité de lancer une offre publique d'achat (OPA) hostile en passant directement par les actionnaires pour contourner le conseil d'administration (CA).

"Une fois que le financement a été mis en place avec la menace d'une OPA hostile, le CA ne pouvait plus avoir recours à un chevalier blanc ou à un second enchérisseur", a relevé Dan Ives de Wedbush Securities sur CNBC.

"Cela les a mis le dos au mur et les a contraints à venir à la table de négociations", a ajouté l'analyste.

Provocations

Selon les médias américains, le CA de Twitter s'est réuni dimanche matin pour réexaminer la proposition du milliardaire.

Deux jours plus tôt, l'entrepreneur d'origine sud-africaine s'est entretenu avec plusieurs actionnaires, via plusieurs appels vidéo, pour défendre son offre de rachat.

L'organe de direction du groupe, composé de 11 membres, s'y était au départ montré hostile en adoptant une clause dite de la "pilule empoisonnée" pour rendre l'acquisition plus difficile.

La clause prévoit que si un actionnaire atteint plus de 15% du capital de Twitter, le conseil d'administration se réserve le droit de brader les actions pour tous les autres détenteurs de titres. M. Musk détient actuellement un peu plus de 9% des actions ordinaires du réseau social.

Peu après son entrée au capital de l'entreprise, le fantasque patron avait été invité à rejoindre le CA, mais il avait décliné cette offre.

Fort de ses plus de 83 millions d'abonnés, l'homme le plus riche de la planète (sa fortune est estimée à 269 milliards de dollars par Forbes) se sert presque tous les jours de son compte Twitter pour donner des nouvelles de ses entreprises, plaisanter ou lancer des polémiques.

Il a critiqué Twitter à de nombreuses reprises, notamment au sujet de la liberté d'expression, et de la modération des contenus, qu'il juge trop sévère.

Ses provocations régulières et ses opinions libertariennes l'ont rendu antipathique aux yeux de nombreuses personnes dans la Silicon Valley.

"Twitter a un but et un sens qui concernent le monde entier. Je suis très fier de nos équipes et inspiré par le travail qui n'a jamais été aussi important", a réagi Parag Agrawal, l'actuel dirigeant de Twitter, après l'annonce de l'acquisition.

Sans Donald Trump

"J'espère que même mes pires critiques resteront sur Twitter, c'est ce que signifie la liberté d'expression", a tweeté lundi Elon Musk, avant l'annonce.

Certains observateurs pensent qu'il pourrait autoriser à nouveau des comptes supprimés, dont celui de Donald Trump et de certains de ses partisans.

L'ancien président américain avait été suspendu définitivement de Twitter en janvier 2021 pour avoir appelé à contester les résultats du scrutin présidentiel et invité à la violence.

Donald Trump a toutefois exclu lundi de revenir sur Twitter. "Je ne vais pas sur Twitter, je reste sur TRUTH", a-t-il déclaré à la chaîne américaine Fox News en référence à la plateforme Truth Social, qu'il a lancée en février et présentée comme une alternative à Facebook, Twitter et YouTube.

"J'espère qu'Elon achètera Twitter parce qu'il fera des améliorations et c'est un gars bien, mais je reste sur Truth", a-t-il répété, expliquant que "Twitter a des bots et faux comptes".

"Confier les rênes de Twitter à M. Musk déchaînera à coup sûr des théories du complot que la plateforme a essayé de réprimer", a réagi Angelo Carusone, président de l'ONG progressiste Media Matters for America. "Toute tentative d'utiliser la plateforme pour partager des informations légitimes sera éclipsée par un bourbier toxique de désinformation."

Un des autres axes sur lesquels Elon Musk pourrait également vouloir investir est de rendre Twitter plus rentable et d'augmenter la croissance de son nombre d'utilisateurs.

Il a déjà suggéré plusieurs évolutions, comme l'ajout d'un bouton "modifier" pour corriger un tweet après publication et des changements dans la formule d'abonnement payante, Twitter Blue.

Le groupe de San Francisco doit publier ses résultats trimestriels jeudi avant l'ouverture de Wall Street.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Festival de Cannes: J-1 avant la mise à feu

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La 77e édition du Festival de Cannes démarre mardi. (© KEYSTONE/AP/Daniel Cole)

Des stars, des monuments du 7e art, la flamme olympique et un contexte explosif: à J-1, Cannes se prépare à accueillir le plus grand festival de cinéma, sur lequel planent des rumeurs en lien avec #MeToo.

