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"Plus rien à dire": Trump ne témoignera pas à son procès civil
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Alors qu'il devait témoigner lundi pour sa propre défense au procès civil pour fraudes financières, Donald Trump a changé d'avis. Il a déclaré dimanche qu'il ne se présenterait pas à la barre car il n'a "plus rien à dire".
L'ancien président de 77 ans a publié un message surprise sur le réseau Truth Social, disant qu'il avait "déjà témoigné de tout" dans le procès en cours qui le vise, ainsi que ses fils aînés Donald Jr et Eric et d'autres dirigeants de la Trump Organization.
Ces derniers sont accusés d'avoir gonflé de manière colossale durant les années 2010 la valeur des gratte-ciel, hôtels de luxe ou golfs au coeur de son empire, pour obtenir des prêts plus favorables des banques et de meilleures conditions d'assurance.
Depuis le début du procès, le 2 octobre, le milliardaire républicain a tempêté contre la justice à chacune de ses venues au tribunal, dénonçant une "chasse aux sorcières" ou un "procès digne de républiques bananières". Après des attaques contre sa greffière, le juge a interdit à Donald Trump de s'exprimer sur son équipe et lui a imposé deux amendes d'un total de 15'000 dollars pour avoir violé cet ordre.
Affaire mal engagée
Contrairement aux procès pénaux qui l'attendent en 2024, dont celui pour ses manoeuvres présumées visant à inverser le résultat de la présidentielle de novembre 2020, Donald Trump ne risque pas de peine de prison dans cette affaire civile. Mais il joue gros et l'affaire est mal engagée.
Avant même l'ouverture des débats, le juge Arthur Engoron avait estimé fin septembre que l'accusation présentait "des preuves concluantes qu'entre 2014 et 2021, les prévenus ont surévalué les actifs" du groupe de "812 millions (à) 2,2 milliards de dollars" selon les années, dans les chiffres inscrits sur les états financiers annuels de Donald Trump.
En conséquence de "fraudes répétées", il a ordonné la liquidation des sociétés gérant ces actifs, comme la Trump Tower sur la 5e Avenue de New York ou le gratte-ciel bientôt centenaire du 40 Wall Street. Des mesures suspendues en appel.
Le procès porte sur plusieurs autres délits, comme des fraudes aux assurances, et sur les pénalités financières réclamées par le parquet général de l'Etat de New York, qui demande 250 millions de dollars. Les avocats de Donald Trump dénoncent un dossier vide, assurant que des évaluations immobilières sont forcément subjectives et que les banques, dûment remboursées, ont réalisé de bonnes opérations financières.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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François Gomez: "Nous pouvons être satisfaits de notre performance"
Les Suissesses étaient plutôt positives après leur défaite face à la Grèce en ouverture de l'Eurobasket (87-65). La fierté et l'expérience engrangées ont pris le dessus sur la déception.
"Au début du match, on a ressenti un peu d'émotions", convenait Vitkoria Ranisavljevic, la meneuse du collectif suisse. "Ensuite, nous avons su trouver le bon rythme avant de payer un certain manque de physique et d'expérience."
"A chaud, je suis très fier de notre prestation et d'avoir disputé un match en phase finale d'un Euro", avouait pour sa part Lin Schwarz. "Je suis toutefois bien consciente des petites choses que l'on peut améliorer, notamment au niveau des balles perdues."
"Pas dans la même division"
"Nous pouvons être satisfaits de notre performance même si nous aurions pu faire un peu mieux", soulignait de son côté l'entraîneur de l'équipe de Suisse François Gomez. "On a joué contre une grosse équipe de basket, de niveau Euroligue. On a quand même réussi à revenir à 15 points. On a manqué quelques opportunités. C'est dommage, ça aurait été magnifique."
Et de poursuivre: "Notre équipe apprend, elle a fait preuve de caractère. On n'est pas dans la même division que la Grèce, mais sur ce match, on a obtenu une défaite honorable. Les 20 balles perdues? C'est beaucoup."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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La Suisse perd avec les honneurs contre une Grèce plus constante
Pour son grand retour à l'Eurobasket dames, après 69 ans d'absence, la Suisse a perdu 87-65 contre la Grèce. Face à l'un des pays organisateurs, l'équipe de François Gomez n'a toutefois pas démérité.
La Suisse n'a pas à rougir de son résultat face à un collectif habitué à disputer des rencontres de ce niveau. Sa prestation d'ensemble fut cependant trop irrégulière pour signer un exploit en mode XXL.
Dans plusieurs domaines du jeu, les filles de François Gomez n'ont cependant toujours répondu aux attentes. On pense aux pénétrations manquées à un contre zéro, à de trop nombres pertes de balle terriblement évitables (20 au total), à quelques sauts de concentration, à des rotations défensives d'une valeur inégale et un rendement aux rebonds insuffisants (28-39), malgré une réelle débauche d'énergie dans ce secteur.
