Rejoignez-nous

Culture

Meta (Facebook) rassure avec des profits meilleurs qu'espérés

Publié

,

le

Quelque 3,64 milliards de personnes dans le monde se servent d'au moins une des plateformes du groupe Meta (Facebook, Instagram, Messenger, WhatsApp) tous les mois (archives). (© KEYSTONE/AP/Tony Avelar)

Meta a dégagé 7,47 milliards de dollars de bénéfice net au premier trimestre, un résultat en baisse de 21% sur un an. Le marché s'attendait toutefois à pire pour la maison mère de Facebook et d'Instagram, dans un contexte économique difficile.

Le groupe californien a publié mercredi un chiffre d'affaires frôlant les 28 milliards de dollars (+7%). Son titre bondissait de 14% lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse de New York. Surtout, il n'a pas de nouveau perdu des utilisateurs.

Ces chiffres étaient très attendus des investisseurs après ceux de février, quand le réseau social avait admis avoir perdu, pour la première fois, environ un million d'utilisateurs quotidiens actifs en trois mois.

Stagnation des utilisateurs de Facebook

Fin mars, Facebook comptait 1,96 milliard d'utilisateurs quotidiens, contre 1,93 fin décembre 2021, d'après le communiqué de résultats de l'entreprise. Et quelque 3,64 milliards de personnes dans le monde se servent d'au moins une des plateformes du groupe (Facebook, Instagram, Messenger, WhatsApp) tous les mois.

Pour Debra Aho Williamson, analyste chez eMarketer, Meta doit quand même "faire face à la réalité: la croissance des utilisateurs de Facebook stagne". "Il revient donc à Instagram de servir de moteur de croissance", a-t-elle ajouté. "Le métavers génère beaucoup de presse, mais Horizon Worlds, la plateforme sociale en réalité virtuelle de Meta, ne compte que quelques centaines de milliers d'utilisateurs à ce stade".

Le groupe de Mark Zuckerberg a changé de nom en octobre pour signaler un changement de stratégie. Le géant des réseaux sociaux entend se concentrer sur le "métavers", considéré dans la Silicon Valley comme l'avenir de l'internet: un univers parallèle où le public utilisera des lunettes de réalité augmentée ou virtuelle pour interagir, travailler ou se divertir.

"Plus de personnes que jamais utilisent nos services aujourd'hui", s'est félicité le patron, cité dans le communiqué. "Nous restons confiants dans les opportunités sur le long terme et la croissance que notre plan d'action va débloquer".

Vents contraires

Dans l'immédiat, le deuxième acteur mondial de la publicité en ligne fait néanmoins face à de nombreux vents contraires. La comparaison avec l'année 2021, marquée par l'explosion des plateformes sur le web et mobiles grâce à la pandémie, lui est défavorable.

Et dans le contexte de l'inflation et des difficultés sur la chaîne d'approvisionnement, les annonceurs doivent resserrer leur budget. En outre, beaucoup ont adopté la très populaire application concurrente TikTok.

"Nous nous attendons à des revenus compris entre 28 et 30 milliards de dollars au deuxième trimestre 2022", a indiqué Meta, "en prenant en compte des tendances qui ont affecté la croissance au premier trimestre, notamment sur la fin, au moment du début de la guerre en Ukraine".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Culture

A Paris, une passerelle au nom de la chanteuse Jane Birkin

Publié

le

Une passerelle Jane Birkin a été inaugurée samedi à Paris. (© KEYSTONE/DPA/PARSCHAUER)

Une passerelle Jane Birkin a été inaugurée samedi à Paris en hommage à la chanteuse et comédienne franco-britannique décédée en 2023, en présence de ses filles Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon, a constaté l'AFP.

"La passerelle Jane Birkin, c'est poétique, elle aurait tellement aimé", a déclaré, la voix étouffée par les sanglots, Charlotte Gainsbourg, devant ce pont qui enjambe le célèbre canal Saint-Martin, dans le 10e arrondissement de Paris, et porte désormais le nom de sa mère.

"Ça pourrait être le pont qui la reliait à l'Angleterre et qui la faisait revenir dare-dare en France, son pays d'adoption", a-t-elle poursuivi devant une centaine de personnes, imaginant déjà des Parisiens s'y donner rendez-vous pour "flâner".

"Se donner rendez-vous sur la passerelle Jane Birkin"

"On dira au taxi 'la passerelle Jane Birkin, s'il vous plaît'", a lancé la comédienne et chanteuse. "Se donner rendez-vous, et flirter et s'embrasser, s'embrasser sur la passerelle Jane Birkin".

Aux côtés de Lou Doillon et du petit-fils de Jane Birkin, Roman de Kermadec, Charlotte Gainsbourg a ensuite dévoilé la plaque qui surplombe les premières marches du pont et sur laquelle on peut lire: "Passerelle Jane Birkin (1946-2023) chanteuse, comédienne, réalisatrice".

"Mon fils me demandait ce matin si ma mère était encore morte. Alors je lui ai dit 'oui, mais aujourd'hui, elle devient un pont'. Et c'est génial de pouvoir dire ça", a plaisanté Lou Doillon, selon qui "il manquait un lieu". "La tranquillité, le silence et la révérence du cimetière ne lui allait décidément pas", a-t-elle poursuivi.

Jane Birkin rejoint ainsi huit autres comédiennes (Arletty, Michèle Morgan, Maria Schneider...) qui ont donné leurs noms aux passerelles au-dessus du canal Saint-Martin.

