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L'Utah exige l'accord parental pour accéder aux réseaux sociaux

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La loi de l'Utah prévoit de punir d'amendes les réseaux sociaux ciblant les utilisateurs de moins de 18 ans au moyen "d'algorithmes addictifs" (archives). (© KEYSTONE/DPA/KARL-JOSEF HILDENBRAND)

L'Etat américain de l'Utah s'est doté jeudi d'une législation exigeant des réseaux sociaux comme TikTok ou Instagram qu'ils obtiennent l'accord parental avant d'accorder aux mineurs l'accès à leurs plateformes. La loi entrera en vigueur en mars 2024.

Elle a été conçue en réponse aux craintes concernant l'addiction croissante des jeunes aux réseaux sociaux, le cyberharcèlement et la collecte de données sur les enfants.

Le monde de la technologie et des groupes de défense des droits civiques ont cependant estimé que cela pourrait restreindre l'accès des adolescents marginalisés à des ressources en ligne et mettre en danger la liberté d'expression.

"Nous refusons désormais de laisser les plateformes de réseaux sociaux continuer de nuire à la santé mentale de nos jeunes", a tweeté le gouverneur de cet Etat de l'Ouest américain, Spencer Cox, qui a promulgué jeudi les deux lois concernées.

"Couvre-feu"

Les textes contraignent aussi les réseaux sociaux à donner aux parents l'accès aux comptes de leurs enfants et à établir par défaut un "couvre-feu" empêchant aux mineurs d'y accéder la nuit.

Le président des Etats-Unis d'Amérique Joe Biden avait, lors de son discours sur l'état de l'union en février, appelé le congrès américain à légiférer sur la question.

La Californie avait déjà introduit des lois fixant des paramètres de confidentialité très stricts par défaut pour les mineurs. D'autres Etats, tels que l'Ohio et le Connecticut, prévoient des lois similaires à celle de l'Utah.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Berlin: début de la rencontre entre Zelensky et des responsables US

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Steve Witkoff, envoyé spécial des États-Unis, quitte un hôtel par le garage à l’occasion de pourparlers entre des représentants des États-Unis et de l’Ukraine à Berlin dimanche. (© KEYSTONE/AP/Markus Schreiber)

La rencontre à Berlin entre Volodymyr Zelensky et les émissaires américains Steve Witkoff et Jared Kushner, aux côtés du chancelier allemand Friedrich Merz, a débuté dimanche, en pleins échanges diplomatiques pour trouver une issue à la guerre en Ukraine.

Dans un message sur Facebook, le président ukrainien a publié des images le montrant serrer la main de Steve Witkoff et de Jared Kushner et d'autres montrant des responsables américains, ukrainiens et allemands, dont M. Merz, assis autour d'une table.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Lobalu remporte le bronze

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Dominic Lobalu, ici à Morat-Fribourg, a obtenu le bronze aux Européens de cross (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Dominic Lobalu a remporté la médaille de bronze aux Championnats d'Europe de cross à Lagoa. Il s'agit de la septième médaille remportée par la Suisse lors des Championnats d'Europe de la discipline.

Dominic Lobalu a remporté la médaille de bronze aux Championnats d'Europe de cross à Lagoa, en Algarve. Il s'agit de la septième médaille remportée par la Suisse lors des Championnats d'Europe de la discipline.

La dernière avait été remportée par Julien Wanders en 2019 à Lisbonne. Le Saint-Gallois a concédé 18 secondes à l'Espagnol Thierry Ndikumwenayo et 15 secondes au champion du monde du 10'000 m, le Français Jimmy Gressier.

Le champion d'Europe du 10'000 m a parfaitement géré sa course dans le Parque Urbano de Lagoa et a remporté sa deuxième médaille de bronze aux Championnats d'Europe après celle obtenue sur le tartan de Rome en 2024 sur 5000 m.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Meillard 2e du slalom de Val d'Isère, victoire pour Haugan

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Loïc Meillard tout de même satisfait de sa 2e place en slalom (© KEYSTONE/AP/Giovanni Auletta)

Victorieux du géant samedi, Loïc Meillard a pris la 2e place du slalom de Val d'Isère dimanche. Victoire pour le Norvégien Timon Haugan.

Pa de troisième victoire dans la discipline pour le skieur d'Héérmence et pas de week-end parfait. Mais 180 points en deux jours, cela reste un excellent score pour un Loïc Meillard qui semble avoir enfin lancé sa saison.

Premier sur le parcours matinal, Meillard a parfaitement répondu sur le deuxième tracé, pourtant marqué. Fluide, il n'a pas commis d'erreurs. Il a juste été battu de 0''28 par un Timon Haugan sans doute un poil plus agressif. Henrik Kristoffersen complète le podium à 0''34. Les Norvégiens ont réussi un carton avec encore Oscar Andreas Snadvik 5e et Hans Grahl-Madsen, 6e.

Et les Suisses? Sur les trois autres représentants de Swiss-Ski en deuxième manche, la surprise est venue de Matthias Iten. Dossard 61, le Zougois de 26 ans a réussi un joli coup en se qualifiant tout d'abord pour la deuxième manche. 30e sur le premier tracé, il a eu droit à une piste parfaite pour son deuxième effort et a effectué une jolie remontée pour se classer 10e et marquer au passage ses premiers points en Coupe du monde.

