International
Médaille assurée pour Guerdat, qualifié pour un barrage à trois
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Steve Guerdat et Dynamix de Belheme sont assurés de décrocher une médaille dans l'épreuve olympique individuelle de saut d'obstacles.
Le Jurassien est l'un des trois seuls cavaliers à avoir signé un sans faute sur le terrible parcours proposé aux 30 finalistes.
Remarquable de fluidité, le champion olympique 2012 s'est montré le plus rapides parmi les candidats au podium (80''99). Ses adversaires dans le barrage seront le Néerlandais Maikel van der Vleuten, sur Beauville Z, et l'Allemand Christian Kukuk, sur Checker 47.
Cruel dénouement en revanche pour Martin Fuchs et Leone Jei mardi matin dans le Château de Versailles. La Zurichois a commis une faute sur le dernier obstacle, alors qu'il avait réussi l'exploit d'effectuer plus de la moitié du parcours sans son étrier gauche. Il semble bel et bien maudit aux JO.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Corée du Sud: l'ex-président Yoon inculpé d'aide à l'ennemi
Le parquet sud-coréen a inculpé lundi l'ex-président Yoon Suk Yeol d'aide à l'ennemi. La justice accuse l'ex-président d'avoir nui aux intérêts militaires de son pays en ordonnant l'envoi de drones en Corée du Nord.
Les deux voisins sont techniquement toujours en guerre depuis leur conflit (1950-1953) qui s'est soldé par un armistice et non par un traité de paix.
En octobre 2024, la Corée du Nord avait affirmé détenir la preuve que le Sud avait fait voler des drones au-dessus de sa capitale, Pyongyang, pour y déverser des brochures de propagande. Séoul n'a pas confirmé.
Le parquet sud-coréen a ouvert une enquête spéciale en 2025 afin de déterminer s'il s'agissait là d'une tentative délibérée de M. Yoon de provoquer le Nord, pour ensuite utiliser sa réaction comme casus belli.
Selon les investigations, l'ex-dirigeant conservateur et d'autres personnes "ont conspiré pour créer les conditions permettant la déclaration de la loi martiale d'urgence, augmentant ainsi le risque d'une confrontation intercoréenne armée et portant atteinte aux intérêts militaires publics", a détaillé à la presse Park Ji-young, assistante du procureur spécial.
Yoon Suk Yeol est accusé d'avoir "favorisé l'ennemi en général" ainsi que d'"abus de pouvoir", a-t-elle ajouté.
M. Yoon, actuellement en prison, a été destitué en avril au terme d'une séquence chaotique déclenchée par sa brève imposition de la loi martiale le 3 décembre 2024.
Dans son allocution de ce jour-là, il avait notamment invoqué des menaces nord-coréennes pour justifier sa décision choc.
Mme Park a expliqué que des preuves irréfutables avaient été découvertes dans une note de l'ex-chef du contre-espionnage de Yoon Suk Yeol. Le document préconise de "créer une situation instable ou de saisir une opportunité qui se présenterait".
Pour cela, il suggère que l'armée vise des lieux "qui leur (le Nord) feraient perdre la face, afin qu'une riposte soit inévitable, comme Pyongyang" ou la grande ville côtière de Wonsan.
Durant son mandat, M. Yoon a tenu une ligne dure face à Pyongyang et opéré un net rapprochement avec les États-Unis, autre ennemi du Nord.
Le 3 décembre 2024, il a déployé l'armée au Parlement pour en prendre le contrôle, mais un nombre suffisant de députés était parvenu à se réunir pour voter la fin de la loi martiale.
M. Yoon a été arrêté en janvier, destitué en avril puis remplacé en juin par son rival démocrate Lee Jae Myung, qui prône l'apaisement avec Pyongyang.
