Culture
L'acteur Sam Neill de Jurassic Park révèle être atteint d'un cancer
L'acteur Sam Neill, célèbre pour son rôle du paléontologue Alan Grant dans la tout aussi célèbre saga Jurassic Park, a révélé être traité pour un cancer du sang de stade 3. Sa maladie a été annoncée dans ses mémoires à paraître la semaine prochaine.
"Le fait est: je suis malade. Peut-être mourant. Je vais devoir accélérer", écrit-il dans le premier chapitre de son livre "Did I ever tell you this?" (Vous ai-je déjà dit ça?"), qu'il a rédigé tout en suivant une chimiothérapie.
Lors d'une interview au quotidien britannique The Guardian, l'acteur précise toutefois qu'il est en rémission, mais devra continuer ce traitement jusqu'à la fin de sa vie.
"Je ne peux pas faire comme si l'année passée n'avait pas eu son lot de moments sombres", a-t-il expliqué, son cancer, un lymphome non hodgkinien, ayant été diagnostiqué en 2022. "Mais ces moments sombres font ressortir la lumière", a ajouté le Britanno-Néo-Zélandais, "simplement heureux d'être en vie".
Longue carrière
Sam Neill, 75 ans, est notamment connu pour avoir incarné l'un des protagonistes de Jurassic Park, le professeur Alan Grant, dans trois opus de la saga, dont la première fois en 1993 sous la direction de Steven Spielberg.
Sa longue carrière devant la caméra a débuté dans les années 1970, jusqu'à des rôles plus récents comme dans la série à succès Peaky Blinders ou le dernier volet de Jurassic Park, intitulé "Le monde d'après", sorti en 2022. Vigneron en Nouvelle-Zélande à ses heures perdues, il se prépare à un nouveau rôle dans une adaptation télévisée de "Les pommes ne tombent jamais", de la romancière Liane Moriarty.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Musique à Prangins: le hip-hop danse sous l'archet du violon
Spectacle original samedi soir prochain à Prangins (VD): un pas de deux entre le violon et le hip-hop. "Danse avec le violon" invite enfants, adolescents et adultes à voir et écouter une comédie-ballet entre musique classique et danse hip-hop, entre violon envoutant et danse urbaine des ghettos noirs et latinos.
"Dans ce spectacle, musiques classique, populaire et savante se mêlent et s'entremêlent pour former une ligne mélodique virevoltante où la danse s'intègre tout naturellement. La soliste virtuose Isabelle Meyer, le chorégraphe Julio Arozarena, les danseurs et l'Ensemble Art-en-Ciel proposent de redécouvrir le seul vrai langage qui par-delà les traditions, les cultures, les continents, parle au coeur de l'homme: celui de l'émotion", indiquent les organisateurs.
"Issue d'une tradition héritée des grands maîtres du violon, Isabelle Meyer est la première femme violoniste de la jeune génération à innover dans le monde de la musique classique où elle mêle différents arts et différents artistes avec bonheur", écrivent-ils dans leur dossier de presse.
Elle se produit dans ses propres créations: les concerts-spectacles Art-en-Ciel. Elle a par exemple déjà collaboré avec l'astrophysicien Hubert Reeves, l'écrivain et philosophe Luc Ferry, l'animateur radio Frédéric Lodéon, la compositrice Sylvis Courvoisier ou encore le clarinettiste Michel Lethiec.
Dans ce nouveau spectacle, présenté à la salle des Morettes de Prangins, l'idée est de partir "à la recherche de la dimension sauvage et spontanée de la musique et de la danse à travers les nombreux folklores en Europe". Samedi soir, le violon d'Isabelle Meyer "Lady Vivaldi" fera danser cinq champions du hip-hop, de break, de krump et autres danses actuelles.
L'entrée est gratuite pour les enfants jusqu'à 14 ans.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Quarante-deux artisans à la rencontre de la population vaudoise
Les Journées européennes des métiers d'art (JEMA) se tiendront dès vendredi et jusqu'au 2 avril en terre vaudoise. Gratuite, la manifestation organisée par le Canton offre la possibilité de rencontrer des artisans d'art dans leur atelier privé (38 propositions sur inscription) ainsi qu'au château de Morges (quatre propositions sans inscription).
Durant trois jours, 42 artisans, dont 14 nouvelles participations, transmettront leur passion et quelques-uns de leurs secrets professionnels, écrit l'Etat de Vaud dans un communiqué.
