International
La guerre à Gaza a fait diviser le PIB par six dans le territoire
La guerre dans la bande de Gaza depuis octobre dernier a fait chuter le Produit intérieur brut (PIB) du territoire palestinien par six. Plus de 200'000 postes de travail ont été perdus en quelques mois, selon un rapport de l'ONU publié mardi à Genève.
Au total, 82% des entreprises de la bande de Gaza ont été endommagées ou détruites. Les chiffres sont similaires, peut-être même encore pires, pour les biens agricoles, a ajouté ONU Commerce et Développement (CNUCED) dans son rapport.
Sur l'ensemble de l'année dernière, le PIB a reculé de près d'un quart. Au milieu de cette année, l'économie se trouvait à moins d'un sixième de son niveau de 2022.
Tous les territoires affectés
La situation est "sans précédent", selon l'agence onusienne. "Le PIB s'effondre, la pauvreté est répandue et le chômage augmente", a estimé devant la presse l'un de ses responsables. "Il faudra des décennies et des dizaines de milliards de dollars ou même davantage" pour rétablir la bande de Gaza, a renchéri un autre membre de l'agence onusienne. Tous les territoires palestiniens sont désormais affectés.
En Cisjordanie, l'extension de colonies, la confiscation de terres, la démolition d'infrastructures ou les violences ont aussi largement affecté l'économie. Avec un ralentissement de près de 20% en fin d'année dernière, le PIB a reculé d'environ 2%, alors que les prévisions anticipaient avant le conflit une avancée de 4%.
Celui par habitant a lui diminué de 4,5%. Au total, presque toutes les entreprises ont fait face à un recul de leurs affaires et environ 43% ont été contraintes de couper des postes. Plus de 300'000 emplois ont été perdus en Cisjordanie, faisant passer le chômage de 13 à plus de 30%. Le territoire a perdu 25,5 millions de dollars chaque jour.
Progression rapide de la pauvreté
Pour toute la population palestinienne, la pauvreté a augmenté. Il y a deux ans, un tiers d'entre elle était en insécurité alimentaire ou en insécurité alimentaire grave, ajoute également le rapport de l'agence onusienne. Actuellement, la pauvreté affecte presque tous les habitants de la bande de Gaza et elle progresse rapidement en Cisjordanie.
Autre problème, l'aide internationale au gouvernement palestinien est tombée l'année dernière à un plus bas, à 358 millions de dollars. Depuis le massacre du 7 octobre, les déductions fiscales retenues par Israël sur l'enveloppe palestinienne ont augmenté, rendant encore plus difficiles les ressources pour celui-ci et étendant le déficit. Près d'1,5 milliard de dollars ont été retenus en cinq ans.
Cette situation a affecté les salaires des fonctionnaires, le paiement de l'intérêt de la dette, alors que celle-ci a augmenté, ou également les prestations pour la population. Le rapport appelle la communauté internationale à soutenir l'économie palestinienne. Il faut notamment débloquer les recettes retenues par Israël, augmenter l'assistance et prévoir un plan de relance pour les territoires palestiniens, affirme-t-il également.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
France: les voitures restent abonnées au diesel
Les immatriculations de voitures neuves diesel s'effondrent depuis 2012 mais ces voitures représentent encore la majorité des voitures roulant en France, alors que les hybrides et les électriques arrivent sur les routes.
En tout, 39,3 millions de voitures circulaient en France au 1er janvier 2024, selon les données du ministère de la Transition écologique.
La part du diesel dans ce parc roulant diminue, mais ces modèles restent majoritaires à 50,7%.
Un temps encouragées par la fiscalité, les ventes de diesel se sont effondrées, notamment depuis le scandale du dieselgate, et elles ne représentaient que 8% de ventes de voitures neuves sur les sept premiers mois de l'année 2024 (-26%), selon les chiffres du cabinet AAA Data.