Yoon Suk Yeol est toujours au coeur d'un procès pour insurrection, également en lien avec son coup de force.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'Indonésie fait de l'ex-dictateur Suharto un "héros national"
L'Indonésie a élevé lundi au rang de "héros national" l'ex-dictateur Suharto par décret présidentiel. Cela, malgré les accusations de violations des droits humains qui pèsent sur lui.
Selon le texte lu par le secrétaire militaire du président Prabowo Subianto, Suharto figure parmi dix personnalités nouvellement honorées.
Une pétition contre la distinction de l'ex-dictateur décédé en 2008, avait réuni la signature de plus de 500 universitaires, académiciens et militants des droits humains, demandant à Prabowo de le retirer de la liste.
Ancien officier supérieur, Suharto a dirigé l'Indonésie d'une main de fer jusqu'en 1998 après avoir pris le pouvoir à la suite de massacres de grande ampleur en 1965/1966.
Prabowo, lui même un ex-militaire, occupait le poste de chef des forces spéciales à la fin du régime de Suharto, dont il a épousé la fille.
Dans la liste des nouveaux héros nationaux apparaissent également les noms de Marsinah, jeune militante syndicaliste tuée en 1993, et d'Adburrahman Wahid, ancien président décédé en 2009.
Lundi, le secrétaire d'Etat Prasetyo Hadi a défendu le choix du gouvernement concernant Suharto.
"Cela fait partie de la façon dont nous rendons hommage à nos prédécesseurs, en particulier nos dirigeants, qui ont sans aucun doute contribué de manière extraordinaire à la nation et au pays", a-t-il affirmé aux journalistes.
Le régime de l'ancien général a été marqué par un essor économique mais aussi par des accusations de corruption massive et de violations des droits humains, dont une répression sanglante des oppositions, ainsi que par l'annexion du Timor oriental.
Dans leur lettre, les quelque 500 personnalités de la société civile ont estimé que l'attribution de ce titre à Suharto représentait une "trahison des victimes et des valeurs démocratiques", "une trahison des réformes et une dangereuse distorsion de l'histoire pour la jeune génération".
La Commission pour les disparus et les victimes de violences (Kontras), une ONG indonésienne de défense des droits, a dénoncé une décision "normalisant l'impunité".
Au regard des accusations qui pèsent sur lui, l'ex-dictateur "ne mérite pas de recevoir le titre de héros national", s'est insurgé auprès de l'AFP le coordinateur de la Kontras, Dimas Bagus Arya.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Les Philippines évaluent les dégâts après le super-typhon Fung-wong
Les Philippines évaluent les dégâts lundi après le passage dans la nuit du super-typhon Fung-wong. Ce dernier a fait au moins deux morts et contraint plus d'un million de personnes à évacuer.
"De nombreuses maisons ont été endommagées et certaines de nos routes principales sont impraticables en raison des glissements de terrain", a décrit à l'AFP Geofry Parrocha, secouriste, depuis la ville de Dipaculao (nord-est) où l'électricité n'est toujours pas rétablie.
Selon lui, les autorités n'ont pu arriver sur les lieux que le lundi matin. "Nous n'avons pas pu nous mobiliser hier soir car les pluies étaient fortes et le niveau de l'eau était haut", explique-t-il.
Fung-wong s'est abattu dimanche soir sur la côte est du pays sous la forme d'un "super-typhon" couvrant presque l'ensemble du territoire, quelques jours seulement après que le typhon Kalmaegi a balayé les îles du centre des Philippines, faisant au moins 224 morts.
La majorité des écoles et des administrations publiques sont restées fermées lundi sur l'île principale de Luçon, y compris dans la capitale Manille, anticipant l'arrivée de fortes pluies.
Vers Taïwan
Le typhon doit maintenant se diriger vers Taïwan tout en s'affaiblissant, a indiqué lundi le service météorologique national.
Sur son passage, deux décès ont été enregistrés aux Philippines à ce stade.
Le corps d'une femme de 64 ans qui tentait d'évacuer a été retrouvé dans la province de Samar (est), sous des décombres et des arbres, a déclaré à l'AFP Juniel Tagarino, secouriste à Catbalogan City.
