International
Mathieu van der Poel a fait son choix
Le Néerlandais Mathieu van der Poel (29 ans) disputera bien le Tour de France. Il participera ensuite aux Jeux olympiques de Paris, mais seulement à la course sur route, renonçant ainsi au VTT.
"C'est le choix le plus logique", a déclaré le champion du monde en titre dans un communiqué de son équipe Alpecin. Après avoir remporté le Tour des Flandres et Paris - Roubaix au printemps, il a longtemps hésité ces dernières semaines sur son programme pour cet été et la possibilité de cumuler route et VTT aux JO.
"Cette année, la combinaison est trop compliquée. Ma première partie de saison a été assez longue avec d'abord le cyclo-cross et ensuite, après une courte pause, la campagne des classiques jusqu'à Liège - Bastogne - Liège", a-t-il expliqué.
Période de repos
"Si je voulais me concentrer entièrement sur le VTT et être parfaitement préparé, je devrais commencer dès le week-end prochain à Nove Mesto, l'étape tchèque de Coupe du monde. En concertation avec mon équipe, j'ai opté plutôt pour une période de repos plus longue avant de commencer la préparation pour le Tour de France et la course sur route des JO sans être pressé par le temps", a ajouté le petit-fils de Raymond Poulidor qui avait chuté lors de l'épreuve de VTT aux JO de Tokyo en 2021.
"Le fait que je porte actuellement le maillot arc-en-ciel a joué un rôle indirect aussi. C'est une année spéciale. En tant que champion du monde (en titre sur route), j'aimerais porter ce maillot le plus possible. Et je ne voudrais pas manquer non plus le Tour de France que je considère comme la meilleure préparation possible pour les JO", a développé Van der Poel.
Pas de course avant le Tour
Il a repris l'entraînement chez lui, en Espagne, et n'a pas prévu de disputer la moindre course avant le Tour (29 juin-21 juillet). Sur la Grande Boucle, il veut aider une nouvelle fois le sprinter d'Alpecin, Jasper Philipsen, à gagner le maillot vert tout en visant lui-même une victoire d'étape.
Le Néerlandais sera ensuite l'un des grands favoris de l'épreuve en ligne des JO de Paris le samedi 3 août sur un parcours long et exigeant qui lui convient parfaitement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Une 8e défaite en 10 matches pour les Devils
Le 500e match de saison régulière de Nico Hischier ne restera pas gravé dans sa mémoire. Les Devils se sont en effet inclinés 3-1 devant Philadelphie samedi après-midi en NHL.
La franchise de Newark n'a pas montré grand-chose dans cette partie, ne cadrant que 14 tirs au total (1 pour Hischier, 2 pour son compère appenzellois Timo Meier) dont 7 dans le troisième tiers. New Jersey a ainsi subi sa troisième défaite consécutive, la huitième dans ses dix dernières sorties.
Philadelphie a forcé la décision en supériorité numérique, Bobby Brink marquant le 2-1 à la 53e. Le défenseur zurichois de Devils Jonas Siegenthaler purgeait alors une pénalité mineure dont il avait écopé pour un coup de crosse asséné à l'encontre d'Owen Tippett qui allait défier le portier des Devils Jake Allen en contre-attaque. Le 3-1 est tombé dans une cage vide, à 2'' de la sirène finale.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Des milliers de manifestants contre Trump à Washington
Des milliers de personnes ont manifesté samedi à Washington contre la politique de Donald Trump, deux jours avant le retour du milliardaire à la Maison Blanche.
Baptisée "Marche du peuple" cette manifestation a été organisée par plusieurs groupes de défense des droits civiques et de la justice sociale, dont l'équipe derrière les "Marches des femmes" du 21 janvier 2017 à travers le pays au lendemain de la première investiture de Donald Trump.
Samedi, des pancartes colorées et des petits bonnets roses aux oreilles de chat, les "pussy hats" en référence à ces manifestations il y a huit ans, parsèment le cortège dans le centre de la capitale fédérale américaine.
"Ces lois mettent en danger nos vies. Les femmes meurent. Vos soeurs, vos filles, vos mères, vos amies meurent", affirme Aisha Becker-Burrowes, militante féministe dans la foule.
Sous une pluie fine, Susan Dutwells, venue de Floride (sud-est) avec sa fille pour la manifestation dit "avoir peur" et être "en colère" du retour de Donald Trump. "Tellement de gens votent contre leurs propres intérêts. Je ne comprends pas", a ajouté cette femme de 60 ans.
Autres manifestations prévues
"J'essaie de garder espoir", affirme Carine, une autre manifestante de 40 ans qui n'a pas voulu donner son nom de famille. "Cela fait tellement du bien d'être entourée de beaucoup de monde". Venue d'Arizona (sud-ouest), c'est la première fois qu'elle manifeste à Washington, dit-elle à l'AFP, tout en assurant qu'elle continuera "le combat de retour à la maison".