15e et 21e après le run du matin, Daniel Yule et Ramon Zenhäusern n'ont pas réussi à se sublimer en deuxième manche. Pas assez en confiance, le skieur de La Fouly a terminé au 21e rang, alors que le Haut-Valaisan a fini 25e.

Le Vaudois Marc Rochat a quant à lui connu l'élimination, tout comme Tanguy Nef. Le Genevois a enfourché à quelques portes de l'arrivée, et a remis ses rêves de premier podium en Coupe du monde à plus tard. Luca Aerni, 2e en géant la veille, a manqué la qualification en terminant à plus de 3 secondes de Meillard.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le Chili élit son président, l'extrême droite donnée favorite

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Alerte Info (© )

Les Chiliens votent dimanche pour élire leur président, lors d'un scrutin où l'extrême droite est donnée favorite pour la première fois depuis la fin de la dictature d'Augusto Pinochet il y a 35 ans.

Crédité d'une large avance par les sondages, l'ultraconservateur José Antonio Kast, avocat de 59 ans, affronte Jeannette Jara, une communiste modérée représentant une vaste coalition de gauche.

M. Kast, catholique pratiquant et père de neuf enfants, a fait campagne sur la lutte contre la criminalité et la promesse d'expulser les près de 340'000 migrants en situation irrégulière, pour la plupart des Vénézuéliens ayant fui la crise dans leur pays.

En face, Jeannette Jara, 51 ans, ex-ministre du Travail du président sortant Gabriel Boric, promet l'augmentation du salaire minimum et la défense des retraites.

Les Chiliens ont commencé à voter dans la matinée, a constaté l'AFP. Les premiers résultats devraient être connus quelques heures après la fermeture des bureaux de vote, prévue à 18h00 (22h00 suisses).

Au premier tour le 16 novembre, les deux candidats ont obtenu chacun un quart des suffrages, avec une légère avance pour la gauche. Mais l'ensemble des candidats de droite ont totalisé 70%.

Forte polarisation

Arturo Huichaqueo, un chauffeur de taxi de 57 ans, s'apprête à voter pour Mme Jara "pour ne pas perdre en matière sociale", face à un candidat d'extrême droite qui défend une baisse drastique de la dépense publique.

Francesca Duran, étudiante en anthropologie de 20 ans, fera le même choix, disant préférer Mme Jara à "un fasciste".

José Gonzalez, un transporteur de 74 ans interrogé dans la file d'attente d'un bureau de vote du centre de Santiago, votera pour M. Kast. "On a perdu la sécurité au Chili", estime cet électeur.

Un constat partagé par Gregorio Riera, un Vénézuélien de 49 ans autorisé à voter comme certains résidents au Chili. "Je suis venu du Venezuela à cause du communisme, ce n'est pas pour revenir à la même chose", explique-t-il en référence à Jeannette Jara. Il dit vivre légalement au Chili et soutenir les expulsions de migrants proposés par le candidat d'extrême droite.

La criminalité et l'immigration sont en tête des préoccupations des Chiliens, devant les difficultés économiques liées à une croissance atone.

"Le pays s'effondre", répète à l'envi José Antonio Kast, qui tente pour la troisième fois d'accéder à la présidence, sous la bannière du Parti républicain qu'il a fondé en 2019.

Lors de ses meetings, abrité derrière une vitre pare-balles dans l'un des pays pourtant les plus sûrs d'Amérique latine, il présente le Chili comme en proie au "chaos", attisant l'angoisse des électeurs.

Selon des experts, la peur a grandi bien plus vite que la criminalité.

Si le taux d'homicides a doublé au cours de la dernière décennie, il est en recul ces dernières années et est bien inférieur à la moyenne régionale. Les délits violents, comme les enlèvements et l'extorsion, ont cependant augmenté.

M. Kast, opposé à l'avortement même en cas de viol ainsi qu'au mariage homosexuel, a mis en sourdine pendant cette campagne ses positions conservatrices.

Frustrations

Le discours sécuritaire de la droite et de l'extrême droite au Chili trouve d'autant plus d'écho que le gouvernement sortant a généré des frustrations.

La cote de popularité du président Boric, ancien dirigeant étudiant arrivé au pouvoir après les manifestations massives de 2019 pour davantage d'égalité sociale, tourne autour de 30%.

La révolte sociale, marquée par des violences, a été "très traumatisante" et, conjuguée à la pandémie, elle a produit "un mouvement vers le conservatisme", ajoute la politologue Claudia Heiss.

Cecilia Mora, une retraitée de 71 ans, votera pour Jara afin de préserver les acquis sociaux. Kast lui apparaît comme "un Pinochet sans uniforme", dans un pays où la dictature a fait 3200 morts et disparus entre 1973 et 1990.

M. Kast a soutenu la dictature militaire et assuré que si Pinochet était en vie, il voterait pour lui.

Des enquêtes menées par des médias en 2021 ont révélé que son père, né en Allemagne, avait été membre du parti d'Adolf Hitler. José Antonio Kast affirme que son père a été enrôlé de force dans l'armée allemande et nie qu'il ait été un partisan du mouvement nazi.

Selon Robert Funk, professeur de sciences politiques à l'Université du Chili, les électeurs qui voteront pour Kast le feront "malgré, et non à cause, de son soutien à Pinochet".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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