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Devant le Parlement, Elisabeth Borne appelle au "compromis"

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La Première ministre française Elisabeth Borne a vécu son baptême du feu mercredi après-midi devant l'Assemblée nationale. (© KEYSTONE/EPA/Mohammed Badra)

La Première ministre française Elisabeth Borne a appelé mercredi à "bâtir ensemble" des "compromis" pour répondre aux défis économiques ou climatiques lors de sa déclaration de politique générale au Parlement. Elle n'a toutefois pas convaincu les oppositions.

"Nous mesurons tous l'ampleur de la tâche: les Français à protéger, la République à défendre, notre pays à rassembler, la planète à préserver", a énuméré Mme Borne devant l'Assemblée nationale. Son discours de près d'une heure et demie a été régulièrement interrompu par la gauche qui a déposé une motion de censure.

Tout en défendant le bilan du premier quinquennat d'Emmanuel Macron, la Première ministre a assuré avoir entendu "le message" des électeurs qui ont privé le camp présidentiel d'une majorité absolue à l'Assemblée. "Par le résultat des urnes, ils nous demandent d'agir et d'agir autrement", a dit Mme Borne.

"Redonner un sens au mot compromis"

Enumérant les défis posés par la guerre en Ukraine ou l'"urgence écologique" et appelant à reprendre le "chemin de l'équilibre" des finances publiques, Mme Borne a exhorté les députés à redonner "un sens et une vertu au mot compromis".

"Nous ne sommes peut-être pas d'accord sur toutes les solutions", a-t-elle consenti, mais "les Français nous demandent de nous parler plus, de nous parler mieux et de construire ensemble".

Face au risque de blocage à l'Assemblée où le camp macroniste ne dispose que d'une majorité relative, la Première ministre a martelé que "le désordre et l'instabilité ne sont pas des options", déplorant une vie politique faite depuis "trop longtemps (...) de blocs qui s'affrontent".

Appel à réformer les retraites

Sur le fond, la Première ministre a affirmé que le projet de loi pour le pouvoir d'achat, présenté jeudi en Conseil des ministres, comporterait des mesures "concrètes, rapides, efficaces" contre l'inflation.

Invitée du 20h00 de TF1, elle a chiffré ce nouveau paquet de mesures à environ 20 milliards d'euros. Elle a notamment mentionné une "aide d'urgence à la rentrée" d'un montant de 100 euros par foyer à destination des plus modestes. Alors que monte le débat sur les "profiteurs de crise", elle a invité les entreprises "qui le peuvent financièrement" à augmenter les salaires.

Très attendue sur le climat, Mme Borne a plaidé, devant les députés, pour des "réponses radicales" tout en rejetant la voie de "la décroissance". Elle a aussi annoncé son intention de renationaliser à 100% EDF, affirmant que "la transition énergétique passe par le nucléaire".

Elle a aussi abordé le dossier explosif des retraites en soutenant que la France avait "besoin" d'une réforme qui ne "sera pas uniforme et devra prendre en compte les carrières longues et la pénibilité". "Oui, nous devrons travailler progressivement un peu plus longtemps", a-t-elle lâché, déclenchant une bronca à gauche.

Soutien à la police

Abordant le "combat de la sécurité", la Première ministre a apporté son soutien aux forces de l'ordre. "Honte à ceux qui attaquent systématiquement nos policiers", a-t-elle lancé, dans une allusion au leader Insoumis Jean-Luc Mélenchon, qui avait accusé la police de "tuer".

Alors que l'épidémie de Covid-19 repart à la hausse, Mme Borne a par ailleurs recommandé le port du masque dans les lieux clos et bondés, comme les transports, mais a exclu pour l'heure d'imposer "une mesure nationale d'obligation".

Critiques

Ces appels au compromis de Mme Borne n'ont pas semblé convaincre les principaux chefs de file de l'opposition, qui ont pris la suite de la Première ministre à la tribune de l'Assemblée, contestant parfois sa légitimité.