La flamme gravira les célèbres marches le 21 mai, portée par l'athlète paralympique français Arnaud Assoumani, ont annoncé lundi les organisateurs. Ce soir-là sera projeté le documentaire "Olympiques! La France des Jeux", de Mickaël Gamrasni.

En attendant, sur la Croisette, les commerçants s'activent face à l'arrivée des 35'000 festivaliers attendus de mardi jusqu'au 25 mai.

"On voit vraiment la différence entre il y a une semaine et maintenant", constate Eva Zemame, 20 ans, vendeuse de glaces.

"Ce que je vois, c'est une effervescence sur les plages, tous les restaurateurs qui se préparent à accueillir les VIP et, dans les boutiques, les femmes qui regardent les robes de soirée", affirme Christine Capao, 60 ans, rencontrée dimanche par l'AFP.

En coulisses, l'ambiance est tout autre avec des rumeurs d'accusations en lien avec #MeToo qui circulent depuis des semaines sur les réseaux sociaux. Elles pourraient perturber la 77e édition du Festival, sept ans après l'affaire Harvey Weinstein, qui a lancé le mouvement de libération de la parole.

Une liste de personnalités du cinéma potentiellement accusées a circulé, mais aucune enquête journalistique n'a été publiée confirmant ou infirmant ces rumeurs.

"Cas par cas"

"Si le cas d'une personne mise en cause se présentait, nous veillerions à prendre la bonne décision au cas par cas", tentait de déminer récemment Iris Knobloch, présidente du Festival.

Et les organisateurs ont rappelé dimanche leur engagement depuis 2018 dans la lutte contre les violences sexuelles, "qui ont trop longtemps eu cours" dans le 7e art, via une cellule d'assistance dédiée.

Le sujet sera abordé de front avec la venue dès mercredi de Judith Godrèche, devenue fer de lance de #MeToo en France.

La comédienne, qui a accusé de viols deux figures du cinéma d'auteur, Benoît Jacquot et Jacques Doillon, présentera un court-métrage. "Moi aussi" est réalisé avec un millier de victimes de violences sexuelles ayant répondu à son appel sur les réseaux sociaux.

Avant cela, l'actrice s'est jointe lundi à un rassemblement de 100 à 200 personnes devant le Centre national du cinéma (CNC) à Paris pour réclamer le départ de son président Dominique Boutonnat, qui doit être jugé en juin pour agression sexuelle.

À l'affiche du "Deuxième acte" du réalisateur Quentin Dupieux, en ouverture du Festival, l'acteur Vincent Lindon a répété sur France Inter que "les hommes doivent accompagner les femmes" dans le mouvement #MeToo au cinéma, tout en appelant à instaurer plus de "calme" et de "nuance" face aux rumeurs.

Sur le plan social aussi, l'édition 2024 pourrait être agitée. Un collectif rassemblant des attachées de presse, projectionnistes, chargés de billetterie et autres travailleurs du cinéma appelle à une grève. Ils demandent à bénéficier du statut d'intermittents du spectacle et ont reçu le soutien d'acteurs comme Louis Garrel et Swann Arlaud. Le Festival s'est dit prêt au dialogue.

Dispositif inédit

Autant de secousses qui feraient presque oublier la compétition, mélange de jeunes talents, comme la Française Agathe Riedinger avec son premier film "Diamant brut" sur la télé-réalité, et de monuments du 7e art, à l'instar de Francis Ford Coppola qui brigue une troisième Palme d'or avec "Megalopolis", 45 ans après celle obtenue pour "Apocalypse Now".

Le palmarès, qui sera dévoilé le 25 mai, est plus qu'attendu après le succès mondial de la Palme 2023, "Anatomie d'une chute" de Justine Triet, récompensée ensuite aux Oscar.

Le jury chargé de départager les 22 films en compétition est présidé par l'Américaine Greta Gerwig, auréolée du succès planétaire de "Barbie". Elle est épaulée par les comédiens Omar Sy, Eva Green, Lily Gladstone ou le cinéaste Kore-Eda.

