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"Le pire est à venir", estime Macron après son échange avec Poutine

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Emmanuel Macron estime que le pire est à venir en Ukraine, après un échange téléphonique d'une heure et demie avec Vladimir Poutine, à la demande de ce dernier. (© KEYSTONE/EPA AFP POOL/GERARD JULIEN / POOL)

Emmanuel Macron pense que "le pire est à venir" en Ukraine après son échange avec Vladimir Poutine, qui a fait part de "sa très grande détermination" à poursuivre son offensive, dont le but est "de prendre le contrôle" de tout le pays, selon l'Elysée.

Lors d'une discussion téléphonique d'une heure et demie à sa demande, le président russe a affirmé à son homologue français que l'opération de l'armée russe se développait "selon le plan" prévu par Moscou et qu'elle allait "s'aggraver" si les Ukrainiens n'acceptaient pas ses conditions, a indiqué la présidence.

"L'anticipation du président (Macron) est que le pire est à venir compte tenu de ce que lui a dit le président Poutine", selon l'Elysée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump et Musk se déchirent en public

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La rupture entre Donald Trump et Elon Musk est consommée (archives). (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Leur alliance était spectaculaire et intense, leur rupture l'est tout autant: Donald Trump et Elon Musk se sont déchirés publiquement jeudi, s'accusant de "folie" pour l'un, "d'ingratitude" pour l'autre.

Le président américain a assuré sur son réseau Truth Social qu'il avait mis fin à la mission budgétaire d'Elon Musk, selon lui "devenu fou" à cause d'une décision défavorable aux véhicules électriques.

"Le plus simple pour économiser des milliards et des milliards de dollars dans notre budget serait d'annuler les subventions et contrats gouvernementaux" du patron de Tesla et SpaceX, a-t-il menacé dans un autre message sur la même plateforme. La joute a envoyé par le fond l'action Tesla, qui a perdu des dizaines et des dizaines de milliards de capitalisation à New York.

Trump "très déçu"

Depuis que l'homme le plus riche le plus monde a lancé la semaine dernière un tir de barrage contre un mégaprojet de loi budgétaire de Donald Trump, ce n'était sans doute qu'une question de temps avant que le divorce ne soit véritablement consommé.

C'est pendant une réunion dans le Bureau ovale avec le chancelier allemand Friedrich Merz, réduit au rôle de figurant muet, que le président américain a acté la rupture.

Pendant un échange avec les journalistes, retransmis en direct, Donald Trump se dit "très déçu" par le multimilliardaire. "Elon et moi avions une bonne relation. Je ne sais pas si c'est encore le cas", lance-t-il à propos de son ancien "conseiller spécial", qui a quitté vendredi la mission de réduction des dépenses publiques qu'il menait à la Maison Blanche.

"N'importe quoi"

Sur son réseau social X, l'entrepreneur hyperactif réplique instantanément."N'importe quoi", écrit Elon Musk en commentaire d'une vidéo de Donald Trump affirmant, déjà, que sa colère était due à la perte de subventions pour les véhicules électriques.

"Faux", poste-t-il ensuite au-dessus d'un extrait dans lequel le président américain assure que l'entrepreneur connaissait par avance le contenu du texte. Une "grande et belle loi" selon Donald Trump, une "abomination" désastreuse pour les finances publiques selon le patron de Tesla et SpaceX.

Le multimilliardaire, qui a très généreusement financé la campagne républicaine en 2024, affirme que "Trump aurait perdu l'élection" sans lui et l'accuse d'"ingratitude".

Dans le Bureau ovale, Donald Trump dépeint son ancien allié en amoureux éconduit. "Il disait les choses les plus belles à mon propos", rappelle-t-il. "Les gens quittent notre gouvernement, ils nous aiment, et à un certain moment cela leur manque tellement... Et certains d'entre eux deviennent hostiles", poursuit le républicain.

"Nouveau parti politique"

Dès l'entrée tonitruante d'Elon Musk dans la campagne de Donald Trump l'an dernier, les doutes ont surgi sur la longévité de la relation entre ces deux hommes impulsifs, tous deux affamés d'attention.

Pendant des semaines, l'idylle a semblé parfaite. Donald Trump a défendu son allié face aux critiques sur ses méthodes brutales, et même organisé une opération de promotion pour la marque Tesla à la Maison Blanche.

