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En repli, les prix du pétrole marquent une pause

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Le phénomène, dit de "backwardation" extrême, signifie qu'il est nettement plus difficile d'acquérir du pétrole aujourd'hui que pour dans quatre mois. Photo: Michael Probst Copyright 2022 (© KEYSTONE/AP/Michael Probst)

Les prix du pétrole repartaient à la baisse mercredi, après quatre journées de progression. Les craintes pesant sur l'offre demeurent vives, d'autant plus que le président américain doit dévoiler ce jour une série de mesures concernant le climat.

Vers 08h50, le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en septembre, se négociait à 106,13 dollars, en baisse de 1,14%, après s'être apprécié la veille au soir de 1,01% à 107,35 dollars. Les 159 litres de West Texas Intermediate (WTI) américain, pour livraison en août et dont mercredi représente le dernier jour de cotation, lâchaient pour leur part 1,33% à 102,83 dollars, après avoir progressé de 1,57% à 104,22 dollars mardi soir.

Le repli reflète notamment des données de l'industrie indiquant une augmentation des stocks de pétrole brut américains, alors que les risques de récession mondiale menacent la demande. Les données de la fédération du secteur pétrolier API publiées mardi ont montré que les stocks américains de pétrole brut ont augmenté de près de 2 millions de barils la semaine dernière, tandis que ceux d'essence ont également augmenté, avant les données officielles de l'EIA attendues mercredi.

Les craintes croissantes qu'une lutte mondiale contre l'inflation galopante ne conduise à une récession et n'affecte la demande d'énergie reprenaient leur pression sur les marchés pétroliers. Entre-temps, l'indice de référence international du pétrole a gagné plus de 8% au cours des trois dernières sessions, soutenu par un dollar plus faible et des signes de resserrement continu de l'offre.

Marché sous tension

Reste que le marché demeure tendu, comme l'illustre l'écart entre le prix du contrat le plus rapproché (août) et celui du quatrième mois de référence (novembre), lequel est désormais proche de son plus haut niveau depuis mars. Le phénomène, dit de "backwardation" extrême, signifie qu'il est nettement plus difficile d'acquérir du pétrole aujourd'hui que pour dans quatre mois.

A l'image des journées précédentes, l'or noir a bénéficié mardi du tassement du dollar, devise dans laquelle est libellé le baril pour la majorité des transactions. Autre élément de soutien, "les signaux contradictoires sur le gazoduc Nord Stream", principale voie d'approvisionnement de l'Europe en gaz naturel russe, selon Phil Flynn, de Price Futures Group.

Le géant Gazprom a invoqué l'état de "force majeure" auprès de plusieurs clients européens pour justifier la baisse de ses livraisons de gaz, avant et depuis l'arrêt de Nord Stream, en cours de maintenance. La force majeure implique qu'un opérateur ne peut honorer ses livraisons pour des motifs exceptionnels, échappant à sa volonté, ce qui l'exonère de ses obligations contractuelles.

Les travaux de maintenance "avaient été annoncés de longue date aux clients et ne peuvent donc constituer une raison d'invoquer la force majeure", a prévenu, dans une note, Carsten Fritsch, de Commerzbank. Pour l'analyste, cela pourrait être lié à une turbine, utilisée dans une des stations de Nord Stream et récemment envoyée par son concepteur, le groupe allemand Siemens, pour réparation au Canada.

Selon le quotidien russe Kommersant, la fameuse turbine a été renvoyée en Allemagne dimanche et est actuellement en route pour la Russie, où elle doit être livrée le 24 juillet, soit trois jours après la date théorique de remise en service de Nord Stream.

"Le marché s'inquiète aussi du président (américain Joe) Biden, parce qu'il doit annoncer des mesures pour le climat demain" (mercredi), a expliqué Phil Flynn. Après avoir admis l'impossibilité pour le volet environnemental de son programme à être adopté par le Congrès américain, le chef de l'Etat entend procéder par décrets présidentiels.

"Et à regarder les états de service du président, à chaque fois qu'il a fait quelque chose pour le climat, les prix du pétrole ont monté", a souligné Phil Flynn, mentionnant notamment l'arrêt du projet d'oléoduc Keystone XL ou le moratoire sur les permis de forage sur des terrains publics, durant 16 mois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Culture

Laurent Cantet, Palme d'or 2008 avec "Entre les murs", est décédé

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Réalisateur discret à la fibre sociale assumée, Laurent Cantet était entré dans la légende de Cannes en 2008 en recevant la Palme d'or pour "Entre les murs". Ici, une image de 2017. (archives) (© KEYSTONE/EPA/IAN LANGSDON)

Le cinéaste Laurent Cantet, qui avait reçu la Palme d'or en 2008 pour son film "Entre les murs", est décédé jeudi, a annoncé son agent à l'AFP.

