Football
"Le Bayer a quelque chose en plus", reconnaît De Rossi
L'entraîneur de l'AS Rome Daniele De Rossi a fait part de son admiration pour le Bayer Leverkusen de Granit Xhaka, que son équipe affronte jeudi en demi-finale aller de l'Europa League.
"C'est une équipe qui a quelque chose en plus", a-t-il déclaré mercredi.
"Il y a quelque chose de grand dans cette équipe, car elle joue bien, elle a de très bons joueurs, elle est dirigée par un excellent entraîneur (Xabi Alonso), l'un des meilleurs au monde selon moi, elle a quelque chose en plus", a déclaré Daniele De Rossi en conférence de presse.
"Ils sont champions d'Allemagne, ils sont conscients qu'ils peuvent gagner des titres, peut-être plus que nous, mais on peut les battre", a-t-il poursuivi.
Avant la demi-finale aller de Ligue Europa, jeudi au Stade olympique, le Bayer est invaincu cette saison, avec un impressionnant bilan, toutes compétitions confondues, de 38 victoires et huit nuls.
"C'est une équipe qui a conscience de ses forces et qui sait qu'elle peut toujours renverser la situation, même quand cela semble impossible. Mais c'est aussi une particularité de mon équipe, elle se bat jusqu'à la dernière minute, elle a beaucoup de coeur", a insisté De Rossi.
"Pas le même Bayer"
Sous la direction de l'ancien international italien, qui a succédé à José Mourinho mi-janvier, la Roma, battue aux tirs au but en finale de la C3 la saison dernière par Séville, a repris des couleurs en championnat, en passant de la 9e à la 5e place. Elle n'a concédé que quatre défaites, toutes compétitions confondues.
De Rossi s'est refusé toutefois à affirmer que son équipe avait un avantage psychologique sur le Bayer Leverkusen qu'elle avait éliminé de l'Europa League à ce stade de la compétition il y a tout juste un an (1-0 à Rome, 0-0 à Leverkusen).
"Ce n'est pas le même Bayer Leverkusen, il était moins fort, il n'avait pas cette confiance", a-t-il prévenu. "Mais cela va être une belle partie d'échecs au niveau tactique, cela va être amusant", a conclu De Rossi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Thiago Motta prend la porte
La Juventus a tranché après une semaine de réflexion: elle s'est séparée de Thiago Motta, son entraîneur depuis juillet dernier, et l'a remplacé par le Croate Igor Tudor, un ancien joueur du club.
Sonnée par les déroutes à domicile face à l'Atalanta (4-0) et sur le terrain de la Fiorentina (3-0), la Juve, décevante 5e du Championnat d'Italie, a mis fin à l'expérience Thiago Motta par un communiqué laconique.
Il reste neuf journées de Serie A à la Juve pour sauver sa saison, l'une des plus décevantes de son histoire récente, en décrochant la 4e place, qualificative pour la Ligue des champions et cruciale pour un club qui reste fragile sur le plan économique.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Les croisés pour Alvyn Sanches
Les craintes étaient malheureusement fondées. Touché vendredi lors des derniers instants de la rencontre Irlande du Nord – Suisse (1-1), Alvyn Sanches sera sur le flanc pendant de longs mois.
Le Lausanne-Sport informe que son joueur souffre d’une lésion complète du ligament croisé antérieur du genou. L’encadrement du club est mobilisé autour d’Alvyn Sanches et l’accompagnera lors des différentes étapes qui lui permettront de retrouver les terrains, précise le Lausanne-Sport.
Agé de 22 ans, Alvyn Sanches s’est affirmé cette saison comme l’atout maître du Lausanne-Sport. Sa première sélection vendredi récompensait justement ses performances. Le demi a suscité ces derniers mois l’intérêt de plusieurs clubs étrangers. Son transfert était programmé lors du prochain mercato estival. Cette blessure à Belfast remet malheureusement tout en question.
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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Blondel et Gartenmann: deux expatriés retrouvent leurs racines
Lucas Blondel et Stefan Gartenmann sont les deux grands inconnus dans la dernière sélection de Murat Yakin. Les deux défenseurs n'ont pas grandi en Suisse et sont heureux de retrouver leurs racines.
Une grande maison au bord du lac de Constance: c'est ce que Stefan Gartenmann évoque lorsqu'il se plonge dans ses souvenirs de la Suisse. Sa famille s'y réunissait chaque année, durant les vacances d'automne. Pour son grand-père, parti de Thurgovie pour travailler comme fromager au Danemark, c'était à chaque fois un retour au pays. Pour le jeune Stefan, c'était un lieu qui est toujours resté dans son coeur.
