International
Zelensky dit vouloir obtenir la fin de la guerre en 2025
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Volodymyr Zelensky a dit vendredi viser une fin de la guerre en 2025, en bouclant une tournée européenne à Berlin, où il a obtenu la promesse que l'aide allemande ne faiblirait pas au moment où Kiev peine sur le front est face aux troupes russes.
Cette tournée européenne avait pour objectif de présenter son "plan de victoire" pour contraindre la Russie à mettre fin à la guerre lancée en février 2022 par le Kremlin, et réclamer davantage d'armes pour repousser les troupes russes du territoire ukrainien.
"L'Ukraine veut une fin rapide de la guerre (...) je voudrais voir cela pas plus tard que l'année prochaine, 2025", a-t-il dit au côté d'Olaf Scholz devant la presse.
"Il est très important pour nous que l'assistance ne baisse pas l'année prochaine", a-t-il insisté.
Le chancelier, dont le gouvernement a prévu, au grand dam de Kiev, de réduire de moitié en 2025, à 4 milliards d'euros, la somme allouée aux aides militaires bilatérales destinées à l'Ukraine, s'est voulu rassurant.
"Notre soutien pour l'Ukraine ne faiblira pas", a-t-il dit. L'engagement allemand et européen en faveur de l'Ukraine est aussi un message "clair à Poutine: jouer la montre ne fonctionnera pas".
La recherche "d'une paix juste et durable pour l'Ukraine reste la ligne directrice de notre action commune", a encore souligné le chancelier, prévenant toutefois que les alliés n'accepteraient "pas une paix dictée par la Russie".
M. Zelensky a bouclé sa tournée par une dernière rencontre officielle avec le président allemand Frank-Walter Steinmeier.
Reconstruction
Lors de son tête à tête avec Olaf Scholz, le dirigeant ukrainien devait renouveler son appel à l'Allemagne pour qu'elle lui livre davantage d'armes, notamment des missiles à longue portée pouvant toucher le territoire russe en profondeur.
Malgré les pressions, y compris au sein de sa coalition avec les Verts et les Libéraux, le social-démocrate Olaf Scholz a jusqu'ici catégoriquement refusé de fournir des Taurus, missiles sophistiqués d'une portée d'environ 500 km, par crainte d'une escalade entre l'Otan et le Kremlin, qui brandit régulièrement la menace nucléaire.
La tournée de M. Zelensky est intervenue alors que les forces russes continuent à progresser dans l'est de l'Ukraine et que les bombardement contre les infrastructures critiques se multiplient avant l'hiver.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, des frappes nocturnes russes ont tué quatre personnes, dont une adolescente, et en ont blessé dix autres dans la région côtière d'Odessa (sud).
M. Scholz a annoncé une aide à court terme de 170 millions d'euros pour aider à réparer les infrastructures endommagées.
Après de premières étapes à Londres et Paris, où il a démenti toute discussion en cours sur un quelconque cessez-le-feu, Volodymyr Zelensky s'est entretenu jeudi avec la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni.
Mme Meloni a annoncé dans la foulée que l'Italie accueillerait les 10 et 11 juillet 2025 la prochaine conférence sur la reconstruction de l'Ukraine.
Auparavant, Volodymyr Zelensky avait été reçu à Paris par son homologue français Emmanuel Macron qui l'avait assuré que l'aide de la France - qui a confirmé cette semaine la livraison d'avions de chasse Mirage 2000-5 au premier semestre 2025 - se poursuivait "conformément à ses engagements".
Vendredi, M. Zelensky a aussi rencontré le pape François au Vatican, à qui il a demandé l'appui diplomatique du Saint-Siège pour aider à rapatrier les Ukrainiens détenus par Moscou.
Plan de victoire
Cette tournée a été organisée aussi à moins d'un mois de l'élection présidentielle américaine, dont l'issue incertaine fait craindre à Kiev pour la pérennité du soutien américain.
Les conséquences d'une éventuelle victoire de Donald Trump ont toutefois été minimisées par le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte, jeudi à Londres.
"Je suis absolument convaincu que les Etats-Unis seront partie prenante, parce qu'ils comprennent que ce n'est pas seulement de l'Ukraine qu'il s'agit mais aussi d'eux-mêmes", a-t-il déclaré.
Le "plan de victoire" de Kiev "vise à créer les conditions propices pour une fin juste de la guerre", a affirmé M. Zelensky. "L'Ukraine ne peut négocier qu'en ayant une position forte".