Sarah Kong, une psychiatre de 31 ans, se sent "motivée, stimulée par tous ces gens. J'ai foi en l'avenir, même si j'ai peur".
Les participants à la marche manifestent pour une série de sujets, selon eux menacés par Donald Trump comme l'accès à l'avortement, la lutte contre le réchauffement climatique ou encore la défense des droits des personnes immigrées.
D'autres manifestations similaires sont prévues dans le pays, notamment à New York.
Après sa victoire le 5 novembre face à la vice-présidente démocrate Kamala Harris, Donald Trump prêtera serment au Capitole lundi midi et deviendra le 47e président des Etats-Unis. Celui qui est encore pour deux jours le président élu est attendu samedi soir à Washington pour une réception dans l'un de ses golfs et un feu d'artifice.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Trump lance sa propre cryptomonnaie, la valorisation bondit
Donald Trump a annoncé, dans la nuit de vendredi à samedi, le lancement de sa propre cryptomonnaie, qui porte son nom. Cela a provoqué une fièvre d'achats qui a fait monter en quelques heures sa valorisation globale à plusieurs milliards de dollars.
Dans un message posté sur son réseau Truth Social ainsi que sur X (ex-Twitter), le président élu a présenté cette nouvelle devise numérique comme un "meme coin".
Ce dernier est une cryptomonnaie destinée à capitaliser sur l'engouement populaire autour d'une personnalité, d'un mouvement ou d'un phénomène viral sur internet. Le "meme coin" n'a pas d'utilité économique ou transactionnelle et est souvent identifié comme un actif purement spéculatif.
"Ce Trump Meme célèbre un leader qui ne recule jamais, quelle que soit la situation", explique le site officiel du projet, évoquant la tentative d'assassinat dont a fait l'objet le candidat républicain en juillet dernier.
Capitalisation à près de 6 milliards
Durant les heures qui ont suivi le lancement du Trump, la communauté crypto s'est interrogée sur la légitimité de ce nouvel actif et son lien avec Donald Trump, certains redoutant une arnaque, comme le monde des "meme coins" en a connu beaucoup.
Mais le fait que les messages d'annonce aient été postés sur les comptes officiels du président élu et que l'une des sociétés derrière le projet, CIC Digital LLC, ait déjà été utilisée par Donald Trump pour vendre des NFT (Non Fungible Token, actifs numériques) a fini par rassurer le marché.
A suivi un coup de chaud qui a fait grimper la valeur de la monnaie numérique, jusqu'à porter la capitalisation totale des unités en circulation à près de 6 milliards de dollars.
Donald Trump ou la société pilotant le lancement, Fight Fight Fight LLC, n'ont pas communiqué sur le produit éventuel généré par l'opération pour ses créateurs. Sollicité par l'AFP, le groupe n'a pas donné suite.
Revirement
Le site officiel indique que 200 millions de jetons (unités) de cette devise ont été mis sur le marché, Fight Fight Fight prévoyant d'en ajouter 800 millions supplémentaires dans les trois ans.
Les créateurs de ce nouvel actif numérique, parmi lesquels figurent Donald Trump, contrôlent l'ensemble des jetons non encore commercialisés, lesquels présentent une valeur théorique d'environ 24 milliards de dollars au cours actuel.
Initialement opposé aux cryptomonnaies, Donald Trump a opéré un revirement radical durant sa récente campagne présidentielle, au point de s'en faire le champion. Il a promis de favoriser le développement de ce secteur, notamment via un allègement de la régulation.
Avant la création de sa propre devise numérique, des entrepreneurs associés à Donald Trump avaient mis en ligne, mi-octobre, une plateforme de cryptomonnaies, baptisée World Liberty Financial.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Gaza: Netanyahu promet de ramener "tous les otages"
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a promis samedi de ramener "tous les otages" détenus dans la bande de Gaza à la veille de l'entrée en vigueur d'un accord de cessez-le-feu dans le territoire palestinien.
"Il s'agit d'un cessez-le-feu provisoire" et "nous nous gardons le droit de reprendre la guerre si besoin et avec le soutien des Etats-Unis", a affirmé M. Netanyahu dans une allocution télévisée, et, le cas échéant, "nous le ferons avec plus de force".
La trêve doit débuter dimanche à 08h30 (07h30 en Suisse), à la veille de l'investiture du président américain élu, Donald Trump, a annoncé samedi le Qatar, l'un des médiateurs avec l'Egypte et les Etats-Unis, qui ont réussi à arracher cet accord après plus d'un an de laborieuses négociations.
