International
Almeida s'impose au Monte Bondone, Thomas reprend le maillot rose
Le Portugais Joao Almeida (UAE) a remporté la 16e étape du Tour d'Italie au sommet de Monte Bondone.
Là où le Britannique Geraint Thomas (Ineos) a repris le maillot rose de leader après ce premier rendez-vous en montagne de la troisième semaine.
C'est la première victoire dans un grand Tour pour Almeida, qui s'est envolé à moins de cinq kilomètres de l'arrivée avec le vainqueur du Tour de France 2018.
Incapable de suivre ses deux principaux rivaux pour la victoire finale, le Slovène Primoz Roglic (Jumbo-Visma) a terminé troisième et concède près de 30 secondes avec les bonifications.
Le Français Thibaut Pinot, lâché à 9 km de l'arrivée, fait partie des autres grands perdants du jour et termine à 3'26'' du vainqueur, voyant ses espoirs de podium s'envoler.
Son équipier à Groupama-FDJ, Bruno Armirail, a cédé seulement quelques hectomètres avant lui après avoir longtemps tenu tête aux meilleurs dans l'interminable ascension finale. Le Français a concédé plus de quatre minutes et logiquement cédé son maillot rose.
Thomas perd un équipier
Geraint Thomas, qui a perdu un nouvel équipier après l''abandon du Français Pavel Sivakov, avait déjà porté la tunique de leader pendant quatre jours dans ce Giro avant de l'abandonner à Armirail.
Au classement général, le vétéran britannique, qui aura 37 ans jeudi, compte désormais 18 secondes d'avance sur Almeida et 29 secondes sur Roglic.
Pur coureur de classement général, Almeida a remporté, à 24 ans, la plus belle victoire de sa carrière après avoir terminé quatre fois deuxième dans une étape du Giro.
Réputé pour son style attentiste, le Portugais a cette fois pris l'initiative avant d'être relayé par Thomas.
Almeida avait terminé quatrième du Giro en 2020 après avoir porté le maillot rose pendant 15 jours, et sixième en 2021.
L'année dernière, il avait dû abandonner à cause d'un test positif au Covid-19 au matin de la 18e étape alors qu'il était quatrième.
Ce mercredi, la 17e étape entre Pergine et Caorle sur 195 km ne présentera aucune difficulté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
2024 sera "beaucoup plus compliqué" pour Red Bull
Ultra-dominatrice cette saison en Formule 1, Red Bull pourrait évoluer l'an prochain dans "un championnat beaucoup plus serré et beaucoup plus compliqué" pour l'écurie autrichienne.
L'affirmation est faite à l'AFP par son directeur technique Pierre Waché.
"Plus le règlement reste stable, plus l'avantage que l'on a aujourd'hui va être réduit", estime le Français, qui mise sur le retour en force de Mercedes et Ferrari, mais aussi McLaren et Aston Martin "qui ont fait du très bon travail cette année".
QUESTION: Cette saison, les fans ont dû attendre le 15e GP de l'année, à Singapour le week-end dernier, pour voir une autre écurie que Red Bull s'imposer sur un Grand Prix - en l'occurrence Ferrari. Entre temps, l'équipe a pulvérisé le record de victoires consécutives grâce à Sergio Pérez mais surtout grâce à Max Verstappen, solide leader au championnat et 12 victoires à lui seul, dont dix consécutives. Comment expliquez-vous une telle forme ?
REPONSE: "Je ne l'explique pas obligatoirement. La domination dépend aussi des autres (...) nous avons fait une très bonne voiture, mais la performance n'est jamais absolue, elle est relative par rapport aux autres. Dans l'équipe, on ne réalise pas encore tellement ce qui se passe. On est très concentrés sur ce qu'on fait - toutefois pas assez à Singapour (où Verstappen n'a terminé que 5e et Pérez 8e, ndlr) - mais on ne pense pas aux records. On se focalise sur ce que l'on doit faire pour être les meilleurs sur chaque course, sur comment faire pour développer la voiture, regarder celle de l'année prochaine aussi... On n'est pas dans cette optique de record".
