International
Arménie: demande d'adhésion à l'UE adoptée en première lecture
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Le Parlement arménien a adopté mercredi en première lecture un projet de loi visant à ouvrir des négociations pour rejoindre l'Union européenne. Une illustration de la volonté d'Erevan, en froid avec son allié traditionnel russe, de se rapprocher des Occidentaux.
"Exprimant la volonté du peuple de la République d'Arménie, ayant fixé comme objectif de faire de l'Arménie un pays sûr et développé, l'Arménie annonce le début d'un processus d'adhésion à l'UE", indique le texte voté avec 63 voix "pour" et sept voix "contre".
Le texte doit désormais être étudié en deuxième lecture. Il avait été soumis aux élus le 9 janvier par le gouvernement de cette ex-république soviétique du Caucase.
L'année dernière, une pétition demandant le début d'un processus d'adhésion, soutenu par des partis et organisations pro-européennes, avait recueilli environ 60'000 signatures dans ce pays de 2,7 millions d'habitants.
Défiance envers la Russie
Depuis près d'un an et demi, Erevan multiplie les gestes de défiance à l'égard de la Russie, alliée historique qui lui a longtemps vendu des armes et dispose toujours d'une base militaire sur le territoire arménien.
L'Arménie reproche à Moscou son manque de soutien face à l'Azerbaïdjan, qui a entièrement reconquis par la force, à l'automne 2023, la région azerbaïdjanaise à majorité arménienne du Karabakh, contrôlée pendant trois décennies par des séparatistes.
Des soldats de maintien de la paix russes déployés dans le Karabakh n'étaient pas intervenus lors de cette offensive azerbaïdjanaise pour faire respecter un cessez-le-feu conclu fin 2020 entre Bakou et Erevan après une guerre de six semaines.
La reprise de tout le Karabakh par l'Azerbaïdjan a contraint plus de 100'000 Arméniens à fuir ce territoire, par crainte d'exactions. Depuis, Erevan prend ses distances avec Moscou.
Fin janvier 2024, l'Arménie a officiellement adhéré à la Cour pénale internationale (CPI), malgré les avertissements de Moscou, et elle est désormais tenue d'arrêter Vladimir Poutine s'il met le pied en territoire arménien, en vertu d'un mandat d'arrêt de la CPI délivré à l'encontre du président russe en mars 2023.
En juillet 2024, l'Arménie a aussi accueilli des exercices militaires conjoints avec les Etats-Unis.
Une base militaire russe permanente se trouve toujours sur le territoire arménien, à Gyoumri, et Erevan reste membre de l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), une alliance militaire pilotée par Moscou.
En février 2024, le Premier ministre arménien Nikol Pachinian avait néanmoins affirmé que l'Arménie avait gelé "en pratique" sa participation à cette alliance.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Turquie: un séisme de magnitude 6,1 dans l'ouest de la Turquie
Un séisme de magnitude 6,1 a frappé dimanche la ville de Sindirgi, dans l'ouest de la Turquie, faisant quatre blessés, ont affirmé les autorités turques.
Le séisme, survenu à 19h53 (18h53 en Suisse) a été ressenti dans de nombreuses villes de l'ouest du pays, dont Istanbul et Izmir, selon l'Agence turque de gestion des catastrophes (AFAD).
"Le traitement de quatre blessés se poursuit dans nos hôpitaux et leurs vies ne sont pas en danger", a affirmé sur X le ministre turc de la Santé Kemal Memisoglu.
Une dizaine de bâtiments se sont effondrés à Sindirgi, l'épicentre du séisme, dont un immeuble de trois étages habité par six personnes dans le centre-ville, a annoncé le maire Serkan Sak sur la chaîne privée turque NTV.
"Quatre personnes ont été sauvées des décombres. (...) Des immeubles et des mosquées ont été détruits mais nous n'avons pas de perte de vie", a-t-il ajouté.
Deux autres personnes ont été retirées saines et sauves des décombres à Sindirgi, tandis que les efforts pour extraire une personne étaient en cours, a précisé le ministre turc de l'Intérieur Ali Yerlikaya.
Vingt répliques de magnitude allant de 3,5 à 4,6 sont survenues après le séisme, selon l'AFAD.
