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C'est - déjà - fini pour les Suisses

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Trop d'erreurs pour Simona Waltert... (© KEYSTONE/EPA/TERESA SUAREZ)

Le tennis suisse peut faire grise mine à Paris. Il n'enverra aucun représentant en seizième de finale des Internationaux de France pour la troisième fois en 30 ans après 1994 et 2018.

Dernière carte de Swiss Tennis en lice, Simona Waltert (WTA 128) s'est logiquement inclinée 6-2 6-3 devant Elisabetta Cocciaretto (WTA 44). Face à une adversaire aussi régulière sur la ligne de fond de court que l'Italienne, la Grisonne a accusé bien trop de déchet dans son jeu pour espérer un meilleur sort. Elle a, ainsi, commis 32 erreurs directes pour perdre à six reprises son service. On précisera qu'Elisabetta Cocciaretto a réussi un six sur six sur les balles de break en sa faveur. Cela traduit un certain désarroi chez Simona Waltert qui avait largement les moyens d'offrir une autre réplique.

La protégée de Stéphane Bohli a, en effet, raté le coche en début de rencontre. Après une balle de 2-0 puis de 3-1 en sa faveur, elle devait perdre sept jeux de rang. Le tournant de la rencontre fut sans doute le sixième jeu du premier set qui a perdu à l'Italienne de se détacher alors qu'elle avait été menée 0-40...

Issue des qualifications, Simona Waltert ne quitte toutefois pas la Porte d'Auteuil. Son succès mardi contre l'Américaine Elizabeth Mandlik, son premier dans le tableau principal d'un tournoi du Grand Chelem, lui permet de s'approcher du top 100 de la WTA et lui rapporte aussi un joli chèque de 97'000 euros.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Nagorny Karabakh: des milliers de réfugiés cherchent à fuir

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"Pour le moment, 19'000 personnes déplacées de force sont arrivées en Arménie depuis le Nagorny Karabakh", a indiqué à la télévision Tigran Khatchatrian, le vice-premier ministre arménien, citant un nouveau décompte. (© KEYSTONE/AP)

Des milliers d'habitants du Nagorny Karabakh ont cherché à fuir leur région mardi pour passer en Arménie où au moins 28'000 d'entre eux ont déjà trouvé refuge selon Erevan, une semaine après une offensive de l'Azerbaïdjan dans cette région sécessionniste du Caucase.

"Pour le moment, 28'120 personnes déplacées de force sont arrivées en Arménie depuis le Nagorny Karabakh", a indiqué à la télévision Tigran Khatchatrian, le vice-premier ministre arménien, citant un nouveau décompte.

L'Azerbaïdjan a ouvert dimanche la seule route menant de cette région à l'Arménie, quatre jours après la capitulation des séparatistes et un accord de cessez-le-feu qui place le Nagorny Karabakh sous le contrôle de Bakou.

Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a appelé l'Azerbaïdjan à respecter ses engagements de protéger les civils dans la province et à y permettre l'accès de l'aide humanitaire.

"Le secrétaire d'Etat s'est à nouveau entretenu avec le président Aliev aujourd'hui et a souligné l'urgence de mettre fin aux hostilités, d'assurer la protection inconditionnelle et la liberté de mouvement des civils, et de garantir un accès humanitaire sans entrave au Nagorny Karabakh", a déclaré le porte-parole du département d'Etat, Matthew Miller.

La France, qui a rappelé mardi qu'elle tiendrait "pleinement responsable l'Azerbaïdjan du sort de la population arménienne", a appelé à "une action diplomatique internationale" face "à l'abandon de l'Arménie par la Russie".

Paris a estimé que l'exode "massif" des Arméniens du Nagorny Karabakh se déroule "sous l'oeil complice de la Russie", qui avait déployé en 2020 une force de maintien de la paix dans cette région sécessionniste.

Pour sa part, l'Union européenne, a réclamé de l'Azerbaïdjan qu'il détaille sa "vision" quant à l'avenir des Arméniens vivant au Nagorny Karabakh.

Dans un communiqué, l'UE souligne la "nécessité pour la transparence et pour un accès de l'aide humanitaire internationale et de responsables chargés de veiller au respect des droits humains, et d'obtenir davantage de détails sur la vision de Bakou concernant l'avenir des Arméniens du Nagorny Karabakh en Azerbaïdjan".