Elon Musk a lui qualifié le président de "roi" le jour de son investiture, et porté une casquette siglée "Trump avait raison sur tout" au conseil des ministres. Mais les tensions ont grandi entre le multimilliardaire, très impopulaire, et les ministres ou conseillers du président.

Pour certains experts, ce qui pourrait avoir scellé le sort d'Elon Musk ne s'est pourtant pas passé à Washington, mais dans le Wisconsin à l'occasion d'une élection récente à la Cour suprême locale. Le patron de Tesla s'est lourdement impliqué pour tenter de faire élire un juge conservateur, mais c'est la candidate des démocrates qui l'a emporté, largement.

Donald Trump, qui déteste être associé à la défaite, a forcément suivi avec attention cette première aventure politique en solo d'Elon Musk. Lequel n'a visiblement pas été dégoûté. Le natif d'Afrique du sud, qui ne peut se présenter à la Maison Blanche puisqu'il a été naturalisé, a demandé jeudi sur X s'il n'était pas "temps de créer un nouveau parti politique" aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Gaza: Londres menace Israël de "nouvelles actions concrètes"

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Le Premier ministre britannique Keir Starmer (à droite), qui a rencontré jeudi le roi Abdallah II de Jordanie, a menacé Israël de nouvelles "actions concrètes" si Ie pays ne cessait pas son offensive militaire et ne levait pas ses restrictions sur l'aide humanitaire à Gaza. (© KEYSTONE/EPA/BETTY LAURA ZAPATA / POOL)

Le Premier ministre britannique Keir Starmer a averti jeudi Israël de "nouvelles actions concrètes en réponse" à la poursuite de son offensive à Gaza et aux restrictions imposées sur l'aide humanitaire, après une réunion à Londres avec le roi Abdallah II de Jordanie.

"Le Premier ministre a réaffirmé que si Israël ne cessait pas son offensive militaire et ne levait pas ses restrictions sur l'aide humanitaire, le Royaume-Uni et ses partenaires prendraient de nouvelles actions concrètes en réponse", a déclaré un porte-parole de Downing Street dans un communiqué.

Les deux dirigeants ont discuté de "la gravité de la situation intolérable à Gaza" et des "développements préoccupants" en Cisjordanie. "Il était vital d'assurer un cessez-le-feu durable, la libération de tous les otages et la livraison rapide et massive de l'aide humanitaire", a souligné le porte-parole.

Le mois dernier, la Grande-Bretagne a suspendu ses négociations de libre-échange avec Israël et convoqué son ambassadrice au ministère des Affaires étrangères en raison de la conduite d'Israël dans la guerre à Gaza.

Le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lammy, a vivement condamné le gouvernement du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu concernant l'expansion de ses opérations militaires.

Londres "ne peut rester passif"

Lors d'un discours passionné devant le Parlement britannique, M. Lammy a également déclaré que le gouvernement britannique imposait de nouvelles sanctions à des individus et organisations impliqués dans les colonies en Cisjordanie. Londres "ne peut rester passif face à cette nouvelle détérioration" à Gaza, avait-il aussi souligné.

Mercredi, le gouvernement britannique a réclamé une "enquête immédiate et indépendante" sur une série d'incidents meurtriers survenus cette semaine dans des lieux de distribution d'aide dans la bande de Gaza.

Le sous-secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères britannique, Hamish Falconer, a décrit comme "profondément troublantes" les morts de Palestiniens cherchant de la nourriture et a qualifié d'"inhumaines" les restrictions imposées par Israël à la livraison de l'aide humanitaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La marche était trop haute pour Loïs Boisson

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Rien à faire pour Loïs Boisson contre Coco Gauff. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

La magnifique aventure de Loïs Boisson (WTA 361) à Roland-Garros a connu une fin abrupte : une défaite 6-1 6-2 en seulement 1h09’ devant la no 2 mondiale Coco Gauff.

Après ses succès contre Jessica Pegula (WTA 3) et Mira Andreeva (WTA 6), la joueuse de Dijon n’a pas eu l’ombre d’une chance face à la gagnante de l’US Open 2023. Dès les premiers coups de raquette, l’Américaine a placé la barre beaucoup trop. A aucun moment, le public parisien n’a pas s’enflammer pour sa joueuse comme il l’avait fait lors des précédents matches.

