Culture
Tyson pourrait disputer un deuxième combat
Légende des rings, Mike Tyson a évoqué lundi la possibilité de participer à un autre combat après son match contre le YouTubeur et boxeur Jake Paul. Il balaye l'inquiétude quant à son âge.
"On dirait que ça va être sympa", a déclaré "Iron Mike" lors d'une conférence de presse organisé au célère Apollo Theater de New York. "Peut-être qu'on le refera."
Agé de 57 ans, Mike Tyson n'a plus combattu chez les professionnels depuis près de 19 ans et une défaite contre l'Irlandais Kevin McBride. "Je n'ai plus les tripes pour continuer", avait déclaré, à l'époque, l'Américain. "Je ne combattrai vraisemblablement plus."
Selon plusieurs médias, l'ancien champion du monde des lourds devrait recevoir plusieurs millions de dollars pour sa participation au combat qui aura lieu le 20 juillet à Arlington au Texas. Le meeting, dans ce stade de 80'000 places, sera retransmis en direct sur Netflix et accessible à tous les abonnés, soit 270 millions de foyers, une première pour le service de streaming.
Préoccupation
De nombreux observateurs, notamment l'ancien champion du monde américain Deontay Wilder, ont fait part de leur préoccupation de voir un quasi-sexagénaire (il aura 58 ans au moment du match) aligné dans un combat professionnel, disant redouter une blessure grave.
"Les gens qui disent ça (qu'il est trop vieux) aimeraient juste être à ma place", a rétorqué le natif de Brooklyn, qui a posté sur les réseaux sociaux des vidéos de ses entraînements.
Le combat contre Jake Paul, âgé de 27 ans, se déroulera en huit reprises de deux minutes chacune. "Je me sens super bien, mais mon corps, c'est de la merde, pour l'instant", a lancé Mike Tyson, le sourire aux lèvres.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Le nouveau Dictionnaire de l'Académie française remis à Macron
La neuvième édition du Dictionnaire de l'Académie française a été solennellement remise au président Emmanuel Macron jeudi, consacrant une quarantaine d'années de travail sur cet ouvrage aujourd'hui contesté.
Fondée en 1634 pour harmoniser la langue, l'Académie a pour mission d'écrire de A à Z ce dictionnaire qui fait plus ou moins référence. La dernière édition en date, la huitième, remontait à 1935, tandis que la première fut achevée en 1694.
Le président de la République est arrivé dans l'après-midi à l'Académie, où il a prononcé un discours devant les "Immortels", la ministre de la Culture Rachida Dati et des invités, a constaté un journaliste de l'AFP.
"Vous êtes les gardiens de notre langue. Et vous devez l'éclaircir pour ses centaines de millions de locuteurs partout dans le monde", a-t-il affirmé. "Conservateurs, révolutionnaires, vous êtes, permettez-moi de le dire, en même temps l'un et l'autre".
"Cette autorité est salutaire, qui fixe les repères, les permanences, et en même temps les conditions d'une inventivité", a estimé M. Macron.
"Le rythme d'élaboration de votre dictionnaire vous prémunit de cette tentation de céder aux tics et aux modes. Cette édition accueille le mot de zadiste, que les contemporains de Paul Valéry ne connaissaient probablement pas", a-t-il relevé.
Cette neuvième édition compte 59'000 mots.
Le Dictionnaire suscite, dans la communauté scientifique, des commentaires très variés, entre ceux qui jugent l'outil obsolète et ceux qui lui trouvent des mérites, à côté de ses rivaux édités par des entreprises privées comme le Larousse et le Robert.
"Que les neuf éditions soient disponibles gratuitement sur Internet relève aussi d'un service rendu unique au monde pour la population partageant le français", souligne le linguiste Jean Pruvost, candidat malheureux à l'Académie en 2021 et 2022, interrogé par L'Express.
"Le travail actuel de l'Académie à ce dictionnaire n'a plus de sens, tant sur le plan économique que scientifique. Les académiciens n'ont pas les compétences techniques et scientifiques", d'après le Collectif des linguistes atterrés, dans Libération.
Sur France Inter jeudi matin, une passe d'armes a opposé une membre de ce collectif, Julie Neveux, à un académicien, Antoine Compagnon. L'une déplorait que, dans la définition de "mail", il n'y ait pas de mention du courrier électronique. Le second relevait qu'il y avait un lien vers "Dire, ne pas dire" pour déconseiller cet anglicisme.
M. Macron a défendu le travail des académiciens, rarement des spécialistes du français. "Ceux qui définissent la langue ne sont pas forcément des linguistes mais aussi des écrivains. (...) Il est important que ce soit des écrivains qui s'occupent de la langue. Ils en ont le goût, l'usage", d'après lui.
Ce Dictionnaire est vendu en librairie, édité par l'Imprimerie nationale et Fayard.
Le tome 1 (A-Enzymologie) a connu plusieurs éditions entre 1992 et 2005. Le tome 2 (Éocène-Mappemonde) deux éditions, en 2000 et 2005. Le tome 3 (Maque-Quotité) est sorti en 2011. Le tome 4 (R-Zzz) est paru mercredi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Château de Prangins: les meilleures photos de presse 2023 exposées
Le Musée national suisse à Prangins (VD) revient en images sur 2023. Dès vendredi, il présente les travaux des lauréats du Swiss Press et World Press Photo. Les deux expositions rassemblent près de 300 images, du krach de Credit Suisse à l’éboulement de Brienz (GR).
