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Culture

Inquiétude sur le sort de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal

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Boualem Sansal a été arrêté à son arrivée en Algérie. Son éditeur Gallimard est inquiet. (© KEYSTONE/AP/Markus Schreiber)

Gallimard appelle vendredi à la "libération" de Boualem Sansal dont il est l'éditeur après son "arrestation par les services de sécurité algériens", au lendemain d'une "disparition" évoquée par la présidence française.

Le sort de l'écrivain franco-algérien, en lutte contre le fondamentalisme religieux et l'autoritarisme, inquiète.

"Les éditions Gallimard (...) expriment leur très vive inquiétude à la suite de l'arrestation de l'écrivain par les services de sécurité algériens et appellent à (sa) libération immédiate", écrit l'éditeur dans un communiqué.

Selon plusieurs médias, dont l'hebdomadaire français Marianne, l'écrivain de 75 ans aurait été arrêté samedi à l'aéroport d'Alger, en provenance de France.

Aucune information officielle, ni même sous couvert d'anonymat, n'a cependant filtré sur son sort, dans un contexte de relations tendues entre les deux pays.x

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le Général Guisan est à l'honneur au Château de Morges

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L’exposition est à découvrir jusqu’au 31 août (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Château de Morges propose de redécouvrir le parcours du Général Guisan. Des documents rares sont exposés jusqu'au 31 août.

Faire redécouvrir le général Henri Guisan aux jeunes générations. C’est l’objectif de la nouvelle exposition du Château de Morges. Une manifestation réalisée en partenariat avec la Fondation Général Henri Guisan. Elle retrace le parcours du commandant en chef de l’Armée suisse durant la Seconde Guerre mondiale. Cette exposition propose un voyage historique à travers la montée du fascisme. Elle propose des documents rares, des archives photographiques accessibles via des codes QR. Elle invite aussi à redécouvrir le rôle central qu’à eu le Général Guisan. Adélaïde Zeyer, directrice du Château de Morges et ses musées.

Adélaïde Zeyerdirectrice du Château de Morges et ses musées

Une exposition qui commémore deux anniversaires.

Adélaïde Zeyerdirectrice du Château de Morges et ses musées

L’exposition est à découvrir jusqu’au 31 août

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Culture

Décès du sculpteur russe Zourab Tsereteli

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Le monument du pape Jean Paul II qui se trouve dans le square Jean XXIII à Paris est dû à Zurab Tsereteli. (© KEYSTONE/EPA/ETIENNE LAURENT)

Le célèbre sculpteur russe d'origine géorgienne Zourab Tsereteli, connu pour ses oeuvres monumentales, est décédé dans la nuit de lundi à mardi à l'âge de 91 ans, ont rapporté les agences de presse russes.

"Son coeur s'est arrêté", a indiqué son assistant Sergueï Chagoulachvili à l'agence de presse publique Ria Novosti, en précisant que l'artiste est décédé dans sa maison à Peredelkino, près de Moscou, "entouré de ses oeuvres".

Président de l'Académie russe des beaux-arts depuis 1997, il a réalisé des dizaines de monuments impressionnants par leurs dimensions mais souvent sources de polémiques.

Ses oeuvres très présentes dans le paysage urbain moscovite, dont un monument à la Victoire (1995) haut de 142 mètres et une statue de Pierre le Grand de 98 mètres (1997), ont toujours suscité des controverses dans les médias et au sein de la société russes, notamment du fait de leur taille.

Né le 4 janvier 1934 à Tbilissi, en Géorgie, le sculpteur a participé à la décoration de l'immense cathédrale du Christ-Sauveur, reconstruite au coeur de Moscou entre 1996 et 2000, et a érigé dans la capitale russe une statue du général de Gaulle haute de huit mètres (2005).

Cadeaux refusés par Washington

Une statue de Jean-Paul II, réalisée par Tsereteli, décoré de la Légion d'honneur en France, a été érigée près de la cathédrale Notre-Dame à Paris en octobre 2014.

Au moment où Mikhaïl Gorbatchev lança la perestroïka en URSS, Zourab Tsereteli a connu un bref succès en Occident, avec des monuments dédiés aux mutations dans le monde communiste, à Londres ("Détruire le mur de méfiance", 1989) et à New York ("Victoire du bien sur le mal" fabriqué avec des restes de missiles soviétiques et américains en 1990).

Encouragé par ce succès, le sculpteur a proposé en 1992 d'offrir aux Etats-Unis une statue de Christophe Colomb de 45 mètres de haut pour les 500 ans de la découverte de l'Amérique, mais les autorités américaines ont refusé son cadeau.

La statue de Colomb a été érigée trois ans plus tard à Séville, en Espagne.

Tsereteli a ensuite tenté d'offrir à la ville de New York un monument consacré aux victimes des attentats du 11 septembre 2001, une larme géante de 30 mètres, mais les autorités américaines ont poliment décliné son offre.

