International
Israël promet une riposte à l'attaque de l'Iran
L'armée israélienne a promis lundi "une riposte" à l'attaque massive et sans précédent lancée par l'Iran, malgré les appels de nombreux pays, Etats-Unis en tête, à éviter un embrasement au Moyen-Orient.
Israël va "riposter au lancement de ces si nombreux missiles, missiles de croisière et drones sur le territoire de l'Etat d'Israël", a déclaré le chef d'état-major de l'armée, le général Herzi Halevi, en visitant la base de Nevatim, dans le sud du pays.
"Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour protéger l'État d'Israël, et nous le ferons à l'occasion et au moment que nous choisirons", a affirmé lundi l'amiral Hagari, sur la base de Nevatim.
L'armée a diffusé une courte vidéo montrant un cratère peu profond le long d'un mur dû à l'impact d'un projectile iranien lors de sa chute sur cette base.
Le cabinet de guerre israélien présidé par Benjamin Netanyahu s'est réuni dimanche puis lundi, mais le Premier ministre, sous très forte pression, est resté silencieux sur la forme que pourrait prendre une éventuelle riposte.
Eviter un embrasement
Israël a annoncé avoir déjoué l'attaque menée par l'Iran et intercepté la quasi-totalité des 350 drones et missiles lancés contre le pays grâce à la défense antiaérienne israélienne avec l'aide des Etats-Unis et d'autres pays alliés dont la France et le Royaume-Uni, mais aussi la Jordanie et l'Arabie saoudite.
Depuis l'attaque, les appels venus du monde entier se multiplient afin d'éviter un embrasement dans une région "au bord du précipice", selon le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.
Après avoir fait front avec leurs alliés contre l'attaque iranienne, les Etats-Unis ont dit ne pas vouloir "d'une guerre étendue avec l'Iran", et prévenu qu'ils ne participeraient pas à une opération de représailles.
Washington ne veut pas d'"escalade" avec l'Iran mais continuera à "défendre Israël", a assuré lundi le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, tandis que la Maison Blanche a qualifié l'attaque iranienne "d'échec spectaculaire".
Le Royaume-Uni et la France ont eux aussi pris leurs distances. Le chef de la diplomatie britannique, David Cameron, a exclu une participation de son pays à une riposte et le président français Emmanuel Macron a appelé à éviter un "embrasement" régional.
Tensions croissantes
Depuis le début de la guerre à Gaza le 7 octobre, les tensions n'ont cessé de s'aggraver au Moyen-Orient, impliquant Israël et l'Iran, ennemis depuis la révolution iranienne de 1979, et leurs alliés respectifs.
La guerre a été déclenchée par une attaque sans précédent menée le 7 octobre par le mouvement islamiste depuis Gaza, qui a fait 1170 morts, en majorité des civils, selon un bilan de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes. Plus de 250 personnes ont été enlevées et 129 restent retenues à Gaza, dont 34 sont mortes d'après des responsables israéliens.
En représailles, Israël a promis de détruire le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007, qu'il considère comme une organisation terroriste de même que les Etats-Unis et l'Union européenne. Son armée a lancé une offensive qui a fait jusqu'à présent 33'797 morts dans le territoire palestinien.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Masarova tombe avec les honneurs à Miami
Rebeka Masarova (WTA 168) est tombée les armes à la main dans le WTA 1000 de Miami.
Issue des qualifications, la Bâloise s'est inclinée 6-4 3-6 6-3 en 16e de finale face à la tenante du titre, l'Américaine Danielle Collins (WTA 15) samedi.
Victorieuse en deux sets secs de la vice-championne olympique Donna Vekic (WTA 19) au tour précédent, Rebeka Masarova n'est donc pas parvenue à enchaîner un deuxième exploit consécutif en Floride. Le coup n'est pas passé loin, même si Danielle Collins ne lui a pas laissé la moindre ouverture au troisième set.
La Bâloise de 25 ans, qui représente à nouveau la Suisse depuis cette année après avoir défendu les couleurs de l'Espagne, ne s'est en effet pas procuré la moindre balle de break dans la manche décisive. Elle n'a inscrit que 5 points à la relance dans ce dernier set, concédant le break décisif dans le quatrième jeu.
Cette accession au 3e tour du tableau principal permettra à Rebeka Masarova de gagner environ 25 places dans la hiérarchie mondiale. Elle a obtenu son meilleur classement, un 62e rang, en décembre 2023, et a quitté définitivement le top 100 en juillet 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'argent pour Annik Kälin à la longueur
Annik Kälin a offert à la Suisse une troisième médaille dans les Mondiaux en salle de Nanjing. La Grisonne a décroché l'argent à la longueur dimanche matin, grâce à un saut mesuré à 6m83.
Déjà en argent aux Championnats d'Europe d'Apeldoorn deux semaines plus tôt dans la discipline, Annik Kälin a su saisir sa chance en l'absence notamment des deux autres médaillées européennes, Larissa Iapichino et Malaika Mihambo. Elle avait atterri à 6m90, un nouveau record de Suisse, aux Pays-Bas.
Spécialiste des disciplines multiples, la médaillée de bronze de l'heptathlon des Européens 2022, 4e aux JO de Paris 2024, devait initialement s'aligner sur le pentathlon ce week-end à Nanjing. Mais elle ne se sentait pas encore physiquement prête à enchaîner les cinq épreuves sur une journée. Dimanche, seule l'Américaine Claire Bryant (6m96) a fait mieux qu'elle.
