International
"Projet d'accord" sur la table pour libérer les otages israéliens
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Israël a annoncé lundi avoir discuté avec les négociateurs étrangers réunis au Qatar d'un nouveau projet d'accord sur la libération des otages à Gaza, au moment où la guerre fait rage contre le Hamas dans le territoire palestinien et contre le Hezbollah au Liban.
Le chef du Mossad, le renseignement extérieur israélien, David Barnea, a rencontré au Qatar le chef de la CIA Bill Burns et le Premier ministre qatari pour discuter de ce "nouveau projet d'accord", a annoncé le bureau du premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou.
Les discussions "se poursuivront dans les prochains jours entre les médiateurs et le Hamas", pour étudier "la faisabilité des pourparlers" et "tenter de les faire avancer vers un accord", a indiqué le bureau du premier ministre.
Le projet, selon cette source, "intègre de précédentes propositions et prend en compte les événements récents dans la région".
La veille, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, dont le pays est l'un des médiateurs avec les Etats-Unis et le Qatar, avait proposé un cessez-le-feu de deux jours "durant lequel quatre otages israéliens retenus à Gaza seraient échangés contre des prisonniers" palestiniens détenus par Israël.
Cette trêve serait suivie "sous dix jours" de négociations en vue d'un "cessez-le-feu complet et de l'entrée de l'aide humanitaire" dans le territoire.
"Arrêter" la guerre
Le président américain Joe Biden a affirmé lundi que ses équipes faisaient le point sur les efforts en cours. "Nous devons arrêter cette guerre. Elle doit s'arrêter, elle doit s'arrêter, elle doit s'arrêter", a-t-il répété, après avoir voté de manière anticipée pour l'élection américaine.
Malgré les pressions internationales, Israël poursuit son offensive contre le Hamas et contre le Hezbollah, deux mouvements islamistes soutenus par l'Iran, et a mené samedi des frappes contre des cibles militaires en territoire iranien.
L'Iran cherche à fabriquer "des stocks de bombes nucléaires dans le but de détruire Israël" et "pourrait menacer le monde entier", a affirmé lundi Benyamin Netanyahou.
Les frappes de samedi ont "changé l'équilibre des forces" entre les deux pays, a déclaré son ministre de la Défense, Yoav Gallant, estimant que "l'ennemi a été affaibli, tant dans sa capacité à construire des missiles que dans sa capacité à se défendre".
L'Iran a menacé Israël lundi de conséquences "inimaginables" après ces frappes menées en riposte à des tirs de missiles iraniens le 1er octobre sur Israël.
Dans ce contexte tendu, le Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni en urgence lundi, à la demande de l'Iran, pour discuter de la situation au Moyen-Orient. Israël et l'Iran se sont mutuellement accusés de menacer la paix au Proche-Orient.
La Suisse a condamné l'escalade dangereuse de la violence dans la région, aussi bien les récentes frappes aériennes israéliennes contre l'Iran et les attaques de missiles balistiques de l'Iran contre Israël au début octobre, a-t-elle fait savoir sur le réseau social X. Elle a appelé à un arrêt des hostilités.
Frappes sur Tyr
Au Liban, Israël poursuit sa campagne de frappes aériennes lancée le 23 septembre contre le Hezbollah, qui a promis de se battre jusqu'à la fin de l'offensive à Gaza contre le Hamas, son allié.
Lundi, l'aviation israélienne a bombardé à plusieurs reprises la ville méditerranéenne de Tyr, dans le sud du Liban. Au moins 60 personnes ont été tuées lundi dans plusieurs raids israéliens sur l'est du Liban, selon un bilan "non définitif" du ministère libanais de la santé.
Cette journée est "la plus violente" à Baalbeck depuis le début de la guerre en septembre, a affirmé sur le réseau social X le gouverneur de la province, Bachir Khodr. "Les opérations se poursuivent pour déblayer les décombres" dans les villages touchés, a indiqué le ministère de la santé.
Israël affirme vouloir neutraliser le Hezbollah dans le sud du Liban, frontalier de son territoire, afin de permettre le retour dans le nord d'Israël de 60'000 habitants déplacés par les tirs de roquettes incessants depuis le début de la guerre à Gaza il y a plus d'un an.
Le 30 septembre, l'armée israélienne a lancé une offensive terrestre dans le sud du Liban, où elle a annoncé avoir perdu 37 soldats dans les combats contre le Hezbollah.
Au moins 1672 personnes ont été tuées depuis le 23 septembre au Liban, d'après un décompte de l'AFP basé sur des données officielles et probablement sous-estimé.
Le mouvement islamiste chiite a revendiqué lundi plusieurs attaques à la roquette et à l'artillerie aux abords de la frontière israélienne, ainsi que des tirs de roquettes sur la base navale de Stella Maris, près d'Haïfa, le grand port du nord d'Israël.
Selon l'armée israélienne, environ 115 "projectiles" ont été tirés lundi par le Hezbollah vers Israël.
Le Hezbollah a également assuré avoir tendu une "embuscade" à des soldats israéliens près de Kfar Kila, un village frontalier du sud du Liban, suivie de combats qui ont fait, selon lui, des "morts et des blessés" dans les rangs israéliens.
"De la nourriture et de l'eau"
Dans la bande de Gaza, l'armée israélienne a annoncé avoir tué "des dizaines de terroristes" dans le camp de réfugiés palestiniens de Jabalia, un secteur du nord du territoire où elle mène depuis le 6 octobre une offensive aérienne et terrestre en affirmant que des combattants du Hamas tentent de s'y regrouper.
