Économie
Elon Musk propose à nouveau de racheter Twitter
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Elon Musk a de nouveau changé d'avis : le patron de Tesla a finalement proposé à Twitter de racheter le réseau social au prix convenu en avril. Un procès entre les deux parties portant sur cette acquisition mouvementée est prévu dans deux semaines.
L'entrepreneur "entend conclure la transaction envisagée par l'accord de rachat du 25 avril 2022", selon les termes prévus, ont écrit ses avocats dans une lettre adressée au groupe californien lundi, et déposée mardi auprès du gendarme boursier américain, la SEC. Seule condition exprimée dans la lettre : la fin des procédures judiciaires en cours devant le tribunal spécialisé du Delaware.
Le titre de Twitter prenait plus de 22% à la Bourse de New York, après avoir été suspendu tout l'après-midi "en attendant des informations", après un article de l'agence Bloomberg qui a révélé ce rebondissement.
Elon Musk avait proposé au printemps d'acquérir la plateforme pour 54,20 dollars l'action, la valorisant donc à 44 milliards de dollars. Le conseil d'administration, d'abord très réticent, avait fini par accepter, mais l'homme le plus riche au monde était revenu unilatéralement sur cet accord en juillet.
Twitter avait alors lancé des poursuites pour le forcer à honorer son engagement, et tout indiquait qu'il était bien positionné pour l'emporter. Mardi, le groupe a confirmé dans un bref communiqué "avoir reçu la lettre" et avoir l'intention "de conclure cette transaction" au prix défini.
"Contrat blindé"
"C'est un signe clair que Musk reconnaît que ses chances de gagner contre le conseil d'administration devant la cour du Delaware sont très faibles et que le rachat à 44 milliards allait devoir avoir lieu d'une façon ou d'une autre", a réagi l'analyste Dan Ives de Wedbush Securities.
Elon Musk avait bombardé Twitter de critiques avant et après la signature du contrat, accusant notamment la plateforme de censurer les utilisateurs. Il avait justifié son retour en arrière en affirmant que la proportion de spams et de faux comptes sur la plateforme était largement supérieure à 5%, le chiffre avancé par l'entreprise de San Francisco.
Face à la plainte de Twitter, la présidente du tribunal spécialisé du Delaware devant traiter le dossier a accordé à l'entreprise un procès rapide, alors qu'Elon Musk voulait attendre l'année prochaine et demandait des quantités astronomiques de données. Il devait théoriquement se tenir du 17 au 21 octobre, mais il n'aura pas lieu si Twitter accepte cette nouvelle offre.
Musk mutique
"Twitter va vouloir un contrat blindé cette fois-ci, qui dira, en substance, 'donne-nous l'argent et on peut conclure'. Ils vont vouloir que Musk avance une bonne partie de la somme totale", a commenté Adam Badawi, professeur en droit des affaires à l'université de Berkeley. Le multimilliardaire n'a pas dit pourquoi il avait changé d'avis.
"Selon certaines spéculations, Musk aurait pu avoir à payer des intérêts substantiels s'il avait fait appel, et donc devoir débourser bien plus que les 54,20 dollars par action", note M. Badawi.
"Tempête d'inquiétudes"
Le clan Musk semblait avoir gagné un point lorsque Peiter Zatko, l'ex-chef de la sécurité de Twitter licencié en janvier, a accusé fin août le groupe d'importantes failles de sécurité, dans un rapport remis aux autorités américaines.
Mais lors d'audiences préliminaires avec la juge, les avocats du multimilliardaire semblaient peiner à étayer les accusations sur les comptes automatisés.
Un avocat de Twitter a ainsi fait état de deux rapports par des sociétés d'analyse de données engagées par l'homme d'affaires, Cyabra et CounterAction, qui ont évalué le taux de faux comptes à 11% et 5,3%, respectivement.
Moteur de radicalisation
Si la transaction a lieu, le risque que les régulateurs s'y opposent est faible, selon Dan Ives. Mais l'idée à nouveau d'actualité que le patron de Tesla et SpaceX devienne propriétaire de Twitter "va causer une tempête d'inquiétudes et de questions de la part des utilisateurs et des politiques", a ajouté l'analyste.
L'accord d'avril avait en effet été accueilli avec beaucoup d'émotions, des angoisses de la gauche à la joie de la droite à l'idée qu'Elon Musk assouplisse le règlement et la modération des contenus.