Son maintien à Matignon après les législatives relève de la "provocation politique", a clamé Marine Le Pen. "Le président fait comme s'il ne s'était rien passé", mais "c'est le retour du politique qui lui saute au visage". La cheffe de file du Rassemblement national (RN) a toutefois ajouté que des "voies de passage" étaient envisageables sur certains textes.

"Votre stratégie désormais c'est 'sauve qui peut'. Et vous êtes prêts à tout. Jamais de compromis mais toutes les compromissions", a raillé la cheffe de file des députés LFI, Mathilde Panot à l'adresse d'Élisabeth Borne qui a renoncé à se soumettre au vote de confiance des députés.

Plus conciliant, Olivier Marleix (LR) a assuré que son groupe ne se livrerait à aucune "compromission" avec l'exécutif mais qu'il resterait ouvert à un soutien sur certains textes.

Après ces critiques, Elisabeth Borne est, conformément aux usages, remontée à la tribune pour répliquer à un débat qu'elle a jugé "assez caricatural". "Il y a des groupes qui persistent à privilégier les attaques personnelles et les invectives sur le dialogue", a-t-elle lancé. Malgré cela, la Première ministre a cru déceler "des points de convergence" avec certains dans l'opposition.

Main tendue au Sénat

Le soir au Sénat où elle poursuivait son grand oral, Mme Borne a appelé à "s'inspirer" de "l'expérience" des sénateurs et en promettant d'agir "en lien étroit" avec les élus locaux. Elle a de nouveau défendu la nécessité de "bâtir ensemble" des compromis.

"Poursuivez ainsi madame la Première ministre", a répondu le président du Sénat Gérard Larcher, alors que les propos de Mme Borne suscitaient des applaudissements. Parallèlement M. Larcher a affirmé dans un entretien au Midi Libre tendre "la main au gouvernement" et proposer "une nouvelle méthode" avec l'examen de textes en première lecture à la chambre haute "pour être moins dans le coup politique".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Brésil: loi pour réduire la peine de Bolsonaro approuvée

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Des manifestants avaient défilé dans diverses villes brésiliennes dimanche pour montrer leur désaccord quant au projet de loi. (© KEYSTONE/EPA/ISAAC FONTANA)

Le Congrès brésilien a approuvé mercredi une proposition de loi pour réduire la peine de prison de l'ex-président Jair Bolsonaro. Ce dernier avait été condamné en septembre à 27 ans de réclusion pour tentative de coup d'Etat.

Le texte, porté par la majorité conservatrice et adopté à 48 voix contre 25 mercredi par le Sénat, pourrait réduire sa durée d'incarcération à deux ans et quatre mois.

Son approbation par la Chambre des députés la semaine dernière avait suscité de nombreuses critiques. Des manifestations contre la mesure, organisées dimanche, ont rassemblé des dizaines de milliers de personnes dans plusieurs grandes villes du pays.

L'ancien dirigeant d'extrême droite (2019-2022) a commencé à purger sa peine fin novembre dans les locaux de la Police fédérale à Brasilia.

Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva peut apposer son veto à la loi de réduction de peine, mais celui-ci peut à son tour être annulé par le Congrès.

En l'état, Jair Bolsonaro, 70 ans, pourrait demeurer incarcéré environ huit ans avant de bénéficier d'un éventuel aménagement de sa peine, selon le Tribunal d'exécution des peines de la capitale brésilienne.

Le nouveau texte prévoit également d'accorder la liberté conditionnelle à des dizaines de ses partisans condamnés pour les émeutes du 8 janvier 2023 à Brasilia.

Ce jour-là, des milliers de bolsonaristes avaient saccagé le Parlement, le palais présidentiel et la Cour suprême, réclamant une intervention militaire pour déloger du pouvoir le président actuel de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, une semaine après son investiture.

Texte reformulé

Le sénateur centriste Renan Calheiros a qualifié le vote de "farce" et quitté la séance, accusant les alliés du gouvernement d'avoir laissé passer le texte en échange de soutien à une initiative augmentant la fiscalité sur certaines entreprises.