Tout n'est cependant pas à jeter, loin s'en faut. L'équipe de Suisse a mis un peu plus de quatre minutes pour entrer dans son Euro (4-13), le temps de trouver le bon rythme en attaque et de faire preuve du culot qu'elles avaient annoncé. Leur réaction durant la seconde partie du 1er quart fut excellente, digne d'un participant à une phase finale d'un Eurobasket (19-19). Auteur de 10 points dans le premier "dix", la capitaine Evita Herminjard a su montrer l'exemple (18 points au total).
Passage à vide fatal
Le scénario, idéal jusque-là, s'est gâté en moins de six minutes (23-38). Dans le jeu intérieur, Lana Wenger, Yverline Da Silva et consorts ont peiné à contenir le jeu de la star grecque Mariella Fassoula. Et quand les filles du coach Petros Prekas se sont mis à trouver de l'adresse à 3 points, l'écart s'est mis à croitre, atteignant 14 longueurs à la pause (32-46).
Grâce à des changements réguliers - ce fut le cas durant toute la partie -, les Suissesses ont ensuite réussi à s'accrocher. Preuve d'une préparation physique de qualité et d'une abnégation sans faille, à l'instar d'une Lin Schwarz au four et au moulin, mais pas toujours très adroite à la conclusion (30e, 64-44). Dans le dernier quart, les Suissesses auront eu le mérite de jouer jusqu'à l'ultime seconde.
Place à la Turquie
La Suisse défiera la Turquie, jeudi après-midi (16h30). Les basketteuses du Bosphore sont passées à un cheveu de l’exploit mercredi face à la France, s’inclinant 69-71 (44-36). Pour faire bonne figure, les Suissesses devront bloquer l’Américaine, naturalisée turque, Teaira McCowan (204 cm), juguler la vitesse du trio Cakir-Onar-Uzun et contenir l’agressivité des intérieures.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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A Buenos Aires, massive mobilisation autour de Kirchner, détenue
Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont paralysé mercredi le centre de Buenos Aires pour une manifestation à l'appel de l'opposition et de syndicats. Cela en soutien à l'ex-présidente de centre-gauche Cristina Kirchner, qui détenue depuis mardi à domicile.
Point de ralliement, l'emblématique Place de Mai, face à la présidence, était remplie en début d'après-midi, et les avenues y menant bondées, inondant le centre-ville, dans la manifestation la plus suivie depuis de longs mois, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Une source du Parti justicialiste a fait état à l'AFP de "centaines de milliers" de manifestants, dont nombre venus par cars de provinces. Un chiffre invérifiable dans un premier temps. La police n'a pas communiqué d'estimation.
Administration frauduleuse
Figure-clef de la politique argentine depuis 20 ans, Première Dame, puis cheffe de l'Etat puis vice-présidente, Mme Kirchner, aujourd'hui encore principale opposante au président ultralibéral Javier Milei, est depuis mardi assignée à résidence, après confirmation par la Cour suprême d'une peine de six ans de prison et d'inéligibilité à vie, pour administration frauduleuse pendant sa présidence (2007-2015).
Mardi, la justice l'a autorisée à effectuer sa peine chez elle, comme elle l'avait sollicité, arguant notamment de raisons de sécurité, mais avec un "dispositif de surveillance électronique", que le jugement n'a pas spécifié.
"Argentina con Cristina !" Sous ce mot d'ordre, le Parti justicialiste (péroniste de centre-gauche) héritier du vaste courant politique né dans les années 40, avait appelé à manifester, avec syndicats et mouvements sociaux et organisations de gauche.
"On ne touche pas à Cristina !"
Le rassemblement se déroulait dans une atmosphère pacifique, festive mais assourdissante, de pétards, chants, grosses caisses, cuivres, sur fond d'odeur de grillades de rue, et sous des drapeaux argentins, banderoles ou pancartes: "Courage Cristina", "On ne touche pas à Cristina !"
Dans la foule aussi, nombre de tee-shirts à l'effigie de Mme Kirchner ou de Nestor son mari décédé, et ex-président (2003-2007).
"On vient soutenir une personne qui a permis à des gens comme moi pour la première fois à accéder à l'université", lançait à l'AFP Veronica Barrientos, infirmière de 40 ans. "Et on continuera, je continuerai à venir aussi longtemps que je peux. Pas seulement contre sa détention injuste, mais parce que le pays est en train d'être ruiné, et ça finira très mal".
"On est là car c'est une attaque contre la démocratie, de rendre inéligible quelqu'un comme Cristina, pour qui le peuple veut voter", appuyait Rocio Gaviño, fonctionnaire de 29 ans.
Depuis la condamnation du 10 juin, un noyau dur du militantisme péroniste s'est mobilisé autour de "CFK". Plusieurs centaines de partisans indéfectibles se sont relayés sous ses fenêtres, y compris de nuit, en une garde quasi permanente.
Mais mercredi voyait le premier réel rassemblement de masse, avec des autocars convoqués de plusieurs parties du pays, et soumis à de stricts contrôles policiers, dès tôt le matin, aux accès à la capitale.
