International
Gaza: l'ONU avertit contre toute tentative de "nettoyage ethnique"
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2025/02/beaucoup-dhabitants-de-la-bande-de-gaza-rentres-chez-eux-a-la-faveur-de-la-treve-temoignent-de-leur-volonte-de-reconstruire-nous-sommes-revenus-malgre-les-destructions-massives-nous-sommes-1000x600.jpg&description=Gaza: l'ONU avertit contre toute tentative de "nettoyage ethnique"', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
L'administration américaine semblait faire marche arrière mercredi après le tollé provoqué par la proposition de Donald Trump de prendre le contrôle de Gaza. Le chef de l'ONU a mis en garde contre un "nettoyage ethnique" dans le territoire palestinien.
Après un déluge de critiques de la part des Palestiniens, des pays arabes et de nombreux autres Etats sur le projet d'une prise de contrôle américaine de Gaza et d'un déplacement de sa population, le secrétaire américain d'Etat, Marco Rubio, a tenu à affirmer que tout transfert des Gazaouis serait temporaire.
Donald Trump veut "reconstruire les bâtiments" afin que "les gens puissent y retourner", a-t-il dit. La Maison Blanche a elle indiqué que Donald Trump ne s'était pas engagé "pour l'instant" à envoyer des troupes à Gaza.
Proposition "adorée"
Le milliardaire a cependant assuré que "tout le monde adore" sa proposition, annoncée au moment où doivent reprendre les délicates négociations sur la poursuite de la trêve. Le Hamas l'a accusé de "jeter de l'huile sur le feu".
Donald Trump a fait cette annonce mardi après avoir reçu à la Maison Blanche le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Empêcher un "nettoyage ethnique"
"Nous ne permettrons pas que soient bafoués les droits de notre peuple", a rétorqué le président palestinien Mahmoud Abbas, rival du Hamas.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres devait mettre en garde mercredi, devant le comité de l'ONU sur l'exercice du droit inaliénable des Palestiniens, contre toute tentative de "nettoyage ethnique" à Gaza, a indiqué son porte-parole.
Donald Trump a répété mardi que les habitants de la bande de Gaza, en ruines après 15 mois de guerre, pourraient aller vivre en Jordanie ou en Egypte, malgré l'opposition de ces pays.
"Aplanir la zone"
"Les Etats-Unis vont prendre le contrôle de la bande de Gaza", a-t-il dit au côté de Netanyahu, parlant du territoire palestinien comme d'un "chantier de démolition".
Le président américain a affirmé que les Etats-Unis allaient "aplanir la zone", afin de développer économiquement le territoire. Il a fait le voeu de faire de Gaza la "Côte d'Azur du Moyen-Orient".
Les Etats-Unis "ne financeront pas la reconstruction de Gaza", a cependant affirmé mercredi la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt. L'administration américaine va travailler avec ses "partenaires dans la région pour reconstruire" Gaza, a-t-elle ajouté.
Les intéressés ne veulent rester chez eux
Dans le territoire assiégé, beaucoup d'habitants rentrés chez eux à la faveur de la trêve, excluaient de quitter Gaza. "Nous sommes revenus malgré les destructions massives (...). Nous sommes revenus parce que nous rejetons catégoriquement d'être déplacés", a indiqué Ahmed al-Minaoui, rentré dans la ville de Gaza.
"Je suis Gazaoui, mon père et mon grand-père sont originaires d'ici (...) Nous n'avons qu'une seule option: vivre ou mourir ici", a ajouté Ahmed Halasa, un habitant de la même ville âgé de 41 ans.
En revanche pour Kfir Dekel, un Israélien de 48 ans qui vit dans la zone frontalière avec Gaza, "le plan de Trump a du sens. Gaza est complètement détruite et il est impossible de réparer tant qu'il y a des gens". "Laissons les partir et construire leur vie ailleurs, et nous ferons vraiment de ce lieu un îlot de paix".