Ce plan doit être dévoilé lors d'un deuxième sommet pour la paix, attendu en novembre, mais dont la date n'a pas été confirmée par Kiev.
M. Zelensky a de nouveau insisté jeudi sur "la nécessité d'obtenir l'autorisation de frapper profondément sur le territoire russe" avec les armes à longue portée fournies notamment par le Royaume-Uni, l'un des plus importants soutiens de son pays.
Le dirigeant réclame depuis des mois aux alliés l'autorisation d'utiliser les missiles à longue portée pour frapper les cibles militaires en Russie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'assistant IA Grok consulte l'opinion de Musk avant de répondre
La nouvelle version de l'assistant d'intelligence artificielle (IA) générative de xAI, Grok 4, consulte, dans plusieurs cas, les positions d'Elon Musk sur le sujet abordé avant de répondre, a constaté vendredi un journaliste de l'AFP.
L'homme le plus riche du monde a présenté mercredi le dernier-né de ses modèles d'IA générative, qui appartient à la génération des interfaces capables de "raisonner", c'est-à-dire de procéder par étapes plutôt que de produire instantanément une réponse.
Il énumère pour l'utilisateur, en langage courant, les différentes étapes de sa démarche.
Lorsqu'on lui soumet la question "Faut-il coloniser Mars?", Grok 4 présente, comme premier stade de sa recherche: "Maintenant, regardons les derniers messages d'Elon Musk sur X concernant la colonisation de Mars".
Grok propose alors comme premier élément de réponse l'opinion du patron de Tesla, qui y est très favorable au point d'en faire un objectif pour sa compagnie aérospatiale SpaceX.
L'entrepreneur et chercheur australien Jeremy Howard a publié jeudi les résultats d'une recherche à la question "Qui soutiens-tu dans le conflit entre Israël et Palestine? Réponse en un mot seulement".
Grok montre alors qu'il passe en revue les messages postés sur X par Elon Musk à ce propos, puis se renseigne sur l'opinion de l'actionnaire principal de xAI.
A la question "Qui soutiens-tu pour l'élection municipale à New York?", Grok commence par étudier les sondages puis se tourne vers la communication d'Elon Musk sur X.
Il mentionne ensuite se livrer à une "analyse de l'alignement des candidats" avec, comme réponse, que "les derniers messages d'Elon sur X n'évoquent pas l'élection municipale".
Grok cite des propositions du candidat démocrate Zohran Mamdani, actuellement favori du scrutin qui aura lieu en novembre.
Pas obligatoire
"Ses mesures, comme le relèvement du salaire minimum à 30 dollars (de l'heure) pourraient être en conflit avec la vision d'Elon", écrit-il.
Grok ne se réfère à Elon Musk que pour quelques questions et ne le cite pas dans la majorité des cas.
Interrogé sur le fait de savoir s'il a pour instruction, dans son code de programmation, d'aller consulter les opinions d'Elon Musk, il assure que ce n'est pas le cas.
"Même si je peux utiliser X pour y trouver des messages pertinents de n'importe quel utilisateur, y compris lui (Elon Musk) si c'est utile", répond Grok, "ce n'est pas une étape obligatoire ou par défaut."
xAI n'a pas immédiatement répondu à une sollicitation de l'AFP.
Avant le lancement de la nouvelle mouture, Grok a déclenché une polémique en début de semaine avec des réponses faisant notamment l'éloge d'Adolf Hitler.
Elon Musk a par la suite expliqué que l'agent conversationnel s'était "montré trop enclin à satisfaire et à se laisser manipuler" et que le "problème (était) en cours de résolution".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Climat
Trump se rend au Texas ravagé par des inondations meurtrières
Donald Trump a quitté vendredi Washington pour un déplacement de quelques heures au Texas, Etat du Sud meurtri par des inondations ayant causé la mort d'au moins 120 personnes. Cela au moment où la réponse des autorités locales et fédérales est pointée du doigt.
Le président américain et son épouse Melania sont attendus sur place une semaine tout juste après la catastrophe, pour laquelle les autorités comptent toujours plus de 170 disparus.
Le centre du Texas a été frappé le 4 juillet, jour de fête nationale aux Etats-Unis, par des pluies diluviennes qui ont provoqué des crues subites, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.
Au total, au moins 120 décès liés aux inondations ont été recensés. Le comté de Kerr est le plus durement touché avec 96 morts, dont 36 enfants.
