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Culture

Le Venoge Festival à Penthaz dévoile sa programmation 2024 complète

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Le Venoge Festival donne rendez-vous à son public du 14 au 17 août prochain pour une 28e édition (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

Le Venoge Festival a dévoilé l'affiche complète de sa 28e édition, programmée du 14 au 17 août à Penthaz (VD). Quatre soirées pour quatre thèmes: musiques urbaines, électroniques, pop et "revival". En tête d'affiche, on retrouvera Earth, Wind & Fire Experience, Level 42, Imagination, MC Solaar, Gilbert Montagné, Gossip, The Kills, Shay ou encore Jain.

"Notre ambition est d'offrir quatre soirées thématiques, hautes en couleurs et fortes en émotions, grâce à des artistes reconnus pour leurs prestations scéniques mémorables", ont résumé lundi les organisateurs dans un communiqué. Le dernier jour, des activités dédiées aux familles seront proposées en plus des concerts.

La première soirée proposera le mercredi une programmation "urban". Cette nouvelle thématique est consacrée aux musiques urbaines francophones réunissant "les cadors du genre qui affolent les réseaux et les plateformes de streaming". Dadju & Tayc, Djadja & Dinaz, SDM et Luther se produiront notamment sur scène.

Le jeudi, place à la traditionnelle soirée "revival", une affiche nostalgique aux sons des années 80 à 2000. Les fans d'Earth, Wind & Fire pourront venir applaudir Al McKay, l'ancien guitariste du groupe de 1973 à 1981, qui a fondé une formation alternative appelée Earth, Wind & Fire Experience. Son équipe reprend le répertoire du groupe d'origine. Au menu aussi: Level 42, Imagination, Fatal Bazooka, Gilbert Montagné, Bernard Minet ou encore Zouk Machine.

"Dancefloor" à ciel ouvert

Vendredi, la programmation sera à nouveau 100% électro avec un "dancefloor" à ciel ouvert et des DJs présents en continu sur deux scènes. Parmi eux: Robin Schulz, Oliver Heldens, Armand van Helden, Tchami X Malaa ou encore Mosimann.

Pour la journée de clôture du samedi, la musique pop, rock et rap fera irruption sur scène, avec notamment Shay, Jain, Mc Solaar, Aliose, Gossip ou The Kills. Des animations pour les plus jeunes sont prévues l'après-midi. Un spectacle enfant doit encore être annoncé.

Lors de ces deux dernières éditions, le Venoge Festival a accueilli 38'000 visiteurs en 2023 et 43'000 visiteurs en 2022, une affluence record pour la manifestation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Premier jour de délibérations des jurés au procès Weinstein

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Harvey Weinstein a remercié les agents de sécurité et le personnel du tribunal de l'avoir traïté de manière équitable. (© KEYSTONE/AP/CHARLY TRIBALLEAU)

Douze jurés ont commencé jeudi leurs délibérations au tribunal de New York pour trouver un verdict au procès de l'ancien producteur de cinéma et roi d'Hollywood Harvey Weinstein. Il est rejugé pour agressions sexuelles et viol.

Les jurés, qui se sont retirés à huis clos vers 11h40 locales (17h40 en Suisse), ont planché sur le dossier jusqu'à environ 16h30 (22h30) et reprendront vendredi matin.

Ils ont demandé jeudi en fin de journée à disposer de plusieurs pièces du dossier, notamment les retranscriptions des témoignages de deux des trois accusatrices durant le procès.

Après six semaines de débats, le jury doit décider à l'unanimité si le roi déchu du cinéma indépendant, accusé par des dizaines de femmes d'être un prédateur sexuel, s'est rendu coupable d'agressions sexuelles sur l'ancienne assistante de production Miriam Haley en 2006 et sur l'ex-mannequin Kaja Sokola la même année, en les forçant à subir un cunnilingus, et de viol en 2013 sur l'aspirante actrice Jessica Mann.

Les trois femmes ont témoigné à visage découvert pendant plusieurs jours pour raconter comment Harvey Weinstein leur avait imposé une relation sexuelle, après les avoir attirées dans son appartement ou une chambre d'hôtel à New York.

"Promotion canapé"

"Il a violé trois femmes, elles ont toutes dit non!", a martelé une dernière fois la procureure Nicole Blumberg lors de son réquisitoire final mercredi. "Dites-lui ce qu'il sait déjà, qu'il est coupable des trois crimes", a-t-elle lancé.

La défense a tout fait pour discréditer les victimes présumées, en pointant des incohérences et surtout en soulignant qu'elles avaient continué de fréquenter le magnat du cinéma indépendant après les agressions alléguées.

Lors d'une dernière plaidoirie, l'avocat Arthur Aidala a assuré que les relations sexuelles étaient consenties, dans une logique de "promotion canapé" entre de jeunes femmes qui "utilisent leur beauté, leur charmes" et un homme plus âgé qui pouvait leur ouvrir des portes dans l'univers du spectacle.