Rejet des pays arabes
Donald Trump avait déjà suscité l'indignation internationale en proposant de faire "tout simplement le ménage" à Gaza et de transférer ses habitants dans des lieux "plus sûrs" comme l'Egypte ou la Jordanie.
L'Egypte, frontalière de Gaza, a appelé mercredi l'Autorité palestinienne, dirigée par Mahmoud Abbas, à reprendre le contrôle du territoire, d'où elle avait été chassée en 2007 quand le Hamas y a pris le pouvoir.
Le roi Abdallah II de Jordanie a lui réitéré son refus de "toute tentative" de déplacer les Palestiniens, lors d'une rencontre avec Mahmoud Abbas. Les Emirats arabes unis, l'Arabie saoudite et la Ligue arabe ont aussi rejeté le plan américain.
La France a vu des déclarations "dangereuses pour la stabilité et le processus de paix", estimant que l'avenir de Gaza passe par "un futur Etat palestinien" et non par le contrôle "d'un pays tiers".
Gaza, partie d'un futur Etat
La bande de Gaza est "partie intégrante d'un futur Etat palestinien", a affirmé de son côté l'Union européenne.
Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, Volker Türk, a en outre rappelé que tout transfert forcé ou expulsion d'un territoire occupé étaient "strictement prohibés".
Opposé à l'accord de trêve, le ministre israélien d'extrême droite Bezalel Smotrich a promis mercredi de tout faire pour "enterrer définitivement" l'idée d'un Etat palestinien.
"Colonisation du XXIe siècle"
L'organisation israélienne de défense des droits de l'homme B'Tselem a elle qualifié le plan de Trump de "fou" et la secrétaire générale d'Amnesty International, Agnès Callamard, a dénoncé une "forme de colonisation du XXIe siècle".
La rencontre à la Maison Blanche entre Trump et Netanyahu a coïncidé avec l'annonce d'une reprise des négociations sur le cessez-le-feu à Gaza, dont une première phase de six semaines a débuté le 19 janvier, mais dont la suite reste incertaine.
Le Hamas a annoncé mardi que ces négociations avaient "commencé". Israël a indiqué qu'il enverrait "en fin de semaine" une délégation au Qatar, l'un des trois pays médiateurs avec les Etats-Unis et l'Egypte, pour discuter de la poursuite de la trêve.
La première phase a permis jusqu'à présent la libération de 18 otages retenus à Gaza et d'environ 600 Palestiniens détenus par Israël, un afflux de l'aide humanitaire et le retour de plus d'un demi-million de déplacés dans le nord du territoire.
La deuxième phase doit permettre la libération des derniers otages et la fin définitive de la guerre, avant une dernière étape consacrée à la reconstruction de Gaza.
Au total, 251 personnes avaient été enlevées le 7 octobre 2023 lors de l'attaque du Hamas contre Israël. L'offensive israélienne dans la bande de Gaza a fait au moins 47'518 morts, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le gouvernement du Bénin dit avoir déjoué un coup d'Etat
Les autorités du Bénin ont affirmé dimanche avoir déjoué une tentative de coup d'Etat visant à renverser le président Patrice Talon, lequel a assuré que la situation était "totalement sous contrôle".
Le bloc ouest-africain de la Cedeao va envoyer un soutien militaire au gouvernement béninois.
Cette tentative de putsch intervient à quelques mois du départ de la présidence de Patrice Talon, après deux mandats à la tête de ce petit pays d'Afrique de l'Ouest à la croissance robuste mais miné par des violences djihadistes dans sa partie nord.
L'Afrique de l'Ouest est particulièrement secouée par l'instabilité politique depuis le début de la décennie avec des coups d'Etat au Mali, au Burkina Faso et au Niger - deux voisins du Bénin -, ainsi qu'en Guinée et plus récemment, fin novembre, en Guinée-Bissau.
Dimanche matin, après des tirs près de la présidence, des militaires avaient fait irruption à la télévision nationale pour annoncer la destitution du président Talon, invoquant pêle-mêle la "dégradation de la situation sécuritaire" ou la remise en cause des "libertés fondamentales".
