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Aldi annonce plus de 5000 nouveaux postes au Royaume-Uni

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Aldi est devenu fin 2022 la quatrième chaîne du pays en parts de marché, selon le cabinet d'études Kantar, doublant Morrisons, mais toujours derrière Tesco, Sainsbury's et Asda. (archives) (© KEYSTONE/DPA/ROLF VENNENBERND)

L'enseigne allemande de maxidiscompte Aldi, dopée par ses prix bas en pleine crise du pouvoir d'achat, a annoncé mercredi qu'elle va créer 5500 nouveaux postes à travers le Royaume-Uni cette année.

"Les postes disponibles compteront des assistants, des gérants et des agents d'entretien dans les nouveaux magasins ouverts cette année", a annoncé dans un communiqué l'entreprise qui emploie déjà plus de 45.000 personnes dans quelque 1000 magasins dans le pays.

Considéré comme le supermarché le moins cher du Royaume-Uni par l'association de consommateurs Which?, Aldi est devenu fin 2022 la quatrième chaîne du pays en parts de marché, selon le cabinet d'études Kantar, doublant Morrisons, mais toujours derrière Tesco, Sainsbury's et Asda.

Aldi avait annoncé en septembre un "nouvel objectif à long terme" d'ouvrir 500 magasins de plus dans le pays.

L'enseigne avait dit en janvier avoir enregistré au Royaume-Uni "le meilleur Noël de son histoire avec des ventes dépassant 1,5 milliard de livres (près d'1,8 milliard d'euros, ndlr) pour la première fois au cours des quatre semaines précédant la veille de Noël", avec des ventes en hausse de 8% sur un an.

Très élevée pendant de longs mois, l'inflation au Royaume-Uni a fortement marqué le pas. Elle se situait à 4% en janvier, comparé à un pic de 11% atteint en octobre 2022.

Les budgets des ménages dans le pays sont aussi sous pression des taux d'intérêts élevés, conséquence des efforts de la Banque d'Angleterre pour freiner l'inflation, qui a notamment renchéri le coût des crédits immobiliers.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Embraer va livrer 60 avions à SkyWest

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Les appareils commandés par SkyWest seront livrés à compter de 2027 (archives). (© KEYSTONE/AP/Michel Euler)

L'avionneur brésilien Embraer a annoncé mercredi une commande ferme de 60 avions E-Jet E175, de la part de la compagnie régionale américaine SkyWest. Le contrat se monte à 3,6 milliards de dollars (2,9 milliards de francs) au prix catalogue.

La commande de ces avions qui seront livrés dès 2027 est assortie de droits d'achat pour 50 avions supplémentaires, précise Embraer dans un communiqué au troisième jour du salon du Bourget, le plus important rendez-vous aérospatial du monde.

"Nous sommes ravis de poursuivre notre partenariat de longue date avec SkyWest Airlines grâce à cette commande importante. L'avion E175 est la pierre angulaire de l'aviation régionale en Amérique du Nord", a déclaré Arjan Meijer, président des avions commerciaux d'Embraer.

SkyWest est le plus grand opérateur de l'E175, avec 263 avions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Contrefaçons, produits dangereux: AliExpress dans le viseur de l'UE

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Selon la Commission européenne, AliExpress "a enfreint son obligation d'évaluer et d'atténuer les risques liés à la diffusion de produits illégaux" comme des contrefaçons ou des articles non conformes aux normes de sécurité européenne (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La Commission européenne ouvre la voie à une lourde amende contre AliExpress. Bruxelles estime "à titre préliminaire", que le géant chinois du commerce en ligne ne gère t pas suffisamment les risques liés à la vente de produits illégaux, malgré de nombreux progrès.

L'exécutif bruxellois, gendarme du numérique dans l'UE, estime mercredi qu'AliExpress "a enfreint son obligation d'évaluer et d'atténuer les risques liés à la diffusion de produits illégaux" comme des contrefaçons ou des articles non conformes aux normes de sécurité européenne. La mise en cause constitue une première pour cette filiale du mastodonte chinois de l'internet Alibaba dans le cadre du nouveau règlement de l'UE sur les services numériques (DSA), pleinement entré en vigueur l'an dernier pour mieux protéger les internautes.

Dans un communiqué, la Commission note en particulier que la plateforme sous-estime les risques en raison des "ressources limitées" de son système de modération et qu'elle n'applique "pas correctement" sa politique de sanctions envers les vendeurs "qui publient de manière répétée du contenu illégal". Elle pointe aussi des "défaillances systémiques" qui rendent ses systèmes de modération "inefficaces et susceptibles d'être contournés par des vendeurs malveillants".

