International
Canicule en Europe occidentale: poursuite des incendies
La vague de chaleur en Europe occidentale continue dimanche de provoquer des feux de forêt dévastateurs. Elle doit se poursuivre en début de semaine, où elle pourrait faire tomber plusieurs records de température en France et en Grande-Bretagne.
Cette vague de chaleur est la deuxième en à peine un mois en Europe. La multiplication de ces phénomènes est une conséquence directe du réchauffement climatique selon les scientifiques. Les émissions de gaz à effet de serre augmentent à la fois leur intensité, leur durée et leur fréquence.
En France, en Grèce, au Portugal et en Espagne, des incendies ont brûlé des milliers d'hectares, forçant des milliers d'habitants et de touristes à fuir leurs résidences. Ils ont tué la semaine dernière plusieurs membres des services de lutte contre les incendies et secours.
"Vigilance absolue" en France
Dans le sud-ouest de la France, la mobilisation des pompiers ne faiblissait pas, particulièrement en Gironde où près de 11'000 hectares de forêt sont partis en fumée depuis mardi, dans un contexte de canicule généralisée. Météo-France a placé 15 départements de l'ouest du pays en vigilance rouge "canicule", signe d'un pic de chaleur extrême.
La journée de lundi pourrait être l'une des plus chaudes jamais enregistrées en France. "La chaleur prend de l'ampleur, la canicule s'étend sur le pays", prévient l'établissement public de météorologie, qui s'attend voir de nombreux records de températures battus, notamment dans l'ouest et le sud-ouest.
Météo France recommande aux habitants des zones concernées d'observer une "vigilance absolue" face à des "phénomènes dangereux d'intensité exceptionnelle". "Dans certaines zones du sud-ouest, ce sera une apocalypse de chaleur" qui pourrait atteindre 44°C par endroits lundi, suivie d'une "nuit torride", selon Météo France.
Le feu regagnait en intensité dimanche soir en Gironde, notamment dans le touristique bassin d'Arcachon, au bord de l'océan Atlantique. A la Teste-de-Buch, "la situation se dégrade. Le feu est arrivé à la mer et se dirige vers le sud", selon un tweet la préfecture, qui appelle à être "extrêmement prudent".
Sur les réseaux sociaux, des internautes ont publié des photos et vidéos, prises depuis la mer, de cet immense brasier "haut de 30 mètres" dévorant la plage de la Lagune, au sud de la dune du Pilat. Au total, plus de 16'200 habitants et vacanciers ont dû plier bagage en urgence depuis mardi.
Jusqu'à 43,4°C en Espagne
En Espagne, une vingtaine d'incendies de forêt font toujours rage et restent hors de contrôle dans différentes parties du pays, du sud jusqu'à l'extrême nord-ouest en Galice. Les incendies y ont jusqu'à présent détruit environ 4400 hectares de terres cette semaine, selon les autorités.
Dans l'extrême sud, un feu qui s'était déclaré vendredi dans les montagnes des Mijas, près de la ville côtière de Malaga, était sous contrôle dimanche soir, a annoncé le président d'Andalousie, Juan Manuel Moreno.
L'incendie a détruit près de 2000 hectares, selon les autorités locales, et provoqué l'évacuation de plus de 3000 habitants, mais 2000 ont pu depuis regagner leurs maisons et d'autres devraient suivre, selon M. Moreno. Dimanche, le thermomètre a atteint 39° à Madrid, 39,7° à Séville (sud), et un maximum de 43,4° à Don Benito près de Badajoz (est).
Un homme de 50 ans est mort dimanche, victime d'un coup de chaleur, alors qu'il marchait dans la rue à Torrejon de Ardoz, près de Madrid, selon les services d'urgence. Quand les secours sont arrivés, l'homme était en "arrêt cardiorespiratoire" avec une température corporelle de 40°C. Un employé de la voirie de 60 ans est mort la veille à Madrid après un coup de chaleur également.
