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Série télé: mort de Lisa Loring, la première Mercredi Addams

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Lisa Loring, ici en 2006 (2e depuis la droite), a joué la petite Mercredi dans la série télé "La Famille Addams" dès 1964. (© KEYSTONE/AP AMERICAN BROADCASTING COMPANIES,/IDA MAE ASTUTE)

L'actrice américaine Lisa Loring est morte samedi d'une attaque cérébrale à 64 ans, selon les réseaux sociaux et médias américains. Elle a incarné enfant le personnage de Mercredi Addams dans la série télé des années 1960 "La Famille Addams".

Le décès de Lisa Loring, révélé dans la nuit de dimanche à lundi par le média spécialisé Variety et par CNN, citant son agent, a une certaine résonance aux Etats-Unis et en Europe en raison de la nouvelle série sur Netflix, "Mercredi", de Tim Burton avec Jenna Ortega.

"C'est avec une très grande tristesse que je fais part de la mort de notre amie Lisa Loring", a écrit sur Facebook une productrice et proche de la disparue, Laurie Jacobson, invoquant un grave accident vasculaire cérébral (AVC) en raison du tabac et de l'hypertension.

Sous respirateur artificiel pendant quelques jours, sa famille a pris la décision de la laisser mourir le 28 janvier. Selon Mme Jacobson, "elle restera Mercredi Addams, inscrite à jamais dans la culture pop et dans nos coeurs".

Son rôle le plus connu

Née en 1958 aux Iles Marshall, Lisa Ann DeCinces de son vrai nom, avait commencé une carrière de mannequin-enfant à l'âge de trois ans, avant de jouer la petite Mercredi dans la série télé "La Famille Addams" en 1964. Son rôle le plus connu qu'elle reprendra plus âgée en 1977.

Cette célèbre famille, imaginée en dessins dans les journaux américains en 1938 par Charles Addams, a connu ensuite plusieurs adaptations, notamment le film à succès "La Famille Addams" en 1991 avec Christina Ricci dans le rôle de Mercredi.

Et Netflix diffuse depuis fin novembre une nouvelle série, "Mercredi", réalisée par Tim Burton avec Jenna Ortega dans le rôle-titre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Associations pour le retrait d'un tableau de Miriam Cahn déboutées

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La justice française n'a pas suivi les plaignants qui estimaient que "Fuck Abstraction", un tableau de Miriam Cahn, ci-contre, pouvait être jugé pédopornographique. (© KEYSTONE/DPA/OLIVER BERG)

Le tribunal administratif de Paris a débouté des associations de défense des droits de l'enfant demandant le décrochage du tableau "Fuck abstraction" au Palais de Tokyo, qu'elles considéraient comme pédopornographique, selon une ordonnance rendue mardi.

Cette peinture de l'artiste suisse Miriam Cahn représente "la silhouette d'un homme au corps très puissant, sans visage, qui impose une fellation à une victime de corpulence très fragile" et aux mains liées, décrit le tribunal, saisi en référé (une procédure d'urgence) par les associations Juristes pour l'enfance, l'Enfance en partage, Face à l'inceste et Innocence en danger.

Cette oeuvre fait l'objet d'une polémique, ces associations y voyant une oeuvre à caractère pédopornographique, face notamment au musée et aux défenseurs de la liberté artistique.

Quelque 12'000 personnes ont signé une pétition en ligne pour demander son décrochage.

Interrogée par la députée du Rassemblement national (RN, extrême droite) Caroline Parmentier, la ministre française de la Culture, Rima Abdul Malak, avait appelé la semaine passée à ne pas tout "mélanger", réaffirmant le "combat pour la protection de l'enfance et contre toutes les formes de violence".

"Avez-vous vu l'ensemble de l'exposition ? Avez-vous échangé avec les médiateurs? Avez-vous lu les explications? Parce qu'on ne peut pas sortir une oeuvre de son contexte", avait-elle poursuivi, citant les propos de l'artiste elle-même.