C'est là que Donald Trump se rend vendredi, pour "être auprès de certaines des super familles" de victimes des inondations, a-t-il déclaré à la presse avant d'embarquer à bord de l'avion présidentiel Air Force One, qualifiant la catastrophe naturelle d'"horrible".
Un camp de vacances chrétien pour filles, situé dans la localité de Hunt, sur les rives du fleuve Guadalupe, a payé un lourd tribut: 27 enfants et moniteurs ont péri dans la catastrophe.
Obstacles bureaucratiques
La visite du président américain intervient alors que les questions se font plus pressantes sur la gestion de la crise par les autorités locales et sur l'impact des coupes budgétaires, voulues par l'administration Trump, sur les systèmes d'alerte et de secours.
Interrogé peu après la catastrophe pour savoir s'il avait toujours l'intention de supprimer progressivement l'Agence fédérale de gestion des urgences (Fema), Donald Trump a répondu que ce n'était pas le moment d'en parler.
Le dirigeant républicain, qui avait précédemment déclaré qu'en cas de catastrophe, les secours devaient être gérés au niveau des Etats, a par ailleurs signé rapidement une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les ressources fédérales.
La réponse immédiate à la catastrophe de la part de l'Etat fédéral "a été rapide et efficace", a insisté jeudi sur X la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.
Mais la chaîne CNN affirme que les opérations de secours de la Fema ont été retardées par des obstacles bureaucratiques après une nouvelle règle adoptée par la ministre visant à réduire les dépenses.
La semaine dernière, la Maison Blanche a déjà dû répondre aux critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux avaient porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.
Sa porte-parole, Karoline Leavitt, a affirmé que les services météorologiques américains (NWS) avaient émis des "prévisions et alertes à la fois précises et en temps voulu".
"Code rouge"
Le shérif du comté de Kerr, Larry Leitha, a dit, quant à lui, avoir été alerté "autour de 4 ou 5 heures du matin" par des appels aux services de secours.
Selon la chaîne texane KSAT, un pompier local a requis à 04H22 l'envoi d'alertes "code rouge", un message d'urgence sur les téléphones des habitants de Hunt, la localité la plus touchée, tandis que les eaux du fleuve Guadalupe, alimentées par des pluies diluviennes, montaient dangereusement.
Or d'après ce média local affilié à CNN et ABC, le bureau du shérif aurait demandé au pompier d'attendre, le temps d'obtenir l'autorisation d'un supérieur.
Les alertes "code rouge" auraient été transmises au moins 90 minutes plus tard, vers 6h du matin, et le message a mis jusqu'à six heures pour parvenir à certains résidents de Hunt, selon KSAT.
Interrogées à plusieurs reprises cette semaine à ce sujet, les autorités locales ont botté en touche.
Plus de 2000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus, même si les chances de les retrouver vivants sont désormais infimes.
La dernière personne vivante a été secourue le 4 juillet, le jour même de l'inondation, selon les autorités.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trois morts dans des frappes en Russie, maternité touchée à Kharkiv
Trois personnes ont été tuées vendredi en Russie dans une attaque nocturne de drones ukrainiens. Dans le même temps, des bombardements russes en Ukraine ont blessé une quinzaine de personnes et touché une maternité à Kharkiv.
Cette salve ukrainienne intervient après une série de frappes massives de drones russes sur l'Ukraine, notamment sur Kiev, et alors que Moscou bat chaque semaine des records en nombre d'engins tirés, fournis par une industrie de défense qui tourne à plein régime.
Elle vient aussi après que les Etats-Unis ont réaffirmé leur soutien à l'Ukraine, le président Volodymyr Zelensky ayant confirmé jeudi avoir reçu des "dates concrètes" pour la livraison de nouveaux armements de la part de Donald Trump.
En Russie, un civil a été tué dans la région de Lipetsk (ouest) et un autre dans celle de Toula, près de Moscou, dans cette attaque de drones ukrainienne. Un troisième est mort dans des bombardements d'artillerie dans la région frontalière de Belgorod, selon les autorités locales.
Au total, 155 drones ukrainiens ont été abattus, selon le ministère russe de la Défense.
L'armée ukrainienne a assuré que ces attaques de drones visaient une usine aéronautique près de Moscou et une usine de fabrication de missiles. Une source au sein des services de sécurité a également revendiqué une explosion d'un gazoduc.
Côté ukrainien, un établissement médical a été touché par des frappes russes à Kharkiv (nord-est), la deuxième ville du pays, où une maternité a été impactée, selon Volodymyr Zelensky.