319 secouristes ont été déployés dans la zone tandis que le centre d'appel d'urgence a reçu vingt-quatre signalement de dégâts, a ajouté l'AFAD.
Un séisme de magnitude 5,8 a fait une victime et soixante-neuf blessés début juin dans le sud-ouest de la Turquie.
Le pays est traversé par plusieurs failles qui ont causé de nombreux drames par le passé.
Le sud-est du pays a subi un violent tremblement de terre en février 2023 qui a fait au moins 53'000 morts et dévasté d'Antakya, l'ancienne Antioche.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'Europe veut que l'Ukraine soit partie prenante aux négociations
Les dirigeants européens ont insisté dimanche pour que l'Ukraine soit partie prenante aux négociations américano-russes, en amont du sommet prévu entre Donald Trump et Vladimir Poutine, vendredi en Alaska.
Les deux présidents devraient à l'occasion de ce tête-à-tête tenter de trouver une issue pacifique au conflit que le Kremlin a déclenché en février 2022 sur le sol ukrainien.
Dans ce contexte, le chef de l'Etat ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui ne participera en principe pas à cette réunion, faisant craindre à Kiev un accord à ses dépens, a exhorté ses alliés européens, également écartés des pourparlers, à définir une approche commune.
La cheffe de la diplomatie de l'Union européenne, Kaja Kallas, a à cet égard annoncé une "réunion extraordinaire" lundi en visioconférence des ministres des Affaires étrangères des pays membres de l'UE, en présence de leur homologue ukrainien, "afin de discuter des prochaines étapes".
"Inclure l'Ukraine et l'UE"
"Le président Trump a raison de dire que la Russie doit mettre fin à sa guerre contre l'Ukraine. Les Etats-Unis ont le pouvoir de contraindre la Russie à négocier sérieusement", a-t-elle dit dimanche dans un communiqué.
Mais "Tout accord entre les Etats-Unis et la Russie doit inclure l'Ukraine et l'UE car c'est une question de sécurité pour l'Ukraine et pour l'ensemble de l'Europe", a ensuite martelé Mme Kallas, emboîtant le pas aux principaux chefs d'Etat ou de gouvernement européens.
Plus tôt dimanche, le chancelier allemand Friedrich Merz a d'ailleurs insisté pour que Volodymyr Zelensky soit présent au sommet Trump-Poutine, affirmant ne pouvoir "en aucun cas accepter que les questions territoriales soient discutées, voire décidées, entre la Russie et les Etats-Unis sans consulter les Européens et les Ukrainiens".
"Nous espérons et présumons que le gouvernement ukrainien, que le président Zelensky feront partie de cette rencontre", a-t-il dit dans un entretien avec la chaîne de télévision allemande ARD.
"La voie de la paix en Ukraine ne peut être tracée sans l'Ukraine", avaient quelques heures plus tôt mis en garde les dirigeants de la France, de l'Allemagne, de l'Italie, de la Pologne, du Royaume-Uni et de la Finlande, ainsi que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, dans un communiqué commun, exhortant Donald Trump à accroître la pression sur la Russie.
Le président américain "met la pression sur Poutine", a à ce sujet assuré dimanche le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, sur la chaîne de télévision ABC, ajoutant: "Vendredi prochain sera important, car il s'agira de tester Poutine et de déterminer son engagement à mettre fin à cette terrible guerre"."
Intense activité diplomatique
Le chef de l'Etat ukrainien s'est de son côté entretenu au téléphone avec 13 dirigeants étrangers au cours des trois derniers jours, dont ses principaux soutiens européens que sont le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France.
Dimanche, il a aussi parlé avec deux partenaires traditionnels de la Russie: les présidents du Kazakhstan et de l'Azerbaïdjan.
"Il est important que les efforts communs du monde entier obligent finalement la Russie à mettre fin (...) à son agression", a commenté M. Zelensky sur Telegram après son entretien avec son homologue azerbaïdjanais Ilham Aliev.
Vladimir Poutine a pour sa part conversé avec neuf chefs d'Etat étrangers depuis vendredi, dont ses plus proches partenaires que sont le Chinois Xi Jinping, l'Indien Narendra Modi et le Brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.
