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International

Carlsberg s'attend à une année compliquée après 2022 dans le rouge

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Carlsberg a averti mardi que 2023 serait "une nouvelle année de défi" et d'"incertitudes", après une perte nette en 2022. (archives) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le brasseur danois Carlsberg a averti mardi que 2023 serait "une nouvelle année de défi" et d'"incertitudes", après une perte nette en 2022 et malgré un chiffre d'affaires en hausse l'an dernier.

"En 2023, nous prévoyons une poursuite de l'incertitude", a expliqué Ulrica Fearn directrice financière du numéro quatre mondial du secteur. "2023 sera une nouvelle année de défi", a ajouté le groupe.

En 2022, le brasseur a essuyé une perte nette de 1,06 milliard de couronnes (environ 141 millions de francs). Ce résultat a été plombé par des dépréciations de 10,74 milliards de couronnes. En 2021, Carlsberg avait dégagé un bénéfice net de 6,85 milliards de couronnes.

Le brasseur avait réalisé 9% de ses bénéfices en Russie en 2021 mais il a, comme nombre d'autres entreprises, décidé de vendre ses activités dans ce pays à la suite de la guerre en Ukraine et des sanctions occidentales contre Moscou.

Le résultat net ajusté est lui positif, avec 9,69 milliards de couronnes, et supérieur aux attentes des analystes (7,73 milliards de couronnes pour le panel Bloomberg, 7,65 milliards, selon celui de Factset).

Carlsberg affiche une hausse de 16,9% de son chiffre d'affaires 2022 à 70,26 milliards de couronnes (9,44 milliards d'euros) comparé à 2021.

Cette augmentation est légèrement inférieure aux attentes des analystes qui tablaient sur 70,43 milliards selon le panel de l'agence Bloomberg et sur 70,44 milliards selon les analystes de Factset.

"L'évolution de la guerre en Ukraine et l'impact sur notre activité demeurent très incertains, de même que la sortie du Covid-19 en Chine, y compris la consommation pour les fêtes du Nouvel An chinois", a détaillé l'entreprise.

"Les hausses des prix de l'énergie auront un impact significatif sur nos coûts de ventes en 2023 et sur les frais logistiques", a ajouté l'entreprise.

En août déjà Carlsberg avait annoncé des pertes nettes pour le premier semestre 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Football

Cole Palmer crucifie le PSG

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Cole Palmer: le grand homme de la finale. (© KEYSTONE/AP/Adam Hunger)

Ce fut le match de trop pour le PSG ! A bout de souffle, les Parisiens n’ont pas justifié leur statut de grandissime favori de la finale du mondial des clubs face à Chelsea.

A New York sous les yeux de Donald Trump, les Londoniens se sont imposés 3-0 face aux vainqueurs de la Ligue des Champions pour couronner une saison aussi magnifique que celle du PSG. Victorieux de la Conference League et quatrième de la Premier League, Chelsea a forcé la décision avant la pause grâce au pied gauche de Cole Palmer.

Auteur des deux premiers buts aux 22e et 30e, le no 10 de Chelsea a offert le 3-0 à Joao Pedro à la 43e pour tuer tout suspense dans cette finale. Cole Palmer a exploité à merveille les insuffisances des Parisiens, coupables notamment de trop de laxisme dans leur repli défensif. L’autre héros dans le camp des vainqueurs se nomme Robert Sanchez. Le portier espagnol a réussi les arrêts qu’il fallait pour interdire tout espoir de remontada aux Parisiens.

Même si cette première édition de ce mondial des clubs à 32 équipes a été marquée par les exploits de Fluminense, demi-finaliste après avoir notamment éliminé l’Inter, et d’Al-Hilal, "tombeur" de Manchester City en huitième de finale, elle a livré un le verdict attendu avec une finale 100 % européenne entre deux des formations les plus argentées au monde. Chelsea mérite amplement ce sacre planétaire qui annonce son grand retour à la table des grands avec des performances fort abouties tant en demi-finale face à Fluminense qu’en finale. Et dire que les Londoniens n’étaient pas passé très loin au mois d’août d’une élimination en barrage de la Conference League contre le Servette FC...

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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Cameroun: le président Paul Biya candidat à un huitième mandat

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"Je suis candidat à l'élection présidentielle du 12 octobre 2025. Soyez assurés que ma détermination à vous servir est à la mesure de l'acuité des défis auxquels nous sommes confrontés", a déclaré le chef d'Etat nonagénaire. (© KEYSTONE/AP/Christophe Simon)

Le président camerounais Paul Biya, âgé de 92 ans et au pouvoir depuis près de 43 ans, a annoncé dimanche sur X briguer un huitième septennat à la présidentielle d'octobre.