Quelques heures plus tard, le ministre béninois de l'Intérieur, Alassane Seidou, est apparu à son tour à la télévision nationale pour assurer que le coup avait été déjoué.
C'est ce qu'a confirmé Patrice Talon dans une courte adresse à la Nation dimanche soir, affirmant que la situation était "totalement sous contrôle" et que la "sécurité et l'ordre public seront maintenus partout sur le territoire national".
"Cette forfaiture ne restera pas impunie", a-t-il ajouté, après avoir félicité les militaires de la garde républicaine à son arrivée au palais présidentiel.
La France, ancienne puissance coloniale, a condamné dimanche soir la tentative de coup d'Etat et a appelé ses ressortissants "à la plus grande prudence et notamment à rester confinés", en raison d'"un contexte à cette heure encore volatil".
Après une journée où la plupart des habitants ont vaqué à leurs occupations à Cotonou, la capitale économique s'est vidée un peu plus tôt que d'habitude dans la soirée, selon un journaliste de l'AFP.
Plusieurs barrages militaires étaient déployés dans la zone de la présidence et du camp militaire voisin de Guézo.
"Ce soir, on va essayer de rentrer plus tôt. On ne sait pas qui est à la base de ce coup d'Etat", a expliqué à l'AFP Michelle Eudoxie, une coiffeuse de 50 ans.
"Ce matin j'ai commencé à entendre les sons des balles. J'ai quitté le quartier pour aller ailleurs parce que j'ai eu peur", dit de son côté Nabil Sacca, un vendeur d'essence qui se trouvait près du palais présidentiel dans la matinée.
Déploiement de troupes ouest-africaines
Selon des sources militaires à l'AFP, une douzaine de soldats ont été arrêtés. Parmi eux figurent certains auteurs de la tentative de putsch, a indiqué une source sécuritaire sans préciser si le meneur des mutins, le lieutenant-colonel Pascal Tigri figurait parmi eux.
Selon une source proche du dossier, il est en fuite.
La présidence nigériane a affirmé avoir mené dimanche des frappes à Cotonou à la demande du Bénin pour notamment aider "à déloger les putschistes de la télévision nationale et d'un camp militaire où ils s'étaient regroupés".
"Des forces nigérianes au sol sont actuellement au Bénin", a ajouté Abuja dans son communiqué.
La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'ouest (Cedeao) a de son côté annoncé le "déploiement immédiat" de troupes du Nigeria, de la Sierra Leone, de la Côte d'Ivoire et du Ghana pour soutenir "le gouvernement et l'armée républicaine" du Bénin et "préserver l'ordre constitutionnel".
La Force en attente de la Cedeao a le mandat de garantir la paix et la stabilité de la région. Elle s'est par exemple déployée en Gambie en 2017 lorsque le président sortant Yahya Jammeh refusait de quitter le pouvoir.
Elle avait toutefois finalement renoncé à intervenir en 2023 après le coup d'Etat au Niger.
L'Union africaine (UA) a condamné "fermement et sans équivoque" cette tentative de coup d'Etat.
L'histoire politique du Bénin a été jalonnée de plusieurs coups d'Etat ou tentatives, mais le dernier remonte à 1972.
"Aujourd'hui, c'est comme si je revivais ce que nos parents ont vécu en ce temps-là", raconte Remy Agblo un commerçant.
Patrice Talon, au pouvoir depuis 2016, arrivera en 2026 au terme de son second mandat, le maximum autorisé par la Constitution.
Son dauphin désigné, l'actuel ministre des Finances Romuald Wadagni, fait figure d'ultra-favori pour la présidentielle d'avril 2026, le principal parti d'opposition ayant été écarté de la course.
"Il y a une tension perceptible dans le pays depuis des mois du fait des élections", pointe Anatole Zinsou, informaticien à Cotonou qui déplore "l'exclusion" de certains acteurs des processus électoraux.