Il a aussi discuté avec les présidents de plusieurs ex-républiques soviétiques, qui maintiennent de bonnes relations avec Moscou: le Bélarus, l'Ouzbékistan, le Kazakhstan, le Tadjikistan et le Kirghizstan.
Un village repris aux Russes
Sur le front, l'armée ukrainienne a annoncé dimanche avoir repris un village de la région septentrionale de Soumy aux forces russes, qui ont récemment enregistré d'importants gains territoriaux.
Après plus de trois ans de combats, les positions ukrainienne et russe sont toujours irréconciliables.
Moscou réclame que l'Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'Otan.
Des exigences inacceptables pour l'Ukraine, qui veut le retrait des troupes russes de son territoire et des garanties de sécurité occidentales, dont la poursuite des livraisons d'armes et le déploiement d'un contingent européen, ce à quoi s'oppose la Russie.
Une position ukrainienne à laquelle la cheffe de la diplomatie de l'UE Kallas a apporté dimanche son soutien en déclarant: "Alors que nous oeuvrons pour une paix pérenne et juste, le droit international est clair: tous les territoires provisoirement occupés appartiennent à l'Ukraine."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Plan israélien à Gaza: Netanyahu veut "terminer le travail"
C'est le "meilleur moyen pour terminer la guerre" contre le Hamas à Gaza: le Premier ministre israélien Netanyahu a justifié dimanche le nouveau plan d'opération de l'armée dans le territoire palestinien dévasté et affamé, y promettant une augmentation de l'aide.
Après 22 mois de guerre, M. Netanyahu est confronté à une très forte pression, en Israël sur le sort des 49 otages encore aux mains du Hamas, et à l'étranger pour faire taire les armes dans la bande de Gaza, où plus de deux millions de Palestiniens sont menacés d'une "famine généralisée" selon l'ONU.
"Nous avons accompli aujourd'hui une grande partie du travail. Nous avons environ 70 à 75% de Gaza sous contrôle militaire israélien", a déclaré M. Netanyahu, au cours d'une conférence de presse à Jérusalem.
"Pas d'autre choix"
"Mais nous avons encore deux bastions restants: ce sont la ville de Gaza et les camps" d'al-Mawasi, 5 km plus loin. Le plan israélien "est la meilleure façon de terminer la guerre" et "nous n'a pas d'autre choix pour terminer le travail", a-t-il affirmé.
Un responsable du Hamas, Taher al-Nounou, a réagi auprès de l'AFP en accusant Benjamin Netanyahu de "continuer de mentir, de tromper et de chercher à induire le public en erreur".
Benjamin Netanyahu "continue d'exploiter la question des prisonniers (les otages, NDLR) comme prétexte pour prolonger l'agression et tromper l'opinion publique", affirme le Hamas dans un communiqué, accusant l'armée israélienne d'avoir "causé la mort de dizaines" d'otages.
Le Premier ministre israélien "s'est retiré du dernier cycle de négociations, lors duquel nous étions à un pas d'un accord pour échanger des prisonniers", assure le groupe, pour qui "la seule manière de sauvegarder" la vie des otages est de "mettre fin à l'agression et de parvenir à un accord, et non de poursuivre les bombardements et le blocus".
Le nouveau plan de l'armée "ne vise pas à occuper Gaza, mais à démilitariser Gaza", a répété M. Netanyahu, résumant: "premièrement, désarmer le Hamas. Deuxièmement, tous les otages sont libérés. Troisièmement, Gaza est démilitarisée. Quatrièmement, Israël exerce un contrôle de sécurité prépondérant. Et cinquièmement, une administration civile pacifique non israélienne".
"Nous le ferons en permettant d'abord à la population civile de quitter en toute sécurité les zones de combat pour se rendre dans des zones sûres désignées", où "on leur fournira en abondance de la nourriture, de l'eau et des soins médicaux", a assuré le Premier ministre.
M. Netanyahu a promis des "couloirs protégés" et "d'augmenter le nombre de sites de distribution d'aide de la GHF" (Fondation privée soutenue par les Etats-Unis et Israël), ainsi que les "largages aériens".