Hollywood sera également célébré par les Palmes d'or d'honneur remises à Meryl Streep et George Lucas, ainsi que, hors compétition, le retour de la saga "Mad Max" (avec le film "Furiosa") et la venue de Kevin Costner (avec le premier opus de sa saga sur l'Ouest américain).

Côté nouveauté, Cannes lance une compétition de films immersifs, incluant la réalité virtuelle.

À l'approche des JO de Paris (26 juillet-11 août), dont il fait figure de répétition, le Festival bénéficie d'un dispositif inédit avec 17 caméras de vidéoprotection utilisant l'intelligence artificielle. Objectif: repérer les comportements suspects, détecter l'éventuelle présence d'armes ou les mouvements de foule, selon la mairie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

La victoire de Nemo profite à l'Eurovision, selon les médias

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La presse suisse s'est montrée impressionnée par l'affirmation de soi que Nemo a transmis avec assurance et sincérité. (© KEYSTONE/AP/Jessica Gow)

Les commentateurs des médias en Suisse et à l'étranger ont accueilli le triomphe de Nemo à l'Eurovision avec beaucoup de respect. La consécration de l'artiste de 24 ans est peut-être la meilleure chose qui pouvait arriver pour relancer le concours de l'Eurovision.

Nemo "a rappelé à l'Europe, à la planète, que la sincérité et l'humilité mêlées au talent conduisent à ces sommets que seuls des êtres d'exception savent atteindre", commente Le Journal du Jura, basé à Bienne, la ville d'origine de l'artiste non binaire.

"La victoire de Nemo n'est pas anodine", écrit Le Temps, soulignant une forme d'audace de l'artiste dans l'affirmation de soi. "Nemo n'est pas un Ignazio Cassis de la musique, il ne cherche pas à agir dans le monde sans aucun goût ni aucune forme d'aspérité; il raconte les cheminements d'une minorité, avec franchise", peut-on lire.

"Nemo a fait voler en éclats le complexe helvétique", abondent les médias ESH, mentionnant des précédentes propositions suisses "trop polies, trop sages". "Tout en restant parfaitement fidèle à qui iel est, humble, sincère et vrai, Nemo a montré qu'on peut sortir du cadre sans le casser pour autant", précisent-ils.

Défendre une identité de genre différente n'a rien d'une sinécure, soulignent le 24 Heures et la Tribune de Genève. "A Malmö, en plus d'une chanson de qualité, "The Code", Nemo a bousculé des décennies de caractères formatés", écrivent les deux titres lémaniques.

"Caisse de résonance des conflits"

Pour le Tages-Anzeiger, le concours de l'Eurovision s'est transformé en une caisse de résonance des crises et conflits, suscitant bien des polémiques. "Mais c'est finalement la personne de coeur Nemo qui a donné le signal le plus fort et, espérons-le, le plus durable."

Le média en ligne Watson rappelle que la controverse autour de la candidate israélienne a dominé à Malmö et a peut-être aidé la Suisse. Au milieu de ce tohu-bohu, le public et les jurys ont simplement voulu voir quelque chose de bien gagner". Nemo a fait du super boulot - "Maximum Respect".

Pour Blick.ch, Nemo a offert la "folie Eurovision" à Malmö. Et la Neue Zürcher Zeitung, revenant sur les manifestations anti-israéliennes, rappelle que le concours musical n'a jamais été apolitique.

"La classe musicale"

Pour la Weltwoche, Nemo a gagné de manière méritée. "Bien que l'événement organisé à Malmö, en Suède, ait largement fait penser à un mélange de fête costumée, de freak show et de 'stresstest' pour les oreilles, c'est la classe musicale qui s'est finalement imposée."

L'Eurovision, avec ses "costumes absurdes" et ses "moments loufoques", semble étrangement fédérer les publics à l'heure de la fragmentation des réseaux sociaux, remarque La Liberté.

A l'étranger aussi, les médias ont commenté la performance suisse. Le New York Times écrit que les protestations en amont de l'Eurovision ont finalement cédé la place au spectacle. La chanson de Nemo a été saluée par le célèbre journal comme "un morceau accrocheur".

Le journal espagnol El Mundo n'a pas tari d'éloges: "Avec une Masterclass en chant et en acrobatie de cirque", Nemo a "conquis" toute l'Europe. Pour la "Frankfurter Allgemeine Zeitung", "Nemo s'est surpassé". "Ni elle ni lui, mais simplement Nemo". Pour le journal italien "La Repubblica", la chanson "The Code" était une "ode à la liberté des genres".