Le sénateur du Parti des travailleurs au pouvoir Randolfe Rodrigues a nié tout accord de ce type.

Au sein d'un Parlement à forte majorité conservatrice, les bolsonaristes tentent en vain depuis février de faire voter un texte permettant à Jair Bolsonaro de bénéficier d'une amnistie totale.

Mais à l'approche des vacances parlementaires de fin d'année, ils ont estimé que la réduction de sa peine constituait "une première étape".

La semaine dernière, la proposition de loi avait été approuvée par les députés à l'issue d'une séance houleuse.

Le rapporteur de la proposition de loi à la chambre haute, Espiridao Amin, allié de M. Bolsonaro, a changé la formulation du texte pour que la réduction de peine ne concerne que les personnes condamnées "pour des crimes contre l'Etat de droit".

Cela concerne donc l'ancien président et ses proches collaborateurs condamnés pour tentative de coup d'Etat, ainsi que les émeutiers du 8 janvier 2023.

"Voué au veto"

L'entrée en vigueur d'une éventuelle réduction de peine pour Jair Bolsonaro pourra être retardée si le président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva décide de censurer le texte avant sa promulgation.

"Ce texte est voué au veto", a dit aux journalistes le sénateur de gauche Randolfe Rodrigues, le qualifiant de "lamentable".

Mais le Parlement aura le dernier mot et pourrait voter l'annulation du veto présidentiel.

Le rapporteur de la proposition de loi à la chambre basse, Paulinho da Força, l'a qualifiée de "geste de réconciliation" dans un pays fortement polarisé.

En septembre, à l'issue d'un procès historique, Jair Bolsonaro a été reconnu coupable par la Cour suprême d'être le leader d'une "organisation criminelle" ayant conspiré pour son maintien au pouvoir malgré sa défaite à la présidentielle de 2022.

Selon l'accusation, ce projet putschiste, qui prévoyait même l'assassinat de Lula après son élection au second tour, a échoué faute de soutien du haut commandement militaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Le canal de Panama rapporte des taxes record pour l'Etat

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Le canal du Panama a rapporté un montant record de taxes au pays. (© KEYSTONE/AP/MATIAS DELACROIX)

Le Panama a enregistré un niveau de taxes record provenant du transit maritime sur son canal interocéanique. L'augmentation du nombre de passages de bateaux après deux années de récession en raison de la sécheresse en est la raison.

Le Trésor national a perçu 2,965 milliards de dollars de taxes, selon une annonce effectuée lors d'une cérémonie en présence du président panaméen, José Raúl Mulino, qui a reçu un chèque symbolique des mains de plusieurs ouvriers.

"Je vous félicite avec fierté" pour cette réussite, a déclaré M. Mulino aux employés lors d'une visite des installations portuaires.

La voie faite d'écluses, remplies par des bassins d'eau potable, a été durement affectée en 2023 et 2024 par une sécheresse qui a contraint à réduire considérablement le nombre de bateaux en transit.

En 2025, "la moyenne quotidienne des transits à fort tirant d'eau a été de 33, contre 27 l'année précédente", a indiqué l'Autorité du canal de Panama dans un communiqué.

Construit par les Etats-Unis en 1914 pour relier l'Atlantique au Pacifique, le canal de Panama, par lequel transite 5% du commerce maritime mondial, a rapporté plus de 30 milliards de dollars à l'Etat depuis son passage sous contrôle panaméen en 1999.

Les taxes perçues des bateaux de commerce qui y transitent représentent 6% du PIB, et un cinquième des recettes courantes du budget national.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Municipales à Paris: "union historique" à gauche derrière Grégoire

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Emmanuel Grégoire (à gauche de Nicolas Sarkozy sur la photo) sera le candidat de la gauche unifiée aux Municipales de Paris. (© KEYSTONE/EPA AFP POOL/LUDOVIC MARIN / POOL)

Du jamais vu à Paris: socialistes, écologistes et communistes partiront unis au premier tour des municipales, derrière le socialiste Emmanuel Grégoire, selon un accord arraché au terme de négociations délicates.