Mort en juillet 2023 à 76 ans, elle était l'Anglaise préférée des Français, une icône de mode et une voix teintée d'un délicieux accent. Londonienne d'origine, naturalisée française, Jane Birkin a connu un succès mondial avec des chansons comme "Je t'aime... moi non plus", duo avec Gainsbourg en 1969 au parfum de scandale, "Jane B" la même année ou "Ex-fan des sixties" en 1978.

Au cinéma, Jane Birkin a été vue dans "Blow up" d'Antonioni, Palme d'or 1967, puis dans "La Piscine" avec Romy Schneider et Alain Delon en 1969, avant de s'affirmer avec des réalisateurs comme Agnès Varda, Michel Deville, Bertrand Tavernier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

L'inscription du yodel à l'Unesco fêtée en grande pompe à Schwyz

Publié

le

Les amateurs de yodel se sont retrouvés pour participer à des ateliers à l'occasion de la Jornée du yodel à Schwyz. (© KEYSTONE/PHILIPP SCHMIDLI)

L'inscription par l'Unesco du yodel sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité a été célébrée en grande pompe samedi à Schwyz, à l'occasion de la "journée du yodel". La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider était de la partie.

L'événement était organisé par le canton de Schwyz, la haute école de musique de Lucerne - qui propose depuis 2018 un master dans cette discipline -, l'association suisse de yodel et diverses institutions spécialisées. Il s'est tenu deux jours après la décision du comité intergouvernemental de l'Unesco.

C'est avant tout le patrimoine culturel suisse qui a été célébré, mais pas seulement. Nadja Räss, professeure de musique folklorique et de yodel à la Haute école de Lucerne, a toujours qualifié le yodel de "cinquième langue nationale" de la Suisse, mais elle a relativisé cette affirmation auprès de Keystone-ATS.

"On pratique également le yodel en Autriche et surtout dans le sud de l'Allemagne. Et qui sait, peut-être qu'à l'avenir, le yodel sera inscrit sur la liste de l'Unesco de manière multinationale", dit-elle.

La Suisse est déjà associée à plusieurs inscriptions multinationales de traditions au patrimoine culturel immatériel de l'humanité: l'art de la construction en pierres sèches, l'alpinisme, les ateliers de cathédrales et l'irrigation traditionnelle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Le Rhône et Robert Hainard à l'honneur au Quartier Libre SIG

Publié

le

Quartier SIG présente dès lundi à Genève l'exposition "Libre comme le Rhône de Robert Hainard". (© ®fondation Hainard)

Quartier Libre SIG accueille au pont de la Machine à Genève l’exposition "Libre comme le Rhône de Robert Hainard". Ce récit fluvial enrichi par l'½uvre du naturaliste Robert Hainard propose de remonter le temps et de suivre l'évolution du Rhône genevois. A découvrir dès lundi et jusqu'au 29 mars 2026.

L'exposition retrace près d'un siècle de transformations: des paysages sauvages d'avant 1937 à la construction du barrage de Verbois en 1944, en passant par le projet de centrale nucléaire abandonné dans les années 1980 et la renaturation des Teppes de Verbois en 2000.

A travers peintures, gravures, photographies et archives, le public découvre comment le territoire a dû concilier besoins énergétiques croissants et protection de la nature. Au centre du récit, l'oeuvre du Genevois Robert Hainard, philosophe, artiste et pionnier de la pensée écologique.

Le naturaliste passionné a longuement observé la faune et les paysages du Rhône genevois, allant jusqu'à passer des nuits d'affût pour saisir les dernières loutres du fleuve. Il documente cette évolution avec des oeuvres majeures, dont la série "Nuits d'hiver au bord du Rhône", exposée pour la première fois depuis 1952.

Organisée par les Services industriels de Genève (SIG), en partenariat avec la Fondation Hainard et sous le commissariat de Nicolas Crispini, cette exposition ouverte au public dès le 15 décembre sera inaugurée le 20 janvier. Des visites guidées seront proposées sur inscription.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Plus de 175 chefs-d'oeuvre de la gravure exposés à Martigny (VS)

Publié

le

La nouvelle exposition de la Fondation Gianadda propose de découvrir 178 chefs-d'oeuvre de la gravure des XX et XIXe siècles. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

"L'immense créativité des artistes dans le domaine de l'estampe" se révèle à travers la nouvelle exposition de la Fondation Gianadda. "De Manet à Kelly: l'art de l'empreinte" présente 178 chefs-d'oeuvre de la gravure des XIXe et XXe siècles jusqu'au 14 juin 2026.

Edouard Manet, Elssworth Kelly, Francisco de Goya ou Edvard Munch font partie des noms qui habillent les murs de l'institution muséale martigneraine. Cette "présentation exceptionnelle d'oeuvres modernes et contemporaines" plonge le public dans les collections de la bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art (INHA) de Paris, initiée par le mécène français Jacques Doucet.

L'accrochage est organisé en une dizaine de séquences thématiques, dont une dédiée à l'histoire du collectionneur. "L'estampe s'y révèle comme un art de l'empreinte, de l'action de la matière, du multiple et la variation", écrit la Fondation Gianadda.

"De Manet à Kelly: l'art de l'empreinte" est pensée comme un prolongement d'une exposition de 1992, où quelques oeuvres avaient déjà été montrées.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Vierge

Samedi qui se passe avec un sentiment de clarté, vous trouvant satisfait d’avoir avancé avec finesse dans ce climat mouvant.

Les Sujets à la Une