Il n'aurait jamais imaginé que, 20 ans plus tard, il enfilerait le maillot de l'équipe de Suisse. Et pour cause: Stefan Gartenmann a fait toutes ses classes de footballeur au Danemark et a disputé une bonne trentaine de matches internationaux des M16 danois jusqu'aux espoirs. Mais il n'a jamais été appelé chez les A.
"Défenseur old school"
Peut-être était-ce en raison de son style, lui qui ne se considère pas comme un "beau footballeur". Son agent l'a toujours comparé à Jaap Stam lors des négociations. Et le joueur de 28 ans l'a bien intégré: "Je suis un défenseur +old school+. Pas très rapide, pas très fort, mais très efficace".
La comparaison avec Stam, né en 1972, semble avoir fait mouche auprès de Murat Yakin, né en 1974. Lorsqu'il a été contacté l'année dernière par l'agent de Gartenmann et que ce dernier a attiré son attention sur les origines suisses de son poulain, le sélectionneur de l'équipe de Suisse a écouté avec attention, avant de se rendre peu après à Budapest où Gartenmann évolue avec son club de Ferencvaros.
Quelques mois plus tard, le défenseur central est assis dans un pavillon à Almancil et s'adresse à la foule de médias suisses dans un très bon allemand. Il le doit à ses grands-parents, chez qui il a appris la langue en regardant des dessins animés avant de s'améliorer à l'école. "La Suisse est ma deuxième patrie. Le fait que j'aie la chance d'évoluer avec ce pays signifie beaucoup pour moi et ma famille", se réjouit-il.
Raclette et Xamax
Raclette et Neuchâtel Xamax: c'est ce que Lucas Blondel évoque lorsqu'il pense à ses années en Suisse. Contrairement à Gartenmann, il n'y a pas seulement passé des vacances, mais aussi les premières années de sa vie. Ses souvenirs restent toutefois vagues. Son père Jean-Yves, né à Neuchâtel, est un fervent supporter des "rouge et noir". Et le four à raclette l'a accompagné jusqu'en Argentine, le pays de sa mère, lorsque sa famille a décidé de s'y installer.
Dans sa jeunesse, Lucas Blondel a joué au tennis, suivant les traces de son père, ex-546e mondial au classement de l'ATP. Avant d'en avoir assez à 14 ans. "Je m'énervais beaucoup trop souvent contre moi-même, je perdais toujours mes nerfs. C'est alors que j'ai réalisé que je préférais les sports d'équipe", se remémore le latéral droit.
De l'Atlético de Rafaela, en passant par Tigre, il arrive en 2023 à Boca Juniors, l'un des clubs les plus connus au monde, où il joue à la Bombanera devant un peu plus de 50'000 supporters. Lorsqu'on lui demande de parler de l'ambiance du stade de Buenos Aires, Blondel secoue la tête. Impossible de la décrire, "il faut le vivre pour le comprendre".
Liés par leurs racines
Le contact avec Murat Yakin existe depuis longtemps. Déjà avant l'Euro 2024, il était question que Blondel fasse au moins partie du cadre élargi. Mais il s'est ensuite déchiré les ligaments croisés et a été longtemps absent. Aujourd'hui, il a lui aussi la chance de se montrer en équipe de Suisse. Pour cela, il accepte volontiers de faire 24 heures de voyage. "J'en ai toujours rêvé", raconte-t-il dans un très bon français. "J'espère que mon jeu offensif sur le côté droit pourra convaincre".
Le Danois serein d'un côté, l'Argentin au sang chaud de l'autre. Tous deux sont liés par leurs racines suisses. Et pour l'entraîneur-assistant Davide Callà, il ne fait aucun doute que ces deux néophytes peuvent bonifier l'équipe de Suisse. "J'ai fait la connaissance de deux garçons qui ont une grande envie de jouer au football et qui sont aussi très fiers d'être ici", assure le nouveau bras droit de Yakin
Lui-même possédant des origines italiennes, il sait exactement ce que c'est que d'avoir plusieurs c½urs dans la poitrine. "Leur histoire reflète aussi un peu le monde interconnecté d'aujourd'hui. On peut être chez soi partout et enraciné à plusieurs endroits."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Il lui ressemble, mais Davide Callà n'est pas un "Contini 2.0"
Davide Callà est le nouvel assistant du sélectionneur Murat Yakin. Le quadragénaire a plusieurs choses en commun avec son prédécesseur Giorgio Contini, mais il veut écrire sa propre histoire.
