International
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La télévision officielle palestinienne a annoncé qu'un de ses correspondants dans la bande de Gaza avait été tué jeudi soir dans une frappe israélienne contre son appartement.
"Le collègue Mohammad Abou Hatab est tombé en martyr avec des membres de sa famille dans un bombardement israélien contre sa maison à Khan Younès (sud)", a indiqué la chaîne Palestine TV.
Des sources médicales à l'hôpital Nasser de Khan Younès, où les corps ont été transportés, ont indiqué à un correspondant de l'AFP sur place que la frappe avait fait onze morts.
Dans sa dernière intervention en direct à l'antenne peu avant sa mort, Mohammad Abou Hatab, 52 ans, avait évoqué, au 27ème jour de la guerre entre Israël et le Hamas, "les morgues qui se remplissent de martyrs et les corps qui se trouvent encore sous les décombres".
Au moins 27 journalistes palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, déclenchée après l'attaque sans précédents du mouvement islamiste sur le sol israélien le 7 octobre, selon le syndicat palestinien des journalistes.
Côté israélien, plus de 1400 personnes selon les autorités ont été tuées depuis le 7 octobre, en majorité des civils le jour de l'attaque du Hamas.
Le ministère de la Santé du Hamas a de son côté annoncé que les bombardements israéliens lancés en représailles ont tué plus de 9000 personnes, en immense majorité des civils.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Michael Madsen, acteur de "Reservoir Dogs" et "Kill Bill", est mort
L'acteur Michael Madsen, connu pour ses rôles dans les films de Quentin Tarantino "Reservoir Dogs" et "Kill Bill", est décédé jeudi d'une crise cardiaque à l'âge de 67 ans, ont annoncé ses agents.
"Michael Madsen était l'un des acteurs les plus emblématiques d'Hollywood, qui manquera à beaucoup", ont salué ses agents Susan Ferris et Ron Smith dans un communiqué commun avec son attachée de presse, Liz Rodriguez.
Le comédien a été retrouvé sans vie jeudi matin dans sa maison de Malibu, ont-ils confirmé.
En plus de 40 ans de carrière, l'acteur est apparu dans plus de 300 productions.
Ses rôles les plus marquants restent celui de Mr. Blonde, criminel psychopathe prenant plaisir à torturer un policier dans "Reservoir Dogs" (1992), et Budd, le petit frère du méchant des deux volets de "Kill Bill" (2003 et 2004).
Quentin Tarantino l'appréciait beaucoup et lui a également confié des rôles dans son western "Les Huit Salopards" (2015) et dans sa fable nostalgique "Once Upon a Time... in Hollywood" (2019).
L'acteur devait initialement jouer le rôle de Vincent Vega dans le film culte "Pulp Fiction" (1994), mais il a finalement préféré jouer dans une autre production, laissant la place à John Travolta pour incarner le fameux tueur à gages.
Il est également apparu dans "Donnie Brasco" (1997), "Thelma & Louise" (1991), "Sin City" (2005) et le James Bond "Meurs un autre jour" (2002).
Recueils de poésie
Né à Chicago en 1957, d'un père pompier et d'une mère réalisatrice, il avait une soeur également actrice, Virginia Madsen.
Au cours de sa carrière, il a également prêté sa voix pour plusieurs jeux vidéo, dont "Grand Theft Auto III". Il a aussi publié plusieurs recueils de poésies.
Marié trois fois, Michael Madsen avait eu six enfants, dont l'un s'était suicidé en 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La Grèce en lutte contre des incendies en Crète et près d'Athènes
Les pompiers grecs luttaient contre les flammes jeudi dans le sud-est de l'île de Crète, qui ont entraîné l'évacuation par précaution de quelque 5000 personnes, mais aussi près d'Athènes, selon les autorités.
Dans la Turquie voisine, deux incendies faisaient également rage dans la province touristique d'Izmir.
A une trentaine de kilomètres à l'est d'Athènes, près du port de Rafina, actif notamment pour les ferries à destination de certaines îles touristiques, un feu s'est déclaré jeudi après-midi, attisé par les vents importants qui soufflent dans cette zone périurbaine.
