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International

Une centaine de pays taclent le méthane et protègent les forêts

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Plus de 80 dirigeants mondiaux se sont engagés mardi lors de la CFOP26 à Glasgow à réduire drastiquement les émissions de méthane d'au moins 30% d'ici 2030, s'est félicitée la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. (© KEYSTONE/AP/Steve Reigate)

Moins de méthane et plus d'arbres: les chefs de la planète sont venus au secours du climat mardi à la COP26 avec deux accords ambitionnant de contenir les très néfastes gaz à effet de serre. La Suisse figure parmi les signataires.

Avec en ligne de mire un réchauffement de la planète limité à +1,5°C, les dirigeants mondiaux sont sous pression pour en faire davantage contre le dérèglement climatique, lors de la conférence climatique de l'ONU prévue sur deux semaines à Glasgow (Ecosse).

Une centaine d'entre eux, dont la Suisse, représentant plus de 40% des émissions mondiales de méthane, se sont ainsi engagés à réduire drastiquement les émissions de ce gaz d'au moins 30% d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 2020. S'il y a parmi eux les pays de l'Union européenne et les Etats-Unis, de gros pollueurs comme la Chine, la Russie et l'Inde manquent toutefois à l'appel.

"Le méthane est l'un des gaz que nous pouvons réduire le plus vite. Ce faisant, cela permettra de ralentir immédiatement le changement climatique", a déclaré la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, soulignant que ce gaz est responsable d'"environ 30%" du réchauffement de la planète depuis la révolution industrielle.

"C'est un des plus puissants gaz à effet de serre", a renchéri le président américain Joe Biden, assurant que les signataires de cet engagement représentaient 70% du PIB mondial.

Moins connu que le tristement célèbre CO2, le méthane (CH4) est le deuxième gaz à effet de serre lié à l'activité humaine, principalement l'élevage, les combustibles fossiles (surtout des fuites remédiables dans l'industrie) et les déchets. Surtout, s'il subsiste moins longtemps dans l'atmosphère, son effet de réchauffement est bien supérieur que celui du dioxyde de carbone, jusqu'à plus de 80 fois.

"C'est un moment historique", a salué le patron de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), Fatih Birol. En dix ans, l'engagement pris équivaut, selon lui, à éliminer les émissions de "tout le secteur des transports" dans le monde.

Pour le centre de réflexion Ember, cet accord va "changer la donne", malgré l'absence de pays très impliqués dans l'extraction du charbon. "Cela montre que le monde prend conscience de l'impressionnant impact climatique du méthane". A court terme, le méthane ayant fuit des seules mines de charbon pèse plus que toutes les émissions de CO2 de l'Europe, selon lui.

Crainte d'échec

Émettre moins, mais aussi absorber plus. Une centaine de pays abritant 85% des forêts mondiales, dont le Brésil, très critiqué pour sa politique environnementale, ont aussi promis mardi d'enrayer la déforestation. Là aussi, la Suisse est parmi les signataires.

Poumons de la planète avec les océans, les forêts jouent un rôle essentiel dans la lutte contre le changement climatique en absorbant une partie importante des milliards de tonnes de gaz à effets de serre libérés chaque année dans l'atmosphère par les activités humaines.

L'initiative bénéficiera d'un financement public et privé de 19,2 milliards de dollars (16,5 milliards d'euros) sur plusieurs années.

"On ne peut faire face à la perte dévastatrice d'habitats et d'espèces sans lutter contre le changement climatique, et on ne peut faire face au changement climatique sans protéger notre environnement naturel et respecter les droits des peuples autochtones", a déclaré le Premier ministre britannique Boris Johnson.

Les forêts reculent actuellement au "rythme alarmant" de 27 terrains de football chaque minute, selon la présidence britannique de la COP26. Et d'après l'ONG Global Forest Watch, la déforestation dans le monde a accéléré ces dernières années.

Le nouvel engagement contre la déforestation fait écho à la Déclaration de New York sur les forêts de 2014, quand de nombreux pays, entreprises et peuples autochtones s'étaient engagés à diviser par deux la déforestation en 2020 et d'y mettre fin en 2030.

Mais pour des ONG comme Greenpeace, l'objectif de 2030 mis en exergue mardi reste beaucoup trop lointain et donne le feu vert à "une décennie supplémentaire de déforestation".

Global Witness a dit craindre de voir se répéter "les échecs de précédents engagements" similaires, en raison d'un financement insuffisant et d'un suivi incertain de la parole donnée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

USA: l'inflation rebondit en mars avant la réunion de la Fed

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Sur un mois seulement, en revanche, l'inflation est comme attendu restée stable, à 0,3%. (EPA/CJ GUNTHER) (© KEYSTONE/EPA/CJ GUNTHER)

L'inflation a rebondi en mars aux Etats-Unis, selon l'indice PCE, privilégié par la banque centrale américaine, la Fed, et publié à quelques jours de sa prochaine réunion, ce qui devrait l'encourager à rester prudente avant de commencer à abaisser les taux.