"Comme je vous l'avais promis, nous avons changé la face du Moyen-Orient et en conséquence, le Hamas reste battu et solitaire", a ajouté M. Netanyahu, promettant aux Israéliens de ramener "tous les otages".
Selon les termes de l'accord, les hostilités doivent cesser et 33 otages israéliens doivent être libérés, dans une première phase étalée sur six semaines. En échange, Israël va libérer 737 prisonniers palestiniens, selon le ministère israélien de la Justice, l'Egypte faisant état de son côté de "plus de 1890 prisonniers palestiniens" devant être libérés au cours de cette première phase.
Annoncé mercredi par les médiateurs, l'accord ambitionne, selon le Qatar, de déboucher à terme sur une fin définitive de la guerre, déclenchée par une attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël le 7 octobre 2023. Sur 251 personnes enlevées ce jour-là, 94 sont toujours otages à Gaza, dont 34 sont mortes selon l'armée israélienne.
Malgré l'annonce de la trêve, les frappes israéliennes ont continué sur la bande de Gaza faisant plus de 120 morts depuis mercredi, d'après les secours. Samedi, cinq membres d'une même famille ont péri dans un bombardement à Khan Younès (sud), selon la Défense civile.
Netanyahu veut la liste des otages
Le gouvernement israélien a approuvé l'accord samedi, après le feu vert du Hamas, considéré comme une organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne. Des otages seront libérés dès dimanche, a annoncé le gouvernement israélien, sans préciser leur nombre ou à quelle heure.
Trois points d'accueil ont été installés à la frontière sud d'Israël avec Gaza, aux passages de Kerem Shalom, Eretz et à celui proche du kibboutz Réïm, a précisé un responsable militaire. Les captifs seront pris en charge par des médecins puis conduits vers des hôpitaux.
Selon des sources proches du Hamas, le premier groupe d'otages libérés devra être composé de trois Israéliennes. M. Netanyahu a exigé samedi soir de recevoir "la liste" des otages devant être libérés dimanche avant de pouvoir procéder au premier échange de prisonniers.
Israël a désigné 95 détenus palestiniens libérables dimanche, des femmes et mineurs en majorité, la plupart arrêtés après le 7-Octobre. Leur libération interviendra après 14h00 GMT (15h00 en Suisse), d'après les autorités.
Parmi les prisonniers appelés à être libérés figure Zakaria al-Zoubeidi, responsable d'attentats anti-israéliens et ex-leader local de la branche armée du Fatah, arrêté et écroué en 2019.
"Je compte les minutes"
Dans la bande de Gaza ravagée par l'offensive israélienne menée en représailles à l'attaque du 7-Octobre, de nombreux déplacés se préparent à rentrer chez eux. "Je compte les minutes", confie à l'AFPTV Mohamed al-Moataz, un déplacé palestinien, à Deir el-Balah (centre).
L'attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1210 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles. Au moins 46'899 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans l'offensive israélienne à Gaza, déjà minée par un blocus israélien imposé depuis 2007, la pauvreté et le chômage, selon les données du ministère de la Santé du Hamas jugées fiables par l'ONU.
"Faire ce qui doit être fait"
Selon le président américain, Joe Biden, la première phase de l'accord comprend aussi un retrait israélien des zones densément peuplées à Gaza et une augmentation de l'aide humanitaire dans le territoire menacé par la famine selon l'ONU.
Les autorités égyptiennes ont annoncé que l'accord prévoyait "l'entrée de 600 camions d'aide par jour dans Gaza, incluant 50 camions de carburant".
Pendant la première phase seront négociées les modalités de la deuxième, qui doit permettre la libération des derniers otages, avant la troisième et dernière étape consacrée à la reconstruction de Gaza et à la restitution des corps des otages morts en captivité.
Considérablement affaibli, le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, est toutefois encore loin d'être anéanti, contrairement à l'objectif qu'avait fixé le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, selon des experts.
Samedi, M. Trump a déclaré à la chaîne américaine NBC qu'il avait dit à M. Netanyahu que la guerre "devait prendre fin". "Nous voulons qu'elle prenne fin, mais nous devons continuer à faire ce qui doit être fait", a-t-il déclaré.
Malgré l'annonce de la trêve à Gaza, les rebelles houthis au Yémen, qui soutiennent les Palestiniens, ont revendiqué deux attaques au missile samedi contre Israël, qui ont été interceptés par l'armée.
La ville de Tel-Aviv a aussi été le théâtre d'une attaque au couteau perpétrée par un "terroriste" selon la police, laissant entendre qu'il s'agirait d'un Palestinien. Un homme a été blessé et l'assaillant "neutralisé" par un civil armé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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