Mais s'ils sont de plus en plus rares chez les constructeurs, ces modèles diesel restent les plus recherchés sur le marché de l'occasion, avec des délais de revente express, selon le site Le Bon coin.
Parallèlement, les modèles hybrides (avec un moteur essence mais aussi un petit moteur et une batterie électriques que l'on ne branche pas pour les recharger) ont vu leurs ventes exploser.
Longtemps promus par Toyota, désormais présents chez de nombreux constructeurs, les hybrides représentent ainsi près de la moitié des ventes au mois de septembre (près de 45%). Ils représentaient 4,4% du parc automobile français au 1er janvier 2024.
Le marché des voitures électriques, soutenu depuis plusieurs années par un bonus écologique à l'achat, a explosé à partir de 2021 avant de ralentir depuis le printemps 2024, à 17% de parts de marché sur les neuf premiers mois de l'année.
La motorisation bicarburation essence-GPL, qui était la principale motorisation alternative aux moteurs thermiques classiques, est devancée par les motorisations électriques et hybrides rechargeables depuis 2021, note le ministère.
29% des voitures en circulation ont un classement Crit'Air au moins égal à 3 (soit les voitures diesel immatriculées avant 2011 et les voitures à essence immatriculées avant 2006), et pourraient donc être concernées par des restrictions d'accès aux grandes métropoles, à commencer par Paris et Lyon au 1er janvier 2025.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Nouvelle baisse de taux attendue cette semaine en zone euro
La Banque centrale européenne s'oriente vers une nouvelle baisse de ses taux d'intérêt jeudi, les données récentes sur l'inflation étant rassurantes, tandis que l'inquiétude monte pour la croissance en zone euro.
Plusieurs membres du conseil des gouverneurs de l'institut monétaire de Francfort, dont les responsables des banques centrales allemande, Joachim Nagel, et française, François Villeroy de Galhau, ont envoyé ces derniers jours des signaux en ce sens.
"Une baisse est très probable" lors de la réunion de la BCE de jeudi, après une première baisse en juin, et une seconde en septembre, "et ça ne sera d'ailleurs pas la dernière", a dit le gouverneur de la Banque de France, en pointant vers une nouvelle baisse de 0,25 point de pourcentage.
Le taux de dépôt de la BCE, qui sert de référence pour les conditions de crédit dans l'économie, passerait ainsi à 3,25%.
"Je suis assez ouvert à l'idée de réfléchir à la possibilité de réaliser un nouveau pas sur les taux", a dit son homologue de la Bundesbank dans un podcast avec le média allemand Table Media.
"L'évolution de l'inflation fait partie des bonnes nouvelles, nous nous rapprochons clairement de notre objectif de 2% d'inflation" sur une base annuelle, a-t-il ajouté.
Revirement
Une baisse dès cette semaine, lors de la réunion de la BCE qui se tiendra à Ljubljana, en Slovénie, constituerait un revirement.
Il y a encore un mois les gardiens de l'euro restaient prudents sur le sujet, donnant le sentiment de vouloir attendre leur réunion de décembre, la dernière prévue cette année, pour agir.
Mais l'inflation a continué de ralentir en septembre, tombant à 1,8 %, sous le seuil des 2% pour la première fois en plus de trois ans.
Le ralentissement se voit surtout dans les grandes économies, en Allemagne (1,6 %), en France (1,2 %) et en Italie (0,7 %).
De plus, l'inflation sous-jacente, un indicateur très suivi qui exclut les prix volatils de l'énergie et de l'alimentation, a enregistré un recul à 2,7 % en glissement annuel, selon Eurostat.
Les évolutions actuelles des prix "renforcent notre confiance dans le fait que l'inflation reviendra à l'objectif en temps voulu" et cela sera "pris en compte lors de la prochaine réunion de politique monétaire" d'octobre, a déclaré la présidente de la BCE, Christine Lagarde, lors d'une audition remarquée fin septembre au Parlement européen.