L’exposition Swiss Press Photo 24 affiche quelque 150 tirages sélectionnés par la Fondation Reinhardt von Graffenried et publiés en 2023 dans les médias suisses. Parmi eux, les clichés du photographe de l'année Dominic Nahr de la NZZ réalisés dans plusieurs pays en conflit.
Pour le reste, feux de forêt à Bitsch en Valais, chronique d’un camping lausannois, évocation du métier d’assistant sexuel pour les personnes en situation de handicap ou encore après-ski: les photos de presse suisses reflètent un "pays kaléidoscopique, contrasté, inventif", soulignent les organisateurs.
L'exposition World Press Photo 2024 dévoile elle près de 140 images provenant des quatre coins du monde. Elles ont été choisies par une organisation indépendante basée à Amsterdam depuis 1955. Avec notamment le cliché lauréat de Mohamed Salem, une Palestinienne tenant le corps de sa nièce.
Les photographes ont également pisté les migrants en route vers les Etats-Unis au risque de leur vie, immortalisé les premiers réfugiés climatiques nord-américains et le retour à la maison de soldats éthiopiens. Les bombardements à Gaza, les exilés afghans, le tremblement de terre en Turquie, la révolution au Myanmar, la montée des eaux aux Iles Fidji, la sécheresse dans le bassin amazonien au Brésil ont également focalisé l’attention des reporters.
Chaque photo de presse pointe une vérité au milieu de mille vérités et de quelques mensonges, commentent les organisateurs. Swiss Press Photo 24 et World Press Photo 2024 déploient ces "vérités instantanées", comme autant d’arrêts sur image pour voir le monde.
L'exposition est ouverte jusqu'au 24 mai pour la partie internationale et jusqu'au 2 février pour le volet helvétique.
www.museenational.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Yoko Ono est bien propriétaire de la montre offerte à John Lennon
Yoko Ono est bien propriétaire de la montre offerte à John Lennon deux mois avant l'assassinat du fondateur des Beatles. Le Tribunal fédéral rejette le recours d'un collectionneur contre la décision de la justice genevoise. Il avait acquis l'objet en Allemagne en 2014.
Pour la 2e Cour de droit civil, il n'est pas contesté que Yoko Ono a hérité de la montre après le décès de son mari le 8 décembre 1980. La justice genevoise a retenu sans arbitraire que l'objet avait été volé par la suite par son ancien chauffeur. Aucun élément ne permet de retenir que l'artiste l'aurait offert à ce dernier.
Dès lors que la montre a été volée, le recourant ne pouvait pas en acquérir légitimement la propriété. Selon le droit allemand applicable en la matière, la bonne foi de l'acheteur quant à l'origine de l'objet ne joue aucun rôle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le quotidien espagnol La Vanguardia cesse de publier sur X
Le quotidien espagnol La Vanguardia ne publiera plus de contenus sur X, la plateforme d'Elon Musk. Celle-ci est devenue selon le journal "un réseau de désinformation". La veille, le quotidien britannique The Guardian avait fait une annonce similaire.
"L'ex-Twitter rend viraux des messages qui portent atteinte aux droits humains", accuse le journal espagnol basé à Barcelone jeudi dans un éditorial, dans lequel il souligne qu'il continuera toutefois à suivre sur le réseau social les comptes de personnalités, d'entreprises ou de personnalités pour "pouvoir informer ponctuellement ses lecteurs de messages ou de débats qui peuvent y être échangés ou y avoir lieu".
"Les responsables du journal ont indiqué qu'ils étaient inquiets depuis longtemps car les théories du complot et le mépris des droits de l'homme sont très présents sur X. Le facteur qui a fini par les décider de quitter le réseau social a été la couverture des élections présidentielles aux États-Unis", poursuit le texte.
A l'issue de l'élection qu'il a remporté le 5 novembre, Donald Trump a annoncé son intention de nommer le patron de X Elon Musk --l'homme le plus riche du monde, acquéreur de Twitter, devenu X, en 2022-- à la tête d'une commission chargée de tailler dans la dépense publique, conjointement avec l'homme d'affaires républicain Vivek Ramaswamy.
Accusations
"X s'est empli depuis l'arrivée d'Elon Musk de contenu toxique (...) de façon de plus en plus marquée", fustige encore La Vanguardia. "Ce réseau social s'est transformé en une plateforme sur laquelle les théories conspirationnistes et la désinformation trouvent une caisse de résonance".
"La présence croissante de +bots+ sur X s'est multipliée jusqu'au ridicule, dans des affaires graves comme la tragédie de la goutte froide à Valence (les récentes intempéries qui ont fait plus de 220 morts dans le sud-est du pays, ndlr), au cours de laquelle d'innombrables +bots+ d'origine indienne ont pris part aux débats publics sur ce réseau social", souligne encore le quotidien.
"Ce journal constate que les idées qui portent atteinte aux droits humains, comme la haine envers les minorités ethniques, la misogynie et le racisme, font partie des contenus viraux qui circulent sur X, où elles deviennent virales et captent le temps des utilisateurs afin de gagner plus d'argent grâce aux publicités", décrit-il.
Mercredi déjà, The Guardian avait annoncé quitter le réseau social, le qualifiant de "plateforme médiatique toxique".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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