Q: Vous ne vous attendiez donc pas à battre des records cette saison ?
R: "Pas du tout! On pensait que Mercedes et Ferrari seraient beaucoup plus proches de nous en début de saison".
"La pénalité impactera la voiture 2024"
Q: Ne pas avoir d'adversaires à votre niveau cette année, n'est-ce pas tout de même un peu handicapant ?
R: "Personnellement, je trouve ça mieux (rires), on ne travaille pas dans la panique, mais dans la continuité, dans la sérénité. C'est très important et c'est comme ça qu'on fait du meilleur travail. Le tout, c'est de pas s'endormir".
Q: En 2024, vous attendez-vous à avoir de la concurrence en piste ?
R: "Selon moi, la concurrence va être très forte avec deux, trois ou quatre équipes. Plus le règlement reste stable, plus l'avantage qu'on a va être réduit. Je pense que ça va être un championnat beaucoup plus serré et beaucoup plus compliqué pour nous".
Q: A cause notamment de votre pénalité reçue l'an dernier pour avoir dépassé le plafond budgétaire en 2021 ? Vous avez tout de même été sanctionnés d'une réduction de 10% du temps de développement de votre monoplace en soufflerie pendant un an - un temps que l'on sait crucial pour les performances des voitures.
R: "Ah oui, cette pénalité impactera beaucoup plus la voiture 2024. On a une pente de développement qui est plus faible. Après, il faut voir si cela va nous freiner dans la performance globale ou non. Ce qu'il faut comprendre, c'est que cette pénalité n'est pas là pour nous enlever de la performance. Elle est là pour réduire notre gain de performance - à cause d'elle, on réduit notre capacité à développer et à amener des nouvelles pièces".
Q: Quelles équipes sont dans votre viseur pour l'an prochain ?
R: "Les deux gros +teams+ que sont Mercedes et Ferrari. On pourrait aussi en avoir deux autres avec McLaren et Aston Martin qui ont fait du très bon travail cette année. Et s'ils continuent sur cette lancée... Mais pour l'heure, c'est clairement Mercedes et Ferrari qui seront potentiellement nos plus gros concurrents".
Q: Des concurrents que l'on attendait déjà comme vos principaux rivaux cette année...
R: "Exactement, mais ils ont fait quelques erreurs. Ça peut arriver à tout le monde mais là, ils rattrapent assez rapidement".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky en visite au Canada
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a poursuivi jeudi soir sa tournée en Amérique du Nord avec une visite au Canada. Ce pays, qui compte une importante diaspora ukrainienne, appuie l'Ukraine depuis le début de l'invasion russe.
En provenance des États-Unis d'Amérique, le président Zelensky a atterri tard jeudi soir dans la capitale Ottawa, où il a été accueilli par le premier ministre canadien, Justin Trudeau. Ce dernier l'a assuré du "soutien indéfectible" du Canada dans son conflit face à la Russie.
Volodymyr Zelensky, accompagné de son ministre de la défense, Rustem Umerov, doit rencontrer la gouverneure générale du Canada, Mary Simon, et prononcer une allocution devant le Parlement canadien.
Avec Justin Trudeau, il doit ensuite s'envoler vers la métropole Toronto, où les deux dirigeants rencontreront des chefs d'entreprises et des membres de la communauté canado-ukrainienne.
Le Canada, dernier pays du G7 à être visité par le dirigeant, compte la deuxième plus importante diaspora ukrainienne au monde après la Russie, avec 1,4 million de personnes d'origine ukrainienne sur son territoire.
"Aussi longtemps qu'il le faudra"
Il s'agit de la première visite officielle du président ukrainien sur le sol canadien depuis le début de l'invasion russe en février 2022. En mars, Volodymyr Zelensky s'était adressé aux parlementaires canadiens en visioconférence.
