Économie
Bank of America dépasse les attentes au troisième trimestre
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Bank of America a dépassé les attentes au troisième trimestre avec des résultats en nette hausse, grâce au dynamisme des marchés financiers et à l'arrivée de nouveaux clients, selon un communiqué publié mercredi.
Sur cette période, le chiffre d'affaires de la banque américaine a grimpé de 11% à 28,1 milliards de dollars (22,6 milliards en francs), a-t-elle indiqué, c'est-à-dire nettement au-delà du consensus d'analystes interrogés par Bloomberg.
A l'instar des autres banques américaines qui ont publié leurs résultats ces derniers jours, ses revenus ont été dopés par les marchés financiers qui ont atteint des sommets ces derniers mois, grâce notamment au secteur de la tech.
Le chiffre d'affaires de Bank of America a aussi bénéficié des commissions en hausse et de nouveaux comptes clients. Sur la période, son bénéfice net a bondi de 23% à 8,5 milliards. Rapporté par action, il s'affiche à 1,06 dollar (+31%), là aussi au-dessus du consensus d'analystes.
"Une forte croissance des prêts et des dépôts (...) a entraîné un revenu net d'intérêts record. Nous avons également observé une solide performance des frais provenant de nos activités de marché", s'est félicité le PDG du groupe, Brian Moynihan, cité dans le communiqué.
Sur cette période, les revenus nets d'intérêts (NII) - différence entre les intérêts perçus sur les opérations des clients et les intérêts versés aux épargnants et aux créanciers - ont en effet augmenté de 9%, à 15,2 milliards, portés par l'activité des marchés mondiaux et la croissance des dépôts et des prêts.
Par branche, les revenus de la banque de détail ont progressé de 7%, à 11,2 milliards, soutenus notamment par les ouvertures de comptes et les prêts aux petites entreprises.
La branche d'investissement a vu son chiffre d'affaires bondir de 10% à 6,3 milliards, grâce à l'augmentation des frais de gestion d'actifs et à des marchés financiers dynamiques, portant les valorisations des entreprises à des niveaux élevés.
Les activités de marchés (+11%, à 6,2 milliards) tout comme les revenus de la banque d'affaires (+7% à 6,2 milliards) ont également été dopés par les commissions bancaires sur fond de marchés financiers en pleine progression.
Dans les échanges électroniques avant l'ouverture de la Bourse de New York, aux alentours de 11H15 GMT, l'action de Bank of America gagnait 4,8% à 52,5 dollars.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Poste: la Confédération devrait renoncer au dividende
Le Surveillant des prix en Suisse, Stefan Meierhans, propose que la Confédération renonce au dividende de La Poste. C'est ce qui ressort d'un document sur la révision de la loi sur la Poste.
En tant que propriétaire, la Confédération devrait assumer sa responsabilité en matière de service universel fiable et tourné vers l'avenir, au lieu de miser sur des dividendes, a écrit le surveillant des prix dans ce document, dont l'agence Keystone-ATS a reçu une copie. Blick.ch a été le premier à en faire état.
Avec les dispositions légales relatives au service universel, la Confédération impose à la Poste des coûts considérables qui doivent finalement être supportés par les clients. Il serait donc "logique" que la Confédération renonce en contrepartie à percevoir des dividendes.
De plus, la Poste apporte déjà une contribution au budget fédéral en payant la TVA même dans le domaine réservé. Selon le Surveillant des prix, cette taxe représente une charge supplémentaire pour les clients.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La croissance du PIB vaudois devrait baisser à 1,1% en 2026
Les perspectives de l'économie vaudoise se dégradent. La croissance du produit intérieur brut (PIB) du canton est attendue à 1,1% en 2026, alors qu'elle a progressé de 1,9% cette année. L'annonce de droits de douane de 39% par les Etats-Unis explique notamment ces prévisions à la baisse.
"Les droits de douane additionnels de 39% appliqués aux marchandises de nombreuses entreprises suisses font partie des plus élevés au monde. A ce niveau, leur compétitivité-prix est réduite par rapport à des concurrents installés dans d'autres pays moins taxés", fait remarquer mardi la commission Conjoncture vaudoise dans un communiqué. La baisse de 10% du cours du dollar par rapport au franc constitue par ailleurs un "obstacle supplémentaire".
La demande intérieure vaudoise demeure toutefois "robuste", se réjouit la commission. Le taux de chômage reste "peu élevé", à 4,5%, tandis que les taux d'intérêt sont bas.
Dans les prévisions par branche, le commerce de gros et de détail est attendu en "forte croissance" (plus de 2%) cette année et l'an prochain. Les services aux entreprises, les activités immobilières ainsi que les services publics et parapublics devraient connaître une croissance "modérée" entre 0,5 et 2% en 2025, ainsi qu'une "forte croissance" en 2026.