"Nos forces se trouvent au centre du camp" et "nous devons le nettoyer", a déclaré un responsable militaire israélien, précisant que cela prendrait "plusieurs semaines".
La guerre à Gaza a été déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, qui a entraîné la mort de 1206 personnes, majoritairement des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur les données officielles israéliennes, incluant les otages tués ou morts en captivité.
Sur les 251 personnes enlevées durant l'attaque, 97 restent otages à Gaza dont 34 ont été déclarées mortes par l'armée.
En représailles, Israël a promis d'anéantir le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007, et lancé une offensive qui a tué au moins 43'020 Palestiniens, en majorité des civils, selon les données du ministère de la santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
La guerre a entraîné le déplacement de la quasi-totalité des 2,4 millions d'habitants de la bande de Gaza, soumis à des pénuries sévères dans le territoire assiégé par Israël.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Appel de 14 pays contre l'expansion des colonies en Cisjordanie
Quatorze pays, dont la France, l'Italie et l'Allemagne, ont condamné mercredi soir l'approbation récente de nouvelles colonies juives en Cisjordanie. Ils exhortent le gouvernement israélien à revenir sur cette décision et "à cesser l'expansion des colonies".
"Nous, représentants de l'Allemagne, de la Belgique, du Canada, du Danemark, de l'Espagne, de la France, de l'Italie, de l'Irlande, de l'Islande, du Japon, de Malte, des Pays-Bas, de la Norvège et du Royaume-Uni, condamnons l'approbation par le cabinet de sécurité du gouvernement israélien de la création de 19 nouvelles colonies en Cisjordanie occupée", selon un communiqué commun diffusé par le ministère français des Affaires étrangères.
"Nous réitérons notre claire opposition à toute forme d'annexion ainsi qu'au développement de la politique de colonisation", ajoute le texte.
Les autorités israéliennes avaient annoncé dimanche avoir approuvé l'installation de 19 colonies en Cisjordanie, une mesure visant selon elles à "bloquer l'établissement d'un Etat palestinien terroriste", dans un contexte d'intensification de la colonisation depuis le 7-octobre.
Violation du droit international
Dans leur communiqué, les pays rappellent que cette action unilatérale constitue "une violation du droit international". "Cette action risque de compromettre la mise en ½uvre du plan de paix pour Gaza, alors même que sont déployés des efforts pour passer à la deuxième phase (de ce plan, ndlr), et elle nuit aux perspectives de paix et de sécurité durables dans l'ensemble de la région", ajoutent-ils.
"Nous appelons Israël à revenir sur cette décision, ainsi qu'à cesser l'expansion des colonies, conformément à la résolution 2334 du Conseil de sécurité des Nations Unies", écrivent-ils, ajoutant qu'ils sont "déterminés à soutenir le droit à l'autodétermination des Palestiniens".
Ces pays rappellent enfin leur "attachement indéfectible à une paix globale, juste et durable reposant (...) sur la solution des deux Etats où deux Etats démocratiques, Israël et la Palestine, vivent côte à côte en paix et en sécurité, à l'intérieur de frontières sûres et reconnues".
Accélérée depuis le 7 octobre
La colonisation s'est poursuivie sous tous les gouvernements israéliens, de gauche comme de droite depuis 1967, et s'est nettement intensifiée sous l'exécutif actuel, en particulier depuis le début de la guerre à Gaza déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël.
Hormis Jérusalem-Est, occupée et annexée par Israël, plus de 500'000 Israéliens vivent aujourd'hui en Cisjordanie dans des colonies que l'ONU juge illégales au regard du droit international, au milieu de quelque trois millions de Palestiniens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Turquie: la boîte noire de l'avion libyen accidenté retrouvée
La boîte noire de l'avion qui s'est écrasé mardi soir près d'Ankara, tuant tous ses passagers dont le chef d'état-major libyen et ses conseillers, a été retrouvée. C'est ce qu'a annoncé mercredi le ministre turc de l'Intérieur Ali Yerlikaya.
"L'enregistreur vocal et la boîte noire de l'appareil ont été retrouvés (...) Les autorités compétentes ont entamé leur examen", a déclaré le ministre qui s'est rendu sur le site de l'accident. La boîte noire sera analysée dans un pays neutre, a annoncé sur X le ministre turc des Transports, Abdulkadir Uraloglu.
Les données de ces appareils permettent souvent de déterminer la cause de l'accident de l'avion. Les résultats de l'analyse seront partagés "avec notre nation et le monde entier avec une totale transparence", a-t-il ajouté.
En revanche, les dépouilles des huit personnes qui se trouvaient à bord sont toujours sur le site du crash où les débris sont éparpillés sur 3 km2, a précisé le ministre de l'Intérieur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante". L'armée israélienne a été impliquée récemment sur plusieurs fronts régionaux.
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté. Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza. Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante".
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté.
Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par l'attaque sanglante du 7 octobre 2023 perpétrée par le mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël.
Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah, qui se sont transformés à l'automne 2024 en une guerre ouverte de deux mois.
Une guerre de 12 jours a aussi opposé Israël à l'Iran en juin dernier, déclenchée par une attaque d'une ampleur inédite d'Israël contre des sites militaires, nucléaires et des zones résidentielles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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