Horreurs de la guerre

Le tribunal administratif, qui a entendu lundi les parties lors d'une audience, a estimé que "l'oeuvre ne saurait (...) être comprise en dehors de son contexte et du travail de l'artiste Miriam Cahn qui vise à dénoncer les horreurs de la guerre, ainsi que cela est rappelé dans le document de présentation de l'événement distribué au public".

Il explique qu'elle "traite de la façon dont la sexualité est utilisée comme arme de guerre et fait référence aux exactions commises dans la ville de Boutcha en Ukraine lors de l'invasion russe, représentant crûment la violence subie par la population ukrainienne".

Public averti

Le tribunal souligne, par ailleurs, que le Palais de Tokyo a choisi d'exposer le tableau "dans une salle séparée avec d'autres oeuvres susceptibles de choquer le public" et mis en place des panneaux d'avertissement et des médiateurs susceptibles de répondre aux questions du public.

"Depuis le 17 février 2023, l'exposition a accueilli 45'000 visiteurs sans qu'aucune difficulté n'ait jamais été constatée par le Palais de Tokyo qui n'a reçu aucune plainte ou signalement des visiteurs et n'a pas recensé de mineurs visitant seuls l'exposition", ajoute-t-il dans son ordonnance.

Pas convaincant

Dans un communiqué, le Palais de Tokyo s'est félicité de la décision qui "défend les libertés fondamentales" et lui "donne raison". Il regrette cependant "l'instrumentalisation de cette oeuvre d'art et le mépris du rôle fondamental que jouent les musées partout dans le monde pour défendre les libertés dans le respect des droits de l'Homme".

"Très décevant", a réagi auprès de l'AFP l'avocat de Face à l'inceste, Me Mathieu Dahan. "La cohérence scénographique de l'exposition, qui globalement donne à voir beaucoup d'enfants, et celle de l'oeuvre nous imposent de voir un enfant. Nous dire qu'il y a une partie réaliste et une autre onirique juste pour ce tableau litigieux n'est pas convaincant", a-t-il dénoncé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Film "porno" : Michel Houellebecq perd son procès aux Pays-Bas

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Michel Houellebecq a déjà perdu une action similaire en France. Il dit avoir signé le contrat parce qu'il était déprimé et avait bu. (© KEYSTONE/EPA EFE/HUGO ORTUNO)

Un tribunal néerlandais a rejeté mardi une requête de l'écrivain français Michel Houellebecq de faire interdire un film qu'il estime diffamatoire, "Kirac 27", qualifié de porno et mettant en scène l'auteur à succès mondial.

Dans la bande-annonce de ce film, réalisé par le collectif néerlandais Kirac, l'écrivain apparaît torse nu en train d'embrasser une jeune femme dans un lit. M. Houellebecq estime que cela avait nui à sa réputation et qu'il a été dépeint comme une "star du porno".

Le tribunal "refuse les injonctions demandées et condamne Houellebecq à payer les frais de procédure, estimés à ce jour à 1393 euros", a déclaré le juge des référés du tribunal d'Amsterdam.

"Il est incompréhensible que Houellebecq ait participé aux enregistrements s'il trouvait le contrat vraiment problématique", a-t-il expliqué dans un jugement écrit.

Le juge a rejeté les affirmations de M. Houellebecq selon lesquelles il n'avait signé le contrat que parce qu'il était déprimé et avait bu.

Appel envisagé

L'auteur a qualifié le verdict de "très décevant", a déclaré à l'AFP son avocate néerlandaise Jacqueline Schaap.

"M. Houellebecq envisage sérieusement un appel urgent", a-t-elle ajouté.

Le réalisateur du film, Stefan Ruitenbeek, s'est dit soulagé par la décision.

"J'ai toujours eu l'intention de faire un portrait intègre. J'espère que Michel sera heureux avec le résultat", a-t-il déclaré dans un communiqué publié par son avocat.