Activité en berne
Le compte-rendu de la réunion de septembre de la BCE a également montré des inquiétudes sur la croissance en zone euro, une évolution de nature à réduire davantage l'inflation et donc favorable à un desserrement plus rapide de l'étau monétaire.
Le gouvernement allemand vient lui de revoir en baisse ses prévisions de croissance, tablant à nouveau sur une récession cette année dans la première économie européenne (recul de 0,2% du Produit intérieur brut) après une contraction de 0,3% en 2023.
Une baisse des taux apporterait un bol d'air aux ménages et aux entreprises, de nature à soutenir les crédits à la consommation, le marché de l'immobilier - actuellement atone - ou les investissements.
La BCE a fortement relevé ses taux dans le sillage de la reprise post Covid-19 puis de la guerre russe en Ukraine, qui a fait s'envoler les prix énergétiques. Cela s'est fait au prix toutefois d'un fort ralentissement de la croissance économique.
Elle va continuer à surveiller l'impact des tensions au Moyen-Orient, qui tendent à faire grimper les prix du pétrole. L'impact potentiel du dernier plan de relance chinois pourrait aussi stimuler la demande énergétique et donc affecter les prix.
Malgré ce contexte incertain, Frederik Ducrozet, chef économiste chez Pictet, prévoit deux baisses de taux en 2024 et quatre autres au premier semestre 2025, ce qui porterait le taux de référence de la BCE à 2,0%, un niveau considéré comme "neutre" pour l'économie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Après Haïfa, le Hezbollah menace Israël de nouvelles attaques
Le Hezbollah libanais a menacé lundi Israël d'autres attaques en cas de poursuite de son offensive au Liban, après une frappe de drones visant une position militaire au sud de Haïfa qui a tué quatre soldats israéliens et blessé plus de 60 personnes.
Il s'agit de la frappe la plus meurtrière en Israël depuis que le mouvement chiite armé libanais et Israël sont entrés en guerre ouverte le 23 septembre.
Dans un communiqué, le Hezbollah, soutenu par l'Iran et allié du Hamas palestinien, "promet à l'ennemi" que l'attaque "au sud de Haïfa n'est qu'un avant-goût de ce qui l'attend s'il décide de continuer ses agressions contre notre peuple".
Sept militaires israéliens blessés
L'armée israélienne a fait état de quatre soldats tués et de sept militaires blessés sur un camp d'entraînement de la brigade Golani à Binyamina, au sud de Haïfa, grande ville du nord d'Israël.
Selon United Hatzalah, une organisation de secouristes bénévoles, l'attaque a blessé plus de 60 personnes, avec "divers degrés de blessures: critiques, graves, modérées et légères".
Plus tôt, le Hezbollah pro-iranien avait annoncé que ses combattants avaient tiré "une escadrille de drones explosifs" sur ce camp d'entraînement, en dédiant cette attaque à son chef Hassan Nasrallah, assassiné le 27 septembre dans une frappe israélienne près de Beyrouth.
Dans un nouveau communiqué lundi, le Hezbollah salue une "opération complexe". Il explique avoir lancé simultanément des dizaines de missiles sur diverses cibles dans les régions de Nahariya et Acre dans le but de "distraire les systèmes de défense aérienne israéliens". Les drones "sont parvenus à contourner les radars de la défense antiaérienne et atteindre leur cible dans (le) camp d'entraînement", selon le Hezbollah.
"Combats face à face"
Dimanche après-midi, le mouvement chiite avait affirmé combattre "à l'arme automatique" et avec des "roquettes" des soldats israéliens dans au moins quatre villages frontaliers d'Israël, et avoir tendu une embuscade à des soldats qui tentaient de s'infiltrer, l'armée israélienne faisant état de "combats face à face".
L'armée israélienne a pour sa part annoncé avoir capturé un combattant du Hezbollah dans un tunnel dans le sud du Liban, une première depuis qu'elle y a lancé une offensive terrestre le 30 septembre.
