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International

ONU: "Pas de consensus" sur la demande d'adhésion des Palestiniens

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L'ambassadrice maltaise, Vanessa Frazier, qui préside le Conseil en avril, a déclaré qu'il n'y a "pas eu de consensus" sur l'admission d'un Etat palestinien (archives). (© KEYSTONE/EPA/EDUARDO MUNOZ)

Les membres du Conseil de sécurité de l'ONU ne sont pas parvenus à un consensus jeudi pour recommander une adhésion des Palestiniens aux Nations unies, a annoncé la présidente en exercice du Conseil. Cette absence de consensus laisse présager un vote prochainement.

Mettant en avant l'offensive israélienne à Gaza, les Palestiniens ont relancé la semaine dernière leur demande d'adhésion à l'ONU de 2011, et le Conseil a enclenché son processus formel d'examen au sein d'un comité ad hoc du Conseil, composé des mêmes Etats membres.

Lors de la deuxième réunion à huis clos de ce "comité sur l'admission de nouveaux membres" jeudi, "il n'y a pas eu de consensus", a déclaré l'ambassadrice maltaise Vanessa Frazier, qui préside le Conseil en avril.

Elle a assuré que "deux-tiers" des membres du Conseil étaient en faveur de cette adhésion pleine et entière des Palestiniens, sans les nommer. Mais ce comité ne peut prendre de décisions que par consensus. Cela ne marque pas pour autant la fin de la démarche palestinienne. Suite au rapport du comité, n'importe quel Etat membre du Conseil peut en effet mettre au vote une résolution sur cette adhésion.

"Notre place légitime"

Selon des sources diplomatiques, un vote pourrait avoir lieu le 18 avril, à l'initiative de l'Algérie qui représente les pays arabes au sein du Conseil. Si l'ambassadrice maltaise a laissé entendre qu'une telle résolution devrait recueillir les 9 voix nécessaires sur 15, les observateurs prédisent un veto des Etats-Unis.

Comme en 2011, les Américains estiment que l'ONU n'est pas le lieu pour la reconnaissance d'un Etat palestinien, qui devrait selon eux être issu d'un accord entre Israël et les Palestiniens. Ils mettent également en avant une loi américaine qui prévoit de couper le financement à l'ONU si le Conseil de sécurité accepte un Etat palestinien hors d'un tel accord bilatéral.

En septembre 2011, le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas avait lancé la procédure demandant "l'adhésion de l'Etat de Palestine à l'ONU", qui n'était jamais allée à son terme. Les Palestiniens avaient obtenu finalement en novembre 2012 le statut "d'Etat non membre observateur". "Tout ce que nous demandons, c'est de prendre notre place légitime au sein de la communauté des Nations", a plaidé cette semaine l'ambassadeur palestinien à l'ONU Riyad Mansour.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Économie

Bayrou présente son plan contre le "danger mortel" de la dette

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Solennel, le Premier ministre français a assuré que "nous sommes à un moment critique de notre histoire". (© KEYSTONE/AP/Aurelien Morissard)

Le Premier ministre français François Bayrou a dévoilé mardi son plan choc pour redresser les finances d'un pays soumis au "danger mortel" de "l'écrasement par la dette", prévoyant notamment de geler les dépenses de l'Etat et de supprimer deux jours fériés.

Solennel, le Premier ministre a assuré que "nous sommes à un moment critique de notre histoire", alors que le déficit public de la France a atteint 5,8% du PIB en 2024, pour une dette publique représentant près de 114% du PIB, troisième plus importante de la zone euro, derrière la Grèce et l'Italie.

Le Premier ministre, à la tête d'un gouvernement qui n'a pas de majorité à l'Assemblée nationale et dont les marges de manoeuvre politiques sont très réduites, en a justement appelé à l'exemple particulièrement frappant de la Grèce, mise sous tutelle internationale dans les années 2010 après avoir été emportée par le poids de sa dette.

