International
Gauff élimine Swiatek en demi-finales
Sortie en demi-finales à Montréal la semaine dernière, Iga Swiatek (WTA 1) a subi le même sort à Cincinnati samedi.
La Polonaise s'est inclinée 7-6 (7/2) 3-6 6-4 devant Coco Gauff (WTA 7), qui affrontera Aryna Sabalenka (WTA 2) ou Karolina Muchova (WTA 17) en finale.
Iga Swiatek, qui avait déjà été battue par une Américaine à Montréal (Jessica Pegula), a pourtant trouvé les ressources pour revenir à une manche partout. Mais elle a concédé l'unique break enregistré dans le set décisif, lors du septième jeu.
Coco Gauff, qui avait perdu ses sept premiers duels avec la Polonaise, a certes tremblé au moment de conclure. Auteure de deux doubles fautes dans le dernier jeu, elle a dû écarter une balle de break avant de conclure sur sa quatrième balle de match.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Harris a appelé Trump pour le féliciter de sa victoire
Kamala Harris a appelé Donald Trump mercredi pour le féliciter de sa victoire à l'élection présidentielle, a indiqué un conseiller de la candidate démocrate.
La vice-présidente, qui avec cet appel reconnaît sa défaite, a évoqué avec le futur président l'importance d'une passation pacifique du pouvoir et d'être un président pour tous les Américains, a ajouté ce conseiller qui s'est exprimé sous couvert de l'anonymat.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Kamala Harris s'exprimera en soirée après la victoire de Trump
La vice-présidente et candidate démocrate Kamala Harris s'exprimera mercredi à 21H00 GMT (22H00 en Suisse) à Washington après la victoire de son rival Donald Trump, selon un communiqué de son bureau.
Il s'agit de la première allocution de Kamala Harris depuis l'annonce dans la nuit de mardi à mercredi de sa défaite sans appel face au républicain dans la course à la Maison Blanche.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Liban: le chef du Hezbollah affiche sa combativité face à Israël
Le nouveau chef du Hezbollah, Naïm Qassem, a affiché mercredi sa détermination à poursuivre le combat contre Israël et le frapper sur son sol. Cela malgré les coups infligés à son mouvement par l'armée israélienne après plus d'un mois de guerre ouverte.
Peu après la diffusion du discours préenregistré de Naïm Qassem, l'armée israélienne a mené une attaque, après un ordre d'évacuation, sur la banlieue sud de Beyrouth, où elle avait tué son prédécesseur Hassan Nasrallah le 27 septembre. Dans le même temps, les sirènes d'alerte aux missiles ont retenti à Tel-Aviv, l'armée israélienne recensant 120 projectiles tirés dans la journée par le Hezbollah depuis le Liban.
Naïm Qassem, qui s'exprimait avant les résultats de la présidentielle américaine, a également affirmé que son mouvement ne misait pas sur son issue pour parvenir à un cessez-le-feu avec Israël, alors que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a salué le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, qui y avait multiplié les gestes en faveur d'Israël.
Dizaines de milliers de combattants
"Nous avons des dizaines de milliers de combattants de la résistance entraînés qui peuvent affronter" Israël "et tenir bon", a encore assuré Naïm Qassem.
Israël, qui mène depuis le 23 septembre une campagne d'attaques intensives contre le Hezbollah au Liban, et depuis le 30 septembre une offensive terrestre dans le sud du pays le visant, "va crier (de douleur) sous les missiles et les drones, aucun endroit de l'entité israélienne n'est inaccessible", a-t-il menacé.
Le mouvement avait auparavant affirmé avoir tiré des missiles ciblant une base militaire près de l'aéroport Ben-Gourion, au sud de Tel-Aviv. Le trafic n'y a pas été affecté, ni les pistes endommagées, selon l'Autorité aéroportuaire israélienne.
Le Hezbollah, dont la direction a été largement affaiblie depuis fin septembre, assure que ses hommes repoussent les incursions israéliennes dans les secteurs frontaliers, et annonce quotidiennement des tirs sur Israël.
La quête de survivants à Barja
L'armée israélienne a elle mené mercredi des attaques sur le nord-est et le sud du Liban, autres fiefs du Hezbollah, ciblant notamment certains quartiers de la ville méridionale de Nabatiyeh dont elle avait ordonné l'évacuation, selon l'agence de presse libanaise Ani.
A Barja, au sud de Beyrouth, une attaque israélienne a fait s'effondrer mardi soir un immeuble résidentiel, tuant au moins 20 personnes, selon le ministère de la Santé. Mercredi, les recherches se poursuivaient pour retrouver d'éventuels survivants, selon une journaliste de l'AFP.
Les victimes, essentiellement des femmes et enfants, s'étaient réfugiés là fuyant les bombardements israéliens sur leur village du sud du Liban.
Plus de 2600 morts
En guerre dans la bande de Gaza contre le Hamas depuis son attaque s du 7 octobre 2023, Israël a aussi attaqué le Hezbollah après plus d'un an d'échanges de tirs transfrontaliers avec cette formation, alliée du mouvement islamiste palestinien, qui ont déplacé quelque 60'000 habitants du nord d'Israël.
Plus de 2600 personnes ont été tuées à travers le Liban depuis le 23 septembre, a indiqué un ministre à l'AFP.
A Gaza
Dans la bande de Gaza, l'armée israélienne poursuit ses opérations à Jabalia (nord), où elle mène depuis un mois une offensive meurtrière, affirmant avoir "éliminé des dizaines de terroristes" mardi. Les forces israéliennes ont aussi indiqué avoir tué des "terroristes" à Rafah (sud).