Accalmie au Portugal
Le Portugal connaissait lui une accalmie: dimanche, pour la première fois depuis le 8 juillet, les températures n'y ont pas dépassé les 40 degrés, selon le service national météorologique (IPMA), après avoir atteint jeudi un record historique pour juillet de 47°.
Accalmie également sur le front des incendies: un seul foyer important, près de Chaves à l'extrême nord du pays, était considéré comme actif et "pratiquement maîtrisé" sur 90% de son périmètre selon la protection civile portugaise. Néanmoins, la quasi-totalité du territoire portugais présentait dimanche un risque "maximal", "très élevé" ou "élevé" aux incendies, en particulier les régions centre et nord.
Selon le dernier bilan connu des autorités portugaises, les incendies de la dernière semaine ont fait deux morts et une soixantaine de blessés. Ils ont ravagé entre 12'000 et 15'000 hectares de forêt et broussailles depuis le début de la canicule.
Alerte rouge au Royaume-Uni
Plus au nord de l'Europe, au Royaume-Uni, l'agence météorologique nationale a émis la toute première alerte "rouge" pour chaleur extrême, mettant en garde contre un "risque pour la vie". Le Met Office a déclaré que dans le sud de l'Angleterre, les températures pourraient dépasser les 40 degrés pour la première fois lundi ou mardi.
Le gouvernement britannique a été accusé dimanche de ne pas prendre au sérieux cette vague de chaleur, après que le Premier ministre démissionnaire Boris Johnson a raté une réunion de crise sur le sujet à Downing Street, et que son adjoint Dominic Raab a semblé se réjouir d'avoir pour la première fois plus de 40 degrés en Angleterre.
Aux Pays-Bas, l'Institut néerlandais pour la Santé publique et l'Environnement (RIVM) a annoncé dimanche un Plan National Chaleur et une alerte au smog en vigueur à partir de lundi sur l'ensemble du pays, prévoyant une hausse des températures dans les prochains jours, jusqu'à 35 degrés lundi dans le sud et jusqu'à 38 degrés à certains endroits mardi. Le premier jour d'une randonnée qui rassemble chaque année en juillet des dizaines de milliers de marcheurs à Nimègue a été annulé.
Ailleurs dans le monde, les températures extrêmes ont aussi provoqué des feux de forêt, notamment dans le nord du Maroc où une personne est décédée et la moitié des quelque 4660 hectares touchés est partie en fumée, et dans l'ouest du Canada.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Loterie électorale: justice de Pennsylvanie rejette la suspension
A la veille de la présidentielle américaine, la justice de Pennsylvanie a rejeté lundi une demande de suspension de la récompense d'un million de dollars offerte quotidiennement par Elon Musk, soutien de Donald Trump, à un électeur américain d'un Etat-clé.
Le juge, qui ne s'est pas prononcé sur le fond de l'affaire, n'a pas motivé son rejet de la demande de suspension présentée par le parquet de Philadelphie, principale ville de l'Etat (nord-est). Mais plusieurs commentateurs juridiques estiment que cette décision pourrait s'expliquer par le fait que plus aucune récompense n'est prévue en Pennsylvanie.
Le patron de SpaceX, Tesla et X (ex-Twitter), qui a pris fait et cause pour le candidat républicain face à la vice-présidente démocrate Kamala Harris, a inauguré cette loterie le 19 octobre par la remise d'un premier chèque à un électeur de Pennsylvanie.
Il avait alors affirmé que son organisation politique qui fait campagne pour Donald Trump, "America PAC", remettrait chaque jour "un million de dollars au hasard" parmi les signataires d'une pétition conservatrice en faveur de la liberté d'expression et du droit à porter des armes.
Pour participer, il faut être un électeur inscrit dans un des sept Etats pivot où se jouera la présidentielle.
Mais à l'audience lundi, les avocats d'Elon Musk ont indiqué que les vainqueurs n'étaient pas tirés au sort mais sélectionnés en fonction de leur aptitude à être des porte-parole en faveur de la pétition, rapportent les médias.
