International
Frappes sur Gaza, la phase "intense" touche à sa fin, dit Netanyahu
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Des bombardements ont visé lundi la bande de Gaza, après l'annonce par le Premier ministre israélien que la phase "intense" des combats touchait à sa fin, notamment à Rafah. Mais la guerre contre le Hamas se poursuit, a-t-il ajouté.
Le mouvement islamiste a répondu lundi que tout accord devait "inclure un cessez-le-feu permanent et un retrait complet" israélien de Gaza, des conditions qu'Israël a toujours rejetées.
L'armée israélienne a lancé début mai à Rafah, une ville frontalière avec l'Egypte, une offensive terrestre dans le but de détruire le Hamas, auteur le 7 octobre d'une attaque sanglante contre Israël qui a déclenché la guerre.
Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a répété dimanche que "l'objectif" était "de récupérer les otages" retenus à Gaza et de "déraciner le régime du Hamas", en place depuis 2007 et considéré comme terroriste par les Etats-Unis, l'Union européenne et Israël.
"La phase intense des combats contre le Hamas est sur le point de se terminer (...). Cela ne signifie pas que la guerre est sur le point de se terminer mais la guerre dans sa phase intense est sur le point de se terminer à Rafah", a affirmé M. Netanyahu dans une interview à la chaîne israélienne Channel 14.
Tensions à la frontière libanaise
En réponse à une question, M. Netanyahu a cependant déclaré qu'il était "prêt à conclure un accord partiel" qui permettrait la libération d'une partie des otages, avant de "poursuivre la guerre".
La principale association de proches d'otages, le Forum des familles, a condamné lundi ces propos et estimé que "la fin des combats à Gaza sans la libération des otages constituerait un échec national sans précédent".
M. Netanyahu est vivement critiqué dans son pays, où une manifestation d'une ampleur inégalée depuis le début de la guerre a rassemblé samedi à Tel Aviv plus de 150'000 personnes, selon les organisateurs, pour réclamer des élections anticipées et le retour des otages.
La guerre a aussi provoqué une escalade militaire à la frontière nord d'Israël avec le Liban, qui fait craindre une extension du conflit.
"Après la fin de la phase intense, nous serons en mesure de redéployer certaines forces vers le nord, et nous le ferons, principalement à des fins défensives, mais aussi pour ramener les habitants (déplacés) chez eux", a ajouté dimanche le Premier ministre.
Les échanges de tirs entre l'armée israélienne et le Hezbollah libanais, un puissant mouvement islamiste allié du Hamas, armé et financé par l'Iran, ont entraîné le déplacement de dizaines de milliers d'habitants des zones frontalières du sud du Liban et du nord d'Israël.
Pillages et contrebande
Alors que la relation entre M. Netanyahu et les Etats-Unis connaît des crispations après des critiques israéliennes sur des retards de livraisons d'armes américaines, le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, est arrivé à Washington pour des entretiens qu'il a qualifiés de "cruciaux" pour la suite de la guerre.
Dans la bande de Gaza, assiégée par Israël, des tirs d'artillerie ont visé lundi Rafah ainsi que le camp palestinien de Nousseirat, dans le centre, et le quartier de Zeitoun de la ville de Gaza, où des combats ont été signalés, selon des témoins.
Selon la Défense civile, deux professionnels de santé ont été tués dans une frappe aérienne sur l'hôpital Al-Daraj, dans la ville de Gaza, dont Hani Al-Jafarwari, le directeur du service des ambulances et des urgences au ministère de la Santé de Gaza. Selon ce ministère, au moins "500 professionnels de santé ont été tués directement" depuis le début de "l'agression israélienne".
L'armée a annoncé poursuivre ses "opérations ciblées" dans le secteur de Rafah et y avoir "éliminé des terroristes armés".
La guerre a provoqué une catastrophe humanitaire dans le territoire, où les pillages et la contrebande "sont généralisés" et "empêchent" la livraison de l'aide dont la population a "désespérément besoin", a affirmé lundi le chef de l'Unrwa, l'agence de l'ONU en charge des réfugiés palestiniens, Philippe Lazzarini.
Plus d'un million de personnes se déplacent constamment à travers la bande de Gaza dans l'espoir de trouver un refuge, alors qu'"aucun lieu n'y est sûr", a souligné l'Organisation mondiale de la Santé.
Sur la base d'images satellitaires, l'ONU a calculé qu'environ 65% du réseau routier avait été endommagé ou détruit.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Polynésie française: un enfant de sept ans attaqué par un requin
Un enfant de sept ans a été gravement mordu au bras et à la jambe par un requin à Nuku Hiva, une île de l'archipel des Marquises, en Polynésie française, a rapporté samedi la chaîne locale TNTV. Les attaques de requins sont rares en Polynésie française.