"D'importants moyens terrestres et aériens luttent pour contenir l'incendie", a annoncé Vassilios Vathrakoyannis, porte-parole des pompiers lors d'un point-presse, avec 170 pompiers déployés, 48 véhicules, 17 avions et 7 hélicoptères.
Quelque 300 personnes ont été évacuées et 51 secourues, a-t-il indiqué.
Il a également prévenu que les prochains jours "s'annoncent difficiles" en Grèce en raison d'une hausse des températures attendue associée à des vents violents, notamment dans la région d'Athènes.
En Crète, l'une des principales destinations touristiques de Grèce, l'incendie qui s'est déclenché mercredi dans des broussailles a poussé les autorités à évacuer "3000 touristes et 2000 habitants dans la nuit de mercredi à jeudi", a assuré le président de l'Union des hôteliers de la région, Yorgos Tzarakis, à l'AFP.
"Six hôtels et de nombreuses chambres louées par des touristes ont été évacués" dans la région autour de la ville côtière de Iérapetra, selon lui.
"La plupart des touristes ont été transférés dans le nord de l'île", la plus grande de Grèce, a-t-il ajouté, joint par téléphone.
Message d'urgence
Près de Rafina, les fumées se sont répandues jusqu'aux abords de l'aéroport international d'Athènes sans toutefois perturber le trafic aérien.
La télévision publique ERT a diffusé des images de maisons brûlées tandis que Dimitris Markou, le maire des communes de Spata-Artemis touchées par le feu avançait le chiffre de "5 à 6 maisons incendiées et des véhicules".
"La situation est très difficile", a également assuré l'élu de ces communes proches de l'aéroport, à l'agence de presse ANA. "Le front de feu est vaste. Les vents changent de direction", a-t-il ajouté. "Nous livrons une grande bataille avec toutes nos forces pour que l'incendie soit maîtrisé avant la tombée de la nuit".
La route principale en direction d'Athènes a été bloquée à la circulation, et selon ERT, les autorités portuaires ont interdit à un ferry d'accoster.
Dans la Turquie voisine, deux incendies ravagent les forêts depuis mercredi soir de part et d'autre de la ville d'Izmir, poussés par des vents changeants de plus de 85 km/h qui compliquent le travail des pompiers, selon les responsables locaux.
En Crète, des renforts ont été envoyés d'Athènes pour aider les pompiers locaux dont la tâche est rendue difficile par l'intensité des vents qui soufflent sur la région.
Quelque 270 pompiers, 10 hélicoptères et des drones luttent contre les flammes, selon les pompiers.
Terrain accidenté
La lutte contre le feu est rendue particulièrement difficile par le terrain accidenté et aride dans cette partie de la plus grande île de Grèce.
Selon des médias, des maisons et des cultures, en particulier des serres, ont été endommagées dans cette région productrice de légumes et de fruits.
Outre l'agriculture, Iérapetra qui compte 23'000 d'habitants, est une station balnéaire. Comme sur le reste de l'île, la saison touristique bat son plein.
Le mois de juillet est chaque année "le plus chaud de l'été et le risque d'incendie est toujours très fort", a souligné le porte-parole des pompiers grecs.
Au cours des dernières 24 heures, 40 incendies de végétation et de forêt se sont déclarés, selon M. Vathrakoyannis.
La Grèce a jusqu'ici été épargnée par la canicule qui frappe une partie de l'Europe, en particulier l'Espagne, le Portugal et la France.
Mais à partir de ce weekend, les températures vont grimper et atteindre jusqu'à 43°C dans certaines régions, selon les prévisions météorologiques de la chaîne ERT.
Le risque d'incendies reste lui aussi très élevé vendredi dans plusieurs régions, dont celle d'Athènes, l'Attique.
Située dans le sud-est de l'Europe sur la Méditerranée, la Grèce est particulièrement vulnérable aux incendies chaque été, alimentés par des vents violents, la sécheresse et des températures élevées.
Quelque 45'000 hectares avaient été brûlés, selon le WWF Grèce et l'Observatoire national d'Athènes.