Une "minorité" avec Cristina
"Bien sûr qu'il y a des contrôles, pour éviter que certains objets soient importés, prévenir toute intention de violence, que ceci se transforme en quelque chose que personne ne veut", a défendu Guillermo Francos, chef du cabinet des ministres. Qui a remis la mobilisation péroniste en perspective.
"Il est logique de penser qu'il y a un secteur de la population qui soutient Cristina. Il est minoritaire aujourd'hui en Argentine, mais il représente 25%. Mais il y a un autre 75% qui ne partage pas ce soutien", a-t-il posé. Référence au paradoxe qui voit Mme Kirchner, selon les sondages convergents, susciter plus de rejet que d'adhésion.
Interdite de balcon ?
Pour Lara Goyburu, politologue à l'Université de Buenos Aires, la marche très suivie de mercredi "démontre une capacité de mobilisation de rue que le péronisme, au sens large, conserve encore".
Mais, estime-t-elle, "ce qu'on ne voit pas dans cette marche (...) c'est la transversalité observée en d'autres occasions, comme la marche universitaire" d'avril 2024, sans doute la plus spectaculaire en 18 mois de présidence Milei.
Cristina Kirchner, désormais consignée chez elle, a ironisé mercredi en annonçant avoir transmis, très officiellement via ses avocats, une demande à la justice pour savoir "si je peux sortir ou non au balcon de ma maison. Ca paraît une blague, mais non".
Depuis sa condamnation, elle pris l'habitude de longuement saluer, plusieurs fois par jour, les partisans réunis à ses fenêtres. Or son assignation à résidence l'enjoint de "s'abstenir de tout comportement susceptible de troubler la tranquillité du voisinage".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Gaza: 33 personnes tuées par des tirs israéliens
La Défense civile de Gaza a indiqué que 33 personnes avaient été tuées par l'armée israélienne mercredi dans le territoire palestinien ravagé et affamé par plus de vingt mois de guerre. Onze d'entre elles étaient venues en quête d'aide humanitaire,
Le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, a indiqué à l'AFP que 11 personnes avaient été tuées et plus de 100 blessées quand "les forces d'occupation (armée israélienne) ont ouvert le feu et tiré plusieurs obus entre 02h30 et 06h00 sur des milliers de citoyens rassemblés" dans le centre de la bande de Gaza, notamment à Nousseirat, pour attendre l'ouverture de centres de distribution d'aide.
"Les victimes cherchaient à obtenir de l'aide alimentaire et de la farine", a-t-il précisé.
"Coups de semonce"
L'armée a indiqué à l'AFP que ses forces dans le centre de Gaza avaient tiré "des coups de semonce" sur "un groupe d'individus suspects" s'approchant "d'une manière qui représentait une menace potentielle". Elle a dit n'être "pas au courant de blessures".
Dix-neuf personnes ont aussi été tuées dans trois attaques israéliennes, a indiqué la Défense civile, précisant que l'armée avait fait exploser sept maisons à Beit Hanoun (nord).
Interrogée, l'armée israélienne a rappelé, au sujet de l'une de ces attaques, mener régulièrement des "opérations visant à démanteler les capacités militaires" du mouvement islamiste palestinien Hamas, dont l'attaque le 7 octobre 2023 en Israël a déclenché la guerre à Gaza, dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien.
Une attaque israélienne dans le nord-est de la ville de Gaza (nord) a encore fait trois morts, a ajouté M. Bassal.
Poussés par la faim malgré le danger
Début mars, Israël a imposé un blocus humanitaire total à la bande de Gaza, menacée de famine selon l'ONU, qu'il n'a assoupli que partiellement fin mai.
La Défense civile avait fait état mardi d'au moins 53 personnes tuées lors d'un afflux de milliers de Palestiniens près d'un centre d'aide dans le sud du territoire.
Une organisation au financement opaque soutenue par les États-Unis et Israël, la GHF, a ouvert fin mai à Gaza des centres d'aide, mais ses distributions ont été marquées par des scènes chaotiques et meurtrières.
La Défense civile rapporte des morts près des centres d'aide presque tous les jours. Des foules s'y rassemblent pourtant régulièrement à l'aube, attendant leur ouverture, ont constaté des photographes de l'AFP.
Israël empêche les médias d'être témoins
Compte tenu des restrictions imposées par Israël aux médias à Gaza et des difficultés d'accès sur le terrain de guerre, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans de la Défense civile.
L'armée israélienne a parfois expliqué avoir ouvert le feu sur des personnes avançant, malgré des tirs de sommation, dans des "zones de combat".
Selon le bureau humanitaire de l'ONU, Ocha, des incidents "se produisent également de plus en plus le long des routes utilisées par l'ONU pour acheminer des fournitures".
Selon l'Ocha, la pénurie de carburant à Gaza a atteint "des niveaux critiques". "Sans réapprovisionnement immédiat, les services essentiels - y compris la fourniture d'eau potable - s'arrêteront très bientôt," a-t-il mis en garde.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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