"Rendus aux faibles"
"Nous parlons en termes d'un calendrier assez court parce que nous voulons mettre fin à la guerre. (...) Nous allons gagner la guerre, avec ou sans le soutien des autres", a-t-il enfin lancé, alors que son plan a suscité la réprobation internationale.
Lors d'une réunion urgente du Conseil de sécurité, le sous-secrétaire général de l'ONU, Miroslav Jenca, a affirmé que la mise en oeuvre du plan israélien à Gaza "risquait de déclencher une nouvelle calamité, résonnant dans toute la région et provoquant de nouveaux déplacements forcés, des tueries et des destructions".
Les familles d'otages enlevés lors de l'attaque sanglante du Hamas en Israël le 7 octobre 2023 voient dans la nouvelle offensive annoncée pour Gaza une condamnation à mort de leurs proches. Le Hamas a prévenu qu'elle aboutirait à leur "sacrifice".
Des parents d'otages ont appelé à une grève générale pour dimanche prochain.
Dans le même temps, l'extrême-droite, partie-prenante de la coalition gouvernementale a clamé son désaccord.
"Le Premier ministre et le cabinet se sont rendus aux faibles", a fustigé le ministre des Finances, Bezalel Smotrich. "Je veux tout Gaza, le transfert (de sa population, NDLR) et la colonisation", a renchéri le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, autre figure d'extrême-droite au sein de la coalition.
Sur le terrain, la Défense civile de Gaza a fait état de 27 personnes tuées par l'armée israélienne dimanche, dont 11 par des tirs alors qu'elles attendaient des distributions de vivres près de centres de la GHF.
L'attaque du 7-Octobre, qui a déclenché la guerre à Gaza, a entraîné côté israélien la mort de 1219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles.
Les représailles israéliennes à Gaza ont déjà fait 61'430 morts, majoritairement des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
France: le feu maîtrisé dans le sud frappé par la canicule
Le grand feu qui a dévasté 13'000 hectares a été "maîtrisé" dimanche dans le sud de la France, région particulièrement touchée par une vague de chaleur qui doit s'intensifier lundi.
"Le feu est désormais maîtrisé", a déclaré une responsable de la préfecture de l'Aude, Amélie Trioux, en soulignant que la mobilisation des pompiers demeurait "totale".
Dans la nuit et dimanche matin, 1300 pompiers avaient dû intervenir pour noyer "quelques réactivations de faible importance", a précisé le préfet du département de l'Aude Christian Pouget.
Trente-six maisons ont été détruites, d'autres endommagées, et plus d'une vingtaine de hangars agricoles brûlés, sur les 3000 bâtis qui ont été défendus par les pompiers, selon la préfecture de l'Aude.
Un décès
Une femme de 65 ans est morte dans sa maison, tandis qu'une habitante a été grièvement brûlée. Quatre autres personnes ont été légèrement blessées.
Dans les rangs des pompiers, 19 ont été blessés, dont un a subi un traumatisme crânien.
D'après les premiers éléments de l'enquête, l'incendie a démarré sur le bord d'une route. Des investigations sont en cours pour déterminer les causes de l'incendie et d'établir d'éventuelles responsabilités.
Dimanche, un vent chaud souffle sur les Corbières, le secteur de l'Aude frappé par l'incendie, rendant l'air brûlant, tandis que les températures atteignent déjà les 37°C.
La vague de chaleur amorcée vendredi plombe dimanche la moitié sud du pays, avec 42 départements placés en vigilance orange canicule par Météo-France, des Pyrénées-Atlantiques au Jura et de la Charente-Maritime aux Alpes-Maritimes, Aude comprise.
La vague de chaleur s'intensifiera encore lundi, avec des températures "d'un niveau exceptionnel" "très fréquemment supérieures" à 40°C dans le sud-ouest où 12 départements seront classés en vigilance canicule rouge par Météo-France, tandis que l'épisode va "progresser" dans le reste du pays.
C'est la deuxième vague de chaleur dans le pays après l'épisode du 19 juin au 4 juillet, et la 51e enregistrée depuis 1947. Elle nécessite "une vigilance particulière notamment pour les personnes sensibles ou exposées", a souligné Météo-France.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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