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Climat

L'hémisphère nord en proie à la canicule et aux intempéries

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Tous les moyens sont bons pour se rafraîchir, comme ici sur la Place des Nations à Genève, mais la canicule qui devrait encore se renforcer ces prochains jours en plusieurs endroits, peut avoir de dramatiques conséquences (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

"On transpire comme en enfer" jusqu'au Vatican: des dizaines de millions de personnes sont confrontées à une canicule qui persiste dimanche dans l'hémisphère nord, avec des incendies violents en Californie mais aussi des intempéries exceptionnelles en Asie.

Une nouvelle illustration du dérèglement climatique.

En Europe, où le réchauffement évolue à un rythme deux fois plus rapide que la moyenne mondiale selon les experts, plusieurs pays souffrent particulièrement.

En Italie, 16 villes sont en alerte rouge sur l'ensemble du territoire, avec des températures attendues de 36/37°C, mais des températures ressenties proches des 40.

Qu'importe la chaleur, ils étaient encore 15'000 pèlerins et touristes, selon la gendarmerie du Vatican, à se masser sur la place Saint-Pierre dimanche pour écouter le pape François réciter la prière de l'Angelus.

Parmi eux, François Mbemba, prêtre congolais de 29 ans. Il raconte: "Cette chaleur se prolonge jusque dans la nuit, nous avons du mal à dormir. Et nous qui sommes habillés en noir, on transpire comme en enfer."

"On a du mal à s'adapter, il fait plus chaud qu'en Afrique, en République démocratique du Congo", estime-t-il.

"Tout perdre à nouveau"

L'Espagne sort d'une semaine étouffante dont les conséquences se sont faites sentir sur l'île de la Palma aux Canaries, où un feu a ravagé 5000 hectares de terrain ce week-end et forcé l'évacuation de 4000 personnes.

Dans cette île, dévastée par une éruption volcanique en 2021 qui avait forcé les populations à se déplacer, "des personnes qui ont déjà tout perdu à cause du volcan (Tajogaite) et qui ont dû reconstruire leur vie dans le nord de l'île, risquent de tout perdre à nouveau", s'inquiète une secouriste.

L'agence météorologique espagnole a émis dimanche une alerte orange pour lundi mettant en garde contre des témpératures de 38° à 42° sur des vastes zones de la péninsule et aux Baléares, une alerte rouge (danger extrême) lundi sur des zones de l'Andalousie, et mardi sur l'Aragon, la Catalogne et Majorque (42° à 44°).

En Roumanie, les températures avoisineront les 39 degrés lundi.

En Grèce, où les températures devraient redescendre légèrement, l'Acropole d'Athènes était fermée au public dimanche entre 13h00 et 17h00 locales.

Les autorités locales ont appelé la population à être prudentes et ont mis en garde contre le risque élevé d'incendies.

Incendies dévastateurs

Aux Etats-Unis, de la Floride (sud-est) à la Californie (ouest) en passant par le Texas (sud), une grande partie du sud du pays se retrouve encore dimanche sous le coup d'une vague de chaleur qualifiée d'"oppressante" par les services météo, qui prédisent plusieurs records de températures.

Dans la célèbre Vallée de la Mort, en Californie, le thermomètre a grimpé jusqu'à 51°C samedi soir, tandis que 53°C sont attendus dimanche.

Outre les températures élevées, le sud de la Californie se consume en raison de plusieurs feux très violents toujours en cours, et qui ont d'ores et déjà ravagé plus de 3000 hectares et entraîné l'évacuation de la population.

D'autres régions des Etats-Unis risquent d'importantes intempéries.

Une inondation-éclair a déjà fait quatre morts samedi dans un comté au nord de Philadelphie, en Pennsylvanie et trois autres personnes y sont toujours portées disparues dimanche, ont annoncé les pompiers locaux.

Au Canada, plus de 10 millions d'hectares ont déjà brûlé cette année, un total bien supérieur à tout ce que le pays a déjà connu, selon un bilan qui reste provisoire avec 906 feux toujours actifs samedi, dont 570 considérés comme étant hors de contrôle, selon les chiffres nationaux du Centre interservices des feux de forêt du Canada (CIFFC).

"Se promener épuise"

Le Japon a émis lui des alertes aux coups de chaleur dimanche pour des dizaines de millions de ses habitants, vivant dans 20 des 47 préfectures du pays, alors que des températures proches des records s'abattent sur une large partie du pays.

A Tokyo, où la température atteint les 36°C, "rien que le fait de se promener épuise", admet Coline Grison, 24 ans, touriste venue de France. "Nous transpirons sans rien faire", confie-t-elle à l'AFP.

Le pays fait également face à des pluies torrentielles qui ont fait au moins huit victimes, dont un homme retrouvé mort samedi dans une voiture inondée dans le nord.

