International
Küng gagne l'ultime étape, Roglic triomphe pour la 4e fois
Stefan Küng tient enfin sa première victoire sur un grand Tour!
Le Thurgovien de 30 ans s'est adjugé dimanche la dernière étape de la Vuelta, un contre-la-montre de 24 km disputé autour de Madrid. Le Slovène Primoz Roglic a quant à lui remporté son quatrième Tour d'Espagne après 2019, 2020 et 2021.
Quatrième du chrono inaugural de ce Tour d'Espagne, disputé sur 12 km entre Lisbonne et Oeiras, avec 6'' de retard sur le vainqueur Brandon McNulty, Stefan Küng a fait très forte impression dimanche à Madrid. Le rouleur de la Groupama-FDJ fut certes l'un des rares spécialistes à jouer le coup à fond dimanche. Mais il n'a rien volé.
Küng a décroché sa deuxième victoire de la saison - après son titre national du chrono - en devançant de 31'' Primoz Roglic (2e). Il efface ainsi sa déconvenue des JO de Paris (8e du clm) et prend confiance avant les Mondiaux de Zurich, où il espère décrocher une deuxième médaille dans un rendez-vous intercontinental après le bronze de la course en ligne des Mondiaux 2019.
Second Suisse engagé sur cette Vuelta, Mauro Schmid a également conclu son pensum en beauté, même s'il lui reste l'amertume de deux 2es places obtenues lors des 13e et 18e étapes. Le Bernois, qui s'était classé 7e du contre-la-montre disputé au Portugal trois semaines plus tôt, a pris la 5e place de ce chrono dominical. Il sera également à suivre de près à Zurich dans trois semaines.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Nascar: un accident implique 28 des 40 voitures
Un énorme accident s'est produit en Nascar sur le circuit ovale de Talladega. 28 des 40 voitures en lice ont été impliquées, ce qui en a fait le plus gros crash de l'histoire de la discipline.
L'accident s'est produit à cinq tours de la fin. Un accrochage en tête du peloton en a provoqué d'autres en chaîne, ce qui a donné lieu à des images aussi impressionnantes que spectaculaires. La course a pu repartir ensuite et la victoire a souri à Ricky Stenhouse Jr pour... six millièmes de seconde.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le métro de Tokyo prépare son entrée en Bourse
Une entreprise gestionnaire du métro de Tokyo a dévoilé lundi les détails de son introduction en Bourse le 23 octobre. L'opération devrait être la plus importante au Japon depuis celle du géant technologique SoftBank, il y a six ans.
Tokyo Metro Co., l'un des deux exploitants du réseau de métro dans la capitale japonaise, a publié dans un communiqué une fourchette de prix provisoire pour son introduction, allant de 1100 à 1200 yens par action (de 6,77 à 7,38 euros). Un tel niveau valoriserait l'entreprise entre 639 milliards et 697 milliards de yens environ (entre 3,9 et 4,3 milliards d'euros) selon les calculs de Bloomberg, Tokyo Metro espérant lever jusqu'à l'équivalent de 2,2 milliards d'euros sur le marché.
De quoi en faire la plus grande introduction en Bourse à Tokyo depuis celle de SoftBank Corp, filiale de télécommunications mobile du géant japonais de l'investissement dans les technologies SoftBank: elle avait levé en 2018 l'équivalent de 23,5 milliards de dollars en 2018, un montant inédit sur les marchés nippons. La cotation de Tokyo Metro intervient à un moment où la Bourse tokyoïte, après avoir lourdement trébuché cet été, se renforce nettement, encouragée par l'affaiblissement du yen qui favorise les entreprises exportatrices et aiguise l'appétit des investisseurs étrangers.
Etablie en 2004, l'entreprise Tokyo Metro Corp. exploite neuf lignes de métro dans l'une des zones urbaines les plus densément peuplées du monde, un réseau long de 195 km au total transportant quelque 6,52 millions de passagers par jour selon l'opérateur. Son capital est actuellement détenu à 53,4% par le gouvernement national japonais et à 46,6% par les autorités de la métropole de Tokyo.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Pétrole: le Brent proche de 80 dollars, poussé par les tensions
Les cours du pétrole montent lundi, poussés par les tensions au Moyen-Orient, un an exactement après l'attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël, et par des indicateurs économiques favorables aux Etats-Unis.
Vers 11h20, le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en décembre, prend 1,83% à 79,56 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en novembre, gagne 2,25%, à 76,05 dollars.
"Ce ne serait pas étonnant de voir les prix grimper rapidement au-delà des 85 dollars à la moindre intensification du conflit", estime Stephen Innes, analyste chez SPI Asset Management, pour qui la barre des 100 dollars est "loin d'être infranchissable". Le cours du pétrole est en hausse, à son plus haut niveau depuis plus d'un mois, car "aucune issue ne se profile pour le conflit qui risque de s'étendre davantage", indique Susannah Streeter, analyste chez Hargreaves Lansdown.
Lundi, l'armée israélienne a annoncé que des soldats appartenant à une troisième division étaient désormais engagés dans les combats terrestres contre le Hezbollah dans le sud du Liban. Peu après, la branche armée du Hamas a revendiqué le tir d'un barrage de roquettes sur Tel-Aviv. Les investisseurs craignent une attaque d'Israël sur les infrastructures iraniennes qui couperait l'approvisionnement d'un des dix plus grands producteurs de pétrole.
En parallèle, la publication vendredi d'un rapport sur le marché de l'emploi américain plus solide que prévu rassure les marchés sur la capacité de la demande américaine à accroître la demande de pétrole mondiale, déprimée depuis plusieurs mois par le ralentissement de l'économie chinoise. "Une demande accrue d'énergie aux États-Unis contribuera à compenser la faible demande de pétrole persistante en Chine", explique Susannah Streeter.
Toutefois, les analystes s'attendent à une abondance de barils dans les prochains mois, ce qui retient les prix malgré des risques géopolitiques accrus.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
La médecine aux Américains Victor Ambros et Gary Ruvkun
Le prix Nobel de médecine a été attribué lundi aux Américains Victor Ambros et Gary Ruvkun. Ils sont récompensés pour leur découverte du microARN, nouvelle classe de molécule ARN minuscule jouant un rôle crucial dans la régulation de l'activité des gènes.
"Le prix Nobel de cette année récompense deux scientifiques pour leur découverte d'un principe fondamental régissant la régulation de l'activité des gènes", a indiqué le jury dans un communiqué.
Victor Ambros, né en 1953 à Hanover (USA), travaille actuellement à la faculté de médecine de l'université du Massachusetts à Worcester. Gary Ruvkun, né en 1952 à Berkeley (USA), est professeur à la Harvard Medical School à Boston.
Depuis 2023, le montant du prix s'élève à 11 millions de couronnes suédoises, ce qui correspond à environ 910'000 francs.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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