Après avoir affaibli le Hamas palestinien à Gaza, Israël a déplacé le front de la guerre au Liban, disant vouloir permettre le retour dans le nord du pays de quelque 60'000 habitants, déplacés par les tirs de roquettes menés depuis un an par le Hezbollah en soutien au Hamas.
De l'autre côté de la frontière, le ministère de la Santé a annoncé dimanche que 51 personnes avaient été tuées la veille dans des frappes israéliennes au Liban, portant à plus de 1300 le nombre de morts dans le pays depuis le 23 septembre, selon un décompte de l'AFP.
"Comme un séisme"
Selon l'agence de presse officielle libanaise ANI, l'aviation israélienne a intensifié dimanche ses frappes sur des villages du sud du Liban, après avoir frappé samedi soir un marché de la ville de Nabatiyeh.
"Tout a été détruit (...) comme si un séisme avait ravagé le marché", a témoigné auprès de l'AFP un habitant, Tareq Sadaq, au milieu des décombres fumants.
L'ONU a recensé près de 700'000 déplacés depuis le 23 septembre.
"Violations choquantes"
La force de paix de l'ONU au Liban, Finul, a pour sa part dénoncé des "violations choquantes" israéliennes contre ses positions, après avoir fustigé vendredi des tirs israéliens "répétés" les visant dans le sud du Liban, levant un tollé diplomatique.
Elle a fait état d'une entrée "en force" dimanche matin de deux chars israéliens dans une de ses positions, avant des tirs ayant "provoqué une fumée" qui a déclenché "des irritations cutanées et réactions gastro-intestinales chez 15 Casques bleus".
L'armée israélienne a indiqué qu'un de ses chars "qui tentait d'évacuer des soldats blessés" a "percuté un poste de la Finul".
Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, avait auparavant exhorté l'ONU à retirer "tout de suite" la Finul des zones de combats.
Des "attaques" contre des Casques bleus de l'ONU peuvent être constitutives de "crimes de guerre", a mis en garde dimanche le porte-parole du secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres.
Tensions avec l'Iran
La guerre au Liban et celle de Gaza, déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien le 7 octobre 2023 sur le sol israélien, se doublent d'une escalade entre l'Iran et Israël, dont les dirigeants menacent de riposter à une attaque iranienne de missiles le 1er octobre.
Le Pentagone a annoncé dimanche le déploiement en Israël d'un système américain de défense antimissiles à haute altitude THAAD en soutien contre Téhéran.
L'Iran est "totalement prêt à faire face à une situation de guerre", a averti dimanche son chef de la diplomatie, Abbas Araghchi.
Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a discuté dimanche par téléphone avec son homologue français Emmanuel Macron de la façon de garantir un "cessez-le-feu entre le Hezbollah et Israël" et de "mettre fin au génocide (...) à Gaza et au Liban", selon un communiqué de ses services.
M. Macron lui a souligné "la responsabilité de l'Iran à soutenir une désescalade générale", selon la présidence française.
Frappe sur une école à Gaza
Dans la bande de Gaza dévastée et assiégée, la Défense civile locale a indiqué dimanche soir qu'un bombardement israélien sur une école transformée en refuge pour les déplacés avait tué au moins 15 personnes, "dont des enfants" et "des familles entières" dans le camp de Nuseirat (centre). L'attaque a aussi fait "50 blessés", selon cette organisation.
L'armée israélienne accuse régulièrement le Hamas de se cacher dans des bâtiments scolaires où des milliers de Gazaouis ont cherché refuge, une accusation niée par le mouvement islamiste palestinien.