AliExpress aura désormais accès au dossier et pourra répondre par écrit aux constatations préliminaires. Si l'accusation de la Commission est confirmée, le groupe pourrait écoper d'une amende pouvant atteindre 6% de son chiffre d'affaires annuel mondial et être placé sous surveillance renforcée jusqu'à la mise en oeuvre de mesures correctrices.

Satisfaction sur de nombreux points

La mise en cause formelle annoncée mercredi fait suite à une enquête ouverte par la Commission en mars 2024. Elle s'accompagne toutefois d'un satisfecit sur de nombreux points soulevés il y a un an, la plateforme ayant proposé des améliorations validées par la Commission.

Ainsi, elle note que le distributeur chinois a répondu à ses préoccupations concernant les systèmes mis en place pour "surveiller et détecter les produits illégaux, tels que les médicaments, les compléments alimentaires ou les contenus pour adultes, susceptibles de porter atteinte à la santé des utilisateurs et au bien-être des mineurs".

Le mécanisme de signalement de ces contenus donne également satisfaction tout comme les systèmes de traitement des plaintes. Bruxelles estime aussi qu'AliExpress respecte désormais la loi en matière de transparence des publicités et des systèmes de recommandation, de traçabilité des vendeurs et d'accès à ses données par les chercheurs.

"Les mesures prises aujourd'hui démontrent la force de la législation sur les services numériques pour créer un environnement en ligne plus sûr", s'est félicitée la commissaire européenne à la Souveraineté technologique, Henna Virkkunen, qui a salué "les engagements d'AliExpress pour devenir une plateforme plus sûre pour les utilisateurs".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Téhéran promet de "répondre fermement" en cas d'attaque américaine

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L'ambassadeur iranien à l'ONU à Genève Ali Bahreini rejette tout scénario de négociation après l'offensive israélienne. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

L'Iran "répondra fermement" si les Etats-Unis entraient en guerre au côté d'Israël contre la République islamique. "Pour le moment, nous ne pensons à aucun scénario à part celui de nous défendre", a affirmé mercredi son ambassadeur à l'ONU à Genève.

"Les Etats-Unis sont complices", a accusé Ali Bahreini devant les correspondants accrédités à l'ONU à Genève (ACANU). "Sans eux, Israël ne peut rien faire", a-t-il ajouté.

L'Iran ne veut pas entendre parler de négociation pour le moment. Toute l'énergie est portée "à nous défendre", insiste l'ambassadeur. Malgré l'affaiblissement de ses alliés dans la région, le pays affirme "être confiant sur son potentiel militaire" à moyen terme.

"C'est quelque chose à quoi nous nous sommes préparés" pendant des décennies, a insisté M. Bahreini. Pas question non plus de déposer une plainte à la Cour internationale de justice (CIJ). "Les organisations internationales sont devenues inutiles, notamment face aux crimes d'Israël", dit-il encore.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Nouvelle-Zélande: feu vert à l'usage médical des champignons hallucinogènes

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Un psychiatre "très expérimenté" a été autorisé à prescrire de la psilocybine à des patients souffrant de dépression qui résiste au traitement (archives). (© KEYSTONE/AP/PETER DEJONG)

La Nouvelle-Zélande a annoncé mercredi avoir donné son feu vert à l'usage médical de la psilocybine, un composé naturellement présent dans certains champignons hallucinogènes. Elle espère ainsi pouvoir lutter contre la dépression.

"La psilocybine reste un médicament non approuvé, mais un psychiatre très expérimenté a été autorisé à la prescrire à des patients souffrant de dépression qui résiste au traitement", a déclaré le vice-Premier ministre David Seymour dans un communiqué. "C'est une avancée considérable pour les personnes atteintes de dépression qui ont tout essayé et qui souffrent encore", a-t-il estimé.

Outre ce spécialiste, seuls des psychiatres ayant été impliqués dans des essais cliniques sur la psilocybine pourront à leur tour prescrire cette substance à leurs patients, selon un protocole très strict, a-t-il été précisé.

Les scientifiques se penchent de plus en plus sérieusement sur l'utilisation de psychédéliques pour traiter diverses pathologies, telle que la dépression. En 2023, l'Australie avait déjà autorisé à des fins médicales les champignons hallucinogènes mais aussi l'ecstasy afin de lutter contre certaines pathologies mentales.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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