Économie
La Banque d'Italie relève sa prévision de croissance pour 2023
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La Banque d'Italie a relevé vendredi sa prévision de croissance pour la troisième économie de la zone euro à 3,9% en 2022, contre 3,8% auparavant, et à 0,6% en 2023 (contre 0,4%).
Le pronostic de l'institution pour 2023 est nettement plus optimiste que celui du FMI - qui prévoyait en octobre une contraction du PIB de 0,2% en 2023 - et de la Commission européenne - qui entrevoyait en novembre une croissance de 0,3%.
La Banque d'Italie souligne que ses estimations sont tributaires du "contexte de forte incertitude lié en particulier à la guerre en Ukraine" qui continue de peser sur le prix des matières premières.
Dans l'hypothèse où la Russie cesserait de manière permanente ses livraisons d'hydrocarbures à l'Europe, l'Italie pourrait accuser une récession de 1% en 2023 et 2024, prévient l'institut d'émission.
Après avoir atteint 8,7% en 2022, l'inflation devrait redescendre à 6,5% cette année, avance la Banque d'Italie.
En 2021, la croissance de l'Italie avait atteint 6,7%, un taux inédit depuis plus de 40 ans, après un plongeon de 9% en 2020, dû à la pandémie de Covid-19.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
France: "suspension" de la réforme impopulaire des retraites
L'Assemblée nationale a largement approuvé mercredi la "suspension" de la réforme impopulaire des retraites de 2023 en France, emblématique du deuxième mandat du président Emmanuel Macron.
Le chemin sera de toute façon encore long pour entériner cette suspension, qui sera accueillie en terrain hostile au Sénat, dominée par la droite, à partir de samedi en commission, et du 19 novembre dans l'hémicycle.
Cette réforme, qui porte progressivement de 62 à 64 ans l'âge légal de départ, avait suscité une vaste mobilisation dans la rue, avant d'être adoptée aux forceps et de devenir un point de fixation pour les oppositions.
La France a actuellement le déficit public le plus élevé de la zone euro, la dette publique la plus importante en masse à près de 3500 milliards d'euros, et la troisième de la zone en pourcentage du PIB (derrière la Grèce et l'Italie).
Face à la menace d'une censure avant même l'ouverture des débats budgétaires, le Premier ministre Sébastien Lecornu, proche d'Emmanuel Macron, avait promis sa suspension pour amener les socialistes à la table des négociations.
"Simple décalage"
La suspension a été approuvée par 255 voix contre 146, avec le soutien majoritaire des socialistes, des écologistes, du Rassemblement national (extrême droite). Mais aussi l'abstention majoritaire des députés Renaissance (parti présidentiel).
La France insoumise (gauche radicale) et les communistes ont voté contre, dénonçant un simple "décalage" de l'application de la réforme.
L'article suspend jusqu'à janvier 2028 la marche en avant vers les 64 ans, tout comme le relèvement du nombre de trimestres à cotiser.
La génération née en 1964 partirait à 62 ans et 9 mois (comme la précédente) au lieu des 63 ans prévus par la réforme. Et partirait avec 170 trimestres cotisés au lieu de 171.
Le gouvernement a aussi étendu par amendement le périmètre, pour inclure notamment les carrières longues. La concession ferait passer le coût estimé à 300 millions d'euros en 2026 et 1,9 milliard en 2027, selon l'exécutif.
Et son financement continue de diviser, alors que plusieurs mesures d'économies sur une Sécurité sociale en lourd déficit sont inflammables (doublement des franchises médicales, gel des pensions de retraite et des minima sociaux, etc...).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Swiss Life a poursuivi sa croissance après neuf mois
Swiss Life a poursuivi sa croissance après neuf mois en 2025. L'assureur-vie zurichois a ainsi vu ses primes brutes s'étoffer de 2% sur un an à 16,27 milliards de francs, alors que les revenus des frais et commissions ont progressé de 2% à 1,91 milliard.
Exprimées en devises locales, les primes brutes émanant des activités d'assurance, coeur de métier de Swiss Life, ont crû de 3%, écrit mercredi la compagnie zurichoise. Le rythme de croissance s'est ainsi quelque peu affaibli au regard des 4% affichés après six mois. Toutes les principales régions, à savoir la Suisse, la France et l'Allemagne ont progressé.
Les frais et commissions ont quant à eux généré des revenus en hausse de 3% à taux de change constants.
Le résultat direct des placements s'est élevé à 3,13 milliards de francs, contre 3,08 milliards l'année précédente. Le secteur Third-Party Asset Management a enregistré un afflux net de nouveaux capitaux de 15,0 milliards de francs, et les actifs sous gestion s'élevaient à 142 milliards de francs au 30 septembre 2025.