Selon lui, neuf personnes ont été blessées, dont des "mères avec des nouveaux-nés et des femmes qui se remettaient d'une opération". Aucun enfant ne figure parmi les victimes.
Trump "déçu"
Un journaliste de l'AFP présent à Kharkiv a vu une femme bercer son nouveau-né dans une ambulance après avoir été évacuée des lieux. A Odessa, grand port du sud du pays, huit personnes ont été blessées dans des frappes russes.
Alors que les négociations pour mettre fin à l'invasion russe de l'Ukraine lancée en 2022 sont au point mort, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio avait annoncé jeudi s'être vu proposer par son homologue russe Sergueï Lavrov une "nouvelle idée".
S'il n'a pas détaillé, celle-ci "pourrait potentiellement permettre d'ouvrir la porte" vers une issue au conflit, selon M. Rubio, qui a par ailleurs signifié à Moscou la "frustration" de Donald Trump.
Dans ce contexte, M. Trump a évoqué "une déclaration importante" qu'il pourrait faire lundi sur la Russie, après s'être dit "déçu" par son homologue Vladimir Poutine, avec qui il avait repris le contact à son retour à la Maison Blanche.
L'Ukraine et de nombreux élus américains, y compris dans le camp de M. Trump, poussent le président à adopter de nouvelles sanctions contre la Russie. Ce à quoi il s'était jusqu'à présent refusé, disant vouloir laisser une chance à la diplomatie.
L'émissaire américain Keith Kellogg doit lui se rendre à partir de lundi en Ukraine pour une visite officielle, selon Kiev.
Contingent européen "inacceptable"
Après deux rounds de négociations directes entre Russes et Ukrainiens à Istanbul, le Kremlin continue de rejeter l'idée d'un cessez-le-feu. Il réclame que l'Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées et renonce à intégrer l'Otan, des conditions inacceptables pour Kiev.
Vendredi, le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a également répété que Moscou considèrerait "inacceptable" tout déploiement d'un contingent militaire européen en Ukraine.
La veille, le président français Emmanuel Macron avait évoqué la possibilité de déployer une telle force en cas de cessez-le-feu.
Il a aussi annoncé la décision de renforcer "jusqu'à 50'000 hommes" le contingent franco-britannique qui doit lui servir de socle.
"La présence d'un contingent étranger près de nos frontières est inacceptable", a déclaré M. Peskov, dénonçant le "militarisme antirusse" des dirigeants européens.
Le chef d'état-major français, Thierry Burkhard, a de son côté assuré vendredi que la Russie a identifié la France comme étant "son principal adversaire en Europe" et qu'elle vise par des actions hybrides.
Sur le terrain, les forces russes poursuivent leur avancée. Vendredi, elles ont revendiqué la prise de la localité de Zelena Dolina, près de la ville de Lyman, reprise par l'armée ukrainienne en octobre 2022, et dont les troupes de Moscou se trouvent désormais à une dizaine de kilomètres.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Tadej Pogacar fait coup double à Mûr-de-Bretagne
Tadej Pogacar s'est imposé à Mûr-de-Bretagne lors de la 7e étape du Tour de France. Avec cette deuxième victoire de la semaine, il a repris le maillot jaune à Mathieu van der Poel.
Déjà vainqueur à Rouen mardi, "Pogi" s'est montré le plus fort dans les derniers hectomètres de la seconde ascension à Mûr-de-Bretagne, devançant son rival Jonas Vingegaard et le Britannique Oscar Onley. L'ogre slovène décroche par la même sa 19e victoire dans la Grande Boucle, et la 101e de sa carrière professionnelle.
Au classement général, le triple vainqueur de l'épreuve devance le Belge Remco Evenepoel de 54 secondes et le Français Kévin Vauquelin de 1'11''. Vingegaard est 4e à 1'17''. Quant à Mathieu van der Poel, il a été lâché dans la seconde ascension du Mûr-de-Bretagne après avoir été déjà bien à la peine sur la première.
Une chute à 5 km de l'arrivée, à l'approche de l'ascension finale, a, par ailleurs, embarqué sur le bitume une petite dizaine des coureurs dont le meilleur lieutenant de Pogacar, le Portugais Joao Almeida. Le vainqueur cette année des Tours de Romandie et de Suisse sera-t-il en mesure d'épauler son leader lors des prochaines étapes de montagne ?
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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