"Je suis candidat à l'élection présidentielle du 12 octobre 2025. Soyez assurés que ma détermination à vous servir est à la mesure de l'acuité des défis auxquels nous sommes confrontés", a déclaré le chef de l'Etat.

Des voix s'étaient élevées ces dernières semaines au Cameroun pour demander au président de ce pays d'Afrique centrale de passer la main, tandis que d'autres avaient réaffirmé leur soutien au chef de l'Etat.

Défections

Le camp Biya a récemment connu plusieurs défections avec la déclaration de candidature à présidentielle d'Issa Tchiroma Bakary et Bello Bouba Maïgari, tout deux membres du gouvernement et soutiens de longue date de Paul Biya.

Maurice Kamto, plus farouche opposant au chef de l'Etat, arrivé deuxième lors de la présidentielle de 2018 et Cabral Libii, une figure importante de l'opposition, sont également en course pour la présidentielle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Allemagne: Merz tente d'atténuer les turbulences dans sa coalition

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Le renouvellement de trois des juges suprêmes de la Cour constitutionnelle de Karlsruhe est au coeur de ce différend entre le camp conservateur CDU-CSU du chancelier (photo) et son allié de gouvernement social-démocrate (SPD), au pouvoir depuis moins de trois mois. (© KEYSTONE/EPA/FILIP SINGER)

Le chancelier allemand Friedrich Merz a tenté dimanche de désamorcer la crise qui fragilise sa coalition gouvernementale en conflit sur la nomination de juges constitutionnels. Il a reconnu des erreurs et promis de "faire mieux".

Le renouvellement de trois des juges suprêmes de la Cour constitutionnelle de Karlsruhe est au coeur de ce différend entre le camp conservateur CDU-CSU du chancelier et son allié de gouvernement social-démocrate (SPD), au pouvoir depuis moins de trois mois.

Alors que cette élection devait être une simple formalité, le vote a dû être annulé vendredi faute de majorité suffisante au sein de la chambre basse du Parlement, le Bundestag.

"Nous aurions bien sûr pu nous rendre compte plus tôt qu'il y avait un grand mécontentement", a concédé dimanche le chancelier sur la chaine de télévisions ARD.

Coalition "abîmée"

Le chef de l'Etat Frank-Walter Steinmeier a été beaucoup plus sévère sur cette première crise ouverte au sein du gouvernement allemand: elle a "abîmé la coalition", a-t-il estimé dimanche dans une interview.

Si des "décisions ne sont pas prises dans un avenir proche, (...) nous devrons nous inquiéter", a averti M. Steinmeier avec une inhabituelle fermeté.

Pas de majorité renforcée

L'objectif de Friedrich Merz est désormais de "discuter calmement avec le SPD" et de "faire mieux" en vue du vote, après l'été, tout en reconnaissant que "cela restera difficile" puisqu'une majorité des deux tiers des députés est requise pour désigner les juges de la plus haute juridiction du pays.

Dans la chambre basse issue des législatives de février, marquée par une forte progression de l'extrême droite et de l'extrême gauche, la coalition du pouvoir ne dispose pas de cette majorité renforcée.

Une candidate jugée "trop à gauche"

La blocage porte sur les positions d'une des juristes candidate pour ces mandats de douze ans.

La constitutionnaliste Frauke Brosius-Gersdorf, 54 ans, proposée par le SPD, est jugée trop à gauche par les conservateurs qui lui reprochent ses positions libérales sur l'avortement ou le port du voile. Vendredi, des allégations de plagiat d'une partie de sa thèse universitaire sont venues s'ajouter à ces désaccords.

Compromis critiqués

La presse allemande ne mâche pas ses mots depuis vendredi face à ce bras de fer inédit, parlant de "désastre", de "fiasco", de "crise majeure".

Conservateurs et sociaux-démocrates ont déjà été contraints à plusieurs compromis ces dernières semaines qui ont mécontenté une partie de leur base.

L'alliance gouvernementale n'est "pas un mariage d'amour, mais une coalition de travail", a rappelé M. Merz dimanche.