Dans le flot de réfugiés arméniens, l'Azerbaïdjan recherche de possibles auteurs de "crimes de guerre", a indiqué mardi de son côté une source gouvernementale azerbaïdjanaise à l'AFP.

Explosion mortelle

"L'Azerbaïdjan a l'intention d'amnistier les combattants arméniens qui ont déposé les armes au Karabakh. Mais ceux qui ont commis des crimes de guerre pendant les guerres au Karabakh doivent nous être remis", a indiqué cette source, en expliquant pourquoi les hommes en âge de combattre étaient filmés par une caméra au dernier point de contrôle avant de quitter l'enclave.

Lundi soir, en plein exode, un dépôt de carburant a explosé dans l'enclave majoritairement peuplée d'Arméniens, faisant au moins 68 morts, 290 blessés et 105 portés disparus, ont annoncé mardi les autorités séparatistes, qui ont demandé une assistance extérieure urgente pour faire face à cette catastrophe.

"Des dizaines de patients sont toujours dans un état critique", ont-elles indiqué dans un communiqué.

Parmi les morts, treize n'ont pas été identifiés et les corps vont être soumis à des analyses médico-légales, selon la même source.

Plus tôt mardi, le gouvernement arménien avait annoncé avoir déjà accueilli plus de 13'000 réfugiés du Nagorny Karabakh, alors qu'un flot ininterrompu de véhicules transportant des familles et leurs affaires empilées sur les toits se pressait au dernier poste de contrôle azerbaïdjanais avant le territoire arménien, via le corridor de Latchine.

"Expulsés"

Lundi, le président azerbaïdjanais Ilham Aliev avait réaffirmé la promesse selon laquelle les droits des Arméniens de l'enclave seraient "garantis".

Le chef de l'Etat s'exprimait au côté de son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, acteur clef dans la région, quelques jours seulement après la victoire des soldats azerbaïdjanais contre les troupes de la "république" autoproclamée du Nagorny Karabakh, rattaché en 1921 à l'Azerbaïdjan par le pouvoir soviétique.

L'Union européenne devait recevoir mardi à Bruxelles de hauts représentants de l'Arménie et de l'Azerbaïdjan, deux anciennes républiques soviétiques qui se sont affrontées militairement au Nagorny Karabakh de 1988 à 1994 (30000 morts) et à l'automne 2020 (6^500 morts). Le bilan de l'invasion éclair de la semaine dernière est de 200 morts, selon la partie arménienne.

Le premier ministre arménien Nikol Pachinian et le président azerbaïdjanais se rencontreront par ailleurs le 5 octobre à Grenade, en Espagne, avec la participation du président français Emmanuel Macron, du chancelier allemand Olaf Scholz et du président du Conseil européen Charles Michel, une rencontre prévue de longue date qui n'a pas été annulée.

"Des jours terribles"

L'Azerbaïdjan s'est engagé à permettre aux rebelles qui rendraient leurs armes d'aller en Arménie.

Beaucoup craignent que les Arméniens ne fuient massivement le Nagorny Karabakh alors que les forces azerbaïdjanaises resserrent leur emprise.

Car outre l'angoisse qui règne parmi les quelque 120'000 habitants de la région, la situation humanitaire y demeure très tendue.

L'afflux en Arménie de réfugiés du Nagorny Karabakh a entraîné d'immenses embouteillages sur l'unique route reliant la "capitale" de la région sécessionniste, Stepanakert, à ce pays.

Depuis dimanche soir, il a submergé la ville frontalière de Goris peuplée d'une vingtaine de milliers d'habitants, première étape pour la plupart des réfugiés.

La semaine dernière, M. Pachinian a annoncé que son pays de 2,9 millions d'habitants se préparait à accueillir 40'000 réfugiés.

