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International

L'ONU lance un cri d'alarme pour Gaza, Israël entame l'invasion

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Des Palestiniens marchent dans les ruines à Gaza City. L'attaque israélienne se déroule désormais à huis clos: les communications et internet ont été coupés dans l'enclave palestinienne, selon le gouvernement du Hamas. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

L'armée israélienne a annoncé vendredi soir "étendre" ses opérations terrestres dans la bande de Gaza, pilonnée par d'intenses bombardements. L'ONU, qui réclame une trêve, redoute une "avalanche sans précédent de souffrances".

En soirée le Hamas a fait état de "violents combats" entre ses combattants et les forces israéliennes qui, selon le mouvement islamiste palestinien, ont effectué des incursions au sol dans deux secteurs de l'enclave.

"Nous faisons face à des incursions israéliennes au sol à Beit Hanoun (nord) et al Boureij (centre). De violents combats sont en cours", a indiqué la branche militaire du Hamas, les brigades Ezzedine al-Qassam dans un communiqué.

Le Hamas a auparavant appelé le monde à "agir immédiatement" pour faire cesser les bombardements "sans précédent" depuis le début de la guerre, sur le nord de la bande de Gaza, notamment Gaza-ville, selon des images de l'AFP et le mouvement palestinien.

Communications coupées

Parallèlement, les communications et internet ont été coupés, selon le gouvernement du Hamas, au pouvoir dans ce territoire depuis 2007. Les journalistes de l'AFP dans la bande de Gaza ont expliqué qu'ils ne pouvaient communiquer que dans les zones où ils captaient le réseau israélien.

Les bombardements "par air, mer et terre" sont "les plus violents depuis le début de la guerre", a affirmé le Hamas, accusant Israël de "préparer des massacres". En réponse, le Hamas a annoncé avoir tiré "des salves de roquettes" sur Israël. Il s'est aussi dit "prêt" si Israël déclenche une offensive terrestre.

Israël commet des crimes de guerre

"Sans un changement fondamental, la population de Gaza va subir une avalanche sans précédent de souffrance humaine", a alerté le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.

"Beaucoup plus" de gens vont "bientôt mourir" en raison du siège imposé par Israël à Gaza depuis le 9 octobre, a affirmé de son côté à Jérusalem le patron de l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Philippe Lazzarini.

Le Haut-Commissariat des droits de l'homme de l'ONU s'est lui dit "préoccupé" par le fait que des "crimes de guerre" aient été commis et le soient encore dans cette guerre, y compris par Israël, ajoutant qu'"aucun endroit n'est sûr à Gaza".

USA pour une "pause humanitaire"

Face à cette situation, les Etats-Unis se sont déclarés favorables vendredi à une "pause humanitaire" afin de laisser entrer l'aide dans la bande de Gaza.

L'ONU réclame une trêve, seule option pour acheminer cette aide humanitaire indispensable aux besoins des quelque 2,4 millions de Gazaouis.

En soirée, L'Assemblée générale de l'ONU a demandé à une large majorité (120 votes pour, 14 contre et 45 abstentions) une "trêve humanitaire immédiate".

Avant de pilonner le nord de Gaza vendredi soir, l'armée israélienne a mené dans la nuit une attaque avec des troupes au sol appuyées par des avions contre le Hamas, qu'elle accuse de mener la guerre depuis les hôpitaux et de se servir de la population comme "bouclier humain". Le Hamas a immédiatement démenti ces déclarations israéliennes dans un communiqué.

"Les services de base s'effondrent"

Gaza a un besoin urgent d'aide humanitaire "significative et continue", a affirmé Philippe Lazzarini. "Les services de base s'effondrent, les réserves de médicaments, de nourriture et d'eau s'épuisent, les égouts commencent à déborder dans les rues de Gaza", a-t-il décrit.

Selon le ministère de la Santé du Hamas, 7326 personnes, en majorité des civils dont plus de 3000 enfants, ont été tuées dans le territoire par les bombardements lancés par Israël suite à l'attaque du Hamas le 7 octobre.

Un bilan que Philippe Lazzarini juge crédible. Si l'on rapporte ce bilan au nombre total d'employés de l'UNRWA dans la bande de Gaza, "nous retrouvons plus ou moins la même proportion" de personnes décédées que dans la population totale de 2,4 millions d'habitants sur le territoire, a-t-il dit.

L'UE pour "des pauses"

La perspective d'une invasion terrestre dans ce territoire surpeuplé inquiète la communauté internationale et les appels demandant à Israël d'épargner les civils se multiplient.

Les dirigeants de l'Union européenne ont aussi demandé jeudi des "pauses" dans le conflit et l'ouverture de couloirs humanitaires pour faciliter l'acheminement de l'aide internationale.