"C'est un moment historique", a salué mercredi soir Emmanuel Grégoire, ex-premier adjoint de la maire sortante, Anne Hidalgo, qui mènera la liste d'union le 15 mars 2026 au côté des chefs de file des écologistes David Belliard et des communistes Ian Brossat.

Leur soutien "m'honore et m'oblige pour la bataille à venir", a déclaré le député de Paris dans un communiqué.

Si socialistes et écologistes gouvernent ensemble la capitale depuis 2001, ils n'avaient encore jamais mené campagne commune dès le premier tour. Mais face à la droite offensive de Rachida Dati, cette solution était réclamée sur le terrain.

L'accord a été approuvé dans la soirée par le conseil fédéral des socialistes parisiens, à 85%, et par plus de 70% des militants écologistes de la capitale, dont le vote était décisif.

David Belliard a salué sur Instagram "un vote de responsabilité, pour faire gagner l'écologie sociale et populaire" face à "une droite trumpiste, anti-pauvres, affairiste et climatosceptique", incarnée selon lui par la candidate LR Rachida Dati.

Selon l'accord consulté par l'AFP, les partenaires s'engagent "à tout faire pour qu'il n'y ait qu'une seule liste de gauche au second tour", excluant toute alliance avec le candidat Horizons soutenu par Renaissance Pierre-Yves Bournazel.

Mais sans fermer explicitement la porte aux Insoumis menés par Sophia Chikirou, même si Emmanuel Grégoire a répété qu'il ne discuterait pas avec LFI, au premier comme au second tour.

"Un effet vote utile"

Initialement annoncée pour octobre, cette alliance, qui associe également le parti de Raphaël Glucksmann Place publique et L'Après (ex-LFI), est le fruit de plus de trois mois de tractations serrées.

"Avec cette liste d'union il y aura un effet vote utile. Ca va forcément ouvrir une dynamique", espère une source à gauche.

Mais l'accord a un coût pour le PS qui dirige la capitale depuis 25 ans. "C'est difficile et parfois douloureux car cela implique que certains sortent des listes", glisse une source socialiste.

Les discussions achoppaient notamment sur la place des écologistes en lice pour le Conseil de Paris dans un contexte de changement de mode de scrutin.

Selon l'accord, 36 écologistes seraient éligibles contre 28 élus actuellement.

Source de profondes crispations chez les militants socialistes, les écologistes ont également obtenu que David Belliard soit tête de liste dans le XIe arrondissement, où fut élu Léon Blum et où l'est l'actuelle maire socialiste, Anne Hidalgo. Une troisième mairie verte en plus de celles du XIIe et du XIVe qu'ils administrent déjà.

Revendiquant leur rôle central dans la transformation de l'espace public, de l'essor des pistes cyclables aux "rues aux écoles", les écologistes conditionnaient leur retrait à l'obtention de concessions significatives.

Parmi les "marqueurs communs" figurent la revalorisation du périscolaire, un service de garde d'enfant universel, l'objectif de 40% de logement public (dont 30% de logement social), ou encore la poursuite de la piétonnisation et du verdissement de la ville.

Ainsi que la gratuité des bus proposée par David Belliard. Parmi les points de divergence, l'avenir du Parc des Princes.

"Guère d'autre choix"

"Au final, l'accord est assez favorable pour les Ecologistes, et ne l'aurait peut-être pas été à ce point dans une négociation de second tour", analyse Anne-France Taiclet, enseignante chercheuse en sciences politiques à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

"Les écologistes parisiens n'avaient guère d'autre choix, d'autant que le parti de Marine Tondelier est en difficulté dans plusieurs villes. Mais le PS a aussi besoin des écologistes pour essayer de concurrencer LFI dans les quartiers où vivent des jeunes et des diplômés de gauche qui ne veulent pas voter socialiste", décrypte la chercheuse pour l'AFP.