"Il est mort ce matin à Paris de maladie", a indiqué Isabelle de la Patellière, confirmant une information de Libération.

Le réalisateur de 63 ans, auteur de neuf long-métrages, travaillait sur un projet de film, intitulé "L'apprenti" qui devait sortir en 2025.

Réalisateur discret à la fibre sociale assumée, Laurent Cantet était entré dans la légende de Cannes en 2008 en recevant la Palme d'or pour "Entre les murs", par le jury présidé par Sean Penn.

Mi-documentaire mi-fiction, ce film d'un budget de 2,4 millions d'euros met en scène un professeur de français, François Bégaudeau (auteur du roman éponyme dont il s'inspire), et des élèves de 13 à 15 ans, aux origines géographiques et sociales multiples, dans un collège parisien.

Le Festival de Cannes a immédiatement réagi jeudi, saluant la mémoire d'un "humaniste acharné, qui cherchait la lumière malgré la violence sociale, qui trouvait l'espoir malgré la dureté de la réalité".

Un cinéaste et scénariste "dont l'oeuvre cohérente et humaniste dessine un cinéma sensible, à fleur de peau et à fleur de société", ajoute le festival. Et pour "Entre les murs", un film "au naturalisme déconcertant".

Très souvent drôle -"J'aime pas les maths, les racistes et Materazzi", lançait Carl, un des personnages d'"Entre les murs" en faisant son auto-portrait-, le film a aussi ses moments émouvants et graves, l'école servant de caisse de résonance aux difficultés et aux inégalités sociales.

Le tournage du film avait été précédé, le temps d'une année scolaire, d'ateliers d'improvisation au collège Françoise-Dolto, dans l'est parisien, où le film a été tourné.

"Plein d'humanité"

Avant cela, Cantet s'était fait remarquer avec le film "Ressources humaines" (1999), sur le monde de l'entreprise et "L'emploi du temps" (2001), inspiré de l'affaire Jean-Claude Romand.

Il était revenu à Cannes en 2017 avec "L'Atelier", dans lequel un groupe de jeunes en insertion effectue un stage d'écriture.

"Le film fait le constat d'un monde peut-être plus dur encore que celui que décrivait 'Entre les murs'. Mais en même temps, j'espère que le film démontre aussi que la parole est importante. Et que les jeunes la maîtrisent plutôt bien", disait alors Laurent Cantet.

Son dernier film "Arthur Rambo", sorti en 2021, se penchait sur la destruction d'une réputation sur les réseaux sociaux.

Il s'inspirait de l'histoire vraie de Mehdi Meklat, un jeune auteur qui avait acquis une notoriété en chroniquant les quartiers défavorisés, avant de tout arrêter face à la découverte en 2017, de tweets antisémites, homophobes, racistes et sexistes.

"Cinéaste fin, discret et plein d'humanité, nullement ébloui par sa Palme d'or, Laurent Cantet réussissait avec précision et sens du rythme ce qu'il y a de plus difficile au cinéma: filmer les conversations, c'est-à-dire la vie", a réagi auprès de l'AFP l'ancien président du Festival de Cannes, Gilles Jacob.

Aux côtés de Pascale Ferran et de Cédric Klapish, il avait fondé en 2015 La Cinetek, plateforme de VOD de films éditorialisée par des cinéastes.

Laurent Cantet a beaucoup collaboré avec Robin Campillo ("120 battements par minute"), qui fut son monteur avant de passer à la réalisation.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Chine envoie sa mission spatiale Shenzhou-18

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Les trois astronautes chinois vont notamment essayer de créer un aquarium à bord et d'y élever des poissons en microgravité. (© KEYSTONE/AP/Andy Wong)

La Chine a envoyé jeudi un nouvel équipage vers sa station spatiale Tiangong, dans le cadre d'un programme visant à envoyer des astronautes sur la Lune d'ici à 2030, ont annoncé les médias d'Etat chinois.

Les trois astronautes de la mission Shenzhou-18 ont décollé à bord d'un vaisseau spatial, installé sur une fusée porteuse Longue Marche-2F, du centre de lancement de satellites de Jiuquan, dans le nord-ouest de la Chine, à 20h59 heure locale (14h59 suisses).

Des spectateurs ont applaudi lorsque la fusée a décollé dans le ciel nocturne, selon un journaliste de l'AFP sur place.

Le lancement est considéré comme "un succès complet", a rapporté l'agence d'Etat Chine Nouvelle.

L'équipage est sous le commandement de Ye Guangfu, un pilote de chasse et astronaute qui a déjà fait partie de l'équipage du vaisseau Shenzhou-13 en 2021. Les deux autres astronautes, Li Cong et Li Guangsu, effectuent leur premier voyage dans l'espace.