La présence de la relève sera assurée par la filière céramique du Centre d'enseignement professionnel de Vevey (CEPV) et la filière bijouterie de l'Ecole technique de la Vallée de Joux. La scénographie de l'espace d'accueil permanent situé au château de Morges sera signée par un apprenti polydesigner 3D du CEPV, Max Heer, dans le cadre de ses travaux de fin de formation.
Les traditionnels ateliers d'éveil gratuits (4-12 ans) et Rencontres écoles et métiers d'art sont reconduits. Les premiers se dérouleront au château de Morges (sur inscription) et permettront au public de se familiariser avec la mise en scène et de repartir avec une création originale. Les inscriptions aux deuxièmes, destinées aux classes vaudoises, ouvriront dès lundi pour des activités se déroulant entre fin avril et fin juin 2023.
Une nouveauté est annoncée en matière de médiation culturelle pour les écoles. L'appel à projets "La culture, c'est classe!" destiné jusqu'ici aux artistes professionnels, s'ouvre à deux artisans d'art désireux de transmettre leurs connaissances dans le cadre d'un projet participatif en milieu scolaire. Le dépôt des projets sera possible en août 2023 pour des interventions en classe au cours de l'année scolaire 2023-2024.
www.metiersdart.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Grand Prix japonais et record de fréquentation pour le 37e FIFF
Le film Plan 75, de la réalisatrice japonaise Chie Hayawaka, a remporté samedi le Grand Prix, le Critics’ Choice Award et le Prix du jury des jeunes Comundo du 37e Festival international du film de Fribourg (FIFF). Ce dernier a connu une fréquentation record.
Plan 75, une ode à la vie à découvrir en salle dès le 3 mai, a remporté pas moins de trois prix, a indiqué samedi l'organisation du FIFF. Situé dans un Japon futuriste confronté à une surpopulation de personnes âgées, ce film dystopique imagine un plan gouvernemental encourageant les plus de 75 ans à choisir l’euthanasie.
Ce "chef-d’½uvre", décortiquant "les conséquences radicales d’une société froide et cynique", selon les mots du jury, a été couronné du prestigieux Grand Prix, du Critics’ Choice Award et du jury des jeunes Comundo. "Délicatesse", "finesse", "maturité", "regard empathique", quatre manières encore de le qualifier.
Guerre mondiale
Le "puissant" film iranien World War III, signé Houman Seyedi, a également été doublement récompensé avec le Prix spécial du jury international, composé de Judith Baumann, Maryna Er Gorbach, Francine Lecoultre, Patricia Mazuy, et une mention spéciale de la part du Jury des jeunes Comundo.
Enfin, le Jury international a offert une mention à Tenuun-Erdene Garamkhand, jeune comédien âgé de 12 ans, pour son interprétation dans Harvest Moon (Mongolie) d'Amarsaikhan Baljinnyam.
Le très convoité Prix du public et le Prix du jury ½cuménique reviennent pour leur part au film malais Abang Adik de Jin Ong. Il s'agit d'un poignant portrait de la relation entre deux frères clandestins et d'un "plaidoyer pour la justice, la solidarité et la dignité humaines".
Promotion internationale
Proposé en première mondiale, et donc toujours inédit en Malaisie, Abang Adik a été diffusé pour la toute première fois à l’occasion du FIFF. Cette reconnaissance publique va ouvrir au film les portes du marché international, qui le mèneront "sans doute" vers des vendeurs de droits ainsi que dans d’autres festivals internationaux.
Du côté des courts-métrages, c’est le film iranien Split Ends d'Alireza Kazemipour qui a conquis le jury, composé de Fabienne Radi, Alice Torrent et Mehdi Atmani. Il a été récompensé pour sa capacité à "parler de choses graves avec un humour déconcertant et une intelligence subtile".
Le Prix Réseau Cinéma CH, décerné par un jury issu des écoles de cinéma suisses, est revenu à la production franco-marocaine Sur la tombe de mon père, de la réalisatrice Jawahine Zentar. Le Prix Röstigraben a quant à lui récompensé Anaïs Bourgogne pour son court-métrage Dazwischen.
Cinéma culinaire
Enfin, le jury du Prix Visa Etranger, réunissant quatre membres de la délégation moldave invitée pour représenter la section "Nouveau territoire: république de Moldavie", a porté son choix sur le court-métrage Motër (Sister) de Dorentina Imeri.