Finaliste malheureuse à Paris en 2022 face à Iga Swiatek, Coco Gauff s’offre une deuxième possibilité de cueillir le titre à la Porte d’Auteuil. Elle aura vraiment sa chance face à Aryny Sabalenka dans cette finale qui opposera les deux premières du classement de la WTA. L’Américaine et la Bélarusse ont été opposées à dix reprises à ce jour avec cinq victoires pour chacune des deux joueuses. C’est Aryna Sabalenka qui est sortie victorieuse de leur dernier affrontement, en avril dernier en finale du tournoi WTA 1000 de Madrid (6-3 7-6).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Rencontre cordiale entre Merz et Trump, divergences sur l'Ukraine

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Donald Trump (à droite) a reçu le chancelier allemand Friedrich Merz dans le Bureau ovale. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Le chancelier allemand Friedrich Merz doit être soulagé: il n'a pas été piégé comme d'autres dirigeants étrangers par Donald Trump, qui l'a reçu jeudi de manière très cordiale, en dépit de leurs différends commerciaux. Des divergences ont affleuré sur l'Ukraine.

"Nous avons été investis d'une mission par notre peuple, et une partie de cette mission consiste à avoir une très bonne relation avec votre pays. Je tiens donc à vous remercier pour votre présence", a déclaré le président américain au dirigeant allemand dans le Bureau ovale.

Friedrich Merz lui a offert un exemplaire encadré du certificat de naissance de son grand-père, Frederick (Friedrich) Trump, né en Allemagne en 1869. Le président américain l'a de son côté complimenté pour son anglais très fluide.

"Je sais qu'à présent, vous dépensez davantage d'argent pour la défense, beaucoup plus d'argent, et c'est une bonne chose", a aussi déclaré Donald Trump, qui n'a de cesse de réclamer plus d'efforts de la part des alliés de l'Otan.

Dépenses militaires

Le chancelier a promis de satisfaire d'ici début 2030 l'exigence américaine d'une augmentation des dépenses de défense et de sécurité des pays de l'Alliance, à 5% de leur PIB.

Le président américain n'a pas frontalement attaqué son invité sur la question épineuse de l'excédent commercial allemand, tandis que ce dernier s'est gardé d'exposer trop crûment leurs divergences sur le conflit déclenché par l'invasion russe de l'Ukraine en 2022.

"Vous savez que nous avons apporté notre soutien à l'Ukraine et que nous cherchons à accroître la pression sur la Russie", a déclaré le chancelier allemand, depuis un mois à la tête de la première économie européenne, sans que Donald Trump ne réponde à cette demande à peine voilée de nouvelles sanctions américaines contre Moscou.

Friedrich Merz a assuré que Donald Trump, très sensible à la flatterie, était "le personnage-clé" pour trouver une issue pacifique.

Le républicain a seulement dit avoir demandé à Vladimir Poutine, avec lequel il a parlé mercredi, de ne pas répondre à la spectaculaire attaque de drones lancée par l'Ukraine le week-end dernier sur plusieurs aérodromes russes, tout en assurant que cette riposte russe ne serait "pas belle à voir".

"J'ai dit (à Vladimir Poutine) : 'Ne le faites pas. Vous ne devriez pas le faire. Vous devriez arrêter'. Mais encore une fois, il y a beaucoup de haine (entre l'Ukraine et la Russie)", a déclaré le président américain, qui a à nouveau semblé renvoyer dos à dos les deux belligérants.

Merz sauvé par Musk?

"Notre alliance avec les Etats-Unis a été, est et restera d'une importance capitale pour la sécurité, la liberté et la prospérité en Europe", avait écrit Friedrich Merz avant son départ pour Washington.

La bataille commerciale est évidemment au centre de la visite, à quelques semaines de la date à laquelle le président américain menace d'imposer des droits de douane de 50% sur tous les produits européens, un cauchemar pour une économie allemande déjà affaiblie.

Friedrich Merz avait prévenu avant la visite que l'Allemagne, troisième économie mondiale, ne se présentait pas en "quémandeur".

Le dirigeant allemand n'est pas tombé dans une embuscade telle que celle tendue par le président américain à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, puis sud-africain Cyril Ramaphosa.

Il le doit peut-être à un troisième homme, absent du Bureau ovale mais dont le nom a été prononcé plusieurs fois: Elon Musk, qui a émis de très vives critiques contre une grande loi budgétaire portée par Donald Trump.

Le président américain, devant les caméras, a rompu avec son allié en disant qu'il était "très déçu" par le multimilliardaire. Le patron de Space X et Tesla, qui vient de quitter son rôle de "conseiller spécial" de la Maison Blanche, a répliqué immédiatement sur X en accusant le républicain de dire des choses "fausses".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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