L'offensive israélienne lancée en représailles à Gaza a fait 43'391 morts, majoritairement des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas, et provoqué un désastre humanitaire.
Unis contre "l'axe du mal"
En pleine guerre sur ces deux fronts, M. Netanyahu a créé mardi soir la surprise en limogeant son ministre de la Défense, Yoav Gallant, avec lequel les relations s'étaient notamment tendues autour de la question de la conscription des juifs ultra-orthodoxes - rejetée par les alliés d'extrême-droite du Premier ministre - et celle d'une trêve avec le Hamas pour libérer les otages encore retenus à Gaza.
Après son limogeage, M. Gallant a répété qu'Israël devait se préparer à des "compromis douloureux" pour obtenir le retour des otages. Le Hamas s'est lui félicité de l'éviction de cet ancien général considéré comme un "faucon" de la lutte contre le mouvement islamiste.
Nommé à sa place, le ministre sortant des Affaires étrangères, Israël Katz, a salué sur X la victoire de Donald Trump: "ensemble, nous (...) ramènerons les otages et resterons fermes pour vaincre l'axe du Mal dirigé par l'Iran".
"Nous avons juste besoin" que le futur président "nous donne des armes" pour "mettre fin à la guerre", réagit Yossi Mizrachi, un Israélien de 51 ans vendeur de fruits sur un marché à Jérusalem.
"J'espère que Trump trouvera une solution, nous avons besoin de quelqu'un de fort comme Trump pour mettre fin à la guerre", lance Mamdouh Al-Jadba, un Gazaoui de 60 ans déplacé par les combats à Gaza-ville.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'Unrwa, qui vit "son heure la plus sombre", doit être sauvée
L'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), qu'Israël a décidé d'interdire, vit "son heure la plus sombre", a alerté son chef devant l'Assemblée générale de l'ONU. Il a appelé les Etats membres à la sauver.
"Sans intervention des Etats membres, l'Unrwa va s'effondrer, plongeant des millions de Palestiniens dans le chaos", a déclaré Philippe Lazzarini, demandant aux Etats membres de l'Assemblée, qui a créé l'Unrwa en 1949, à "empêcher la mise en oeuvre de la loi contre l'Unrwa" votée par le parlement israélien.
Une semaine après le vote par le Parlement d'une loi interdisant les activités de l'Unrwa en Israël, ce pays a notifié lundi à l'ONU "l'annulation" de son accord avec l'agence datant de 1967, année du début de l'occupation par Israël des territoires palestiniens de Cisjordanie et de Gaza, ainsi que Jérusalem-Est, où l'Unrwa a fourni pendant des décennies une aide essentielle aux réfugiés palestiniens - éducation, santé, services sociaux, aide alimentaire...
Un seul Etat membre ne peut pas décider
"Aujourd'hui, je demande aux Etats membres d'agir pour défendre les réfugiés palestiniens et l'Unrwa", a insisté Philippe Lazzarini, évoquant notamment les "plus de 650.000 garçons et filles de Gaza", "une génération entière" qui risque d'être "privée du droit à l'éducation".
Alors que l'agence a été créée par une résolution de l'Assemblée générale de l'ONU en 1949, "les changements du mandat de l'Unrwa sont du ressort de l'Assemblée générale, pas d'un seul Etat membre", a-t-il rappelé.
"Depuis le début de la guerre à Gaza, les responsables israéliens ont décrit le démantèlement de l'Unrwa comme un but de la guerre. La loi de la Knesset sert ce but, mais son intention va au-delà d'un discrédit de l'Unrwa et des Nations unies. Elle cherche à mettre un terme au droit des Palestiniens à l'autodétermination et à l'aspiration à une solution politique juste", a-t-il déclaré.
Accusations sans preuves
L'Unrwa est la bête noire d'Israël qui l'accuse d'être infiltrée par les membres du mouvement islamiste Hamas, à l'origine des attaques du 7-Octobre ayant entrainé la campagne de représailles de l'armée israélienne à Gaza.
De telles preuves n'ont en réalité jamais été fournies par Israël, selon l'ONU. Seuls des doutes concernant neuf employés de l'Unrwa ont conduit au licenciement de ces personnes.
"L'Unrwa peut être définie par un seul mot, échec, échec à la fois professionnel et moral", a insisté mercredi à l'Assemblée générale l'ambassadeur israélien à l'ONU Danny Danon, estimant que sans elle "les travailleurs humanitaires pourraient être dignes de confiance".
L'agence "a utilisé ses financements pour prolonger le cycle du terrorisme, enseigner la haine pendant des décennies", a-t-il ajouté, jugeant "fausse" l'affirmation répétée par de nombreux Etats membres selon laquelle l'Unrwa est "la colonne vertébrale" de l'aide humanitaire à Gaza.
Irremplaçable
Depuis un an, l'ONU martèle elle aussi que l'Unrwa est irremplaçable. Son secrétaire général Antonio Guterres a écrit en ce sens la semaine dernière au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour lui demander le maintien des opérations de l'agence.
Même le Conseil de sécurité de l'ONU, qui peine à parler d'une seule voix depuis le début de la guerre à Gaza, a insisté sur son "rôle vital", appelant Israël à respecter ses "obligations internationales" et le "mandat" de l'Unrwa.
"Nous devons agir collectivement et fermement pour préserver l'Unrwa, lui permettre de mener son mandat et faire échouer toute tentative de la détruire", a plaidé mercredi l'ambassadeur palestinien à l'ONU Riyad Mansour.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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