En février, M. Houellebecq a perdu une action en justice similaire devant un tribunal français.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Hyper Ouest, nouveau festival de l'Ouest lausannois

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Les Young Gods figurent parmi les nombreux artistes attendus pour la première édition du festival Hyper Ouest (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Un nouveau festival, Hyper Ouest, débarque dans l'Ouest lausannois. Dès le 27 avril et durant onze jours, la manifestation proposera concerts, spectacles, créations artistiques, balades, expos ou encore soirées clubbing.

L'événement a été imaginé pour fêter les quinze ans du district de l'Ouest lausannois. Concocté notamment par l'équipe du festival genevois Antigel et le bureau Urbaplan, il se déploiera sur 26 lieux dans les huit communes partenaires: Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier, Ecublens, Prilly, Renens, Saint-Sulpice et Villars-Ste-Croix.

"Cette aventure multi-lieux invite à redécouvrir les trésors de l'Ouest lausannois en investissant les espaces quotidiens et des lieux en transition de façon inédite, unique et exceptionnelle", indiquent les organisateurs mardi dans leur communiqué.

Des créations

Pour les concerts, la programmation mêle musiciens locaux, suisses et internationaux avec, en tête d'affiche, les Young Gods. Le rappeur Makala, le pionnier de la techno française Arnaud Rebotini, le groupe des Psychotic Monks ou encore la chanteuse Billie Bird sont notamment annoncés.

De nombreux spectacles sont également programmés, en collaboration avec le théâtre Kléber-Méleau et la Grange/UNIL. Sept créations spécialement conçues pour le festival se tiendront dans des lieux inédits (entreprise de recyclage, tracé du futur tram, tuilerie, forêt, lac, etc).

Balades et clubbing

Diverses balades seront proposées sur la thématique des graffitis, de la Venoge, des campus de l'UNIL et de l'EPFL ou encore sur le passé industriel de l'Ouest lausannois. Une septantaine d'étudiants de l'ECAL vont aussi investir les anciennes halles du bâtiment Veillon pour créer une exposition en utilisant des projections vidéo.

Cette friche industrielle sera également transformée en espace de clubbing, l'Hyper Club. Quatre soirées y sont prévues, en collaboration avec des acteurs des nuits lausannoises (Sacrée Déter, Electrosanne, la Main Mise et le D! Club).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Angélique Kidjo remporte le prestigieux prix Polar

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Angélique Kidjo est l'une des meilleures interprètes-compositrices de la musique internationale, estime le jury suédois. (archives) (© KEYSTONE/MANUEL LOPEZ)

La chanteuse franco-béninoise Angélique Kidjo a remporté mardi le prix international Polar Music, conjointement avec le fondateur britannique de la maison de disque Island Records Chris Blackwell et le compositeur estonien Arvo Pärt.

Née en 1960 un mois avant l'indépendance du Bénin (alors Dahomey), elle chante depuis plus de 30 ans dans ses langues paternelle et maternelle, le fon et le yoruba, ainsi qu'en français et en anglais.

"Angélique Kidjo est une source d'inspiration. C'est l'une des meilleures interprètes-compositrices de la musique internationale", a salué le jury suédois dans un communiqué.

Déjà 5 Grammys

Surnommée "la diva africaine" par le magazine Time, elle a déjà gagné cinq Grammys, plus grosses récompenses de la musique américaine.

Le Britannique Chris Blackwell, 85 ans, a lui créé la maison de disques Island Records en 1959, devenue légendaire après avoir accueilli Bob Marley, Cat Stevens, Roxy Music ou encore U2.

Arvo Pärt, décrit à 87 ans comme "le compositeur vivant le plus joué dans le monde" par le jury, a lui été primé pour son invention dans les années 1970 du "tintinnabuli", une technique d'écriture musicale.

Fondé en 1989 par l'ancien manager d'ABBA Stig Anderson, le Prix Polar Music avait récompensé l'année dernière Iggy Pop et l'autrice-compositrice Diane Warren.

Les prix, ainsi qu'une somme de 600'000 couronnes (environ 53'600 euros), seront remis aux lauréats à Stockholm le 23 mai.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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