"La plateforme va devenir un moteur de radicalisation s'il applique ne serait-ce qu'une fraction de ce qu'il a promis", a déclaré Angelo Carusone, président de l'ONG Media Matters for America, dans un communiqué mardi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Trump examine la possibilité de renvoyer le président de la Fed
Donald Trump et son gouvernement étudient la possibilité de limoger le président de la Banque centrale américaine Jerome Powell. Le patron de la Fed est dans le viseur du président depuis plusieurs jours pour son refus de baisser les taux d'intérêt de l'institution.
"Le président et son équipe continueront à se pencher sur la question" de limoger Jerome Powell, a déclaré vendredi à des journalistes le directeur du Conseil économique national, Kevin Hassett.
Jeudi, Donald Trump avait affirmé qu'il n'était "pas content" de M. Powell. "Je lui ai fait savoir et si je veux qu'il parte, il partira vite fait, croyez-moi", avait-il assuré.
Le milliardaire républicain n'a pas le pouvoir de limoger directement les patrons de la Fed. Pour tenter de destituer Jerome Powell, il devrait entamer une longue procédure et prouver que ce dernier a commis une faute grave.
Donald Trump a nommé Jerome Powell à la tête de la Fed lors de son premier mandat, en 2018, mais l'accuse aujourd'hui de politiser la banque centrale américaine.
Le président de la Fed a mis en garde mercredi contre les effets des droits de douane décidés par M. Trump, qui "vont très certainement entraîner au moins une hausse temporaire de l'inflation". Le président américain a fortement augmenté les droits de douane s'appliquant aux produits entrant aux Etats-Unis, imposés désormais au minimum à 10%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
JD Vance affiche son optimisme sur l'Ukraine en rencontrant Meloni
Le vice-président américain JD Vance a été reçu vendredi à Rome, en pleine guerre commerciale entre Washington et l'UE, par sa "chère amie" Giorgia Meloni. Il a assuré sur X avoir eu un entretien "fantastique" avec la cheffe du gouvernement italien et son équipe.
M. Vance a été reçu au Palais Chigi par Mme Meloni pour un entretien bilatéral et un repas auquel ont participé également les deux vice-premiers ministres italiens Matteo Salvini et Antonio Tajani.
A son arrivée à la résidence officielle de Mme Meloni en plein centre de Rome, M. Vance avait indiqué qu'il informerait Giorgia Meloni des "négociations entre la Russie, l'Ukraine et aussi sur certaines choses intervenues au cours des dernières 24 heures".
Optimisme sur l'Ukraine
"Je crois que nous avons des choses intéressantes à rapporter sur certaines négociations, en privé bien sûr", avait-il ajouté. "Je ne veux préjuger de rien mais nous sommes vraiment optimistes sur la possibilité de mettre fin à cette guerre très brutale", avait-il conclu sans donner d'autres précisions.
Cet optimisme contraste avec l'impatience manifeste vendredi du secrétaire d'Etat américain, Marco Rubio, à l'issue de réunions organisées la veille avec les Ukrainiens et les Européens à Paris: "Nous devons déterminer dans les prochains jours si (la paix) est faisable ou non", a dit ce dernier.
M. Rubio a menacé de "passer à autre chose" si Washington venait à établir que la paix "n'est pas possible", tranchant avec les propos de Donald Trump qui promettait pendant sa campagne électorale de mettre fin à la guerre en Ukraine "en 24 heures". "Les Etats-Unis ont d'autres priorités", a-t-il lancé à son départ de France.
Guerre commerciale
JD Vance a également assuré que les deux pays "poursuivraient les échanges" concernant les droits de douane amorcés la veille à Washington entre Mme Meloni et le président Donald Trump. Il s'est aussi dit "tout simplement enchanté de se retrouver avec une chère amie dans un bel endroit avec des gens formidables".
Mme Meloni s'est de son côté dite "fière" que JD Vance "ait décidé de passer Pâques à Rome", "après la rencontre merveilleuse que nous avons eue hier à Washington".
Giorgia Meloni a fait jeudi une visite éclair à la Maison Blanche où elle s'est entretenue avec Donald Trump des droits de douane qu'il veut imposer aux pays de l'Union européenne. Le président américain s'est dit à cette occasion sûr "à 100%" qu'un accord sur les droits de douane avec l'Union européenne serait conclu.
Fêtes de Pâques
M. Vance est arrivé en Italie samedi à l'aube avec son épouse Usha et leurs trois enfants. Ce fervent catholique devait ensuite assister à la messe du Vendredi saint en la basilique Saint-Pierre. Il participera dimanche aux célébrations pascales sur la place Saint-Pierre avant de partir pour l'Inde.
M. Vance, converti au catholicisme à 35 ans, doit être reçu samedi au Vatican par le secrétaire d'Etat du Saint-Siège, Pietro Parolin, mais il espère pouvoir également rencontrer le pape François, en convalescence après une grave pneumonie.