Le ratio SST était d'environ 205 pour cent au 30 septembre 2025, contre 201 pour cent au 31 décembre 2024. Le programme de rachat d'actions d'un montant de 750 millions de francs se poursuit comme prévu jusqu'à fin mai 2026.
La performance, qui ne comporte aucun indicateur de rentabilité, s'est révélée conforme aux attentes des analystes. Sondés par l'agence AWP, les experts avaient en moyenne anticipé des primes brutes de 16,39 milliards de francs, des produits de commissions de 1,91 milliard et des apports nets pour la gestion d'actifs pour clients tiers de 15,71 milliards.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Trump revendique une "grande victoire" avec la fin du "shutdown"
Donald Trump a estimé mardi que la fin à venir de la paralysie budgétaire aux Etats-Unis représentait une "très grande victoire" pour les républicains. En face la colère monte chez les démocrates face aux sénateurs dissidents de leur camp.
Lors d'un discours au cimetière national d'Arlington, à l'occasion de la journée des anciens combattants, le président américain a salué le travail des chefs républicains au Congrès, Mike Johnson et John Thune.
"Félicitations à vous et à John et à tout le monde pour une très grande victoire", a déclaré Donald Trump à l'adresse du "speaker" de la Chambre, Mike Johnson, présent dans l'assistance. "Nous rouvrons notre pays, il n'aurait jamais dû être fermé", a-t-il ajouté.
Après plus de 40 jours de blocage, le Congrès américain s'apprête à voter un nouveau texte budgétaire qui permettrait de lever le "shutdown".
Le Sénat a adopté une proposition de loi qui prolonge le budget actuel jusqu'à fin janvier, et la Chambre doit en débattre à partir de mercredi, avec un vote attendu potentiellement dans la soirée. Il ne resterait alors que la signature de Donald Trump.
En raison des règles en vigueur au Sénat, plusieurs voix démocrates étaient nécessaires pour adopter un budget même si les républicains y sont majoritaires. Finalement, huit sénateurs de l'opposition ont voté pour, après des négociations en coulisses.
"Capitulation"
Ces élus centristes se sont attirés les foudres de nombreux membres de leur propre camp, qui dénoncent de maigres concessions et des promesses en l'air des républicains. Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, s'est lamenté dimanche sur X d'une "capitulation" et d'une "trahison" envers l'Amérique qui travaille.
Le chef de la minorité démocrate à la Chambre, Hakeem Jeffries, a lui exhorté les républicains à tenir leur engagement d'organiser bientôt un vote au Congrès pour prolonger certaines subventions pour "Obamacare", principal programme public d'assurance santé pour les Américains à bas revenus. "Maintenant il va falloir voir des actes, ou si c'étaient seulement des paroles", a déclaré Hakeem Jeffries sur CNN.
La question de ces subventions est au coeur du différend entre républicains et démocrates qui a mené au "shutdown". Depuis le 1er octobre, plus d'un million de fonctionnaires ne sont pas payés, le versement de certaines aides est fortement perturbé, tout comme le trafic aérien, avec à présent des centaines d'annulations de vols chaque jour.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Un diamant bleu vendu plus de 25 millions de dollars à Genève
Le "Mellon blue", un diamant bleu vif de 9,51 carats monté sur une bague, a été vendu plus de 25 millions de dollars mardi à Genève. Il s'agit d'un prix conforme aux estimations initiales pour une pierre "d'une pureté exceptionnelle", a annoncé la maison Christie's.
Ce diamant bleu vif, qui "compte parmi les plus beaux diamants de couleur jamais proposés aux enchères", selon Rahul Kadakia, directeur international du département Joaillerie chez Christie's, avait été estimé par la maison de vente à entre 20 et 30 millions de dollars.
Il a été adjugé au marteau à 17,4 millions de francs suisses, pour un prix final de 25'592'269 dollars avec les taxes, selon Christie's. La même pierre, alors connue sous le nom de "Zoe Diamond", avait été vendue pour 32,6 millions de dollars chez Sotheby's à New York en 2014, établissant à l'époque des records mondiaux pour un diamant bleu et pour le prix au carat.
Montée en pendentif
La pierre a appartenu pendant des décennies à Rachel Lambert Mellon, plus célèbre sous le nom de "Bunny" Lambert Mellon (1910-2014), horticultrice, philanthrope et collectionneuse d'art américaine. La pierre était alors montée en pendentif.
Bunny Mellon est notamment connue pour avoir réaménagé la roseraie de la Maison Blanche en 1961 à la demande du président John F. Kennedy.
Le prix le plus élevé jamais atteint par Christie's pour un diamant bleu vif a été établi à Genève en 2016 lorsque l'"Oppenheimer Blue" (14,62 carats) a été vendu pour 57,5 millions de dollars américains.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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