En Corée du Sud, les sauveteurs luttent pour atteindre des personnes piégées dans un tunnel inondé, les fortes pluies de ces derniers jours ayant fait au moins 37 morts et neuf disparus.

Les services météo de la Chine ont eux émis plusieurs messages d'alerte, prévoyant des températures pouvant atteindre les 45°C dans la région partiellement désertique de Xinjiang, et 39°C dans la région méridionale de Guangxi.

La chaleur est l'un des événements météorologiques les plus meurtriers, a rappelé récemment l'Organisation météorologique mondiale. L'été dernier, en Europe seule, les fortes températures ont causé plus de 60'000 décès, selon une récente étude.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Climat

Des dizaines de touristes bloqués par des inondations

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Une centaine de touristes sont bloqués dans plus d'une dizaine de lodges et de campements dans la célèbre réserve kényane de Maasai Mara. (© KEYSTONE/AP/Bobby Neptune)

Une centaine de touristes sont bloqués par des crues provoquées par de fortes précipitations dans la célèbre réserve nationale de Maasai Mara, dans le sud-ouest du Kenya, a indiqué mercredi un administrateur local.

Des pluies torrentielles, amplifiées par le phénomène climatique El Niño, ont déjà causé des inondations dévastatrices dans ce pays d'Afrique de l'Est, entraînant la destruction de routes, ponts et autres infrastructures. Au moins 179 personnes sont mortes depuis mars dans des catastrophes liées aux inondations, selon les chiffres officiels.

"Il y a environ une centaine de touristes" bloqués dans plus d'une dizaine de lodges et de campements, a indiqué à l'AFP Stephen Nakola, administrateur de la sous-circonscription de Narok West. "Il s'agit d'un chiffre préliminaire car de nombreux campements sont inaccessibles", a-t-il dit.

La Croix-Rouge kényane a indiqué avoir secouru 61 personnes bloquées dans des campements, dont plus de la moitié par voie aérienne. "Dans certains campements, des tentes ont été emportées" tandis qu'un pont a été détruit, a-t-elle dit sur X.

La réserve de Maasai Mara abrite une riche faune sauvage peuplée notamment de lions, éléphants, rhinocéros, léopards, girafes, hippopotames et guépards, qui attire les touristes du monde entier.

Dans la nuit de dimanche à lundi, un barrage naturel dans le centre du Kenya a cédé sous l'effet de l'accumulation des pluies, déversant un puissant torrent d'eaux boueuses qui a balayé plusieurs villages en contrebas; près de 50 personnes ont trouvé la mort, l'épisode le plus meurtrier depuis le début de la saison des pluies.

Comme plusieurs de ses voisins d'Afrique de l'Est, le Kenya connaît une saison des pluies particulièrement violente en raison du phénomène climatique El Niño qui amplifie les précipitations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

La 3e correction du Rhône crée des tensions entre Vaud et Valais

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La troisième correction du Rhône dans le Chablais suscite des tensions entre les cantons de Vaud et du Valais (photo d'illustration). (© KEYSTONE/NOEMI CINELLI)

Le bras de fer valdo-valaisan se poursuit au sujet de la 3e correction du Rhône dans le Chablais. Les députés vaudois soutiennent leur Conseil d'Etat dans ses démarches pour faire avancer le projet, tandis que le canton du Valais "déplore" la réaction de son voisin.

L'origine des tensions vient de l'étude, lancée en 2022 en Valais. Elle vise à déterminer si ce projet de troisième correction du Rhône, datant de plusieurs années, répond encore aux défis et besoins actuels.

Les conclusions du rapport ne sont pas encore publiques, mais le canton de Vaud a pu obtenir une première version. Et il s'est alarmé d'une étude qui remettrait en cause le projet, avec des répercussions pour la partie vaudoise du Rhône dans le Chablais.

Selon la RTS, qui a révélé l'information lundi soir, le rapport indiquerait que les objectifs sécuritaires et environnementaux du projet auraient été "surévalués". Des alternatives à l'élargissement du fleuve auraient été trop vite écartées, entraînant une emprise trop importante sur les zones agricoles.

Le Valais ne comprend pas

Le Conseil d'Etat vaudois a écrit mi-avril à son homologue valaisan pour dire son inquiétude. Contacté mardi par Keystone-ATS, le canton du Valais a dit "déplorer" cette réaction des autorités vaudoises. Il a affirmé "ne pas comprendre" cette démarche, "alors même que le Conseil d'Etat valaisan n'a pas encore statué sur ce dossier."

Et alors que les autorités vaudoises critiquent "une démarche unilatérale" du Valais, celui-ci estime avoir "toujours privilégié le dialogue avec les autorités vaudoises" et compte continuer de la sorte, mais "pas par médias interposés."