Mais 2023 reste l'année la plus destructrice en terme de superficie brûlée avec près de 175'000 hectares partis en fumée et 20 morts.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Finlande: quatre personnes poignardées à Tampere, un suspect arrêté
Quatre personnes ont été poignardées jeudi près d'un centre commercial dans la ville de Tampere, en Finlande, et un suspect arrêté, a annoncé la police dans un communiqué.
"L'incident a entraîné des blessures chez quatre personnes", a écrit la police sans en indiquer la gravité.
Un peu plus tôt dans la journée, elle avait indiqué que les victimes, dont l'identité n'a pas été révélée, recevaient les premiers soins.
"Le lieu de l'incident et ses environs ont été inspectés. La police a levé le périmètre de sécurité et a quitté les lieux", a-t-elle aussi écrit, précisant que le suspect, qui a été immédiatement arrêté, n'avait pas "de motivation terroriste ou raciste".
La police a indiqué avoir été alertée à 16h23 heure locale.
Plusieurs voitures de police et des ambulances ont rapidement été dépêchées sur les lieux de l'attaque, selon des médias locaux.
D'après le quotidien Ilta-Sanomat, le suspect est un homme dans la vingtaine. Sur ordre de la police, il a levé les mains puis s'est allongé au sol sans résistance, ont déclaré des témoins oculaires.
La ville de Tampere, qui compte environ 260'000 habitants, est située à 180 kilomètres au nord d'Helsinki.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
A Paris, 640 Vélib' disparaissent chaque semaine
Avec quelque 640 vélos qui disparaissent chaque semaine de ses radars, l'Agemob, organisme public qui gère les vélos partagés Vélib' en région parisienne, "alerte" d'un niveau de vandalisme "trois fois supérieur" à la normale.
"Ce ne sont que quelques centaines de fraudeurs, mais ça suffit à mettre le système en l'air", s'est inquieté jeudi auprès de l'AFP Sylvain Raifaud, président de l'Agemob.
"En ce moment, il nous manque 3000 vélos" sur un parc qui doit en principe compter 20'000 Vélib' en circulation, 40% d'électriques et 60% de mécaniques, chiffre-t-il.
"Le phénomène de vandalisme a toujours existé, mais il était relativement contenu" jusqu'à présent. Or "là, on est sur une alerte, puisque le nombre de vélos abandonnés est trois fois supérieur à l'ordinaire (...) depuis un mois" : 640 par semaine, contre 230 habituellement, selon lui.
Abandonnés
Comment est-ce possible ? "Des personnes secouent les vélos jusqu'à ce qu'ils se décrochent et puis ils partent avec", indique M. Raifaud. Les engins, qui se bloquent automatiquement après 24 heures, sont alors abandonnées.
Problème, "on ne sait pas où sont les vélos, ils n'ont pas de puce GPS", déplore le président de l'organisme.
Et si "16 personnes supplémentaires ont été embauchées pour aller chercher les Vélib'" par Smovengo, l'exploitant (depuis 2018) de ce service public, la marge de manoeuvre reste limitée pour l'Agemob, qui n'a pas de moyens d'identifier ou de sanctionner les auteurs, puisqu'ils contournent le système.
Afin de "couper le robinet du vandalisme", l'organisme a "besoin des communes, des polices (...) pour mieux surveiller les stations", et des usagers "pour signaler" les vélos égarés, plaide le dirigeant.
Pourquoi cette augmentation ? "On ne sait pas", avoue-t-il, se demandant s'il existe "un tuto qui circule (sur) comment débloquer un vélo gratuitement", et estimant qu'il s'agit sûrement d'"actions un peu coordonnées."
Usure de la flotte restante
Pour lui, ce trou dans la flotte entraîne l'usure des vélos restants, qui mécontente les utilisateurs.
"Les vélos qui sont disponibles sont beaucoup plus utilisés, beaucoup plus fatigués", notamment les engins électriques, davantage demandés et dont les batteries "n'ont pas le temps de recharger".
"C'est ce qui fait que vous avez des stations entières (...) (avec) des vélos qui ne sont pas utilisables", et que "les usagers sont extrêmement frustrés", estime le président de l'Agemob.
Le service est de plus en plus sollicité : en mai dernier, Vélib' a enregistré 16% de courses en plus qu'en mai 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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