"Les images que nous voyons d'une population qui souffre à Gaza, et surtout des enfants (...) ça me semble absolument inacceptable", a déclaré le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, pour qui il existe "un doute légitime" sur le respect par Israël du droit international.

Israël a dit vouloir "anéantir" le Hamas après l'attaque du 7 octobre, dans laquelle 1400 personnes ont été tuées selon Tel Aviv. Selon l'armée israélienne, 229 otages, israéliens, binationaux ou étrangers, ont été emmenés dans la bande de Gaza par le Hamas, qui a relâché quatre femmes depuis. Le Hamas a estimé jeudi que "près de 50" otages avaient été tués dans les bombardements d'Israël.

Aide totalement insuffisante

Depuis le 21 octobre, 74 camions d'aide humanitaire sont arrivés depuis l'Egypte dans la bande de Gaza, selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (Ocha) jeudi soir, quand il en faudrait au moins cent par jour, selon l'ONU.

"Ces quelques camions ne sont rien d'autre que des miettes qui ne feront aucune différence" pour la population, a lancé Philippe Lazzarini.

L'UNRWA ne peut plus travailler

L'UNRWA a annoncé avoir "réduit ses opérations de manière significative", en raison des bombardements et du manque de carburant, tandis que 12 des 35 hôpitaux de la bande de Gaza ont dû fermer.

Ce territoire pauvre soumis à un blocus israélien terrestre, aérien et maritime depuis que le Hamas y a accédé au pouvoir, est placé depuis le 9 octobre en état de "siège total" par Israël, qui y a coupé l'eau, l'électricité et l'approvisionnement en nourriture.

Déplacés vers le sud, puis bombardés

Depuis le 15 octobre, l'armée israélienne ordonne à la population du nord du territoire, où les bombardements sont les plus intenses, à évacuer vers le sud. Au moins 1,4 million de Palestiniens ont fui leur foyer depuis le début de la guerre, selon l'ONU.

Mais les frappes continuent aussi de toucher le sud, où sont massés plusieurs centaines de milliers de civils près de la frontière égyptienne fermée. Selon l'ONU, quelque 30'000 déplacés ont cependant regagné ces derniers jours le nord du territoire.

"Nous retournons pour mourir dans nos maisons. Ce sera plus digne", a affirmé Abdallah Ayyad, qui après s'être réfugié dans un hôpital à Deir el-Balah, retourne à Gaza-ville, avec sa femme et leurs cinq filles, serrés dans la remorque d'un triporteur.

Frappes américaines en Syrie

La communauté internationale redoute un embrasement régional, alors que l'Iran, puissant soutien du Hamas, a lancé plusieurs avertissements aux Etats-Unis, alliés d'Israël.

Les Etats-Unis ont mené des frappes jeudi contre deux installations utilisées par les Gardiens de la révolution iraniens et des "groupes affiliés" dans l'est de la Syrie.

La tension est très vive aussi en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967, ainsi qu'à la frontière nord d'Israël avec le Liban, où les échanges de tirs sont quotidiens entre l'armée israélienne et le Hezbollah, soutenu par l'Iran et allié du Hamas. Près de 29'000 personnes ont été déplacées au Liban depuis le début des ces violences, selon l'ONU vendredi.

Plus de 100 morts en Cisjordanie

En Cisjordanie, plus de cent Palestiniens ont été tués dans des violences depuis le 7 octobre, selon le ministère palestinien de la Santé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Culture

Prix national de la tauromachie supprimé par le gouvernement espagnol

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Doté de 30'000 euros, le prix national de la tauromachie avait été remis pour la première fois en 2013 en Espagne, après avoir été créé en 2011 (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/JERO MORALES)

Le gouvernement de gauche espagnol a annoncé vendredi la suppression du prix national de la tauromachie. Cette mesure, applaudie par les défenseurs des animaux, a irrité les aficionados des corridas et l'opposition.

"Il ne nous semblait pas pertinent de maintenir un prix qui récompense une forme de maltraitance animale" alors qu'"une majorité d'Espagnols (...) s'inquiète de plus en plus" du bien-être animal, a indiqué le ministre de la Culture, Ernest Urtasun, sur la chaîne de télévision La Sexta.

Garder ce prix serait "d'autant moins compris que ces formes de torture animale sont récompensées par des médailles qui, de surcroît, sont accompagnées d'une dotation" financée par de "l'argent public", a poursuivi le ministre, qui est membre du parti d'extrême gauche Sumar.

Ce prix de 30'000 euros, remis chaque année, a été décerné pour la première fois en 2013, après avoir été créé en 2011 sous un autre gouvernement de gauche. Des toreros de renom l'ont reçu, à l'instar de Julián López, dit "El Juli", ou encore Enrique Ponce.