A l'instar de Paris, la plupart des grandes villes dirigées par la gauche ont franchi le pas d'une alliance rose-verte dès le premier tour.

Le jeu politique parisien est plus ouvert que jamais. Samedi, un sondage Ipsos pour Le Parisien créditait de 32% des voix au premier tour la gauche unie, hors LFI, derrière Emmanuel Grégoire, talonnée par Rachida Dati (27%), soutenue par le MoDem.

Pierre-Yves Bournazel est lui estimé à 14%, contre 13% pour Sophia Chikirou (LFI).

A l'extrême droite, la liste du RN de Thierry Mariani est créditée de 7%, ex-aequo avec celle de Sarah Knafo, candidate potentielle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Tour d'Espagne: le menu 2026 s'annonce très copieux

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Jonas Vingegaard voudra défendre son titre sur la Vuelta (© KEYSTONE/EPA EFE/JAVIER LIZON)

Un départ inédit de Monaco et une arrivée finale à Grenade avec dans l'intervalle une orgie de cols le long de la Méditerrannée. La 81e Vuelta (22 août-13 septembre) promet un menu très copieux.

La précédente édition du Tour d'Espagne s'était déroulée pour l'essentiel dans le nord de l'Espagne avant de se terminer dans le chaos à Madrid avec une dernière étape qui n'avait pas pu aller à son terme à cause de manifestations propalestiniennes. Jonas Vingegaard avait été obligé de fêter sa victoire sur un parking d'hôtel lors d'une cérémonie improvisée par les coureurs.

Pour l'édition 2026, les organisateurs espèrent que le changement de nom, de nationalité et de structure de l'équipe Israel Premier Tech, qui s'appelle désormais NSN Cycling, permettra d'éviter de tels débordements, tout comme lors du Tour de France d'ailleurs qui partira de Barcelone en juillet.

Final grandiose

Le parcours n'a rien à voir avec celui de 2025 puisque, après deux premières étapes au départ de Monaco (dont un contre-la-montre individuel le premier jour) et une troisième étape en France entre Gruissan et Font-Romeu, le peloton longera la mer Méditerranée pour se diriger vers l'Andalousie et un final grandiose à Grenade devant le palais de l'Alhambra, un des plus beaux édifices au monde.

Le chemin pour y aller est particulièrement ardu avec pas moins de quatre étapes de moyenne montagne et six de montagne pour un dénivelé total absolument démentiel de 58'156 m, bien plus que le Giro ou le Tour de France, les deux autres grands Tours.

"Ce sera l'une des éditions les plus exigeantes de l'histoire", prévient Javier Guillen, le directeur de la Vuelta. Il espère attirer avec ce parcours la crème des grimpeurs. A commencer par Tadej Pogacar, même si le Slovène, contrairement à son compatriote Primoz Roglic en lice pour une cinquième victoire record, n'a pas évoqué le Tour d'Espagne en dévoilant samedi dernier son calendrier pour 2026.

Une étape reine à 5000 m de dénivelé positif

Les choses sérieuses commencent dès la troisième étape vers Font-Romeu avant la première grande étape de montagne le lendemain à Andorre. "Nous allons ensuite visiter des cols emblématiques de la Vuelta dont Valdelinares, Calar Alto, le massif de La Pandera et l'Alto de Aitana", a détaillé Javier Guillen.

L'étape reine est programmée à la veille de l'arrivée finale avec une journée à plus de 5000 m de dénivelé positif pour atteindre le sommet du Collado del Alguacil au bout d'une pente de 8,3 kilomètres à 9,8% de moyenne. Les chances des sprinteurs seront réduites à la portion congrue. Les rouleurs, ainsi que les coureurs de classement général, auront deux contre-la-montre à se mettre sous la dent, le premier jour à Monaco sur 9 km et le second lors de la 18e étape, 32 km dans les vignobles de Cadix.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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