"Il ne faut jamais oublier l'histoire de la Grèce", a-t-il mis en garde dans son discours à Paris, ajoutant que "chaque seconde la dette de la France augmente de 5000 euros", et déplorant que les Français considèrent "comme normal depuis des décennies que l'Etat paie tout". "Nous sommes devenus accros à la dépense publique", a-t-il lancé.

François Bayrou a présenté un plan autour de deux axes, l'un pour réduire la dette, l'autre pour accroître la production dans un contexte de croissance morose, tout en épargnant les dépenses militaires, qui doivent augmenter de 6,7 milliards d'euros en 2026 pour faire face à l'accroissement constant des tensions internationales.

Il a pour objectif de ramener progressivement le déficit à 2,9% du PIB en 2029, "seuil à partir duquel, dans un pays comme le nôtre, la dette n'augmente plus".

"Contribution" des plus fortunés

Pour ce faire, "l'Etat se fixe comme première règle de ne pas dépenser davantage à l'euro près en 2026 qu'en 2025, à l'exception de l'augmentation de la charge de la dette et des dépenses supplémentaires pour le budget des armées".

L'Etat prévoit de supprimer 3000 postes d'emplois publics dès 2026, ou encore "supprimer des agences improductives qui dispersent l'action de l'Etat". Les pensions des nombreux retraités n'augmenteront pas en 2026 et "l'ensemble des prestations sociales seront maintenues en 2026 à leur niveau de 2025 et il n'y aura pas d'exception".

Alors qu'Emmanuel Macron est régulièrement accusé par ses détracteurs d'être un président au service des riches, le gouvernement de centre-droit prévoit "une contribution des plus fortunés", qui sera définie par les parlementaires.

"L'effort de la nation se doit d'être équitable, c'est-à-dire de demander peu à ceux qui ont peu et plus à ceux qui ont davantage", a dit M. Bayrou, qui a aussi annoncé un renforcement de la lutte contre la fraude sociale.

Concernant les dépenses de santé, et alors que les autorités soulignent depuis des années la forte consommation de médicaments par la population, le Premier ministre, prévoit une réduction de 5 milliards d'euros des dépenses sociales annuelles.

Sur 2026, les efforts sur les dépenses de l'Etat, des collectivités locales et les dépenses sociales doivent permettre d'économiser 21 milliards d'euros, les bénéfices attendus du gel des prestations sociales et du barème de l'impôt sur le revenu de 7 milliards supplémentaires.

Jours fériés

Sur le deuxième axe d'effort, pour augmenter la production française, le Premier ministre a proposé la suppression de deux des 11 jours fériés: le lundi de Pâques, "qui n'a aucune signification religieuse", et le 8-Mai, qui célèbre la fin de la Deuxième guerre mondiale en Europe, "dans un mois de mai devenu un véritable gruyère", compte tenu des nombreux jours fériés qui le ponctuent.

Cette mesure rapportera "plusieurs milliards d'euros au budget de l'Etat", selon lui.

Le président du parti d'extrême droite Rassemblement national (RN), Jordan Bardella, a immédiatement dénoncé une "provocation".

"La suppression de deux jours fériés, par ailleurs aussi chargés de sens que le lundi de Pâques et le 8 mai, est une attaque directe contre notre histoire, contre nos racines, et contre la France du travail. Aucun député RN n'acceptera cette mesure", a-t-il dit sur X.

De son côté, le chef de file de la France Insoumise (gauche radicale), Jean-Luc Mélenchon, a déclaré sur X qu'"il faut faire partir Bayrou" et que "les injustices ne doivent plus être acceptées".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La prison pour avoir détruit l'arbre le plus célèbre d'Angleterre

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Des lumières boréales éclairent le célèbre arbre, ici en 2016, avant que deux hommes ne l'abattent. Ils ont été condamnés mardi à 4 ans de prison. (archives) (© KEYSTONE/AP/Owen Humphreys)

Deux hommes ont été condamnés mardi à quatre ans et trois mois de prison par le tribunal de Newcastle pour avoir tronçonné l'arbre le plus célèbre d'Angleterre près du mur d'Hadrien, deux ans après cet acte de vandalisme qui avait ému au-delà du Royaume-Uni.