Ils devraient rester dans la station Tiangong ("Palais céleste") pendant six mois, pour mener des expériences dans "les domaines de la physique fondamentale en microgravité, de la science des matériaux spatiaux, des sciences de la vie spatiale, de la médecine spatiale et de la technologie spatiale", a indiqué l'Agence chinoise des vols spatiaux habités (CMSA).

"Aquarium spatial"

Ils vont également essayer de créer un aquarium à bord et d'y élever des poissons en microgravité, selon l'agence Chine Nouvelle.

"Non seulement les taïkonautes trouveront du plaisir dans cet 'aquarium spatial', mais cela pourrait ouvrir la voie pour que leurs homologues à l'avenir puissent bénéficier de poissons nutritifs issus de leurs propres élevages en orbite", a indiqué Chine Nouvelle.

Ils mèneront également des expériences sur des drosophiles et des souris", a indiqué un chercheur cité par l'agence de presse.

Tiangong est le projet emblématique du programme spatial chinois, qui a fait atterrir des rovers robotisés sur Mars et sur la Lune et a permis à la Chine de devenir le troisième pays à mettre des êtres humains en orbite.

Tiangong, dont la construction a été achevée en 2022, devrait rester en orbite terrestre basse, entre 400 et 450 kilomètres au-dessus de la planète, pendant au moins 10 ans. Des équipes de trois astronautes se relaient.

Le nouvel équipage remplacera celui de la mission Shenzhou-17, qui a été envoyé vers la station en octobre.

Le président Xi Jinping a donné un coup d'accélérateur au "rêve spatial" de la Chine. La deuxième économie mondiale a injecté des milliards de dollars dans son programme spatial militaire afin de rattraper les Etats-Unis et la Russie.

Pékin a pour objectif d'envoyer un équipage chinois sur la Lune d'ici à 2030 et prévoit de construire une base sur la surface lunaire.

La Chine est exclue de la Station spatiale internationale depuis 2011, date à laquelle les Etats-Unis ont interdit à la NASA de collaborer avec Pékin. La Chine a alors développé son propre projet de station spatiale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le Portugal célèbre le 50e anniversaire de sa démocratie

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Le Portugal fête jeudi le cinquantenaire de la Révolution des OEillets, un coup d'Etat sans effusion de sang. (© KEYSTONE/AP/Ana Brigida)

Le Portugal fête jeudi le cinquantenaire de la Révolution des OEillets, un coup d'Etat sans effusion de sang mené par de jeunes officiers pour mettre fin à 48 ans de dictature et 13 années de guerres coloniales.

Point d'orgue de centaines d'initiatives étalées sur plusieurs semaines, la journée de jeudi a débuté par une cérémonie militaire sur une grande place du centre de Lisbonne, en bordure de l'estuaire du Tage.

Elle sera conclue par un événement rassemblant le président portugais, le conservateur Marcelo Rebelo de Sousa, et ses homologues des pays africains devenus indépendants après l'avènement de la démocratie: l'Angola, le Mozambique, la Guinée-Bissau, le Cap-vert et Sao Tomé et Principe.

M. Rebelo de Sousa a toutefois créé la surprise en amont de cette occasion, en soulevant la question d'éventuelles réparations coloniales.

"Nous sommes responsables de ce que nous avons fait là-bas. (...) Il faut payer les coûts", a-t-il dit mardi soir lors d'une rencontre informelle avec la presse étrangère à Lisbonne.

Cette position s'est aussitôt heurtée à l'opposition du nouveau gouvernement de droite issu des élections du mois dernier. "C'est un sujet toxique" et "inopportun", a affirmé une source gouvernementale citée par l'hebdomadaire Expresso.

Lors de la "session solennelle" organisée jeudi au Parlement, le président n'a pas évoqué sa suggestion, qui a été ignorée par la gauche mais très critiquée par la droite.

"Fier de l'histoire"

Le leader d'extrême droite André Ventura a été le plus virulent, en accusant M. Rebelo de Sousa d'avoir "trahi les Portugais". "Payer quoi? Payer à qui? (...) Moi je suis fier de l'histoire de ce pays", a-t-il dit.

Les célébrations de l'avènement de la démocratie au Portugal interviennent cette année dans un contexte marqué en outre par une nouvelle percée électorale de l'extrême droite, le parti "Chega" ("Assez") ayant renforcé son rang de troisième force politique du pays avec 18% des voix.

Selon une enquête publiée la semaine dernière, la moitié des personnes interrogées a estimé que le régime autoritaire renversé en 1974 avait davantage d'aspects négatifs que positifs, mais un cinquième d'entre elles a affirmé le contraire.