L'armée a indiqué dimanche avoir éliminé des "dizaines" de combattants dans le secteur,
Une mission conjointe de l'OMS et de la Croix-Rouge palestinienne a réussi samedi à évacuer des malades et ravitailler deux hôpitaux dans le nord de la bande de Gaza, a indiqué dimanche le patron de l'OMS sur le réseau social X.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Harris et Trump au coude-à-coude dans deux Etats pivots
Kamala Harris et Donald Trump se sont affrontés à distance dimanche dans deux Etats américains très disputés: la vice-présidente démocrate cherchant mobiliser les électorats afro-américain et hispanique et l'ex-président républicain martelant sa prose anti-immigrants.
A trois semaines du vote du 5 novembre, les sondages sont toujours aussi serrés, mais plusieurs enquêtes révèlent les difficultés de Kamala Harris à faire le plein de voix parmi les électeurs noirs et latino-américains.
Un sondage New York Times/Siena College publié dimanche lui accorde moins de 60% des intentions de vote dans la communauté hispanique - en pleine croissance démographique aux Etats-Unis - ce qui représenterait le niveau le plus bas pour un candidat démocrate depuis 20 ans.
Elle n'est créditée que de 19 points d'avance sur son adversaire républicain au sein de cet électorat stratégique dans plusieurs Etats pivots, notamment du Sud-Ouest, comme l'Arizona ou le Nevada, soit sept de moins que Joe Biden en 2020 et 20 de moins que Hillary Clinton en 2016.
Harris en Caroline du Nord
Dimanche, la vice-présidente de 59 ans avait choisi la Caroline du Nord (sud-est), dans une région à forte population noire américaine de cet Etat remporté pour la dernière fois en 2008 par un démocrate et qui vient d'être sinistrée par l'ouragan Hélène.
En meeting à Greenville, elle a attaqué son rival en lui reprochant un manque de transparence sur son état de santé et de refuser d'avoir un second débat avec elle.
"Est-ce que son (équipe de campagne) redoute que les gens voient qu'il est trop faible et instable pour diriger l'Amérique ?", s'est-elle interrogée.
Pour Mme Harris, "Donald Trump s'intéresse davantage à faire peur aux gens, à provoquer de la crainte, à attiser les problèmes plutôt qu'aider à les régler, ce que font les véritables dirigeants".
Auparavant, dans une église de fidèles afro-américains, elle avait salué "les héros et les anges" révélés par la catastrophe provoquée par l'ouragan Hélène, tout en fustigeant "ceux qui détournent les tragédies et le chagrin des gens vers le ressentiment et la haine" en "propageant la désinformation".
Elle faisait allusion aux allégations de Donald Trump selon lesquelles le gouvernement démocrate aurait abandonné à leur sort les populations des zones majoritairement républicaines de la Caroline du Nord.
En réponse, le président sortant Joe Biden, 81 ans, a annoncé dimanche depuis la Floride, frappée aussi par un autre ouragan, Milton, une aide totale de 600 millions de dollars.
Climat ultra tendu
Son prédécesseur à la Maison Blanche, Donald Trump, 78 ans, était en Arizona, Etat frontalier du Mexique: il a encore donné dans la rhétorique anti-migrants, accusant le gouvernement Biden/Harris d'avoir "importé une armée de migrants illégaux" venus "des cachots du monde entier".
Lors d'un discours d'une heure et demie, il a promis que s'il était élu, il embaucherait 10'000 garde-frontières de plus et augmenterait leurs salaires de 10%.
Et faisant monter encore d'un cran sa rhétorique incendiaire, le tribun populiste a affirmé sur Fox News que "la Garde nationale", voire des "militaires", devraient être appelés contre "l'ennemi de l'intérieur" aux Etats-Unis, contre "de très mauvaises personnes (...) des personnes folles, des tarés d'extrême gauche".
Dans ce climat ultra tendu, les autorités ont annoncé dimanche l'arrestation et la libération sous caution samedi d'un homme pour possession illégale de plusieurs armes, alors qu'il était près d'un meeting de M. Trump en Californie. L'ancien président, qui a été visé par deux tentatives d'assassinat, "n'a pas été en danger", selon la police fédérale FBI.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
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