La Russie, qui voit le Caucase comme son pré carré et avait déployé il y a trois ans une force de maintien de la paix dans ce territoire après une brève offensive de l'Azerbaïdjan, a de son côté fermement rejeté lundi les critiques émises par M. Pachinian qui l'a accusée d'avoir abandonné son allié.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Biden rejoint des ouvriers de l'automobile sur un piquet de grève

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Selon la Maison Blanche, il s'agit d'un geste historique pour un président américain. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Image inédite, "historique" même selon la Maison Blanche: en rejoignant mardi des ouvriers de l'automobile à un piquet de grève, dans l'Etat-clé du Michigan, le président Joe Biden a voulu marquer son soutien au mouvement social sans précédent qui secoue le secteur.

S'adressant avec un mégaphone aux membres du syndicat des ouvriers de l'automobile (UAW), casquette de l'organisation vissée sur la tête, Joe Biden a rappelé les "sacrifices" réalisés par ces derniers afin de "sauver l'industrie" lors de la crise de 2008. Ils méritent désormais une "augmentation importante" de salaire, a-t-il lancé.

Il est le premier président américain en exercice à se rendre sur un piquet de grève.

Un tel appui présidentiel dans un conflit social, qui oppose l'organisation syndicale aux trois géants du secteur - General Motors, Ford et Stellantis - vient rappeler la proximité qu'a cultivée M. Biden durant sa carrière avec les syndicats ouvriers.

Il souligne également l'importance que représente le Michigan alors que le démocrate, en campagne pour sa réélection en 2024, pourrait de nouveau se retrouver face à son prédécesseur Donald Trump.

"Très fier"

Et Joe Biden était très attendu, un peu plus tôt dans la journée, devant les grilles de l'usine de Wayne, où une dizaine de grévistes font le piquet, entre panneaux demandant de "sauver le rêve américain" et un feu de camp près d'une tente.

En se rendant dès mardi sur place, ce dernier grille la vedette à son rival républicain, qui a prévu d'aller mercredi dans le même Etat courtiser les cols bleus, sur lesquels il compte notamment fonder sa reconquête de la Maison Blanche.

De quoi faire de cette grève déjà historique un sujet de bataille politique.

Donald Trump, qui avait annoncé son déplacement avant celui de Joe Biden, a d'ailleurs accusé le président démocrate de le copier. Et son conseiller Jason Miller a qualifié la visite de Joe Biden de "rien de plus qu'une pauvre séance photo".

"Pro-syndicat"

Pour Joe Biden, l'enjeu est de prouver que c'est lui au contraire le président des classes laborieuses, défenseur des syndicats et artisan du renouveau industriel des Etats-Unis.

Mais l'octogénaire, à la peine dans les sondages et désormais jaugé à chaque déplacement sur son état physique, marche sur des oeufs: le conflit social en cours pourrait se révéler très dommageable pour l'économie américaine.

Et la grève s'est étendue chez les constructeurs automobiles General Motors et Stellantis, faute d'avancées dans les négociations syndicales, contrairement à Ford où de "réels progrès" ont été effectués.

Joe Biden a plusieurs fois estimé publiquement que les constructeurs devaient faire profiter les salariés de leurs "bénéfices record".

Interrogée pour savoir si le président prenait parti dans le conflit social, la porte-parole de la Maison Blanche a préféré contourner les questions, insistant que Joe Biden voulait avant tout un accord "gagnant-gagnant".

"Nous ne nous impliquons pas dans les négociations", a-t-elle ajouté.

"Prendre vos emplois"

Joe Biden a fait de son soutien aux syndicats une marque de fabrique de son mandat, et l'appui apporté par l'UAW à sa candidature en 2020 l'a aidé à faire basculer le Michigan en sa faveur, alors que l'Etat avait voté pour Donald Trump en 2016.

Cependant, le gouvernement du démocrate est l'un des moteurs du bouleversement historique que vit l'industrie automobile, vers davantage de véhicules plus écologiques.

"Quand il marchera lentement pour prétendre être sur un 'piquet', souvenez-vous qu'il veut vous prendre vos emplois et les envoyer en Chine", a ainsi accusé Donald Trump sur Truth Social.

Les subventions aux véhicules électriques prévues dans le grand plan climat (IRA) du président Biden ne s'appliquent pourtant qu'aux voitures fabriquées en Amérique du Nord.

Les espoirs d'un retour à la Maison Blanche pour le républicain reposent largement sur les mêmes votes des cols bleus qu'il avait remportés en 2016 dans des Etats clés comme le Michigan, la Pennsylvanie, et le Wisconsin.