En tout cas, 65% de l'échantillon a considéré que la révolution du 25 avril était l'événement le plus important de l'histoire du Portugal, loin devant l'adhésion à l'ancêtre de l'Union européenne en 1986, ou la fin de la monarchie en 1910.

"La motivation principale était de régler le problème de la guerre coloniale", a rappelé à l'AFP le colonel à la retraite Vasco Lourenço, président de l'Association 25 avril héritière du "mouvement des capitaines" qui a organisé le soulèvement.

"J'avais 20 ans et le 25 avril a évité que je sois envoyé à la guerre, donc ça été très important pour moi", a témoigné, ému, Manuel Lima, un retraité assistant à la parade militaire de jeudi matin.

"Beaucoup d'héroïsme"

La Révolution des OEillets a été baptisée ainsi car la population, qui s'est aussitôt rangée du côté des putschistes, a distribué ces fleurs du printemps à certains soldats qui les ont plantés dans le canon de leur fusil.

"Ce seront surtout les images prises ce jour-là qui vont transformer l'oeillet rouge en symbole de la Révolution du 25 avril et qui finira par donner une vision romantique, poétique à un acte qui tenait beaucoup de l'héroïsme, même si cette révolution a été particulièrement pacifique", explique l'historienne Maria Inacia Rezola, en charge du vaste programme de commémorations.

Pendant les années de plomb marquées par le slogan du dictateur Antonio Salazar - "Dieu, patrie, famille" -, le Portugal est resté "un pays pauvre, arriéré, analphabète et isolé du reste du monde", décrit-elle.

Après des mois de tension qui ont failli dégénérer en guerre civile, la période révolutionnaire s'est refermée le 25 novembre 1975 avec une intervention militaire du général Antonio Ramalho Eanes, devenu l'année suivante le premier président démocratiquement élu du Portugal et présent jeudi au Parlement.

Autre personnage clé de l'époque, le socialiste Mario Soares a remporté les premières élections libres au suffrage universel, organisées le 25 avril 1975 pour former l'assemblée constituante qui a rédigé l'actuelle loi fondamentale du pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Commande ferme de 30 Airbus A350 en Inde

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IndiGo est la première compagnie indienne avec 100 millions de passagers en 2023 (archives). (© KEYSTONE/EPA/DIVYAKANT SOLANKI)

La compagnie IndiGo va passer une commande ferme de 30 Airbus A350-900, a annoncé jeudi l'avionneur européen, qui doit déjà au transporteur indien low-cost le plus gros contrat en volume de l'histoire de l'aviation civile pour des monocouloirs.

Cette commande, assortie de droits d'achat pour 70 appareils supplémentaires, et qui doit être signée dans les prochains jours, constituera la première d'avions gros porteurs d'IndiGo, dont la croissance effrénée épouse le dynamisme de l'économie indienne. Au prix catalogue, jamais appliqué, les 30 appareils vaudraient au total 9,5 milliards de dollars (environ 8,7 milliards de francs).

Les livraisons doivent débuter en 2027.

Pour IndiGo, déjà la première compagnie indienne avec 100 millions de passagers en 2023 - surtout sur des lignes intérieures -, ces aéronefs à long rayon d'action, jusqu'à 15'000 km, vont lui permettre "de déployer davantage ses ailes et d'étendre son réseau".

Ainsi, "IndiGo entamera la prochaine phase de sa transformation en l'un des grands acteurs de l'aviation mondiale", a espéré son directeur général, Pieter Elbers, cité dans un communiqué de son entreprise.

IndiGo et Airbus avaient fait sensation en juin 2023 en annonçant la plus importante commande en volume de l'histoire de l'aviation civile, avec 500 appareils de la famille A320neo, lors du salon aéronautique du Bourget. Prix catalogue théorique: 55 milliards de dollars.

Au total, IndiGo a passé commande de quasiment 1000 appareils de la famille A320, l'avion à succès d'Airbus face au Boeing 737 MAX affecté par de multiples revers.

Le vice-président d'Airbus chargé des ventes d'avions commerciaux, Benoît de Saint-Exupéry, a salué un "formidable nouveau chapitre dans notre relation très proche avec IndiGo", qui, avec ses futurs A350, va "davantage ouvrir le monde à l'Inde". Il a remercié la compagnie pour "avoir fait une fois de plus confiance" à Airbus.

L'A350, le dernier-né d'Airbus, fêtera en décembre le 10e anniversaire de sa mise en service. Il existe en deux versions, le 900 et le 1000, plus grand. Le 900 peut transporter entre 300 et 350 passagers, 440 dans la configuration la plus dense.

A fin mars, l'avionneur avait déjà enregistré 71 commandes pour l'A350 depuis le début de l'année. L'appareil s'affiche comme un "best-seller" pour Airbus qui en a vendu plus de 1200 depuis le lancement du programme.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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