Daniel Graham, 39 ans, et Adam Carruthers, 32 ans, ont écopé de la même peine. Ils risquaient jusqu'à dix ans de prison pour ce que le procureur Richard Wright avait qualifié de "mission débile".

La juge Christina Lambert qui les a condamnés a souligné que leurs actions avaient impliqué un "haut degré de planification et de préparation" et provoqué "choc et stupéfaction".

Le "Sycamore Gap Tree", érable sycomore majestueux niché depuis plus de 100 ans entre deux collines dans un paysage spectaculaire du Northumberland (nord), était l'un des arbres les plus photographiés d'Angleterre.

Il était connu dans le monde entier depuis son apparition dans "Robin des Bois: Prince des voleurs" avec Kevin Costner en 1991.

Dans la nuit du 27 au 28 septembre 2023, les deux amis, armés d'une tronçonneuse, avaient conduit pendant 40 minutes jusqu'à un parking, marché 20 minutes dans l'obscurité et l'un d'eux avait filmé l'autre pendant qu'il abattait l'arbre, lui envoyant ensuite la vidéo.

Ils avaient également emporté un morceau du tronc comme trophée, et les dégâts s'élèvent a minima à 458'000 livres (527'000 euros) selon l'accusation.

Andrew Poad, l'un des responsables de l'organisation National Trust, chargée de la gestion du site, a évoqué un acte "dépassant l'entendement", dans une déclaration lue avant le verdict.

"Juste un arbre"

Le lendemain de leur méfait, Daniel Graham et Adam Carruthers s'étaient délectés de la couverture médiatique de l'affaire, se félicitant d'une histoire devenue "virale" en s'envoyant messages vocaux et articles de presse.

Mais les deux hommes n'ont jamais expliqué pourquoi ils s'en étaient pris au célèbre sycomore.

Pendant leur procès en mai à Newcastle (nord-est), où ils ont tous les deux été reconnus coupables, Carruthers a expliqué qu'il ne comprenait pas l'émotion provoquée par la destruction de l'érable. C'était "juste un arbre", a-t-il dit.

Après avoir d'abord nié les faits et s'être renvoyé la faute, les anciens amis ont avoué avoir participé à l'opération. L'un d'eux a affirmé qu'ils étaient en état d'ébriété, ce qui n'a pas convaincu le parquet.

Daniel Graham avait déjà été condamné, entre autres, pour des infractions à l'ordre public en 2021 et 2022. Son téléphone portable et sa voiture avaient été localisés près du site après la chute de l'arbre.

Celle-ci a endommagé le mur d'Hadrien, une fortification romaine de 135 km de long construite entre 122 et 127 apr. J.-C. et inscrite sur la liste du patrimoine mondial par l'Unesco.

Les jurés ont pu voir une vidéo tournée de nuit, dans laquelle on entend le bruit d'une tronçonneuse, puis du tronc s'effondrant sur le sol.

Renaissance

Selon Andrew Poad du National Trust, qui gère de nombreux lieux du patrimoine britannique, un "sentiment accablant de perte et de désarroi a été ressenti à travers le monde" après la destruction de l'arbre.

Lieu de mariage et de souvenirs familiaux, extrêmement photogénique, l'érable avait été élu arbre anglais de l'année en 2016.

L'an dernier, le National Trust a annoncé que de nouvelles pousses étaient apparues sur la souche.

Il a également récupéré des graines et obtenu 49 jeunes plants, objets de tous les soins, qui doivent être replantés l'hiver prochain dans des espaces accessibles au public, notamment des parcs, hôpitaux et écoles.

