International
Australie, Grande-Bretagne et France au menu pour la Suisse
La tâche de l'équipe de Suisse s'annonce pour le moins délicate dans la phase de groupes de la finale de la Coupe Davis.
La sélection du capitaine Severin Lüthi affrontera l'Australie, la Grande-Bretagne et la France du 12 au 17 septembre à Manchester.
Ce groupe B est peut-être le plus relevé des quatre. L'équipe de Suisse, qui figurait dans le quatrième chapeau lors du tirage au sort effectué mercredi à Malaga, aurait par exemple parfaitement pu se frotter à la Croatie, aux Pays-Bas et à la Suède.
Mais Marc-Andrea Hüsler, Stan Wawrinka et leurs coéquipiers n'ont pas été gâtés. Ils en découdront avec trois des quatre nations les plus titrées de l'histoire dans cette compétition: l'Australie a triomphé 28 fois, la Grande-Bretagne et la France 10. Seuls les Etats-Unis (32) ont fait mieux.
Le groupe A mettra aux prises le Canada, tenant du titre, la Suède, le Chili et l'Italie à Bologne. L'Espagne, la Serbie, la Tchéquie et la Corée du Sud en découdront à Valence (groupe C), alors que la poule D réunira la Croatie, les Pays-Bas, les Etats-Unis et la Finlande dans une ville croate qui reste à confirmer.
Les rencontres de cette phase de groupes, à laquelle la Suisse participe pour la première fois depuis la réforme de la compétition, se disputeront sur une journée avec à chaque fois deux simples et un double. Les deux premiers de chaque poule se qualifieront pour le tour final, prévu du 21 au 26 novembre à Malaga.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
C'est - déjà - fini pour les Suisses
Le tennis suisse peut faire grise mine à Paris. Il n'enverra aucun représentant en seizième de finale des Internationaux de France pour la troisième fois en 30 ans après 1994 et 2018.
Dernière carte de Swiss Tennis en lice, Simona Waltert (WTA 128) s'est logiquement inclinée 6-2 6-3 devant Elisabetta Cocciaretto (WTA 44). Face à une adversaire aussi régulière sur la ligne de fond de court que l'Italienne, la Grisonne a accusé bien trop de déchet dans son jeu pour espérer un meilleur sort. Elle a, ainsi, commis 32 erreurs directes pour perdre à six reprises son service. On précisera qu'Elisabetta Cocciaretto a réussi un six sur six sur les balles de break en sa faveur. Cela traduit un certain désarroi chez Simona Waltert qui avait largement les moyens d'offrir une autre réplique.
La protégée de Stéphane Bohli a, en effet, raté le coche en début de rencontre. Après une balle de 2-0 puis de 3-1 en sa faveur, elle devait perdre sept jeux de rang. Le tournant de la rencontre fut sans doute le sixième jeu du premier set qui a perdu à l'Italienne de se détacher alors qu'elle avait été menée 0-40...
Issue des qualifications, Simona Waltert ne quitte toutefois pas la Porte d'Auteuil. Son succès mardi contre l'Américaine Elizabeth Mandlik, son premier dans le tableau principal d'un tournoi du Grand Chelem, lui permet de s'approcher du top 100 de la WTA et lui rapporte aussi un joli chèque de 97'000 euros.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Brésil: croissance de 1,9% au premier trimestre
Le Brésil a enregistré une croissance de 1,9% au premier trimestre, qui correspond aux premiers mois du mandat du président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, selon les données publiées jeudi par l'Institut de statistiques IBGE.
Ce résultat supérieur aux prévisions moyennes des analystes consultés par le quotidien Valor (1,3%) est dû notamment au dynamisme du secteur agricole (+21,6%), dopé par des récoltes exceptionnelles.
Il s'agit de "la plus forte hausse pour ce secteur depuis 1996", a expliqué l'IBGE dans un communiqué.
La première économie d'Amérique Latine a ainsi connu un rebond après avoir vu son PIB se contracter au quatrième trimestre 2022 (0,1%, selon les chiffres révisés jeudi).
Mais les prévisions de croissance pour l'année 2023 demeurent pessimistes, à 1,26%, selon les institutions financières consultées par l'enquête Focus de la Banque centrale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Frappes sur une région russe: "pas une seule" condamnation
Le Kremlin a dénoncé une absence de critiques internationales après des frappes ukrainiennes sur la région russe de Belgorod, frontalière de l'Ukraine, où la Russie a affirmé jeudi avoir repoussé une attaque d'ampleur.
"La communauté internationale a toutes les possibilités de voir des images, de lire des articles où l'on décrit les frappes sur des immeubles résidentiels, des infrastructures sociales, etc", a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
"Et toujours pas un seul mot qui critiquerait ou condamnerait le régime de Kiev pour cela", a-t-il accusé, assurant que cette attaque n'aura "aucune influence" sur la conduite de la campagne militaire russe en Ukraine.
L'armée russe a affirmé jeudi avoir mobilisé son aviation et son artillerie pour repousser une attaque ukrainienne contre la région frontalière de Belgorod, où des bombardements massifs ces derniers jours ont poussé de nombreux habitants à fuir.
Onze personnes y ont été blessées jeudi, selon les autorités locales.
M. Peskov a souligné que Vladimir Poutine obtenait "en permanence" des informations des services de sécurité et autorités sur place et que le président s'occupait "activement" de la fourniture d'aide aux civils fuyant les combats.
Mardi, la ville de Moscou a été touchée par une attaque de drones sans précèdent, faisant deux blessés légers et des dégâts mineurs.
En réaction à cette attaque, un porte-parole de la diplomatie américaine avait assuré que Washington ne soutenait pas "les attaques à l'intérieur de la Russie" et se concentrait sur la fourniture à Kiev d'équipements et d'entrainements.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nintendo annonce mettre fin à ses activités en Russie
Nintendo a annoncé mercredi mettre fin à ses activités en Russie. Le géant japonais du jeu vidéo avait déjà réduit ses opérations l'an dernier comme d'autres entreprises de son secteur après l'invasion de l'Ukraine par les troupes de Moscou.
Nintendo avait déjà suspendu en mars 2022 ses expéditions à destination de la Russie, une mesure annoncée à l'époque comme temporaire.
Sa boutique en ligne était également indisponible depuis cette date en raison de la suspension des transactions en roubles par son prestataire de services de paiement.
"A la suite de cela, et en raison des perspectives économiques, Nintendo Europe a décidé de mettre fin aux activités de sa filiale russe", a écrit Nintendo dans un bref communiqué mercredi.
Le groupe basé à Kyoto (ouest du Japon) précise que les clients russes disposant d'un compte Nintendo pourront toujours retélécharger les contenus numériques qu'ils avaient déjà achetés, mais qu'il n'était plus possible de créer un nouveau compte.
Les informations de paiement des clients ont par ailleurs été effacées "pour des raisons de sécurité", selon le communiqué.
Le compatriote et rival de Nintendo dans le domaine du jeu vidéo, Sony, avait également annoncé l'an dernier la suspension de ses expéditions de jeux et de consoles en Russie, rejoignant ainsi "la communauté mondiale dans son appel à la paix en Ukraine", avait-il dit à l'époque.
D'autres grandes entreprises du jeu vidéo comme Microsoft, Electronic Arts, Activision Blizzard, Epic Games, Niantic ou Take-Two avaient également annoncé des mesures similaires de suspension de leurs activités en Russie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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