A ce jour, 16 bénéficiaires ont été désignés, les deux derniers devant l'être lundi en Arizona (sud-ouest) et mardi dans le Michigan (nord), selon "America PAC".
Action au civil
Le procureur de Philadelphie, Larry Krasner, a engagé le 28 octobre une action au civil pour obtenir l'arrêt de cette opération afin notamment de "protéger la population de nuisances publiques et de pratiques commerciales iniques, y compris les loteries illégales".
Le ministère américain de la Justice a déjà rappelé à l'équipe du milliardaire qu'il était illégal d'offrir une récompense de valeur à un citoyen pour voter ou pour s'inscrire sur les listes électorales, et le président sortant Joe Biden a qualifié l'initiative de "totalement déplacée".
Le ministère n'évoquait pas d'action légale, mais précisait les peines prévues en cas de violation de la loi en la matière, à savoir des amendes voire de la prison.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Italie: Mario Balotelli a rejoué en championnat
Mario Balotelli, recrue surprise du Genoa fin octobre, a effectué son retour en Serie A quatre ans après sa dernière apparition. Il a joué quelques minutes lors du succès 1-0 de son club à Parme.
"Super Mario", âgé de 34 ans, a débuté sur le banc avant de faire son entrée à la 86e alors que son équipe, en difficulté au classement, menait 1-0 après un but de Pinamonti. Le fantasque attaquant italien, passé par Sion, n'avait plus disputé un match de l'élite italienne depuis 1701 jours.
Balotelli, qui a notamment aussi joué dans les deux clubs milanais (Inter et AC Milan), Manchester City, Liverpool et Nice entre autres, n'a passé que huit minutes sur la pelouse. Il a eu le temps d'écoper d'un carton jaune pour une faute à l'entrée de la surface de réparation.
Sans club depuis juin dernier et son départ du club turc d'Adana Demirspor, le natif de Palerme a été recruté le 27 octobre pour pallier l'absence sur blessures de deux attaquants du Genoa, Vitinha et Junior Messias. Grâce à son succès à Parme, Genoa, entraîné par l'ex-international italien Alberto Gilardino, quitte la zone rouge et grimpe de quatre rangs à la 17e place du classement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Italie: nouveau coup à la politique migratoire de Meloni
Nouveau coup porté contre la politique migratoire de Giorgia Meloni: un tribunal sicilien a statué lundi que les demandes d'asile en provenance d'Egypte ne pouvaient pas être traitées en procédure accélérée.
En octobre, le gouvernement italien a inclus l'Egypte dans sa liste des pays dits "sûrs" vers lesquels les migrants peuvent être renvoyés dans le cadre d'une procédure accélérée.
Mais lundi, le tribunal de Catane a statué que l'Egypte ne pouvait pas être considérée comme un pays "sûr", citant une décision rendue le mois dernier par la Cour européenne de justice (CJUE) qui estime que le niveau de sécurité dans ces pays doit être "général et constant" pour qu'ils soient considérés comme sûrs.
"Graves violations des droits humains"
Le président du tribunal de Catane, Massimo Escher, a mis en exergue de "graves violations des droits humains" en Egypte, notamment l'utilisation systématique de la torture par la police, des violences contre des défenseurs des droits humains et des journalistes et la discrimination contre les femmes, les minorités religieuses et les personnes LGBT+.
Ces motifs l'ont conduit à refuser de signer un ordre de détention pour un demandeur d'asile égyptien.
L'avocate de ce dernier, Me Rosa Emanuela Lo Faro, a déclaré à l'AFP que le tribunal de Catane avait refusé de signer des ordres de détention pour quatre autres migrants lundi, dont deux originaires du Bangladesh.
Rétention invalidée
La décision de la CJUE a également été citée par un juge de Rome, qui a invalidé mi-octobre la rétention des 12 premiers migrants, originaires du Bangladesh et d'Egypte, dans deux nouveaux centres gérés par l'Italie en Albanie.