Le séjour de JD Vance en Italie marque son retour en Europe pour la première fois depuis son discours polémique en février à Munich à propos du respect du droit de vote et de la liberté d'expression, qui avait sidéré de nombreux dirigeants européens.
M. Vance avait déploré le "recul" de la liberté d'expression sur le Vieux continent, plus inquiétant, selon lui, que la menace posée par "la Russie", "la Chine" ou un "autre acteur externe". Mme Meloni s'était déclarée en phase avec ces propos. "Je le dis depuis des années (...), l'Europe s'est un peu perdue", avait-elle déclaré.
Trump invité à Rome
A Washington, Mme Meloni, première dirigeante européenne à visiter la Maison Blanche depuis la brutale offensive douanière lancée par son locataire, s'est déclarée "certaine" qu'un accord serait trouvé. Donald Trump a toutefois précisé qu'il n'était "pas pressé" et que Giorgia Meloni ne l'avait pas fait varier de stratégie.
La cheffe de la coalition ultraconservatrice au pouvoir à Rome a affirmé "ne pas pouvoir négocier au nom de l'Union européenne" mais elle a précisé avoir invité Donald Trump à se rendre prochainement à Rome, ce qu'il a accepté. Avec sur la table une possible entrevue avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.
Donald Trump a imposé depuis le 5 avril des droits de douane d'au moins 10% sur l'ensemble des produits entrant aux Etats-Unis.
Dépendante des exportations de son industrie, qui pèse près d'un quart de son PIB, Giorgia Meloni a critiqué cette offensive tarifaire tout en jouant le dialogue et exhortant Bruxelles à ne pas prendre de mesures de rétorsion.
Son pas de deux avec Donald Trump inquiète ses partenaires européens qui craignent qu'elle ne fasse cavalier seul.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp / ansa
Économie
Google a monopolisé le marché de la publicité sur internet aux USA
Une juge fédérale américaine a conclu que Google avait monopolisé le marché de la publicité sur internet, estimant que le géant américain des technologies avait sciemment entrepris une série d'actions anticoncurrentielles et causé des dommages importants à ses clients.
L'administration de Joe Biden avait assigné Google en janvier 2023 devant un tribunal fédéral de Virginie (Est des Etats-Unis), réclamant que le groupe soit contraint de céder des actifs.
Le procès s'est achevé en novembre 2024 par la présentation des conclusions du gouvernement américain et de Google, après trois semaines d'audience sans jury en septembre.
"Les plaignants ont prouvé que Google avait sciemment entrepris une série d'actions anticoncurrentielles pour atteindre et conserver un pouvoir de monopole dans le serveur de publications publicitaires et dans les marchés d'échanges de publicités sur internet", a conclu la magistrate, dans une décision de 115 pages rendue publique jeudi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Premier atterrissage réussi pour la nouvelle flotte de la Rega
La Rega a accueilli le premier hélicoptère Airbus H145 de sa future nouvelle flotte sur la base de Lausanne à la Blécherette. Le nouvel appareil sera rejoint par vingt autres nouveaux hélicoptères d'ici la fin 2026, pour un montant total de 200 millions de francs.
Aujourd’hui, la base de Lausanne a accueilli le tout nouvel Airbus H145. Un vol qui s’est déroulé sans accroc depuis Zürich. Le passage de témoin marque une étape importante : il s’agit du plus gros projet d’acquisition de l’histoire de la garde aérienne suisse de sauvetage. Ce nouvel hélicoptère « tout terrain » est l’un des modèles les plus modernes du monde, il se différencie notamment grâce à sa pale supplémentaire, comme l’explique Mario Agustoni, pilote en chef et membre de la direction.
La cinquième pale permet aussi de diminuer les vibrations pendant les vols pour plus de confort pour les patients et pour l’équipage. Autre changement : l’agencement de la cabine à l’arrière de l’hélicoptère, comme l'explique Stéphane Jean-Mairet, ambulancier et chef de base.
Autre avantage : le nouvel Airbus pourra voler avec 150 kilos de charge supplémentaire. Un nouveau système d'éclairage a également été ajouté pour les interventions nocturnes, qui représentent environ un quart des quelque 800 missions annuelles effectuées par l'équipage de Lausanne. Après deux ans d’attente, Mario Agustoni pilote en chef et membre de la direction nous raconte comment les équipes se sont préparé à l’arrivée de la nouvelle flotte.
La Rega va accueillir 21 nouveaux hélicoptères jusqu’à la fin 2026, sur 14 bases d’intervention. Budget total pour la fondation: 200 millions de francs.
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