Résolution vaudoise

Mardi après-midi, le Grand Conseil vaudois a adopté à l'unanimité une résolution, visant justement à soutenir le Conseil d'Etat dans ses démarches. "Il est de notre responsabilité de s'assurer que ce projet avance au plus vite", a relevé l'auteur du texte, le syndic d'Aigle Grégory Devaud.

Comme ses collègues qui ont pris la parole après lui, l'élu PLR a dit sa "crainte" de voir un projet "repartir de zéro" après deux décennies d'études. Selon lui, ce projet est "indispensable" pour protéger la région des crues, mais aussi pour permettre son développement économique. D'autres projets importants pour la région, tel que le palier hydro-électrique Massongez-Bex-Rhône, en dépendent aussi.

"Trouver un chemin"

Le conseiller d'Etat Vassilis Venizelos a dit partager ces inquiétudes. Il a aussi mentionné que le financement de la Confédération pourrait être "compromis", si le projet devait être largement remanié.

Le ministre de l'environnement a indiqué que des discussions allaient être menées "ces prochains jours" avec le Conseil d'Etat valaisan afin de "trouver un chemin pour faire avancer ce projet le plus rapidement possible".

Vaud et Valais se partagent le Rhône dans le Chablais. C'est dans cette région qu'est notamment prévue la mesure dite "prioritaire du Chablais", soit l'élargissement du fleuve sur 15 km. Du côté amont, la mesure part de Bex (VD) en rive droite et de Massongex (VS) en rive gauche, pour s'étendre jusqu'à Yvorne (VD) et Vouvry (VS). Les plans d'aménagement ont été validés par les deux cantons en 2016.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Climat

Au moins 46 personnes tuées dans la rupture d'un barrage

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Le barrage a craqué près de la ville de Mai Mahiu, dans le comté de Nakuru, dans la vallée du Rift, à une centaine de kilomètres au nord-ouest de Nairobi, emportant des maisons et submergeant des axes routiers désormais coupés à la circulation. (© KEYSTONE/AP)

Au moins 46 personnes sont mortes dans le centre du Kenya après qu'un barrage naturel a cédé sous l'effet des pluies diluviennes qui s'abattent sur le pays depuis plusieurs semaines.

Il s'agit de l'épisode le plus meurtrier dans ce pays d'Afrique de l'Est depuis le début de la saison des pluies, qui est amplifiée cette année par le phénomène climatique El Niño.

Lundi, le gouvernement kényan faisait état de 103 morts et plus de 185.000 déplacés depuis mars à travers le pays, dans un bilan qui n'évoquait toutefois pas la tragédie d'Old Kijabe.

"Pour l'instant, 46 corps ont été retrouvés (...), l'équipe sur le terrain est débordée mais les recherches se poursuivent", a déclaré à l'AFP un officier supérieur de la police du comté de Nakuru. Parmi les victimes figurent 29 adultes et 17 enfants, a-t-il détaillé.

Situé sur une colline, le barrage d'Old Kijabe, près de la ville de Mai Mahiu située à une centaine de kilomètres au nord-ouest de Nairobi, s'est formé naturellement au fil des décennies, après les travaux de construction d'une ligne de chemin de fer par les autorités coloniales britanniques.

Dans la nuit de dimanche à lundi, ses contreforts de terre ont cédé, déversant les eaux du lac de retenue adjacent sur les maisons et routes situées en contrebas.

"Nous avons entendu le flot d'eau descendre de la colline, ça a tout balayé sur son passage. Nous avons récupéré certains corps retenus par les arbres et nous ne savons pas combien sont sous la boue", a raconté un habitant, Stephen Njihia Njoroge.

Le ministre de l'Intérieur, Kithure Kindiki, a déclaré que le gouvernement avait ordonné aux autorités locales d'"inspecter tous les barrages et réservoirs d'eau publics et privés dans leurs juridictions dans les 24 heures" et d'identifier "les situations où des ordres d'évacuation obligatoire et de réinstallation temporaire doivent être émis".

Rentrée scolaire reportée

Le ministre de l'Intérieur a également annoncé que les "comportements à risques" seraient sanctionnés, visant les automobilistes et piétons traversant inconsciemment les zones inondées ou "les personnes sans scrupules (...) qui mettent la population en danger en construisant et en utilisant des (embarcations) pour transporter des passagers bloqués contre de l'argent".

Plusieurs incidents de ce type ont été recensés ces derniers jours.

Dans le comté de Tana River (sud-est), la Croix-Rouge a annoncé avoir repêché deux corps sans vie et sauvé 23 personnes après le chavirage d'une embarcation. Des vidéos sur les réseaux sociaux montraient l'embarcation bondée en train de couler, ses passagers appelant à l'aide sous le regard de spectateurs impuissants.