La larme de Tsereteli a finalement trouvé refuge en 2005 à Bayonne, une petite ville de 60'000 habitants dans le New Jersey.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Vingt oeuvres primées au Concours FNS d’images scientifiques

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Ce portrait en contre-jour d’une équipe d’archéologues réalisé par Guido Schreurs, de l’Université de Berne, remporte la catégorie "Femmes et hommes de science". (© FNS)

Le jury du Concours FNS d’images scientifiques 2025 a distingué vingt ½uvres illustrant les coulisses de la recherche. Un record depuis le lancement de la compétition en 2017.

Pas moins de 430 oeuvres avaient été soumises au jury, a indiqué mardi le Fonds national suisse (FNS) dans un communiqué. Les ½uvres lauréates et une sélection d’autres images ou vidéos issues du Concours 2025 seront exposées aux Journées photographiques de Bienne du 3 au 25 mai.

Le premier prix de la catégorie "Objet d’étude" est revenu à Alain Amstutz, chercheur postdoc à l’Université de Bâle. La photographie primée documente les recherches qu’il mène au Lesotho sur l’utilisation de salons de coiffure comme un lieu alternatif offrant des services de santé.

Un portrait en contre-jour d’une équipe d’archéologues réalisé par Guido Schreurs, de l’Université de Berne, remporte la catégorie "Femmes et hommes de science". Une manière d’exprimer avec ingéniosité le message que la science constitue un travail d’équipe tout en présentant clairement l’activité et l’environnement de ces travaux de recherche, écrit le jury.

Plusieurs oeuvres récompensées

Gaétan Raynaud, doctorant à l’EPFL, reçoit le premier prix de la catégorie "Lieux et outils" pour sa photographie d’une expérience dans une soufflerie. "Cette représentation iconique d’une expérience scientifique dévoile, au second coup d’½il, une autre histoire: celle du chercheur solitaire et invisible qui ne laisse que des traces fantomatiques et fluides, capturées par la longue exposition", selon la laudatio.

Une séquence présentant les oscillations nanométriques d’un système électromécanique remporte la catégorie "Vidéos". En outre, seize ½uvres ont reçu une distinction du jury: une présentation hypnotique de trajectoires d’avions, une visualisation énigmatique de fonctions mathématiques, l’heureux hasard offert par une webcam ou encore l’intérieur majestueux d’un appareil expérimental aux dimensions indéfinies.

Onze des vingt images lauréates ont été soumises par des personnes encore aux études ou effectuant un doctorat. "Je suis très heureux de voir autant de jeunes scientifiques s’intéresser à jeter un regard neuf sur leurs travaux", commente Torsten Schwede, président du Conseil de la recherche du FNS, cité dans le communiqué.

Le Fonds national suisse invite depuis 2017 les scientifiques travaillant en Suisse et au Liechtenstein à montrer leur quotidien et à le partager avec le grand public. Toutes les ½uvres soumises - plus de 3500 - sont disponibles en ligne et en libre accès.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Bluesky, rival de X, institue une icône pour les comptes certifiés

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Le réseau au papillon bleu a été créé par le cofondateur de Twitter Jack Dorsey en 2019 comme une émanation de la plateforme, avant de devenir indépendant (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Bluesky, rival du réseau X d'Elon Musk, a annoncé lundi mettre en place une icône bleue pour symboliser les comptes certifiés.

"La confiance est fondamentale", écrit la plateforme sur son blog. "Bluesky vérifiera proactivement les comptes authentiques et importants et affichera une icône bleue à côté de leur nom".

L'icône est similaire au badge utilisé jadis par Twitter, qui avait mis cette possibilité en place afin de déjouer les impostures et permettre aux utilisateurs de certifier leur identité.

Mais Elon Musk a supprimé la vérification après avoir racheté Twitter en 2022 pour 44 milliards de dollars, avant de le rebaptiser X. A la place, l'homme le plus riche du monde a réservé ces coches bleues aux abonnés payants.

"Les réseaux sociaux nous ont fortement interconnectés mais ils ne nous ont pas toujours donné les outils qui permettent de savoir avec qui nous échangeons ni si nous pouvons leur faire confiance", a souligné Bluesky.

Le réseau au papillon bleu a été créé par le cofondateur de Twitter Jack Dorsey en 2019 comme une émanation de la plateforme, avant de devenir indépendant avant le rachat par Elon Musk.

Plus de 30 millions d'utilisateurs

Bluesky (littéralement "ciel bleu") a revendiqué plus de 30 millions d'utilisateurs en début d'année. Le réseau connaît une expansion rapide depuis le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, qui a chargé Elon Musk d'une mission d'amaigrissement de l'Etat fédéral.

La plateforme permet déjà à ses utilisateurs de certifier leur identité en se présentant sous leur nom de domaine.

Elle va permettre en outre à des organisations de certifier elles-mêmes d'autres comptes: par exemple en autorisant un média à distribuer lui-même des icônes bleues à ses journalistes.

"Cette année sera celle de notre sortie au grand jour", a déclaré le mois dernier la directrice des opérations de Bluesky, Rose Wang, à l'AFP.

"Les gens veulent savoir ce qui se passe dans le monde et ont besoin d'un espace sûr pour discuter, s'amuser et se faire des amis. Pour l'instant, ils ne trouvent cela nulle part ailleurs", avait-elle confié.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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