International
Daniel Eich a pris date
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Daniel Eich n’est pas passé loin d’offrir au judo suisse une médaille pour célébrer de la plus belle des manières le 1er août. L’Argovien a été battu dans la petite finale des moins de 100 kg.
Daniel Eich s’est incliné devant l’Israélien Peter Paltchik dans une rencontre qui a connu une issue bien improbable. On a, en effet, cru un moment à la disqualification de Peter Paltchik pour manque de combativité. Mais il s’est avéré que l’Israélien n’avait pas, avant ce troisième avertissement apparemment fatal, été sanctionné d’un deuxième shido. Le waza-ari qu’il avait infligé à l’Argovien lui a permis finalement de s’imposer dans ce combat.
Après sa défaite très expéditive en demi-finale face au Géorgien Ilia Sulamanidze, Daniel Eich a pu, cette fois, se livrer pleinement. Mais il lui aura manqué de la puissance et de la fraîcheur pour bousculer vraiment son adversaire. Marquée par sa victoire contre le no 3 mondial Shady Elnahas, sa journée fut tout de même très belle. A 24 ans, l’Argovien a pris date.
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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Musk regrette d'être "allé trop loin" en critiquant Trump
Elon Musk, l'homme le plus riche du monde, qui s'était répandu la semaine dernière contre l'homme le plus puissant du monde, Donald Trump, a regretté d'être "allé trop loin". Une tonitruante dispute qui a fâché les deux anciens proches alliés.
"Je regrette certains de mes messages sur le président (...) la semaine dernière. Ils sont allés trop loin", a-t-il publié sur son réseau social X, dans la nuit de mardi à mercredi aux Etats-Unis.
Elon Musk patron de SpaceX, entreprise spatiale très dépendante des commandes de la Nasa, et du constructeur automobile Tesla, soumis au cadre normatif édicté par les autorités américaines, avait fait une série de premiers gestes la semaine dernière.
Il avait ainsi supprimé un post sur X publié au plus fort de sa dispute avec le président américain, dans lequel il l'accusait d'être impliqué dans l'affaire Jeffrey Epstein, du nom d'un financier accusé d'exploitation sexuelle de mineures.
D'autres posts écrits ou partagés par le milliardaire, dont l'un appelait à destituer Donald Trump, ont également été supprimés.
Elon Musk n'a pas détaillé mercredi à quelles publications il faisait référence.
Les deux hommes, qui ont été très proches pendant la campagne de Donald Trump et au début de son second mandat, se sont déchirés publiquement, dans des registres tant professionnels que personnels. L'homme d'affaires avait ainsi dénoncé le projet de loi budgétaire porté par Donald Trump, lequel avait mis en cause la santé mentale de ce dernier.
Menaces trumpiennes
Tout avait commencé quand Elon Musk avait traité d'"abomination répugnante" le grand projet de loi budgétaire. Donald Trump avait répondu être étonné, d'autant que selon lui Elon Musk connaissait le contenu du projet.
"Faux", avait rétorqué ce dernier, avant d'enchaîner en affirmant que c'était grâce à lui, à son soutien et à ses dollars, que Donald Trump était aujourd'hui assis dans le Bureau ovale. Et d'évoquer la possibilité de créer son propre parti politique, lui qui ne peut pas être élu à la Maison Blanche car né hors des Etats-Unis.
Il est "devenu fou", avait riposté Donald Trump, agitant la menace de supprimer subventions et commandes publiques aux entreprises d'Elon Musk, et les échanges s'étaient poursuivis ainsi pendant des heures sous le regard interloqué du reste de la planète, sidéré devant le choc entre l'homme le plus riche du monde, adossé à une fortune de près de 400 milliards de dollars, et l'homme le plus puissant du monde à la tête des Etats-Unis.
D'autant qu'ils avaient été très proches, échangeant d'innombrables amabilités au cours des mois précédents, quand Elon Musk avait été chargé de mettre en place le Doge, la commission fédérale chargée de faire fondre, parfois brutalement, les dépenses de l'Etat fédéral.
Mais cette séparation porte aussi en germe des conséquences très concrètes pour les entreprises d'Elon Musk, compte tenu du pouvoir exécutif détenu par Donald Trump. Et ce, malgré la place cruciale des entreprises d'Elon Musk dans le paysage américain, même si ce dernier soutenait que sa puissance à lui était plus durable: "Trump a encore trois ans et demi en tant que président. Moi, je serai là pour encore 40 ans."
Il a fait aussi face à une série de mises en cause et menaces moins économiques: des trumpistes influents comme l'idéologue d'extrême droite Steve Bannon ont ainsi demandé d'enquêter sur le statut migratoire d'Elon Musk, quinquagénaire né en Afrique du Sud, sur son habilité à accéder à des informations confidentielles et sur sa consommation présumée de drogues.
Le Président américain l'a aussi menacé explicitement s'il commençait à soutenir des candidats démocrates dans des élections: "Il devra faire face à de très lourdes conséquences", avait-il mis en garde, sans détailler la nature de ces potentielles répercussions.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Israël: le Parlement va devoir voter sur un projet de dissolution
Les chefs des partis de l'opposition israélienne ont décidé de soumettre mercredi à la Knesset (Parlement) un projet de loi de dissolution du Parlement. Les partis ultra-orthodoxes, soutiens clés de la coalition de Benjamin Netanyahu, ont menacé de soutenir ce texte.