S'il est salué pour le développement économique du Bénin, Patrice Talon est régulièrement accusé par ses détracteurs d'avoir opéré un virage autoritaire dans un pays autrefois salué pour le dynamisme de sa démocratie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nigeria: 100 écoliers kidnappés ont été libérés
Cent élèves d'une école catholique de l'ouest du Nigeria, enlevés le 21 novembre par des hommes armés non identifiés, ont été libérés, ont annoncé dimanche une source onusienne et la présidence nigériane. Ils n'ont pas précisé les circonstances de ces libérations.
Les élèves libérés de l'école catholique Saint Mary, à Papiri, dans l'Etat du Niger, "vont être remis demain" lundi à des responsables du gouvernement local, a indiqué la source onusienne, précisant que les élèves étaient arrivés à Abuja.
Cette libération a été confirmée à l'AFP par le porte-parole de la présidence nigériane Sunday Dare.
Au total, 303 élèves et 12 enseignants avaient été emmenés de force du pensionnat Saint Mary, l'un des plus importants kidnappings de masse au Nigeria, pays ravagé par le phénomène. Une cinquantaine d'entre eux avait pu peu après échapper à leurs ravisseurs.
On est sans nouvelle des quelque 165 personnes toujours présumées otages.
"On a prié et attendu leur retour, si c'est vrai alors c'est une nouvelle réconfortante", a réagi Daniel Atori, porte-parole de l'évêque Bulus Yohanna du diocèse de Kontagora dont dépend l'école.
"Toutefois, on ne nous a pas informés officiellement et n'avons reçu aucune notification du gouvernement fédéral", a-t-il ajouté.
Les enlèvements de masse sont fréquents au Nigeria, la plupart perpétrés par des gangs criminels, appelés "bandits", en quête de rançons.
Secteur "structuré et lucratif"
L'un des premiers enlèvements de masse ayant attiré l'attention internationale remonte à 2014 quand les djihadistes de Boko Haram avaient enlevé quelque 300 écolières d'un pensionnat de Chibok, localité de l'Etat de Borno (nord-est). Une décennie plus tard, environ 90 d'entre elles manquent toujours à l'appel.
Et le phénomène des enlèvements en vue d'obtenir une rançon s'est "mué en un secteur structuré à but lucratif" qui a généré environ 1,66 million de dollars entre juillet 2024 et juin 2025, estime un rapport du cabinet de consultants SBM Intelligence, basé à Lagos.
Le mois de novembre a connu une vague importante de kidnappings au cours de laquelle plus de 400 Nigérians - des écolières musulmanes, des fidèles d'une Eglise évangélique, des agriculteurs, une mariée et ses demoiselles d'honneur... - ont été enlevés en 15 jours, ébranlant profondément la nation.
Pays le plus peuplé d'Afrique, fort de 230 millions d'habitants, le Nigeria est presque également divisé entre un nord majoritairement musulman et un sud principalement chrétien et est confronté à une situation sécuritaire très dégradée.
A une insurrection djihadiste active depuis 2009 dans le nord-est du pays, sont venues s'ajouter ces dernières années dans le nord-ouest et le centre les attaques, pillages et enlèvements perpétrés par des bandits, aux mobiles plus financiers qu'idéologiques.
Cette vague d'enlèvements de masse est aussi intervenue sur fond de déclarations de Donald Trump sur une prétendue persécution ciblée des chrétiens du Nigeria par des "terroristes islamistes", un phénomène que démentent Abuja et des experts indépendants. Les attaques au Nigeria visent et tuent aussi bien chrétiens que musulmans, souvent sans distinction.
Le président américain, qui a menacé d'y intervenir militairement, a inscrit le Nigeria sur la liste des "Pays particulièrement préoccupants" (CPC) en termes de liberté religieuse, invoquant "une menace existentielle" sur les chrétiens du Nigeria.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Géant de Beaver Creek: Odermatt s'impose pour la 49e fois
Marco Odermatt a remporté le géant de Beaver Creek. Le Nidwaldien est allé chercher dans le Colorado la 49e victoire de sa carrière, la 28e dans sa discipline de prédilection.