L'accord signé fin 2023 entre Rome et Tirana, prévoyant pour la première fois le traitement des demandes d'asile d'un pays européen dans un pays non membre de l'UE, est une mesure phare du gouvernement d'extrême droite de Mme Meloni.
Il a suscité de vives inquiétudes quant au respect des droits des personnes transférées.
En réponse à la décision de la CJUE, le gouvernement a mis à jour sa liste de pays "sûrs", retirant le Cameroun, la Colombie et le Nigeria, mais en conservant 19, dont le Bangladesh, l'Egypte et la Tunisie.
L'Égypte, "destination de vacances
Depuis son arrivée au pouvoir en 2022, Giorgia Meloni mène une politique migratoire stricte pour stopper les dizaines de milliers de migrants qui arrivent chaque année sur les côtes italiennes en provenance d'Afrique du Nord.
La Ligue, parti anti-immigration du vice-Premier ministre Matteo Salvini, a critiqué la décision du tribunal de Catane, affirmant que l'Égypte était une "destination de vacances de plus en plus populaire".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël informe l'ONU de l'interdiction de l'Unrwa - désastre à Gaza
Israël a informé officiellement l'ONU lundi de l'interdiction de l'Unrwa, agence onusienne "colonne vertébrale" de l'aide aux réfugiés dans les Territoires palestiniens occupés. Cela en pleine guerre dans la bande de Gaza plongée dans un désastre humanitaire.
Dans le même temps, l'armée israélienne a mené de nouvelles attaques à Gaza et au Liban, où elle vise respectivement le Hamas et le Hezbollah, deux mouvements islamistes pro-iraniens.
Malgré les coups durs infligés au Hezbollah, ce mouvement continue de tirer des roquettes sur le nord d'Israël, frontalier du sud du Liban. Lundi, il a dit avoir lancé une salve de roquettes sur Safed.
La guerre à Gaza a été déclenchée par une attaque menée le 7 octobre 2023 par le Hamas sur le sol israélien. Le lendemain et en soutien au Hamas, le Hezbollah a ouvert un front contre Israël, qui a dégénéré en guerre ouverte en septembre dernier.
Tentatives vaines
A la veille de la présidentielle aux Etats-Unis, principal allié d'Israël, et malgré les pressions internationales, les tentatives en vue de mettre fin aux hostilités sont restées vaines.
Une semaine après le vote par le Parlement d'une loi interdisant les activités en Israël de l'office de secours de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), les Affaires étrangères "ont notifié l'ONU de l'annulation de l'accord entre Israël et l'Unrwa", selon un communiqué.
Accusations réitérées
L'accord avec Israël remonte à 1967, année du début de l'occupation par ce pays des territoires palestiniens de Cisjordanie et de Gaza, ainsi que Jérusalem-Est, où l'Unrwa a fourni pendant des décennies une aide essentielle aux réfugiés palestiniens - éducation, santé, services sociaux, aide alimentaire et en espèces.
Israël, depuis longtemps très critique à l'égard de l'Unrwa, a de nouveau accusé "des employés de l'organisation d'avoir participé au massacre du 7 octobre", selon le communiqué israélien: "L'ONU a reçu d'innombrables preuves sur des agents du Hamas employés par l'Unrwa et sur l'utilisation de ses installations à des fins terroristes."
De telles preuves n'ont en réalité jamais été fournies par Israël, selon l'ONU. Seuls des doutes concernant neuf employés de l'Unrwa ont conduit au licenciement de ces personnes.
"Effondrement humanitaire" en vue
"Si la loi est mise en oeuvre, elle risque de provoquer l'effondrement de l'opération humanitaire internationale à Gaza, dont l'Unrwa est la colonne vertébrale", a averti Jonathan Fowler, un porte-parole de l'agence.