"Les chefs des partis d'opposition ont décidé de soumettre au vote un projet de loi de dissolution de la Knesset aujourd'hui. Cette décision a été prise à l'unanimité et engage tous les partis" d'opposition, ont indiqué leurs chefs dans un communiqué commun.
Les partis Shass et Judaïsme unifié de la Torah (JUT) ont menacé de se joindre à l'action de l'opposition en raison de leur opposition à la loi de conscription visant notamment les exemptions des ultra-orthodoxes.
Si le projet est approuvé lors de cette lecture préliminaire en session plénière mercredi, il faudra encore trois autres votes avant une dissolution.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Neil Young sort un nouvel album avec "The Chrome Hearts"
Neil Young, que l'on pourra écouter le 6 juillet au festival de jazz de Montreux, sort un nouveau disque. Le musicien, qui arpente les scènes depuis plus de 60 ans, ne se prive pas de critiquer le gouvernement américain, qui vient de lancer l'assaut sur Los Angeles.
Neil Young, qui a déjà des dizaines d'albums à son palmarès, sort "Talking To The Trees" (Parler aux arbres) vendredi. Pour ce musicien canadien de folk rock, qui aura 80 ans en novembre, il s'agit du premier disque avec son nouveau groupe "The Chrome Hearts" (Les coeurs de chrome).
Neil Young a écrit les dix chansons et joue de la guitare, de la harpe, du piano et du vibraphone. On entend les quatre membres du groupe à la guitare, à la basse, à l'orgue, à la batterie et au chant.
Critique de Trump et Musk
Le son est celui du folk rock classique de Neil Young. Pour les textes, l'homme de 79 ans ne se censure pas, comme toujours. Le musicien s'en prend surtout au gouvernement américain, comme il l'avait déjà fait lors du premier mandat du président Donald Trump. "Big Change" était le nom de la première chanson publiée de l'album - parue peu avant l'assermentation de Trump. Dans la chanson "Lets Roll Again", Neil Young appelle par exemple l'industrie automobile américaine à produire davantage de voitures électriques.
Il déconseille toutefois les voitures électriques de l'entreprise Tesla, produite par le milliardaire de la tech Elon Musk, et soutien de Trump jusqu'il y a peu: "If you're a fascist, then get a Tesla" ("Si tu es un fasciste, achète une Tesla"), dit la chanson.
Peu après la sortie de l'album, Neil Young et son groupe partent en tournée mondiale, d'abord en Europe, puis aux Etats-Unis et au Canada.
Inquiétude pour le retour aux Etats-Unis
Neil Young ignore s'il pourra rentrer aux Etats-Unis après ses concerts en Europe. "Si je fais de la musique en Europe et que j'y parle de Donald J. Trump, je pourrais être l'un de ceux qui reviennent en Amérique et qui sont empêchés d'entrer ou qui sont mis en prison pour dormir sur un sol en ciment avec un plafond en aluminium", a écrit le musicien, qui a la double nationalité canadienne et américaine, sur son site internet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / dpa
International
Jamais le monde n'a connu plus de conflits depuis 1946
La planète a connu en 2024 le nombre de conflits armés le plus élevé depuis 1946, détrônant 2023 qui était déjà une année record, selon une étude norvégienne publiée mercredi. Cette enquête met en lumière les risques liés à un désengagement américain.
L'an dernier, 61 conflits ont été enregistrés dans le monde, répartis entre 36 pays - certains étant déchirés par plusieurs conflits simultanément -, montre le rapport réalisé par l'Institut de recherche sur la paix d'Oslo (Prio). En 2023, ces chiffres étaient de respectivement 59 et 34.
"Ce n'est pas simplement un pic, c'est un changement structurel. Le monde aujourd'hui est bien plus violent et bien plus fragmenté qu'il ne l'était il y a dix ans", a commenté Siri Aas Rustad, rédactrice principale du rapport qui observe les tendances sur la période 1946-2024.
L'Afrique est restée le continent le plus touché avec 28 conflits étatiques (impliquant au moins un Etat), suivie par l'Asie (17), le Moyen-Orient (dix), l'Europe (trois) et les Amérique (deux). Plus de la moitié des Etats touchés sont déchirés par deux conflits ou plus.
Le nombre de morts liés à des combats est, lui, resté à peu près stable par rapport à 2023, à environ 129'000, ce qui fait de 2024 la quatrième année la plus sanglante depuis la fin de la Guerre froide en 1989, selon l'étude.
Ce bilan a été tiré par les guerres en Ukraine et dans la bande de Gaza, mais aussi par les affrontements dans la région éthiopienne du Tigré.
Pas le moment du repli
"Ce n'est pas le moment pour les Etats-Unis ni pour aucune grande puissance mondiale de se replier sur elle-même et de renoncer à l'engagement international. L'isolationnisme, face à la montée de la violence dans le monde, serait une erreur profonde aux conséquences humaines durables", a affirmé Siri Aas Rustad, en référence notamment à la ligne "America First" défendue par Donald Trump.
"C'est une erreur de penser que le monde peut détourner le regard. Que ce soit sous la présidence de Donald Trump ou sous une future administration, abandonner la solidarité mondiale maintenant reviendrait à renoncer à la stabilité même que les Etats-Unis ont contribué à construire après 1945", a-t-elle dit.
L'étude s'appuie sur les chiffres compilés par l'université suédoise d'Uppsala.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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