La hausse des prix a accéléré à 2,7% sur un an en mars, contre 2,5% en février, selon l'indice PCE publié vendredi par le département du Commerce.

Les analystes tablaient sur une accélération à 2,6% seulement, selon le consensus de Market Watch.

Sur un mois seulement, en revanche, l'inflation est comme attendu restée stable, à 0,3%.

L'inflation dite sous-jacente, qui exclut les prix volatils de l'alimentation et de l'énergie, reste elle aussi stable, à 0,3% également sur un mois, et 2,8% sur un an.

Les revenus des ménages ont eux enregistré une plus forte croissance en mars qu'en février, +0,5% contre +0,3%. Mais la hausse des dépenses est restée identique, à +0,8% sur un mois.

Ces chiffres signalent "que l'économie continue de se développer et que l'inflation est élevée", commente Rubeela Farooqi, cheffe économiste pour High Frequency Economics.

L'indice PCE d'inflation est celui que la banque centrale américaine (Fed) veut ramener à 2%. Ce rebond devrait l'encourager à la patience, et à maintenir "plus longtemps" ses taux à leur niveau actuel de 5,25-5,50%, au plus haut depuis plus de 20 ans, pour éviter de voir les prix flamber de nouveau, ajoute l'économiste.

Septembre, voire novembre

Une autre mesure de l'inflation, l'indice CPI, sur lequel sont notamment indexées les retraites aux Etats-Unis, avait également continué à accélérer le mois dernier, à 3,5% sur un an.

Cela avait conduit le président de la Fed, Jerome Powell, à avertir qu'il faudrait sans doute "plus longtemps que prévu" pour avoir confiance dans le retour durable de l'inflation vers l'objectif de 2%.

Les marchés qui, il y a quelques semaines encore, tablaient sur une première baisse des taux dès le mois de juin, l'attendent désormais plutôt pour septembre, voire même novembre, selon l'estimation de CME Group.

D'autant plus que le marché de l'emploi reste vigoureux, et le taux de chômage très bas, à 3,8% en mars.

La Fed se réunit mardi et mercredi, et les analystes guetteront toute indication qu'elle pourra donner sur ses intentions.

Un chiffre, cependant, est venu jeudi montrer que les actions de la Fed pour faire baisser l'inflation ne sont pas vaines: celui de la croissance économique au premier trimestre, qui a fortement ralenti.

A 1,6% en rythme annualisé, contre 3,4% au 4e trimestre 2023, la croissance du produit intérieur brut (PIB) est même tombée à son plus bas niveau depuis près de deux ans, après une année 2023 qui avait pourtant surpassé toutes les espérances.

Cela pourrait contribuer à faire pencher la balance de la Fed dans l'autre sens, et la convaincre de ne pas non plus attendre trop longtemps avant de commencer à abaisser ses taux. Car si elle agit trop tard, l'économie, et donc l'emploi, pourraient souffrir.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Thyssenkrupp cède 20% de ses activités dans l'acier

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Le groupe ThyssenKrupp toutes activités confondues est valorisé actuellement à environ 3 milliards d'euros. (AP Photo/Roberto Pfeil) (© KEYSTONE/AP/ROBERTO PFEIL)

Le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky a étendu vendredi son empire industriel en Europe avec l'acquisition de 20% des activités sidérurgiques du groupe allemand Thyssenkrupp, qui rejoignent un portefeuille bien garni dans l'énergie, la distribution ou les médias.

Les deux entreprises discutent aussi de l'acquisition de 30% supplémentaires du capital de Thyssenkrupp Steel par la holding de Daniel Kretinsky, EPCG, a indiqué l'entreprise allemande dans un communiqué.

L'objectif serait alors de constituer une coentreprise à parts égales à 50/50 entre les deux partenaires. Le prix de la transaction n'a pas été révélé mais une source financière proche du dossier, interrogée par l'AFP, a valorisé l'achat des 20% à entre 350 et 400 millions d'euros.

Le groupe ThyssenKrupp toutes activités confondues est valorisé actuellement à environ 3 milliards d'euros.

L'arrivée de Daniel Kretinsky intervient dans un contexte très difficile pour l'aciériste allemand, en souffrance depuis plusieurs années.

Le groupe fait face à une conjoncture difficile : l'industrie allemande est au ralenti depuis plusieurs trimestres et ne parvient pas à absorber l'offre surabondante d'acier sur le marché, dominé par les producteurs chinois.