Une partie du tronc a été transformée en oeuvre d'art, que les visiteurs peuvent désormais étreindre, au centre d'accueil du parc national du Northumberland.

Dans cette exposition permanente, conçue par l'artiste Charlie Whinney, le tronc de plus de deux mètres de hauteur est entouré de trois bancs en chêne d'où les visiteurs peuvent lire des mots poétiques montant du sol, liés au chagrin initial créé par sa destruction, mis en scène comme une sculpture ramifiée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le parquet réclame la condamnation de Bolsonaro pour "coup d'Etat"

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Le parquet brésilien a requis mardi la condamnation de l'ancien président Jair Bolsonaro et de sept autres accusés pour "coup d'Etat". (archives) (© KEYSTONE/AP/Ettore Chiereguini)

Le parquet brésilien a demandé mardi à la Cour suprême de condamner l'ancien président Jair Bolsonaro pour "coup d'Etat" et "association criminelle armée", au cours d'un procès qui a provoqué une crise diplomatique entre le Brésil et les Etats-Unis.

Après plusieurs journées d'audience, le parquet s'en est tenu à la thèse selon laquelle l'ex-président d'extrême droite et sept de ses anciens collaborateurs ont essayé d'assurer leur "maintien autoritaire au pouvoir par des tentatives de perturber violemment l'ordre démocratique", peut-on lire dans son communiqué.

M. Bolsonaro, jugé pour tentative de coup d'Etat, encourt jusqu'à 40 ans de prison. Il est accusé d'être le "leader d'une organisation criminelle" ayant conspiré pour son maintien au pouvoir quel que soit le résultat de l'élection présidentielle d'octobre 2022, remportée par l'actuel chef de l'Etat de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.

"Après avoir vérifié l'implication des individus dans les faits", le procureur général a conclu qu'il était "nécessaire qu'ils soient condamnés (...) pour organisation criminelle armée", "tentative d'abolition de l'Etat démocratique", "coup d'Etat" ainsi que pour d'autres délits en lien avec des dommages causés aux biens publics, a précisé le parquet.

Le sort de l'ex-président et de ses anciens associés est entre les mains du juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes, menacé de sanctions par Washington pour ses décisions contre des plateformes américaines de réseaux sociaux.

Trump en colère

Le procès intenté à Jair Bolsonaro a provoqué la colère du président américain Donald Trump, son allié, qui accuse le Brésil de "chasse aux sorcières" et a annoncé des droits de douane de 50% sur les produits brésiliens importés aux Etats-Unis à partir du 1er août.

M. Bolsonaro, de son côté, se dit innocent et "persécuté".

Devant la Cour, il a reconnu avoir envisagé "un dispositif constitutionnel" pour empêcher l'investiture de Lula.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Pour Moscou, la menace de Trump poussera Kiev à continuer la guerre

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Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, indique que la Russie voit l'ultimatum du président américain Donald Trump comme un signal pour poursuivre la guerre en faveur de l'Ukraine. (Photo : Archives) (© KEYSTONE/AP Pool EPA/YURY KOCHETKOV)

Le Kremlin a affirmé mardi que l'ultimatum qui lui a été adressé la veille par Donald Trump, ainsi que les nouvelles livraisons d'armes promises à l'Ukraine, pousseraient Kiev à "prolonger la guerre".

Lundi, le président américain s'est engagé à fournir des équipements militaires supplémentaires à l'Ukraine et a donné 50 jours à la Russie pour mettre fin à son offensive dans ce pays, déclenchée en février 2022, sous peine de sanctions sévères.

"Il semble que cette décision prise à Washington, dans les pays de l'Otan et directement à Bruxelles sera perçue par Kiev non comme un signal en faveur de la paix mais comme un signal pour la poursuite de la guerre", a répondu mardi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

"Les déclarations du président Trump sont très sérieuses. Nous avons bien sûr besoin de temps pour analyser ce qui a été dit à Washington et quand le président Poutine le jugera nécessaire, il commentera", a-t-il dit au cours de son briefing quotidien, auquel participait l'AFP.

Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a essayé de pousser Moscou et Kiev à mettre fin au conflit, notamment en se rapprochant de Vladimir Poutine dont il se dit désormais "déçu".

Sanctions financières

"Je pensais que nous aurions un accord il y a deux mois mais ça ne semble pas se concrétiser", a-t-il regretté lundi à la Maison Blanche, au côté du secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte.

Sans accord d'ici à 50 jours, les Etats-Unis mettront en place des "droits de douane secondaires", c'est-à-dire contre les alliés de Moscou, a averti le président américain.

L'an dernier, les principaux partenaires commerciaux de la Russie étaient la Chine, pour quelque 34% du total des échanges, ainsi que, dans une moindre mesure, l'Inde, la Turquie et le Bélarus, selon les Douanes russes. Pékin a fustigé mardi une "coercition qui ne mène nulle part".

Reprise des livraisons

Donald Trump a par ailleurs annoncé lundi que des équipements militaires "d'une valeur de plusieurs milliards de dollars", en particulier des systèmes de défense antiaérienne Patriot, seraient envoyés à l'Ukraine.

Ce matériel sera acheté par les membres européens de l'Otan. Mark Rutte a précisé que l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Finlande, le Canada, la Norvège, la Suède et le Danemark feraient partie des acheteurs.

Le Danemark et les Pays-Bas ont annoncé mardi à Bruxelles être prêts à participer au plan de Donald Trump. Mais reste à savoir combien de temps il faudra aux pays européens pour expédier ces armes en Ukraine, cible chaque jour par de frappes russes.

Offensives russes

Mardi, le ministère russe de la Défense a encore revendiqué la prise de deux villages dans la région de Donetsk (est). Les attaques aériennes russes se sont aussi intensifiées ces dernières semaines.

Dmitri Peskov a affirmé que la Russie restait prête à négocier mais attendait "des propositions de la partie ukrainienne" concernant un troisième cycle de négociations, après deux récentes sessions peu fructueuses à Istanbul. La Russie a rejeté toute trêve prolongée, qui permettrait selon elle aux forces ukrainiennes de se réarmer.

Moscou exige, entre autres, que l'Ukraine lui cède quatre régions, en plus de la péninsule de Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce à rejoindre l'Alliance atlantique.

Inacceptable pour Kiev qui réclame, avec ses alliés européens, un cessez-le-feu sans conditions de 30 jours avant des négociations de paix et veut que l'armée russe se retire entièrement du territoire ukrainien.

Promesses et réalité

De leur côté, des moscovites interrogés par l'AFP considèrent les déclarations de Donald Trump comme un jeu politique. "C'est une partie d'échecs", commente ainsi Svetlana, une ingénieure dans l'aéronautique.

"Les négociations vont se poursuivre", juge cette femme de 47 ans, peu impressionnée. Donald Trump "a donné 50 jours, et puis ensuite ce sera prolongé", ajoute-t-elle, soulignant attendre "le prochain coup" de Vladimir Poutine.

Dans l'est de l'Ukraine, des soldats ukrainiens se disent quant à eux reconnaissants, sans nourrir trop d'illusions. Un militaire de 44 ans, qui se fait appeler Shah, dit ainsi ne pas croire aux paroles de Donald Trump, dénonçant un "fossé entre les promesses (des Etats-Unis) et la réalité".

Un autre soldat, Master, juge que les systèmes Patriot, très efficaces contre les frappes aériennes russes, "auraient pu être envoyés plus tôt" et sauver des vies. Avec sa longue barbe rousse, Rouslan, 29 ans, est plus positif. "Mieux vaut tard que jamais", soupire-t-il

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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