International
Fast Retailing (Uniqlo) rehausse de nouveau ses objectifs annuels
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Le géant japonais du prêt-à-porter Fast Retailing a de nouveau relevé jeudi ses prévisions de résultats pour son exercice annuel 2022/23 qui s'achèvera fin août. Le groupe bénéficie de solides performances de sa marque phare Uniqlo à l'international.
Fast Retailing table désormais sur un bénéfice net annuel de 260 milliards de yens (1,61 milliard de francs), contre une prévision précédente de 240 milliards de yens. Cela reviendrait toutefois toujours à une baisse sur un an (-4,9%), car le résultat net du groupe pâtit d'un autre côté de la faiblesse persistante de la monnaie japonaise, qui gonfle le coût de ses ventes et affecte ses bénéfices au Japon.
Le groupe s'est aussi affiché encore plus confiant quant à son bénéfice opérationnel annuel, désormais attendu à 370 milliards de yens (+24,4% sur un an) contre une prévision précédente de 360 milliards de yens. Et il anticipe dorénavant une croissance de 18,6% de son chiffre d'affaires annuel, à 2.730 milliards de yens (17,7 milliards d'euros au cours actuel), contre une hausse de 16,5% prévue en avril.
Sur son troisième trimestre (de début mars à fin mai), les ventes d'Uniqlo en Chine continentale en particulier ont été supérieures aux attentes du groupe, avec un bond de 40% sur un an à périmètre constant des points de vente. Uniqlo International a aussi enregistré sur le trimestre écoulé des hausses significatives de ses ventes et bénéfices ailleurs en Asie-Pacifique, ainsi qu'en Amérique du Nord et en Europe.
Cela illustre des "progrès supplémentaires dans la diversification de nos piliers de revenus mondiaux", s'est félicité Fast Retailing dans un communiqué. Sur son troisième trimestre, le bénéfice net du groupe a totalisé 85,1 milliards de yens (-6,4% sur un an), tandis que son bénéfice opérationnel a lui bondi de près de 35% et que ses ventes ont grimpé de 23,8%.
Le groupe est en revanche peu bavard sur les difficultés de ses marques françaises, Comptoir des Cotonniers et Princesse Tam Tam. Selon un plan de restructuration de Fast Retailing France annoncé début juin, 55 boutiques de ces deux enseignes devraient fermer et plus de 300 postes au sein du groupe être supprimés dans le pays.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Transition énergétique au 2e jour du sommet précédant la COP30
Le président brésilien Lula a estimé vendredi que "le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles" était intenable, au deuxième jour du sommet de dirigeants mondiaux en prélude à la COP30 à Belem.
Deux ans après l'adoption inédite à la COP28 à Dubaï d'un engagement général à sortir progressivement des énergies fossiles, le thème ne figure pas comme tel à l'agenda de la conférence climat qui s'ouvrira lundi dans cette ville d'Amazonie brésilienne.
Mais certains pays comme le Brésil - pourtant huitième producteur mondial de pétrole - tiennent à remettre le sujet au coeur des débats.
"La Terre ne peut plus supporter le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles qui a prévalu au cours des 200 dernières années", a lancé Luiz Inacio Lula da Silva en ouvrant une session consacrée à la transition énergétique, au deuxième et dernier jour du sommet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'ONU alerte sur la menace de violences massives au Kordofan
L'ONU lance "un fort avertissement" sur la menace de violences massives au Kordofan, après les massacres à El-Facher au Darfour. Vendredi à Genève, le Haut commissaire aux droits de l'homme s'est dit inquiet face aux "préparations pour des hostilités intensifiées".
"Depuis la prise d'El-Facher, les victimes civiles, la destruction et les déplacements de masse augmentent" au Kordofan, région voisine du Darfour, affirme Volker Türk. "Il n'y a pas de signe de désescalade", a-t-il déploré.
Il demande à nouveau aux Etats influents auprès des parties au conflit d'oeuvrer. Dans le cas contraire, "il y aura davantage de carnage et d'atrocités", insiste l'Autrichien. Il a rappelé que le Conseil de sécurité de l'ONU a exigé la fin des acheminements d'armements vers le Soudan.