Le cinéma culinaire, mis à l’honneur cette année, a teinté l’ensemble de l’édition d’une convivialité toute particulière. Il a notamment invité le public à des expériences ciné-culinaires et des instants gourmands quotidiens.
"L'édition 2023 aura été celle des retrouvailles", s'est réjoui Mathieu Fleury, président de l’Association du FIFF, lors de la cérémonie de clôture. "Le public a répondu avec enthousiasme à l’invitation. Ce qui a permis au festival d’enregistrer un record de fréquentation, en dépassant largement les 45’000 entrées."
Recette du succès
Le nombre est supérieur de quelques milliers à celui de l'an passé. Directeur artistique, Thierry Jobin, ému, s'est interrogé, devant une salle comble, sur la recette de ce succès. Certains spectateurs ont mis en avant la thématique culinaire, d'autres ont mentionné l'effervescence de l'après-pandémie.
"Mais la majorité des spectateurs m’a répondu que le sens de l’accueil du festival et son équipe chaleureuse étaient les ingrédients principaux de cet exploit renouvelé d’année en année: faire que chacune et chacun se sente chez soi à Fribourg", a résumé l'ancien journaliste.
Le bilan définitif de la 37e édition, qui s'achève dimanche, sera révélé après la clôture des deux événements de prolongation. Quant à la 38e édition du FIFF, elle se tiendra du 15 au 24 mars 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Des champions d’orthographe au Salon du livre
Le Salon du livre de Genève est le grand rendez-vous de la littérature, mais aussi de l’écriture. Une centaine de férus d’orthographe participaient samedi à la Grande dictée du salon.
"Même le folliculaire qui l’avait tant de fois éreinté dans des articles d’une rosserie inouïe l’applaudissait avec ostentation". Cette phrase alambiquée est issue de la Grande dictée du Salon du livre de Genève. L’auteur et dicteur de ces mots n’est autre que Francis Klotz, organisateur de l’événement et couronné champion du monde de la discipline en 1988.
Dans une salle de Palexpo samedi matin, à quelques mètres de l’agitation de la foire littéraire, le silence est de mise. Durant cinquante minutes, les stylos-billes crissent sur les fameuses feuilles lignées au rythme de la dictée. Dans l’assemblée, une centaine d’amoureux des lettres venus se mesurer lors d’un exercice orthographique et grammatical de haut vol.
Lecteurs de dictionnaire
Car si la dictée rappelle les bancs d’école, le niveau de difficulté s'adresse, quant à lui, aux initiés. Parmi les participants, tous sont de grands lecteurs ... de dictionnaire. En outre, certains passionnés avouent être des professionnels de la traduction ou de la correction de textes.
"Je m’attends à devoir écrire des mots que je n’ai jamais entendu", confie Carole Cattin, pourtant ex-championne suisse junior et habituée des dictées depuis plus de 10 ans. De son côté, Miliutin Roman, 13 ans, est détendu. "J’ai toujours des bonnes notes à l’école donc je pense que ça ira. Je me suis juste préparé en faisant une dictée au pif avec ma mère", raconte celui qui, comme les autres jeunes, déposera sa plume après la 7e ligne.
Pour les autres, de 19 à 99 ans, ce sera 30 lignes et tout autant de défis orthographiques : "exorbitant", "acariâtre", "boui-boui", "courroucé" ou encore "sens dessus dessous". Le dicteur a bien choisi ses mots. "Francis Klotz est retors. Sur toutes les dictées qu’il a écrites durant sa carrière, il n’y a eu que très peu de zéros fautes", commente Daniel Fattore, candidat du jour et lui-même auteur de dictées en France.
Tchékhov, avec un H
S’il juge le niveau moins difficile que lorsque l’événement faisait office de demi-finale du championnat helvétique, Francis Klotz a toutefois veillé à glisser quelques subtilités. "Le texte que j’ai rédigé raconte l’histoire d’un acteur qui fait ses adieux à la scène. J’y ai volontairement ajouté les noms compliqués de Tchékhov et de Beckett. L’occasion de faire deux jolies fautes...", divulgue-t-il, malicieux.
Et si cela ne suffisait pas à départager les plus doués, le dicteur a imaginé deux phrases subsidiaires, dont la suivante : "L’histrion courroucé abhorrait les vivats et les hurrahs du public éméché". A vos stylos.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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