Craintes du personnel

Le patron du groupe Thyssenkrupp, Miguel Lopez, a dit avoir pour objectif, au travers du partenariat avec le milliardaire tchèque, d'éviter des "licenciements économiques" dans l'activité et espérer qu'il ramène la division acier vers "l'autonomie" et "le succès".

Cette dernière emploie actuellement environ 27'000 personnes.

Mais du côté des représentants du personnel l'inquiétude domine.

"Quelle sont les intentions de Kretinsky? Quel est son plan et son concept industriel? Nous refusons un démantèlement ou une cure d'amaigrissement", a déclaré le président du comité d'entreprise du groupe Thyssenkrupp, Tekin Nasikkol, dans un communiqué.

Les représentants des salariés n'ont appris la nouvelle qu'à la dernière minute : "C'est ni un bon style ni un bon début", a souligné Jürgen Kerner, vice-président du principal syndicat allemand, IG Metall, ainsi que du conseil de surveillance de ThyssenKrupp.

Sur le principe, le syndicat n'est pas "contre" l'arrivée d'investisseur, mais il s'inquiète des menaces de licenciements et de fermetures de sites.

Le 12 avril, l'entreprise allemande a déjà annoncé une forte réduction de sa capacité de production annuelle d'acier, de 11,5 millions à 9,5 millions de tonnes, qui se traduira par "une réduction d'emplois".

Les dernières tentatives de Thyssenkrupp pour relancer la branche sidérurgie, en la rendant indépendante des autres activités (matériaux de construction, sous-marins,...) et en l'adossant à un partenaire financier solide, ont échoué.

La presse allemande avait fait état l'été dernier de premières rumeurs concernant un rachat de la division acier par le milliardaire tchèque, après l'échec en 2021 de négociations avec le britannique Liberty Steel.

Décarboner l'industrie

Avec cette acquisition, Daniel Kretinsky, déjà très présent dans le secteur énergétique, a dit vouloir apporter "une contribution importante à la décarbonisation de l'industrie sidérurgique", selon le communiqué.

EPCG compte s'immiscer dans "la formulation et la mise en oeuvre de la stratégie" de ThyssenKrupp Steel, a expliqué Jiri Novacek, membre du directoire du holding.

M.Kretinsky, dont la fortune est estimée à 9,3 milliards de dollars par Forbes, est connu depuis plusieurs années pour voler au secours de grands groupes européens, dans l'énergie notamment, mais aussi de la distribution et des médias.

La holding de tête qui regroupe ses intérêts, EPCG, est l'un des principaux groupes industriels privés d'Europe.

Historiquement liées au charbon, dont il ambitionne d'être presque sorti à partir de 2025, ses activités comprennent aussi la production et distribution d'électricité et de gaz.

Il s'est ensuite attaqué à la distribution et aux services en entrant notamment au capital du groupe français Casino en 2019, avant que l'enseigne ne passe complètement dans son escarcelle en mars de cette année.

Daniel Kretinsky est aussi présent dans les médias et l'édition, dans son pays mais aussi en France, via Lagardère Active, le groupe Le Monde jusqu'à l'automne dernier, le groupe Editis et une part au capital de TF1.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Moscou dit avoir frappé un train chargé d'armements occidentaux

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Le réseau ferroviaire est vital pour l'Ukraine et sa défense (illustration). (© KEYSTONE/AP/HANNA ARHIROVA)

La Russie a intensifié ses frappes sur le réseau ferroviaire ukrainien pour "paralyser" les approvisionnements militaires, notamment en matériels occidentaux, a déclaré à l'AFP un haut responsable sécuritaire ukrainien. Elle préparerait une nouvelle offensive.

L'infrastructure ferroviaire est particulièrement vitale en Ukraine, aussi bien pour le transport passager et le commerce que pour l'armée, car depuis le début de l'invasion russe en février 2022, tout le trafic aérien y est paralysé.

"Il s'agit là de mesures classiques avant une offensive", a déclaré vendredi sous couvert d'anonymat une source haut placée dans le système sécuritaire ukrainien interrogée par l'AFP sur ces attaques.

Le but "est de paralyser les livraisons, le transport des cargaisons militaires", a-t-elle ajouté.

Le réseau des chemins de fer était régulièrement visé par des bombardements russes ces deux dernières années. Des frappes ont notamment visé des gares à l'instar de celle de Kramatorsk, dans l'Est, où des dizaines de personnes, essentiellement des civils tentant de fuir les combats, avaient été tués en avril 2022.

Mais ces dernières semaines, une recrudescence des bombardements ciblant les infrastructures ferroviaires a été constatée.

Armements occidentaux visés

Dans la seule journée de jeudi, des frappes ont touché des infrastructures ferroviaires dans trois régions ukrainiennes.

Dans la région de Donetsk (est), divisée par la ligne de front, trois employés de la société de chemins de fer, Ukrzaliznytsia, ont été tués dans une attaque contre un site ferroviaire.