Khartoum accuse les Emirats arabes unis de livrer ce matériel aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), responsables de crimes contre l'humanité selon la Mission internationale d'établissement des faits. M. Türk redoute aussi que les exécutions sommaires, les viols et les violences ethniques se poursuivent à El-Facher, alors que de nombreux civils restent bloqués dans la ville.
Depuis le début de la guerre, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées. Le conflit a fait près de 13 millions de déplacés, dont quatre millions de réfugiés. Selon les estimations, plus de 21 millions de personnes font face à une importante insécurité alimentaire. Plus de 206'000 sont confrontées à une situation de famine. Des dizaines de millions d'individus doivent être aidés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Les Etats-Unis tancés à l'ONU à Genève pour refus de collaborer
Le refus de l'administration de Donald Trump de soumettre les Etats-Unis à l'examen de leur situation des droits humains par les autres Etats ne passe pas. Vendredi à Genève, le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a approuvé une décision de non collaboration.
Comme tous les quatre ans, les Etats-Unis auraient dû être décortiqués par les autres pays. Mais ils avaient annoncé dès cet été qu'ils ne participeraient pas à cet Examen périodique universel (EPU), une première depuis Israël en 2013. Washington boycotte les travaux d'un organe qu'il accuse d'être politiquement biaisé.
Après avoir constaté cette absence, le président du Conseil, l'ambassadeur suisse à l'ONU à Genève Jürg Lauber, a refermé la séance. Une réunion a ensuite approuvé la décision qui repousse d'un an l'EPU des Etats-Unis.
L'ONU ou des experts indépendants onusiens, qui ne s'expriment pas au nom de l'organisation, ont ciblé à plusieurs reprises la politique de droits humains du président. Tout comme les ONG qui auraient souhaité relayer leurs critiques vendredi au Conseil.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
"Rien à négocier avec" le patron de Shein, dit un ministre français
"Je n'ai rien à négocier avec M. Tang": le ministre français du Commerce Serge Papin a refusé, vendredi, la possibilité d'une rencontre avec le patron de Shein, qui lui avait écrit en ce sens.
"Pour l'instant, je n'ai pas du tout l'intention de le rencontrer. Il faut être ferme. Il faut se protéger" contre les méfaits d'une plateforme visée par une procédure de suspension, a dit M. Papin sur la radio RMC.
"Je n'ai rien à négocier avec M. Tang, il doit se mettre au droit", a-t-il insisté.
Le président exécutif de la plateforme asiatique de vente en ligne Donald Tang a envoyé mercredi une lettre au ministre, s'engageant à "respecter toutes les lois françaises" et proposant une entrevue.
Par ailleurs, la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a elle aussi adressé vendredi une fin de non-recevoir à la demande du président exécutif de Shein d'être reçu à Bercy.
"On est dans une procédure qui est à la fois de suspension du site, une procédure judiciaire et une procédure européenne. On va faire les choses en respectant les procédures", a déclaré Amélie de Montchalin sur Franceinfo.
Shein est visée par une procédure de suspension en France après la découverte sur son site de poupées sexuelles d'apparence enfantine et d'armes de catégorie A.
En réaction, le groupe fondé en Chine mais basé à Singapour a suspendu "temporairement" les ventes réalisées sur son site français par des vendeurs tiers ainsi que les ventes des produits Shein ne relevant pas du secteur de l'habillement.
M. Papin a reconnu que "le Shein d'aujourd'hui n'est pas du tout celui de mercredi" en raison de ces mesures.
Mais lors d'une "opération coup de poing" menée jeudi à l'aéroport Roissy-CDG (nord de Paris), où l'intégralité des colis Shein ont été ouverts par les douanes, des produits "pas aux normes" et parfois "destinés à un trafic illicite" ont été découverts, selon le ministre.
Sous le coup d'une suspension, Shein a jusqu'à vendredi soir pour mettre en conformité son site, selon la procédure de 48h lancée mercredi par le gouvernement et supervisée par la Répression des fraudes (DGCCRF).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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