Mercredi, Donald Trump s'exprimera devant une usine qui fabrique des pièces détachées à Clinton Township dans le Michigan, selon son équipe de campagne, à un peu plus de 60 km de l'endroit où Joe Biden s'est rendu rendu mardi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Une centaine de chihuahuas sauvés par la Fondation Bardot

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les chiens étaient destinés à la vente sur internet (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/JOSE SENA GOULAO)

La Fondation Bardot a annoncé mardi avoir recueilli une centaine de chihuahuas, les plus petits chiens du monde originaires du Mexique, saisis dans un élevage clandestin dans le département de l'Aube et destinés à la vente en ligne illégale.

Ces animaux, pris en charge mardi matin, devaient être vendus sur les réseaux sociaux et sur des sites de petites annonces, "souvent peu regardants sur leur provenance et leur état de santé", a déploré auprès de l'AFP, un porte-parole de la Fondation.

"Plusieurs contrôles de la Direction Départementale de la Protection des Populations (DDPP) avaient préalablement établi que les chiens n'étaient pas détenus dans des conditions compatibles avec leurs besoins", vivant pour beaucoup dans un sous-sol, selon un communiqué des défenseurs des animaux.

C'est à la suite de nouveaux signalements auprès de la DDPP que les équipes de la Fondation Bardot ont été sollicitées pour récupérer les chiens.

"Les couples reproducteurs et les chiots sont en route vers le refuge de l'Arche de B.B. Ils vont arriver dans la soirée et verront le vétérinaire le lendemain. Ils seront soignés, stérilisés et identifiés", a ajouté le porte-parole de la fondation, qui entend engager une procédure juridique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Shakira accusée d'une autre fraude fiscale de 6 millions d'euros

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Alors qu'elle doit comparaître devant la justice d'ici la fin de l'année pour fraude fiscale, Shakira se voit accusée d'une nouvelle fraude en Espagne, portant cette fois sur quelque 6 millions d'euros. (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

La star colombienne Shakira, qui doit être jugée en novembre par la justice espagnole pour fraude fiscale, est accusée d'une autre fraude estimée à 6 millions d'euros par le parquet, selon des documents judiciaires publiés mardi.

Cette procédure, ouverte par un juge d'un tribunal de la banlieue de Barcelone, avait été annoncée le 20 juillet, sans que les détails de l'accusation, et en particulier le montant de la fraude, ne soient communiqués.

Elle porte sur des irrégularités présumées dans les déclarations 2018 d'impôt sur le revenu et d'impôt sur la fortune de la chanteuse, qui réside aujourd'hui à Miami.

Le parquet, qui reproche à l'interprète de Waka-Waka d'avoir utilisé des sociétés domiciliées dans des paradis fiscaux pour éviter de payer l'intégralité de son impôt cette année-là, évalue le montant de la fraude à un total de 6,6 millions une fois ajoutés les intérêts de retard et frais de régularisation.

Dans un communiqué publié mardi, les représentants de Shakira ont assuré qu'"aucune notification" n'avait été reçue par la chanteuse "à Miami", où se trouve son "adresse officielle".

Huit ans de prison requis

Cette annonce intervient à quelques semaines de l'ouverture prévue le 20 novembre à Barcelone du procès de la chanteuse pour fraude fiscale sur la période 2012-2014.

Dans cette procédure, le parquet accuse la star de ne pas avoir déclaré une partie des revenus provenant de ses tournées à l'étranger pendant cette période, alors qu'elle vivait en Espagne plus de 183 jours par an, seuil à partir duquel il est obligatoire de déclarer sa résidence fiscale dans le pays.

Il requiert à son encontre plus de huit ans de prison et une amende avoisinant les 24 millions d'euros dans cette affaire.

"L'équipe juridique de Shakira se concentre sur la préparation (de ce) procès" ont ajouté les représentants de la star.

La vie privée de la Colombienne est revenue sur le devant de la scène en juin 2022 lorsqu'elle s'est séparée de l'ancien footballeur du Barça Gerard Piqué avec qui elle était en couple depuis plus de dix ans et avec qui elle a eu deux enfants.

Après être parvenue à un accord sur la garde de leurs enfants, Shakira a déménagé avec eux à Miami.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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