Horlogerie et machines en forte baisse
La construction devrait croître fortement en 2025 puis modérément en 2026, bien que la future suppression de la valeur locative pourrait changer la donne. Les services financiers devraient connaître une croissance modérée en 2025 puis une stagnation en 2026. L'hôtellerie-restauration devrait quant à elle stagner en 2025 puis baisser modérément en 2026.
Un "repli modéré" attend les transports et communications en 2025 et devrait être suivi par une "forte baisse" en 2026. La chimie-pharma, devrait constater une forte hausse en 2025, suivie d'un repli modéré en 2026. Enfin, l'industrie des machines et l'horlogerie devraient se situer en forte baisse en 2025 comme en 2026.
Compte tenu du degré d'incertitude élevé, notamment sur le plan géopolitique, l'endettement de certains pays ou encore l'évolution du cours du franc, ces prévisions sont toutefois à considérer avec prudence, souligne la commission.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La BC de Bâle-Campagne liquide sa filiale Radicant
La Banque cantonale de Bâle-Campagne (BLKB) a décidé de rendre la licence bancaire de sa filiale à problèmes Radicant et d'engager sa liquidation. Le bénéfice annuel de l'établissement rhénan en sera lourdement affecté, mais les dividendes maintenus.
"Après un examen approfondi des différentes options de vente, aucune solution permettant la poursuite des activités de Radicant n'a pu être trouvée", précise le président de la BLKB à titre intérimaire, Thomas Bauer, mardi dans un communiqué. Le conseil de banque avait décidé fin septembre de céder sa participation dans la banque numérique.
"Les dépôts des clients restent toutefois entièrement protégés et des solutions de remplacement sont actuellement à l'étude", ajoute Marco Primavesi, président de Radicant. Les collaborateurs seront également "soutenus tout au long du processus".
Le résultat annuel de la maison mère devrait être amputé de 60 millions de francs cette année, par rapport à l'an passé, tandis qu'une performance stable est attendue au niveau opérationnel. La banque prévoit toutefois de maintenir sa rétribution pour les actionnaires et le canton.
Départs groupés
Début juillet, la BLKB avait annoncé passer dans ses comptes un nouveau correctif de valeur de 105,5 millions de francs sur sa participation dans Radicant, fusionnée avec Numarics et qui ne parvenait pas à atteindre le seuil de rentabilité.
Une expertise indépendante, commandée par la banque, avait conclu à des lacunes et des manquements, notamment dans le cadre de la fusion avec Numarics.
Ces difficultés avaient coûté leurs postes aux directeur général de la BLKB, John Häfelfinger, et au président du conseil de banque, Thomas Schneider, dont les départs avaient été annoncés début juillet. Dans la foulée, Marco Primavesi avait annoncé renoncer ses fonctions au sein de l'organe de surveillance de Radicant dès la fin de l'année en cours.
L'ancien président de la Finma Thomas Bauer avait été désigné président de la BLKB par intérim fin août sur décision du conseil d'Etat du demi-canton, afin d'assurer un minimum de gouvernance.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Les salariés dans la restauration veulent sortir des bas salaires
Meilleurs salaires, améliorations dans l'équilibre entre vie privée et travail et mesures contre le harcèlement sexuel et moral: telles sont les revendications des salariés de l'hôtellerie-restauration en vue du renouvellement de la convention collective de travail.
La convention collective nationale de travail (CCNT) sera négociée ce mois. Elle règle les salaires de plus de 250'000 salariés de la restauration, de l’hôtellerie et de la livraison de repas.
Dans ce contexte, l’organisation Hotel & Gastro Union et les syndicats Unia et Syna ont présenté lundi leurs revendications. Objectif principal: sortir des bas salaires. Le salaire minimum le plus bas est d’environ 3700 francs. Le salaire médian des employés sans fonction de cadre est de 4335 francs.
Concrètement, les organisations des travailleurs demandent une compensation automatique du renchérissement sur les salaires minimums et une augmentation réelle des salaires effectifs. "L’objectif est que les salariés titulaires d’un CFC ou d’un diplôme équivalent gagnent au moins 5000 francs", souligne Véronique Polito, vice-présidente du syndicat Unia.
Rendre le métier attractif
Hotel & Gastro Union et les syndicats demandent aussi que les employeurs participent davantage à la formation continue. La convention permet déjà de financer un vaste éventail d'offres, mais aujourd’hui, les salariés contribuent à 90% au financement de ces coûts.
Les associations demandent en outre une réduction de la durée de travail hebdomadaire qui, selon le type d’établissement, est actuellement de 42, 43,5 ou 45 heures. Une meilleure planification des jours de congé, l'élargissement du congé maternité ou plus de flexibilité pour le retour au travail permettrait de mieux concilier vie professionnelle et vie privée. Des mesures de protection contre le harcèlement sexuel sont aussi exigées.
Les partenaires sociaux sont parvenus à un accord sur les salaires minimaux pour les années 2026 et 2027. Ils entendent négocier jusqu'à fin 2026. L'objectif est que la nouvelle CCNT puisse entrer en vigueur au 1er janvier 2028. L'actuelle convention date de 2017.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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