"Faites attention aux lignes! Si le ballon est sorti, on me le signale immédiatement", lance Davide Callà aux joueurs en pointant sa montre et en répétant avec un clin d'½il: "Line-Technology". Il règne une ambiance décontractée ce mardi sur le terrain d'Almancil, où l'équipe de Suisse se prépare pour ses matches amicaux contre l'Irlande du Nord (vendredi à Belfast) et le Luxembourg (mardi à Saint-Gall). Le nouvel entraîneur adjoint discute avec les joueurs comme s'il faisait partie de l'équipe depuis longtemps.
Après avoir été accueillis par la pluie lundi dans le sud du Portugal, les joueurs ont eu droit au soleil pour profiter au mieux de la pelouse parfaite du complexe dans lequel ils séjourneront jusqu'à jeudi. Des conditions idéales pour un premier entraînement sous la direction de Davide Callà. "Il est très investi et nous parle beaucoup", témoigne le défenseur Isaac Schmidt, qui découvre lui aussi la sélection cette semaine. "Il rigole beaucoup et réussit à nous mettre à l'aise."
"L'homme idéal"
C'est exactement ce que l'ASF espérait en engageant le natif de Winterthour. "Dans le staff, il ne faut pas seulement des compétences, il faut aussi des personnes avec la bonne énergie", abonde Pierluigi Tami, le directeur des équipes nationales, convaincu d'avoir trouvé la perle rare pour assister Murat Yakin. Le sélectionneur ne tarit pas non plus d'éloges sur son nouvel assistant, qu'il a déjà qualifié à plusieurs reprises "d'homme idéal".
Davide Callà a succédé à Giorgio Contini sur le banc de l'équipe de Suisse. Le parallèle le plus évident entre les deux hommes est le multilinguisme. Comme Contini, Callà, de dix ans son cadet, parle l'allemand, le français, l'italien, l'anglais et l'espagnol. Des capacités qui n'ont pas de prix dans une équipe composée d'une grande fraction de Romands (dix, en comptant le néophyte Lucas Blondel).
Mais ce n'est pas le seul point de comparaison entre Contini et Callà. Les deux ont grandi à Winterthour, les deux ont des racines italiennes et les deux sont appréciés pour leur ouverture d'esprit. Le fait que l'ASF cherchait un homme au profil similaire n'est pas surprenant après la collaboration réussie entre Yakin et Contini.
Pas un "Contini 2.0"
Callà ne se voit toutefois pas comme un "Contini 2.0": "Je ne veux pas copier quelqu'un, mais être moi-même". D'ailleurs, les deux hommes se sont fait face dimanche en Super League: Contini en tant qu'entraîneur des Young Boys, Callà en tant qu'assistant au FC Bâle. Le nouveau bras droit de Murat Yakin n'a volontairement pas cherché à obtenir des conseils ou à savoir comment son prédécesseur avait vécu son expérience avec l'équipe de Suisse. "Je veux me faire ma propre idée", affirme-t-il.
Jusqu'à l'été, Callà continuera d'exercer son double mandat pour le FC Bâle et pour la Suisse, avant de se concentrer à plein temps sur la sélection. Il assure être capable de gérer ces deux casquettes durant ces prochains mois. "Je vais apporter mes idées et essayer de soutenir Murat le mieux possible, tout en le défiant un peu. Demander pourquoi tel joueur et pas un autre? Murat doit remarquer que je réfléchis avec lui et que je place le succès de l'équipe avant tout autre chose", détaille-t-il.
Un rêve finalement réalisé
L'année dernière, l'ancien milieu de terrain faisait déjà partie des candidats pour le poste d'entraîneur-assistant. Le club rhénan, qui se trouvait alors dans une situation sportive des plus compliquées, n'avait pas donné son accord. "Je ne pouvais pas laisser passer cette chance une deuxième fois", explique-t-il.
Cet engagement lui permet de réaliser un rêve qu'il n'a jamais pu atteindre en tant que joueur. Durant sa carrière, il n'a en effet pas eu l'occasion de disputer un match international avec l'équipe nationale A, malgré 23 sélections (3 buts) avec les M21 - un record. "Mais cela me réjouit énormément d'y être parvenu en tant qu'entraîneur-assistant."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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