Le fondateur des studios Miramax, producteur de films culte comme "Pulp Fiction" et d'innombrables succès ("Sexes, mensonges et vidéo", "Shakespeare in Love"), avait été condamné en 2020 à 23 ans de prison pour les faits concernant Miriam Haley et Jessica Mann, lors d'un procès retentissant qui symbolisait à l'époque une victoire pour le mouvement #MeToo contre les violences sexuelles.

Les enquêtes en octobre 2017 du New York Times et du New Yorker sur le tout puissant producteur, dont les films ont été auréolés de dizaines d'Oscars, avaient provoqué une onde de choc planétaire, libérant la parole de nombreuses victimes et contraignant les sociétés à de profondes remises en question sur la place des femmes.

Voisin de P. Diddy

Mais l'année dernière, la cour d'appel de New York avait annulé tout le procès, parce que d'autres victimes présumées avaient pu témoigner aux débats et raconter des agressions pour lesquelles Harvey Weinstein n'était pas inculpé.

Le procès s'est donc rejoué depuis mi-avril devant la cour pénale de Manhattan, mais dans une plus grande indifférence qu'en 2020, quand des manifestations avaient lieu chaque jour au pied du tribunal contre les violences sexuelles.

L'avocat d'Harvey Weinstein a assuré que ce contexte jouera en faveur de son client, alors que se déroule, dans un bâtiment voisin, le procès devant la justice fédérale du magnat du hip-hop P. Diddy pour trafic sexuel.

Diminué par de nombreux problèmes de santé, toujours détenu à cause d'une autre condamnation pour crimes sexuels en Californie, Harvey Weinstein, 73 ans, a comparu chaque jour sur une chaise roulante, le teint pâle.

Il n'a pas pris la parole pour se défendre mais a prononcé quelques mots jeudi matin pour "dire merci" au personnel du tribunal et aux agents des forces de l'ordre qui l'ont "traité de manière équitable".

Le procès a aussi porté sur une nouvelle inculpation d'agression sexuelle contre l'ancien mannequin polonaise Kaja Sokola, quand elle avait 19 ans.

A partir de sa chute, Harvey Weinstein a été accusé par plus de 80 femmes de harcèlement, agression sexuelle ou viol, dont les actrices Angelina Jolie, Gwyneth Paltrow ou Ashley Judd. Il n'a jamais reconnu aucune agression, évoquant toujours des relations consenties.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

La jazzwoman Sylvie Courvoisier, Grand Prix suisse de musique 2025

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La musicienne et compositrice romande Sylvie Courvoisier "est une voix déterminante du jazz depuis des décennies, réputée pour son jeu transcendant", salue l'OFC (archives). (© Véronique Hoegger)

La pianiste de jazz lausannoise Sylvie Courvoisier reçoit le Grand Prix suisse de musique 2025, doté de 100'000 francs. Sept autres musiciens sont récompensés, dont la harpiste genevoise Julie Campiche.

Sylvie Courvoisier, 57 ans, "est une voix déterminante du jazz depuis des décennies, réputée pour son jeu transcendant", indique jeudi l'Office fédéral de la culture (OFC) dans un communiqué. Cette année, elle a publié plusieurs albums et est en tournée aux Etats-Unis et en Europe.

Originaire de Lausanne, "la musicienne avec un pouvoir de connexion sans limites" vit à New York dans le quartier de Brooklyn depuis 1998.

Parmi les sept lauréats des Prix suisses de musique, dotés de 40'000 francs chacun, figurent la harpiste genevoise Julie Campiche, le violoncelliste et compositeur bernois Thomas Demenga, le chef d'orchestre zurichois Titus Engel, le compositeur bâlois Jannik Giger, la musicienne expérimentale zurichoise, compositrice et plasticienne Charlotte Hug Raschèr et le musicien, aussi de Zurich, Stereo Luchs.

Le Tessin n'a pas été oublié avec Vox Blenii et Vent Negru, les voix du patrimoine musical tessinois.

Trois acteurs culturels reçoivent des prix spéciaux pour la musique, dont l'"Insub Meta Orchestra", un orchestre expérimental genevois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La jazzwoman Sylvie Courvoisier, Grand Prix suisse de musique 2025

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La musicienne et compositrice romande Sylvie Courvoisier "est une voix déterminante du jazz depuis des décennies, réputée pour son jeu transcendant", salue l'OFC (archives). (© Véronique Hoegger)

La pianiste de jazz lausannoise Sylvie Courvoisier reçoit le Grand Prix suisse de musique 2025, doté de 100'000 francs. Sept autres musiciens sont récompensés, dont la harpiste genevoise Julie Campiche.

Sylvie Courvoisier, 57 ans, "est une voix déterminante du jazz depuis des décennies, réputée pour son jeu transcendant", indique jeudi l'Office fédéral de la culture (OFC) dans un communiqué. Cette année, elle a publié plusieurs albums et est en tournée aux Etats-Unis et en Europe.

Originaire de Lausanne, "la musicienne avec un pouvoir de connexion sans limites" vit à New York dans le quartier de Brooklyn depuis 1998.