Si les corridas continuent d'attirer des passionnés en Espagne, où les principaux toreros sont des célébrités, les enquêtes d'opinion montrent une baisse d'intérêt dans tout le pays, tout particulièrement chez les jeunes. Selon les derniers chiffres du ministère de la Culture, seul 1,9% des Espagnols a assisté à une corrida pendant la saison 2021-2022.

"Activité qui fait partie de notre culture"

Le Parti populaire (droite, conservateur), la principale formation d'opposition, a promis de rétablir ce prix s'il revenait au pouvoir. "La tauromachie est une activité qui fait partie de notre culture en Espagne, qui fait partie de nos traditions (...), de notre identité en tant que peuple", et la suppression de ce prix est la preuve du "sectarisme de ceux qui nous gouvernent", a critiqué, devant la presse, le président du groupe PP à la Chambre des députés, Miguel Tellado.

Plusieurs gouvernements régionaux ont annoncé qu'ils allaient créer leur propre prix de tauromachie, dont le gouvernement de Castille-La-Manche dirigé par des socialistes,

La Fondation "Taureau de combat" (Fundacion del Toro de Lidia), la principale organisation du secteur, a affirmé dans un communiqué que le gouvernement "avait l'obligation de promouvoir et d'encourager toutes les manifestations culturelles, dont la tauromachie".

"Cette mesure marque une étape dans la lutte contre la tauromachie, une pratique controversée", s'est félicitée de son côté l'association de défense des droits des animaux Animanaturalis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Le marché de l'emploi ralentit en avril aux Etats-Unis

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Si un marché du travail solide est une bonne nouvelle pour les employés, les tensions liées à un manque de main d'oeuvre depuis près de trois ans avaient contribué à alimenter l'inflation aux Etats-Unis. (archives) (© KEYSTONE/EPA/ETIENNE LAURENT)

Le marché de l'emploi a ralenti en avril aux Etats-Unis, avec des embauches en baisse et un chômage en légère hausse, au moment où la Fed lutte contre un rebond de l'inflation et à six mois de l'élection présidentielle.

En avril, 175.000 emplois ont été créés, contre 315.000 en mars - données révisées en hausse -, selon les chiffres publiés vendredi par le département du Travail.

Le taux de chômage a lui légèrement augmenté, à 3,9% contre 3,8%.

Les analystes attendaient 240.000 créations d'emplois et un taux de chômage stable à 3,8%, selon le consensus de Market Watch.

En avril, ce sont notamment les secteurs de la santé, du social, du transport et de la logistique qui ont embauché, précise le département du Travail dans son communiqué.

Les créations d'emplois ont augmenté "au rythme le plus lent depuis octobre 2023" et la variation annuelle des salaires est inférieure à 4% "pour la première fois depuis 2021", a relevé Rubeela Farooqi, cheffe économiste pour High Frequency Economics, dans une note.

Le salaire horaire moyen a augmenté de 7 cents, soit 0,2%, pour atteindre 34,75 dollars, détaille le département du Travail. Au cours des 12 derniers mois, le salaire horaire moyen a augmenté de 3,9%.

"Les chiffres actuels confortent également l'idée selon laquelle les baisses de taux - et non les hausses - constituent le scénario privilégié pour la Fed cette année", a ajouté Rubeela Farooqi.

Si un marché du travail solide est une bonne nouvelle pour les employés, les tensions liées à un manque de main d'oeuvre depuis près de trois ans avaient contribué à alimenter l'inflation.

Par conséquent, la situation de l'emploi est regardée de près par la banque centrale américaine, la Fed, qui cherche à lutter contre la flambée des prix.

Conditions "mieux équilibrées"

"Le marché du travail reste relativement tendu, mais les conditions de l'offre et de la demande sont désormais mieux équilibrées", a souligné le président de la Fed, Jerome Powell, mercredi lors d'une conférence de presse.

"La croissance des salaires a ralenti au cours de l'année écoulée et l'écart entre emplois et travailleurs s'est réduit, mais la demande de main-d'oeuvre surpasse toujours l'offre de travailleurs disponibles", avait-il également indiqué.

La Fed a maintenu mercredi ses taux à leur plus haut niveau depuis plus de 20 ans, dans la fourchette de 5,25 à 5,50%.

Alors qu'elle s'apprêtait à commencer à les baisser - ce qui aurait fait baisser les taux d'intérêts des prêts immobiliers, automobiles, ou encore pour les cartes de crédit -, l'inflation a rebondi depuis le début de l'année.

"L'inflation a considérablement diminué au cours de l'année écoulée tandis que le marché du travail est resté solide, ce qui est une très bonne nouvelle. Mais l'inflation reste trop élevée, de nouveaux progrès pour la réduire ne sont pas assurés et la voie à suivre est incertaine", avait encore détaillé le président de l'institution.