Le même jour, dix civils ont été blessés dans une frappe de missile contre la gare de Balaklia, dans la région de Kharkiv (nord-est), et des infrastructures ont été endommagées à Smila (région de Tcherkassy, centre).

Un bombardement massif contre des sites ferroviaires à Dnipro et sa région (centre-est) avait tué une employée de chemins de fer et en avait blessé sept autres le 19 avril. Une semaine plus tôt, la gare de Soumy (nord) avait été légèrement touchée par une frappe à Soumy (nord-est).

L'armée russe a quant à elle revendiqué vendredi avoir frappé un "train avec des armements occidentaux et des équipements militaires" dans la localité d'Oudachné, dans la région de Donetsk ainsi que des "troupes et équipements" militaires à Balaklia.

Si elle n'a pas donné de dates, ces affirmations semblent correspondre aux frappes évoquées la veille par les autorités ukrainiennes.

Depuis mars, la Russie a multiplié les frappes visant les infrastructures ukrainiennes, notamment le réseau électrique et plus récemment ferroviaire.

Selon Kiev, Moscou prépare une nouvelle offensive d'ampleur pour tenter d'élargir la zone sous contrôle russe. La Russie a notamment détruit une multitude de sites énergétiques, entraînant des coupures de courant majeures, en particulier dans le nord-est.

Les frappes sur les chemins de fer interviennent en outre au moment où les Etats-Unis ont, après des mois de paralysie à cause de rivalités politiques internes, repris leur aide militaire à l'Ukraine.

Trois mois "très difficiles"

Les armements occidentaux donnés à l'Ukraine, notamment des munitions pour l'artillerie et la défense, sont livrés dans le plus grand secret depuis les pays voisins, en particulier la Pologne.

Le chef du transport passager d'Ukrzaliznytsia, Oleksandr Pertsovsky a indiqué jeudi à l'AFP avoir constaté "une hausse des attaques sur l'infrastructure ferroviaire".

"Nous constatons que les frappes visent la logistique ferroviaire, et touchent essentiellement des sites civils", a-t-il dit. "Ils mènent des frappes de manière aveugle sur des gares, c'est une manière très primitive de faire".

Affaiblie par une contre-offensive infructueuse à l'été 2023 et la paralysie des mois durant de l'aide militaire américaine, les forces ukrainiennes, en manque d'hommes et de munitions, sont sous pression sur une large partie du front, notamment dans l'Est.

Et la situation devrait empirer autour de la mi-mai et début juin, qui sera une "période difficile", avait prévenu lundi le chef du renseignement militaire ukrainien Kyrylo Boudanov.

Analyse partagée par des responsables occidentaux qui pronostiquent que les trois mois à venir vont être "très difficiles" pour les forces terrestres de Kiev.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Football

Pedro Rocha désigné président de la Fédération

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Pedro Rocha est le nouveau patron de la fédération espagnole de football (© KEYSTONE/AP/PAUL WHITE)

Pedro Rocha a été nommé vendredi à la présidence de la Fédération espagnole (RFEF), a annoncé celle-ci dans un communiqué. Il est pourtant inculpé dans l'affaire de corruption qui secoue la RFEF.

"Pedro Rocha a été désigné aujourd'hui nouveau président de la Fédération espagnole, après avoir reçu le soutien de la majorité de l'assemblée de l'institution", a écrit la RFEF dans un communiqué. Il était le seul candidat à des élections qui devaient initialement se tenir le 6 mai si plusieurs personnes s'étaient présentées.

Cette annonce intervient au lendemain de la décision du gouvernement espagnol de placer sous tutelle la Fédération. Celle-ci est en crise depuis le scandale du baiser forcé de Luis Rubiales, ex-président de l'instance dont Pedro Rocha assurait l'intérim depuis le mois d'août.

Concrètement, "une commission de supervision, de normalisation et de représentation" créée par le Conseil supérieur du sport (CSD), un organisme dépendant du ministère des Sports, exercera "la tutelle de la RFEF durant les prochains mois", dans "l'intérêt de l'Espagne", future organisatrice du Mondial 2030 conjointement avec le Portugal et le Maroc, avait annoncé jeudi le CSD.

Enquête pour corruption

Déjà secouée par le scandale du baiser forcé à la championne du monde Jenni Hermoso après le sacre mondial de la "Roja" en août, qui a mené à la démission de Rubiales, la RFEF est désormais au centre d'une enquête pour corruption dans laquelle l'ancien homme fort du foot espagnol et Pedro Rocha ont été mis en examen.

Cette affaire porte sur des irrégularités dans les contrats signés par la RFEF au cours des cinq dernières années, pendant la présidence de Luis Rubiales, dont le juteux contrat conclu pour délocaliser la Supercoupe d'Espagne en Arabie saoudite.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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