"Le peuple ukrainien est le fer de lance qui, en ce moment, détermine l'avenir du XXIe siècle", a déclaré jeudi soir le premier ministre Trudeau, dans un communiqué. Il a assuré que le Canada restera au côté de l'Ukraine "aussi longtemps qu'il le faudra" et que le pays continuera d'apporter "un soutien indéfectible au peuple ukrainien qui lutte pour sa souveraineté et sa démocratie".
Depuis l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, le Canada s'est engagé à verser plus de 8,9 milliards de dollars en soutien à l'Ukraine sous forme d'un large éventail de mesures, "notamment 4,95 milliards de dollars en soutien financier direct et plus de 1,8 milliard de dollars en aide militaire".
Ottawa a aussi formé plus de 36'000 soldats ukrainiens et a fourni une aide militaire qui comprend notamment huit chars de combat Leopard 2, un véhicule blindé de dépannage, 39 véhicules blindés, des armes antichars, des drones et de l'équipement de communication par satellite.
Le premier ministre canadien s'était rendu en Ukraine en juin. Il avait alors annoncé qu'Ottawa allait participer aux efforts multinationaux pour former des pilotes de chasse ukrainiens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le nombre de rhinocéros augmente en Afrique, selon une ONG
Le nombre de rhinocéros a augmenté sur le continent africain en 2022, ont déclaré jeudi les défenseurs de l'environnement. Ils ont salué une "bonne nouvelle" pour cet animal menacé par le braconnage intensif.
Selon l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), 23'290 rhinocéros peuplaient le continent à la fin de l'année dernière, soit une augmentation de 5,2% par rapport à 2021.
"Avec cette bonne nouvelle, nous pouvons pousser un soupir de soulagement pour la première fois depuis dix ans", a déclaré Michael Knight, qui préside le groupe dédié aux rhinocéros africains à l'UICN. L'organisation a compilé les estimations du nombre de rhinocéros dans différents pays pour obtenir le chiffre continental.
Massacrés pour leur corne
Elle a attribué à "une combinaison d'initiatives de protection et de gestion biologique" l'augmentation de 4,2% du nombre de rhinocéros noirs, soit 6487 individus.
Les rhinocéros blancs ont augmenté de 5,6% pour atteindre 16'803 spécimens, ce qui constitue la première augmentation de la population depuis 2012.
La population des rhinocéros a été décimée par des décennies de braconnage motivé par la demande dans les pays d'Asie, où leurs cornes sont utilisées dans la médecine traditionnelle, pour leurs effets thérapeutiques présumés. Selon l'UICN, plus de 550 animaux ont été tués par des braconniers sur le continent en 2022, principalement en Afrique du Sud.
Ce pays abrite près de 80% des rhinocéros de la planète. Les braconniers y ciblent de plus en plus les réserves privées dans leur chasse aux cornes. Elles sont très recherchées au marché noir, où le prix au poids rivalise avec celui de l'or et de la cocaïne, estimé à 60'000 dollars le kilogramme.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Deux jeunes américains accusés d'avoir tué délibérément un cycliste
Deux adolescents américains accusés d'avoir renversé et tué délibérément un cycliste, l'un filmant même le tout de leur voiture, ont comparu pour la première fois devant un tribunal jeudi. Ils ont été inculpés de meurtre, coups et blessures et tentative de meurtre.
Les images insoutenables tournées au portable, qui ont circulé sur Internet et créé la polémique, montrent le véhicule foncer sur la victime de 64 ans, un policier retraité qui faisait du vélo. Sur cette vidéo, on peut entendre l'un des adolescents dire "dégomme le", selon la presse locale.
Heurté par l'arrière, le cycliste a percuté le pare-brise avant de toucher terre tandis que la voiture s'éloignait.
Le premier jeune, âgé de 17 ans et suspecté d'avoir été au volant, et le second, âgé de 16 ans et qui était passager et a filmé le drame qui s'est déroulé en août dans le Nevada, seront jugés comme des adultes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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