Une dizaine d'enfants s'amusaient vendredi à sauter depuis le quai dans la baie de Taiohae, le principal village de l'île, lorsqu'un requin a mordu l'un d'eux au bras et à la jambe.
"J'ai 35 ans et c'est la première fois que je vois cela. C'étaient des blessures longues et profondes", a déclaré une femme sapeur-pompier de Nuku Hiva qui a porté secours à la victime.
Carcasses de poissons jetées
"C'est probablement lié aux carcasses de poissons que les pêcheurs jettent à cet endroit. Il y a beaucoup de requins, comme des pointes noires, des marteaux et des citrons", a-t-elle ajouté.
L'enfant a été transféré vers le petit hôpital de l'île, avant d'être évacué par avion vers le centre hospitalier de la Polynésie française, à Tahiti, à 1500 km de Nuku Hiva.
Les morsures de squales dans la région concernent surtout les pêcheurs sous-marins ou les personnes qui pratiquent le "shark feeding", une activité interdite consistant à attirer les requins avec de la nourriture pour les observer.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Cambodge-Thaïlande: des bruits d'artillerie entendus à la frontière
La Thaïlande et le Cambodge ont échangé dimanche des tirs d'artillerie pour la quatrième journée consécutive. Les deux pays se sont toutefois dit prêts à discuter d'un cessez-le-feu dans le cadre d'une médiation américaine.
Les deux royaumes d'Asie du Sud-Est sont engagés dans l'épisode le plus meurtrier de leur différend territorial au long cours depuis des années. Les échanges de tirs, bombardements et frappes aériennes ont fait au moins 33 morts et provoqué le déplacement d'environ 200'000 personnes.
Des journalistes de l'AFP présents à Samraong, au Cambodge, à une vingtaine de kilomètres de la frontière thaïlandaise, ont entendu à dimanche l'aube des bruits d'artillerie.
Une porte-parole du ministère cambodgien de la défense a affirmé que la Thaïlande avait attaqué à 04h50 deux temples contestés de cette région, théâtre des premiers affrontements survenus jeudi matin.
Depuis lors, le conflit s'est répandu sur de multiples fronts, parfois éloignés de plusieurs centaines de kilomètres entre eux, de la province thaïlandaise de Trat, au bord du golfe de Thaïlande, à une zone surnommée "le triangle d'émeraude" pour sa proximité avec le Laos.
Conversation avec Trump
Le porte-parole adjoint des forces armées thaïlandaises, Ritcha Suksuwanon, a indiqué de son côté que le Cambodge avait lancé dimanche vers 04h00 du matin des assauts à deux endroits différents.
Le président américain Donald Trump a annoncé samedi, après avoir échangé avec leurs dirigeants, que les deux pays étaient prêts à se rencontrer pour parvenir à un cessez-le-feu. Il a salué deux "très bonnes conversations" et a dit espérer que les deux voisins "s'entendront pendant encore de nombreuses années", dans un message sur son réseau social Truth Social.
Bangkok a dit "accepter en principe de mettre en place un cessez-le-feu", tout en attendant de voir si l'intention de Phnom Penh était "sincère".
Le premier ministre khmer Hun Manet a accueilli cette "bonne nouvelle pour les soldats et le peuple des deux pays", chargeant son chef de la diplomatie, Prak Sokhonn, de se coordonner avec son homologue américain Marco Rubio en vue de "mettre fin" au conflit.
Droits de douane négociés
Avant cela, une tentative de médiation sous l'égide de la Malaisie, qui occupe la présidence tournante de l'Association des nations d'Asie du Sud-Est (Asean) dont les deux royaumes sont membres, n'avait pas été suivie d'effet.
La Thaïlande et le Cambodge sont en pleines discussions avec la Maison-Blanche sur des droits de douane américains prohibitifs, qui doivent frapper ces deux économies le 1er août. Donald Trump a affirmé qu'il était "inapproprié" de revenir à la table des négociations sur le volet commercial tant que les combats "n'auront pas cessé".
L'ONU a exhorté samedi les deux voisins à conclure "immédiatement" un cessez-le-feu. Son chef, António Guterres, a dit être "disponible pour contribuer à tout effort visant à un règlement pacifique du conflit", selon son porte-parole adjoint.
Relations au plus bas
Les relations diplomatiques entre les deux voisins, liés par de riches liens culturels et économiques, sont au plus bas depuis des décennies. L'épisode en cours a fait 20 morts du côté thaïlandais, dont sept soldats, alors que le Cambodge a fait état d'un bilan de 13 morts, dont cinq militaires.