La journée a également bien commencé pour la championne d'Europe du 60 m haies en salle, Ditaji Kambundji. La Bernoise a passé sans problème l'écueil des séries en signant le 5e temps, en 7''85, loin de son chrono d'Apeldoorn (7''67). Les demi-finales sont programmées à 12h35 heure suisse, la finale à 14h01.
Deux autres Helvètes joueront les médailles lors de l'ultime session de ces championnats du monde indoor 2025. L'Appenzellois Simon Ehammer disputera la finale de la longueur dès 12h40 (heure suisse), alors que la Fribourgeoise Audrey Werro sera en lice en finale du 800 m dès 13h54.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
La Chine compte rester sur la voie de la mondialisation
Le premier ministre chinois Li Qiang a assuré dimanche que son pays resterait engagé dans "la bonne direction de la mondialisation" face à la "fragmentation" croissante de l'économie mondiale, alors qu'une nouvelle guerre commerciale avec Washington s'intensifie.
"En tant que grand pays responsable, la Chine se tiendra fermement du bon côté de l'histoire [...] [en pratiquant] un véritable multilatéralisme", a déclaré Li Qiang lors d'une réunion avec des dirigeants d'entreprises multinationales à Pékin.
La Chine "adhérera à la bonne direction de la mondialisation économique, pratiquera un véritable multilatéralisme et s'efforcera d'être une force de stabilité et de certitude", a assuré M. Li. Il estime que "la fragmentation de l'économie mondiale s'intensifie", alors que "l'instabilité et l'incertitude augmentent".
Le discours de M. Li a été prononcé lors de l'ouverture du forum annuel pour le développement de la Chine, auquel ont participé cette année d'éminents chefs d'entreprise, dont le directeur d'Apple, Tim Cook.
Un sénateur trumpiste à Pékin
Dimanche, Li Qiang devrait recevoir le sénateur américain Steve Daines, fervent soutien de Donald Trump. M. Daines a été accueilli la veille à Pékin avec son épouse, par le vice-premier ministre chinois He Lifeng.
Ce sénateur du Montana, qui par le passé a vécu plusieurs années en Chine et à Hong Kong, est notamment venu évoquer deux sujets de friction entre Pékin et Washington: les relations économiques et le trafic de fentanyl, une drogue qui fait des ravages aux Etats-Unis et dont des précurseurs sont produits en Chine.
"La Chine s'oppose fermement à la politisation, à la militarisation et à l'instrumentalisation des questions économiques et commerciales. Elle est disposée à engager un dialogue franc avec les Etats-Unis sur la base du respect mutuel, de l'égalité et des avantages mutuels", lui avait indiqué M. He, selon l'agence de presse officielle Chine nouvelle.
Pékin cherche depuis des mois à restaurer la confiance des consommateurs et des milieux économiques, fragilisée par une crise persistante du secteur immobilier et dans un contexte de tensions commerciales ravivées avec Washington.
Depuis son retour au pouvoir en janvier, le président américain Donald Trump a relevé à 20% les droits de douane supplémentaires appliqués à tous les produits chinois entrant aux Etats-Unis. Il a notamment invoqué des déséquilibres commerciaux et l'incapacité supposée de Pékin à freiner le trafic de fentanyl.
La Chine a répliqué aux taxes américaines en instaurant ses propres droits de douane, dont certains s'élevant à 15%, sur une série de produits agricoles américains, notamment le soja, le porc et le poulet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
GP de Chine: Tous à la poursuite de McLaren
Sorti vainqueur du chaos il y a une semaine pour le coup d'envoi de la saison de Formule 1, Lando Norris espère récidiver ce week-end en Chine.
Le Britannique bénéficiera de conditions plus habituelles pour confirmer le statut de favorite de son écurie McLaren.
Deux ans et demi que le microcosme de la F1 n'avait pas connu ça: à Shanghai, le paddock voit débarquer un pilote autre que Max Verstappen dans le costume de leader au championnat.
En Australie dimanche dernier, le quadruple champion du monde en titre, deuxième de la course, a cédé son fauteuil à Lando Norris après 1029 jours consécutifs passés au sommet de la hiérarchie - un record.
"Nous avons fait une bonne course, mais nous n'étions pas assez rapides pour gagner", a reconnu jeudi le Néerlandais, victorieux l'an dernier en Chine au volant de sa fusée Red Bull, qui a depuis perdu de sa superbe. Les McLaren sont "performantes à tous les niveaux, c'est un fait", a-t-il encore dit.
Depuis les premiers tours de roue de l'année, McLaren fait figure d'équipe à battre. Derrière, Red Bull semble pour l'instant davantage en concurrence avec Ferrari, vice-championne en titre, et Mercedes.
Sur le tracé de Melbourne, l'écurie anglaise était bien partie pour signer un doublé - Norris devant son coéquipier Oscar Piastri - mais la pluie en a décidé autrement. Parti à la faute sur une piste glissante, l'Australien est resté bloqué un long moment dans l'herbe et a terminé à une lointaine 9e place.
En dépit de cette erreur, McLaren fait pour l'instant honneur à son statut de championne en titre, tandis que Ferrari, très attendue avec sa recrue Lewis Hamilton, est, elle, passée à côté de sa première course de l'année. Pour ses débuts avec la Scuderia, le septuple champion du monde - encore en rodage - a terminé 10e derrière son coéquipier Charles Leclerc, 8e.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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