Parmi les sept lauréats des Prix suisses de musique, dotés de 40'000 francs chacun, figurent la harpiste genevoise Julie Campiche, le violoncelliste et compositeur bernois Thomas Demenga, le chef d'orchestre zurichois Titus Engel, le compositeur bâlois Jannik Giger, la musicienne expérimentale zurichoise, compositrice et plasticienne Charlotte Hug Raschèr et le musicien, aussi de Zurich, Stereo Luchs.

Le Tessin n'a pas été oublié avec Vox Blenii et Vent Negru, les voix du patrimoine musical tessinois.

Trois acteurs culturels reçoivent des prix spéciaux pour la musique, dont l'"Insub Meta Orchestra", un orchestre expérimental genevois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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"Quand c'est non, c'est non" dit la procureure au procès Weinstein

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Harvey Weinstein ne s'est pas exprimé. (© KEYSTONE/EPA/CURTIS MEANS / POOL)

"Quand c'est non, c'est non !", a lancé mercredi la procureure en concluant son réquisitoire final au procès à New York de l'ancien producteur de cinéma Harvey Weinstein, pour convaincre les jurés que les victimes avaient bien été "violées" par l'ex-roi d'Hollywood.

"Il a violé trois femmes, elles ont toutes dit non !", a encore martelé la procureure Nicole Blumberg, qui est longuement revenue sur chacun des trois épisodes au coeur du dossier pour démontrer au jury qu'Harvey Weinstein avait "tout le pouvoir", "tout le contrôle" sur les victimes présumées et qu'il doit être déclaré coupable.

"L'accusé pensait que la loi ne s'appliquait pas à lui, il est temps de lui faire savoir", a-t-elle ajouté, avant de conclure: "dites-lui ce qu'il sait déjà, qu'il est coupable des trois crimes".

La défense assure au contraire que le fondateur et ancien patron des studios Miramax n'a eu que des relations sexuelles consenties avec les trois accusatrices, dans une logique de "promotion canapé" où elles cherchaient à le séduire pour percer dans l'univers du spectacle.

"Nous ne sommes pas ici pour faire la police de la chambre à coucher, tant que ne s'y déroule pas un viol", a rétorqué la procureure.

La dernière plaidoirie de la défense et le dernier réquisitoire de l'accusation ont conclu mardi et mercredi six semaines de débats lors de ce nouveau procès du roi déchu du cinéma indépendant, plus de sept ans après le début de cette affaire emblématique du mouvement #MeToo.

Le juge Curtis Farber a indiqué qu'il donnerait ses instructions aux jurés jeudi matin, dernière étape avant qu'ils se retirent à huis clos pour délibérer.

Procès annulé

Devant la cour pénale de Manhattan, le jury devra décider si le roi déchu du cinéma indépendant, accusé par des dizaines de femmes d'être un prédateur sexuel, s'est rendu coupable d'agressions sexuelles en 2006 sur l'ancienne assistante de production Miriam Haley et l'ex-mannequin Kaja Sokola, et de viol en 2013 sur l'aspirante actrice Jessica Mann, trois femmes qui ont témoigné à visage découvert, parfois pendant plusieurs jours. Dans les trois cas, Harvey Weinstein est accusé de leur avoir imposé une relation sexuelle par la force.

Le fondateur des studios Miramax, producteur de films culte comme "Pulp Fiction" et de succès comme "Shakespeare in Love", avait été condamné en 2020 à 23 ans de prison pour les faits concernant Miriam Haley et Jessica Mann, lors d'un procès retentissant qui symbolisait à l'époque une victoire pour le mouvement #MeToo contre les violences sexuelles.

Mais l'année dernière, la cour d'appel de New York avait annulé ce procès, parce que d'autres victimes présumées avaient pu témoigner aux débats et raconter des agressions pour lesquelles Harvey Weinstein n'était pas inculpé.

Le procès s'est donc rejoué devant la cour pénale de Manhattan, où l'ancien producteur, âgé de 73 ans, a comparu, diminué par de nombreux problèmes de santé, le teint pâle et en chaise roulante. Il est toujours détenu en raison d'une autre condamnation pour crimes sexuels en Californie.

"Traumatisme"

Harvey Weinstein n'a pas pris la parole à son procès, qui portait aussi sur une nouvelle inculpation d'agression sexuelle contre l'ancien mannequin polonaise Kaja Sokola, quand elle avait 19 ans. Ses avocats ont, eux, tenté tout au long des débats d'attaquer la crédibilité des trois accusatrices, des "femmes qui ont eu leurs rêves (de carrière) brisés" et qui auraient menti pour obtenir de l'argent d'Harvey Weinstein, le "pécheur originel du mouvement #MeToo", a ironisé son avocat, Arthur Aidala.

Ce dernier a notamment insisté sur le fait que les victimes ont toutes continué à fréquenter Harvey Weinstein après les violences dont elles l'accusent.

"Elles savaient qu'il fallait rester de son côté" et ont préféré "enterrer leur traumatisme" pour ne pas subir de représailles d'un homme tout-puissant à Hollywood, a justifié la procureure Nicole Blumberg. Mais quand, en octobre 2017, des enquêtes du New York Times et du New Yorker ont révélé que de nombreuses femmes l'accusaient, "elles n'étaient plus seules", a-t-elle ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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