Plus de 138'000 Thaïlandais ont évacué les zones à risques, selon Bangkok, et plus de 80'000 Cambodgiens de leur côté de la frontière, d'après Phnom Penh.
Les deux pays contestent le tracé de leur frontière commune, définie durant l'Indochine française. Le tribunal de l'ONU a donné raison au Cambodge deux fois, en 1962 et en 2013, sur la propriété du temple Preah Vihear, classé au patrimoine mondial par l'UNESCO, et d'une zone proche.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Etats-Unis: un avion de ligne plonge pour éviter une collision
Un avion de ligne de la compagnie américaine Southwest Airlines a dû soudainement plonger de plusieurs dizaines de mètres en altitude vendredi pour éviter une collision avec un autre appareil. Deux membres de l'équipage ont été blessés.
"Moi-même et de nombreuses personnes avons été éjectés de notre siège et avons heurté le plafond avec la tête", a expliqué sur le réseau social X l'humoriste Jimmy Dore, qui se trouvait à bord de ce vol entre Burbank et Las Vegas, dans l'ouest du pays.
"Le pilote a déclaré que son avertisseur de collision s'était déclenché et qu'il devait éviter un avion qui venait droit sur nous", a-t-il ajouté.
Le régulateur américain de l'aviation (FAA) a indiqué sur X qu'il enquêtait sur "l'événement". Le vol 1496 de Southwest Airlines "a réagi à une alerte à bord indiquant qu'un autre avion se trouvait dans les environs", a confirmé l'agence fédérale.
De son côté, la compagnie aérienne a expliqué que l'avion "a réagi à deux alertes de trafic à bord vendredi après-midi pendant la montée initiale de Burbank, en Californie, l'obligeant à monter et descendre pour se conformer aux alertes". "Le vol a continué vers Las Vegas, où il a atterri sans incident", a poursuivi Southwest.
Passagers indemnes
Deux membres de l'équipage ont dû être soignés pour des blessures, a ajouté l'entreprise, précisant que tous les passagers étaient indemnes.
L'avion de ligne se trouvait dans le même espace aérien près de Burbank qu'un avion de chasse Hawker Hunter Mk. 58, selon le site de suivi des vols FlightAware.
Cet incident renforce les interrogations sur la sécurité aérienne aux Etats-Unis, après une série d'accidents ces derniers mois. Le gouvernement américain a annoncé au début mai une "modernisation complète" du système de contrôle aérien américain, vétuste et qui souffre d'une pénurie de contrôleurs dans les tours gérées par la FAA.
Le gouvernement a également licencié des centaines d'employés de la FAA, dans le cadre de son projet visant à réduire les effectifs de l'Etat fédéral.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Etats-Unis: au moins onze personnes poignardées dans un supermarché
Au moins onze personnes ont été blessées après avoir été poignardées samedi dans un supermarché du Michigan, au nord des Etats-Unis, ont annoncé les autorités locales. Un suspect, âgé de 42 ans, a été arrêté et placé en garde à vue.
"Selon les informations dont nous disposons, il s'agit d'actes commis au hasard", a indiqué le shérif du comté de Grand Traverse, ajoutant que les "victimes n'avaient pas été déterminées d'avance".
Le suspect, qui vit dans le Michigan, a apparemment agi seul et s'est servi d'un "couteau pliant".
"Nous pouvons confirmer que onze victimes sont actuellement prises en charge", a annoncé sur les réseaux sociaux l'hôpital de la région, le Munson Medical Center. Six des victimes étaient dans un état critique tard samedi soir et cinq autres ont été gravement blessés, selon la même source.
"Très inhabituel"
Au moins trois personnes ont dû être opérées, selon le shérif. Les victimes sont six hommes et cinq femmes. La gouverneure du Michigan Gretchen Whitmer a dit être en contact avec les autorités concernant cette "horrible information".
Les forces de l'ordre ont été appelées en fin d'après-midi pour signaler un incident au supermarché Walmart de la ville de Traverse City, a expliqué la police du Michigan.
Une femme témoin de la scène a expliqué au New York Times avoir entendu des cris et vu un homme courir un couteau à la main dans le rayon pharmacie du magasin. Selon elle, l'homme a bousculé et poignardé les gens en se déplaçant à travers le magasin.
Le shérif a précisé que les coups de couteau avaient commencé au niveau des caisses, soulignant que ce type de violence était "très inhabituel" dans la région. Des personnes présentes dans le supermarché ont "aidé" à l'arrestation du suspect, selon lui.
Traverse City est une station touristique très populaire située sur les rives du lac Michigan.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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