Dans une édition du concours chargé politiquement, "c'est finalement le seul pays prétendument neutre qui a gagné", écrit la Süddeutsche Zeitung, "avec une prestation empreinte d'un très grand sens de l'équilibre".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Témoignage de respect et d'admiration de Nemo pour Céline Dion

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Nemo sait tout faire sur scène. (© KEYSTONE/AP/Martin Meissner)

"J'ai ressenti très fort le soutien du public, qui m'a aidé à mettre toute mon énergie dans ma performance", a déclaré Nemo au micro de la RTS, après son triomphe samedi à l'Eurovision. "J'éprouve beaucoup de gratitude", a-t-il ajouté.

Dans une interview en anglais diffusée dimanche soir sur Forum, Nemo, enjoué et posé à la fois, a dit avoir traversé des moments "pas toujours faciles mais aussi extraordinaires". Il est ravi d'avoir pu, avec sa victoire, mettre "un coup de projecteur sur la culture et la scène musicale suisses".

Interrogée sur Céline Dion, gagnante du même concours en 1988 pour la Suisse, Nemo a admis être un grand fan de la star québécoise. Il lui a rendu hommage dans un clip qui cartonne sur Spotify, où il porte "la robe que Céline avait quand elle a gagné, pour lui témoigner mon respect", a-t-il souligné. "Je pense beaucoup à elle, je suis honoré de figurer sur la même liste de gagnants qu'elle."

Nemo a ajouté avoir ressenti avant le concours l'appui du public suisse dans toutes les villes, et notamment la sienne, Bienne. "C'est dingue, ce buzz, cet amour pour la chanson. J'ai reçu toute cette énergie positive."

L'artiste a encore lancé, au sujet du message d'unité de l'Eurovision: "Plus que jamais, il est important d'avoir une conversation sur notre vision de l'avenir. J'espère que l'Eurovision sera à la hauteur de sa mission d'être un espace de paix." L'organisation de la prochaine édition en Suisse lui semble être une parfaite opportunité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Décès du réalisateur américain Roger Corman, maître de la série B

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L'Américain Roger Corman était l'invité d'honneur du festival du film de Locarno en 2016. (Archives) (© KEYSTONE/ALEXANDRA WEY)

Le réalisateur et producteur américain Roger Corman est mort à l'âge de 98 ans, a annoncé sa famille samedi. Il était connu pour ses films à petit budget produits à un rythme effréné.

"C'est avec une profonde tristesse, et une admiration sans bornes pour la vie extraordinaire qu'il a menée, que nous nous remémorons notre mari et notre père bien-aimé", ont écrit sa femme et sa fille sur Instagram.

Le cinéaste, qui avait réalisé et produit des centaines de films de genre à petit budget à partir des années 1950, est décédé jeudi à son domicile de Santa Monica, en Californie, a précisé sa famille.

On lui attribue notamment la découverte de certains grands noms du cinéma tels que Martin Scorsese, Robert De Niro et Francis Ford Coppola. Ce dernier a salué dimanche la mémoire de son "premier patron", "mentor" et "modèle". "Il n'y a rien sur les aspects pratiques de la réalisation de films que je n'ai pas appris en étant son assistant", a confié Francis Ford Coppola sur Instagram.

Large palette de genres produits

Parmi les titres produits par Roger Corman, The Fast and the Furious (1954) Dementia 13 (1963) Big Bad Mama (1974) figurent parmi les plus connus. Epouvante, fantastique, films de gangster, science-fiction, western: cette figure d'Hollywood a reçu un Oscar d'honneur en 2009, une "incongruité pour moi qui ai toujours tourné des films à petit budget", s'en était-il amusé alors.

Ses adaptations des nouvelles d'Edgar Poe avec son acteur fétiche Vincent Price sont considérés comme des chefs d'oeuvre qui auront une forte influence sur le cinéma d'horreur européen. On lui doit aussi la distribution aux Etats-Unis des films de Truffaut, Bergman, Fellini, Kurosawa.

Né à Détroit, dans le Michigan, il a tracé sa route à Hollywood en commençant comme coursier à la 20th Century-Fox et plus tard comme scénariste.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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