La loi, qui a provoqué un tollé international le jour du vote le 28 octobre, doit prendre effet 90 jours après son adoption.
"Tuer tout le peuple palestinien"
"Actuellement, le peuple palestinien dépend presque entièrement de l'aide venant de l'étranger, surtout de l'Unrwa, et l'interrompre revient à tuer tout le peuple palestinien", a dit Abdel Karim Kallab, un habitant de Khan Younès dans le sud de Gaza.
"Nous n'avons que l'Unrwa (pour fournir de l'aide). Les gens vont mourir de faim et ne pourront pas nourrir leurs enfants", s'est exclamée Houria Abou Charkh, une déplacée de Gaza-ville.
Pour le Hamas, la décision d'Israël "est une tentative de dénier aux réfugiés le droit de retourner dans leurs foyers d'où ils ont été expulsés de force par les milices terroristes sionistes il y a plus de sept décennies".
Nouvelles attaques israéliennes
Israël a juré de détruire le Hamas après son attaque du 7 octobre. En représailles, l'armée israélienne a lancé une offensive destructrice à Gaza qui a fait 43'374 morts, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas.
Elle bombarde sans cesse le territoire palestinien pauvre et exigu où elle assiège depuis plus d'un an les quelque 2,4 millions d'habitants dont la grande majorité ont été déplacés d'innombrables fois. Lundi, de nouvelles attaques ont visé le territoire, d'après des témoins.
Hôpital pilonné
Le ministère de la Santé de Gaza a fait état de bombardements israéliens sur l'hôpital Kamal Adwan, le seul établissement fonctionnant encore dans le nord de la bande de Gaza.
L'armée "continue à violemment bombarder et détruire l'hôpital, en visant toutes les parties" de l'établissement situé à Beit Lahia, a indiqué le ministère, soulignant qu'il y avait "de nombreux blessés parmi le personnel médical et les patients".
Le directeur de l'hôpital, Houssam Abou Safia, a précisé que plusieurs membres du personnel avaient été blessés et que personne ne pouvait quitter l'établissement. Il a décrit une situation "catastrophique" alors que l'armée n'avait pas averti de ces attaques.
Le porte-parole de la Défense civile de Gaza, Mahmoud Bassal, a pour sa part indiqué que plus de 1300 personnes avaient été tuées depuis le lancement de l'offensive militaire le 6 octobre contre le nord du territoire où "il existe une pénurie sévère de médicaments, d'eau et de nourriture".
Israël continue d'empêcher l'aide
L'aide n'arrive en effet toujours pas. Selon le chef de l'Unrwa, Philippe Lazzarini, le nombre moyen quotidien de camions autorisés par Israël à entrer dans Gaza est tombé à 30 en octobre: "Cela ne suffit pas pour répondre aux besoins de plus de 2 millions de personnes, dont beaucoup sont affamées et malades et vivent dans des conditions désespérées".
Sur la frontière nord d'Israël, de nouveaux bombardements israéliens ont été menés sur le sud du Liban, où les troupes israéliennes sont également engagées depuis le 30 septembre dans une offensive terrestre.
Au moins deux combattants du Hezbollah libanais ont été tués dans une attaque sur un quartier au sud de Damas, où le mouvement pro-iranien dispose d'une présence importante. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), l'attaque a visé "une maison dans une ferme du secteur de Sayyeda Zeinab utilisée par des membres du Hezbollah libanais et des Gardiens de la révolution iraniens".
Près de 2000 morts au Liban
A partir du 23 septembre, Israël a intensifié ses attaques contre le Hezbollah, disant vouloir neutraliser ce mouvement dans les régions frontalières du sud et éloigner ses combattants au nord du fleuve Litani, situé à une trentaine de km de la frontière israélienne. Objectif: le retour des 60'000 habitants dans le nord d'Israël, déplacés par les tirs du Hezbollah.
Au moins 1940 personnes ont été tuées depuis le 23 septembre au Liban, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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