Et d'expliquer que "nous avons en fait le luxe d'avoir une forte croissance dans un marché du travail fort, un chômage très faible, une création d'emplois élevée, et tout cela et nous pouvons être patients et nous serons prudents à l'approche de la décision de réduire les taux".

Les inscriptions au chômage sont elles à un niveau historiquement bas depuis plus de deux ans, un peu supérieures à 200.000 chaque semaine, (208.000 fin avril) comme avant la pandémie de Covid-19.

L'emploi est au coeur de la campagne électorale, avant l'élection présidentielle du 5 novembre, qui devrait voir, comme en 2020, un duel entre le président démocrate Joe Biden, et son prédécesseur républicain Donald Trump.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

La ville de Berlin prête à offrir l'ancienne villa de Goebbels

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La villa abritait une salle de cinéma privée et de spacieux séjours avec vue sur le lac de Bogensee, où Joseph Goebbels recevait stars, personnalités et maîtresses (archives). (© KEYSTONE/DPA/PATRICK PLEUL)

Chère à entretenir, difficile à détruire, difficile à vendre... L'ancienne villa du ministre de la propagande de Hitler, Joseph Goebbels, est un fardeau pour la municipalité de Berlin. Celle-ci se dit désormais prête à en faire cadeau.

La ville-Etat de Berlin peine depuis des années à trouver une seconde vie à cette propriété autrefois luxueuse construite près d'un lac, sur une vaste propriété de 17 hectares, dans la campagne qui entoure la capitale allemande.

"Je fais don du terrain à quiconque voudrait le récupérer, c'est un cadeau du Land de Berlin", a déclaré le responsable chargé des finances, Stefan Evers, lors d'une discussion jeudi à la chambre des députés de Berlin, espérant ainsi mettre fin à ce débat interminable.

La propriété est située à une quarantaine de kilomètres de Berlin, dans le land du Brandebourg, mais ni ce dernier ni le gouvernement fédéral ne sont intéressés par un "cadeau aussi généreux", a-t-il ajouté.

Salle de cinéma privée

Joseph Goebbels s'était vu offrir le terrain en 1936. Il y avait fait édifier la vaste demeure grâce aux financements de l'UFA, la puissante société de production cinématographique sur laquelle il régnait en maître absolu. L'édifice en U abritait une salle de cinéma privée, de spacieux séjours avec vue sur le lac de Bogensee, où Goebbels recevait stars, personnalités et maîtresses.

La "villa Goebbels" est d'autant plus encombrante qu'elle vient empêcher toute nouvelle utilisation d'un autre vestige local de l'histoire tumultueuse de l'Allemagne: un vaste complexe érigé après guerre par les autorités de l'ancienne RDA sur le même terrain que la maison du ministre d'Hitler, au milieu de la forêt.

Cet ensemble de bâtiments construit dans le style stalinien du début des années 50 abritait le centre de formation des cadres de la Jeunesse allemande libre (FDJ), l'organisation de jeunesse du parti communiste est-allemand (SED).

Au sein de cette université communiste, la "villa Goebbels" avait été reconvertie notamment en supermarché pour les étudiants et en crèche.

Démolition envisagée

Faute de repreneur ou de subvention, Berlin envisage désormais de tout démolir et de rénover les terrains, car les coûts annuels de sécurité et d'entretien se chiffrent en millions, selon les médias allemands Bild et RBB. Il faudrait pour cela retirer aux bâtiments le statut de monument historique.

En 2016, le Fonds immobilier de Berlin avait renoncé à vendre "la villa Goebbels", déjà très délabrée. Il craignait "qu'elle ne tombe entre de mauvaises mains" et ne "devienne un lieu de pèlerinage pour les nazis".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Carlos Alcaraz déclare forfait pour le Masters 1000 de Rome

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Carlos Alcaraz ne s'alignera pas sur la terre battue romaine. (© KEYSTONE/AP/Manu Fernandez)

Le numéro 3 mondial Carlos Alcaraz ne jouera pas le Masters 1000 de Rome. A trois semaines de Roland-Garros, son avant-bras droit est à nouveau douloureux.

"J'ai ressenti de la douleur, une gêne au bras après avoir joué à Madrid", a écrit l'Espagnol sur ses réseaux sociaux, deux jours après sa défaite contre Andrey Rublev en quart de finale.

"J'ai passé des examens et j'ai un oedème musculaire au pronateur rond (réd: un muscle de l'avant-bras), conséquence de ma récente blessure. J'ai besoin de repos pour récupérer et pouvoir jouer sans aucune douleur", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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