Cette première confrontation ravive le spectre des tensions internes qui avaient paralysé la coalition précédente, dirigée par le social-démocrate Olaf Scholz, et mené à son implosion, précipitant la tenue d'élections anticipées en février.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Taxes: l'UE temporise sa riposte dans l'espoir d'un accord

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La présidente de la Commission européenne a insisté sur le fait que l'UE a "toujours été très claire sur le fait que nous préférons une solution négociée. Cela reste le cas, et nous utiliserons le temps dont nous disposons maintenant jusqu'au 1er août". (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

Ursula von der Leyen a déclaré dimanche que Bruxelles n'allait pas riposter aux droits de douane US sur l'acier et l'aluminium pour l'instant. Cela dans l'espoir d'obtenir un accord permettant d'éviter de plus larges taxes de 30% sur l'ensemble de ses exportations.

Donald Trump a bouleversé des mois de négociations minutieuses samedi en annonçant qu'il infligerait des tarifs douaniers généralisés au bloc des 27 à partir du 1er août.

"Les Etats-Unis nous ont envoyé une lettre avec des mesures qui entreraient en vigueur sauf s'il y a une solution négociée. C'est pourquoi nous prolongerons également la suspension de nos contre-mesures jusqu'au début du mois d'août", a déclaré Mme von der Leyen devant des journalistes.

La suspension de ces représailles aux droits de douane américains sur l'acier et l'aluminium devait expirer dans la nuit de lundi à mardi.

Préférence pour une solution négociée, mais

"En même temps, nous allons continuer de préparer des contre-mesures afin d'être pleinement prêts", a ajouté Mme von der Leyen.

La présidente de la Commission européenne a insisté sur le fait que l'UE a "toujours été très claire sur le fait que nous préférons une solution négociée. Cela reste le cas, et nous utiliserons le temps dont nous disposons maintenant jusqu'au 1er août".

Bruxelles a préparé des droits de douane sur des produits américains d'une valeur d'environ 21 milliards d'euros, en réponse aux droits de douane de 25% imposés par le locataire de la Maison Blanche sur les importations d'acier et d'aluminium plus tôt cette année.

Mais elle a annoncé en avril suspendre ces mesures pour laisser la place à un accord commercial plus large avec l'administration Trump.

Réunion lundi à Bruxelles

Les ministres du commerce de l'UE doivent se réunir lundi à Bruxelles pour discuter de leur réponse à la dernière initiative de Donald Trump, et surtout de la fermeté de la position à adopter face à Washington.

Le ministre allemand des Finances Lars Klingbeil a fait valoir dimanche, dans le journal Süddeutsche Zeitung, que des "négociations sérieuses et orientées vers des solutions" avec les Etats-Unis étaient encore nécessaires, mais qu'en cas d'échec, l'UE aurait besoin de "contre-mesures décisives pour protéger les emplois et les entreprises en Europe".

"Notre main reste tendue, mais nous n'accepterons pas n'importe quoi", a-t-il poursuivi.

Meloni met en garde

La Première ministre italienne Giorgia Meloni a elle mis en garde dimanche contre la perspective d'une "guerre commerciale au sein de l'Occident.

"L'Europe dispose de la puissance économique et financière nécessaire pour affirmer sa position et parvenir à un accord équitable et de bon sens. L'Italie fera sa part. Comme toujours", a-t-elle dit dans un communiqué, alors que son opposition l'accuse de manquer de fermeté face à Washington.

Des prises de parole qui interviennent après que le président français Emmanuel Macron a exhorté samedi la Commission européenne, qui négocie au nom de tous les pays de l'UE, à "défendre résolument les intérêts européens", et "accélérer la préparation de contre-mesures crédibles".

Craintes d'un ralentissement mondial

Depuis son retour à la présidence des Etats-Unis en janvier, Donald Trump a imposé des droits de douane fluctuants et généralisés sur ses alliés et ses concurrents, perturbant les marchés financiers et alimentant les craintes d'un ralentissement économique mondial.

Mais son administration subit des pressions pour conclure des accords avec des partenaires commerciaux après avoir promis une série d'arrangements.

Jusqu'à présent, les responsables américains n'ont dévoilé que deux accords, avec la Grande-Bretagne et le Vietnam, ainsi qu'une réduction temporaire des droits de douane avec la Chine.

L'UE, ainsi que des dizaines d'autres économies, devait voir son niveau de droits de douane américains augmenter à partir d'un taux de base de 10% le 9 juillet, mais l'ex-promoteur immobilier a reporté la date limite au 1er août.

"Déséquilibre commercial"

Dans une lettre publiée samedi, le septuagénaire a cité le déséquilibre commercial des Etats-Unis avec l'UE pour justifier les nouvelles taxes de 30%.

Ce taux est nettement plus élevé que celui de 20% que le président américain avait dévoilé en avril, avant de suspendre son application lorsque les marchés boursiers s'étaient effondrés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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