Samedi, le gouvernement avait rapporté que 76 personnes avaient perdu la vie depuis le début de la saison des pluies en mars et que plus de 130'000 personnes avaient été déplacées.

La rentrée prévue lundi, après trois semaines de vacances, a été reportée d'une semaine, annoncé le ministre de l'Education, Ezekiel Machogu.

"Les effets dévastateurs des pluies dans certaines écoles sont si graves qu'il serait imprudent de risquer la vie des élèves et du personnel avant que des mesures d'étanchéité ne soient mises en place pour garantir une sécurité adéquate", a-t-il déclaré dans un communiqué.

Région sous les eaux

Dans plusieurs pays d'Afrique de l'Est, les pluies saisonnières se combinent cette année au phénomène climatique El Niño, qui a débuté mi-2023 et pourrait durer jusqu'au mois de mai, avait prévenu le 5 mars l'Organisation météorologique mondiale (OMM).

Outre une augmentation des températures, El Niño provoque des sécheresses dans certaines parties du monde et de fortes pluies dans d'autres.

En Tanzanie, au moins 155 personnes ont péri dans des inondations ou des glissements de terrain. Au Burundi, un des pays les plus pauvres du monde, 96'000 personnes ont été déplacées par des mois de pluie ininterrompue, ont annoncé le gouvernement et l'ONU.

Dans la capitale rwandaise Kigali, une femme et son enfant ont été tués dimanche par l'effondrement de leur maison, ont annoncé les autorités, en demandant aux personnes vivant dans des zones à risques de quitter leurs domiciles.

Dans la capitale éthiopienne Addis Abeba, quatre personnes ont péri dans des inondations et en Ouganda, les autorités ont fait état de deux morts.

El Niño a souvent fait des ravages dans l'est de l'Afrique par le passé. En décembre, plus de 300 personnes avaient péri dans divers catastrophes causées par les fortes pluies au Kenya, en Somalie et en Ethiopie. En Somalie, plus d'un million de personnes avaient été déplacées.

D'octobre 1997 à janvier 1998, de gigantesques inondations nourries par les pluies torrentielles causées par El Niño avaient fait plus de 6000 morts dans cinq pays de la région.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Des tornades font au moins cinq morts dans le centre des Etats-Unis

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Plusieurs habitations ont été totalement détruites après que des tornades ont frappé plusieurs Etats du centre des Etats-Unis. (© KEYSTONE/AP/Ken Miller)

Au moins cinq personnes ont été tuées par certaines des nombreuses tornades qui ont balayé une partie des grandes plaines du centre des Etats-Unis. C'est ce qu'ont indiqué dimanche les autorités locales.

Après que 78 tornades ont été enregistrées vendredi, principalement dans l'Iowa et le Nebraska, 35 autres ont été dénombrées samedi du nord du Texas au Missouri, selon les services météorologiques américains (NWS).

Le gouverneur de l'Oklahoma, Kevin Stitt, a confirmé dimanche la mort de quatre personnes dans l'Etat. Une femme a été tuée dans la petite ville de Sulphur, particulièrement touchée, a-t-il indiqué en conférence de presse.

Des photos et vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des dizaines d'habitations totalement détruites et des véhicules écrasés. A plus de 100 kilomètres de là, à Holdenville, au moins deux autres personnes ont perdu la vie, d'après le département de gestion des catastrophes, les médias locaux faisant état d'un nourrisson de quatre mois parmi les victimes.

Véhicules retournés

Les opérations de déblaiement se poursuivent dimanche. Une quatrième personne a péri sur une autoroute à Marietta, dans le même Etat. Des diffusions par les médias locaux ont notamment laissé voir deux semi-remorques retournés et un entrepôt ouvert en deux.

Le gouverneur de l'Oklahoma a déclaré l'état d'urgence pour 30 jours. De fortes précipitations ont par ailleurs été enregistrées dans plusieurs localités et les alertes météorologiques restaient en vigueur dimanche, avec notamment un risque de crues soudaines, grêle et de tornades.

Et dans l'Iowa, un homme a succombé à ses blessures à l'hôpital, a annoncé sa famille au média KETV NewsWatch 7, portant le bilan à au moins cinq morts. Plus de 25'000 foyers étaient privés d'électricité dans le Texas et plus de 19'000 en Oklahoma dimanche après-midi, selon le site PowerOutage.

Les tornades, phénomène météorologique aussi impressionnant que difficile à prévoir, sont relativement fréquentes aux Etats-Unis, en particulier dans le centre et le sud du pays. Il est toutefois très rare que des tornades de grande ampleur se succèdent les unes aux autres, selon les météorologues.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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