Le bureau de la protection civile a ensuite confirmé la noyade d'une autre personne dans une crue soudaine sur l'île de Catanduanes (nord-est).
Le typhon a également entraîné l'évacuation d'1,4 million de personnes dans le pays.
"Nous sommes souvent victimes d'inondations chez nous, alors quand on nous a dit d'évacuer, nous avons évacué, car nous aurions été piégés", a raconté à l'AFP Loretta Salquina, réfugiée dans un centre d'évacuation de la province de Cagayan (nord).
Selon les scientifiques, le dérèglement climatique généré par l'activité humaine rend les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents, plus meurtriers et plus destructeurs.
Des océans plus chauds permettent aux typhons de se renforcer plus vite, quand des températures générales plus élevées entraînent une atmosphère plus humide et donc des pluies plus importantes.
"Le sol tremblait"
Catanduanes a été frappée dimanche matin par des vents violents et des pluies torrentielles, inondant rues et maisons.
"Les vagues ont commencé à rugir vers 07h00 du matin. Quand elles ont frappé la digue, c'était comme si le sol tremblait", a décrit à l'AFP Edson Casarino, 33 ans, habitant de la ville de Virac, à Catanduanes.
L'église de la ville a été encerclée par les eaux, montant jusqu'à la mi-hauteur de son entrée, montre une vidéo authentifiée par l'AFP.
Des inondations importantes ont également été constatées dans la région de Bicol, plus au sud.
Quelques jours plus tôt, le typhon Kalmaegi avait déjà provoqué des inondations dans plusieurs villes des îles de Cebu et Negros, emportant des voitures, des bidonvilles situés près des rivières et d'énormes conteneurs maritimes.
Les opérations de recherche et de sauvetage à Cebu ont été suspendues samedi en raison des risques liés à l'approche du super-typhon.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Pas d'indigènes dans le nouveau gouvernement bolivien
Le président bolivien de centre droit Rodrigo Paz a présenté dimanche son gouvernement, dans lequel ne sont pas représentés les secteurs indigènes et populaires qui ont joué un rôle prépondérant au cours des 20 dernières années de domination socialiste.
Durant les mandats d'Evo Morales (2006-2019) et de Luis Arce (2020-2025), des dirigeants paysans avaient été nommés à des postes de ministres.
Selon le dernier recensement de 2024, 38,7% des 11,3 millions d'habitants de la Bolivie sont indigènes, principalement des Quechuas et des Aymaras.
M. Paz a placé à la tête de ministères clés des collaborateurs liés au secteur privé et des technocrates: Fernando Aramayo (ministère des Affaires étrangères), Gabriel Espinoza (économie) et Mauricio Medinacelli (hydrocarbures et énergie).
M. Paz a justifié l'absence des représentants de mouvements populaires dans son équipe ministérielle. "Pendant 20 ans, certains secteurs ont été représentés (...) Aujourd'hui, après 20 ans de cette méthode de travail, la Bolivie va-t-elle mieux?", a demandé le dirigeant.
"C'est le moment de laisser la place à la méritocratie, à l'efficacité, à la transformation de l'État pour servir le peuple", a-t-il ajouté.
La prise de fonction a également marqué une rupture avec les gouvernements de MM. Morales et Arce. La prestation de serment s'est déroulée devant une Bible et un crucifix, qui avaient été remplacés par des symboles indigènes pendant les mandats du MAS.
Le nouveau président a également choisi de retirer le drapeau multicolore "wiphala", emblème des peuples indigènes et les Aymaras en particulier, de la façade du palais du gouvernement, suscitant les critiques de M. Morales.
"Le retirer du palais est une offense au mouvement indigène paysan et une tentative d'effacer la mémoire collective. Nous sommes passés d'un État d'inclusion à un État d'exclusion", a déclaré l'ancien président sur X.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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