Et de 49! Mais alors qu'il possédait 1''31 avant de s'élancer pour son deuxième effort, Odermatt a transpiré pour aller s'imposer pour la première fois en géant sur la Birds of Prey. Mais comme d'habitude, le boss a conservé assez d'essence sur le bas pour l'emporter.
Le skieur d'Hergiswil a devancé de 0''23 l'Italien Alex Vinatzer, qui a signé son premier podium en géant, et de 0''34 le Norvégien Henrik Kristoffersen.
Les quatre autres Suisses sont un peu plus loin. Mitigé, voilà comment on peut désigner le début de saison de Loïc Meillard. Le skieur d'Hérémence semble manquer d'un petit quelque chose pour aller plus vite et avoir la même facilité qu'en fin de saison passée. Il boucle cette course à la 9e place.
Luca Aerni aurait pu signer un meilleur résultat que sa 13e place, sans une erreur lors de son second passage. Le Valaisan a malheureusement perdu trop de temps sur le bas.
Vainqueur l'an dernier, Thomas Tumler n'a pas réédité son exploit. Solide 5e en première manche, le Grison a reculé pour échouer au 14e rang. A noter la très grande densité dans ce géant où le 28e n'est qu'à 1''98 d'Odermatt. Les douze premiers sont dans la même seconde.
Bon résultat pour Lenz Hächler qui est parvenu à marquer ses premiers points en Coupe du monde en finissant 19e.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Justin Trudeau et Katy Perry officialisent leur relation
Justin Trudeau et Katy Perry ont officialisé leur relation sur les réseaux sociaux. L'ancien Premier ministre canadien et la chanteuse américaine avaient fait une première apparition publique il y a quelques semaines sur un tapis rouge parisien.
Dans une série de photos et vidéos postées sur son compte Instagram samedi, sous le commentaire "A Tokyo en tournée, et plus", l'interprète des hits "I kissed a girl" et "California gurls" s'est affichée dans la capitale japonaise avec Justin Trudeau, posant joue contre joue, en train de manger des sushis, et de dos côte à côte dans un musée.
Plus tôt dans la semaine, Justin Trudeau avait lui-même commenté une photo du duo posant aux côtés de l'ancien Premier ministre japonais Fumio Kishida et de sa femme, posté par le dirigeant nippon. "Katy et moi avons été ravis d'avoir l'occasion de nous asseoir à vos côtés", avait-il écrit sur X.
L'ex-dirigeant politique âgé de 53 ans et la chanteuse de 41 ans avaient été remarqués main dans la main fin octobre sur le tapis rouge d'un cabaret parisien.
Justin Trudeau a quitté ses fonctions de Premier ministre en mars, après dix années passées à la tête du Canada. Lui et sa femme Sophie Grégoire, qui ont trois enfants, avaient annoncé leur séparation à l'été 2023. Katy Perry a elle partagé la vie de l'acteur britannique Orlando Bloom et ils sont les parents d'une fille.
En avril, la popstar avait fait partie d'une escapade entièrement féminine dans l'espace à bord de la fusée Blue Origin du multimilliardaire Jeff Bezos.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
SuisseIl y a 10 heures
Un motocycliste se tue sur l'A1 dans le canton de Vaud
-
LausanneIl y a 2 jours
Inauguration officielle du nouveau garage-dépôt des MBC à Denges
-
InternationalIl y a 3 jours
Trump réajuste sa "stratégie de défense" à l'échelle mondiale
-
ÉconomieIl y a 2 jours
Aéroport de Zurich: bientôt la fin de la limitation des liquides
-
VaudIl y a 2 jours
Sébastien Cala se porte candidat pour remplacer Rebecca Ruiz
-
VaudIl y a 3 jours
Vaud Talent Hub veut faciliter l'accueil et la rétention de talents
-
GenèveIl y a 2 jours
Le traditionnel cortège du Picoulet a réuni près de 1800 jeunes
-
SuisseIl y a 3 jours
Gros gains de loterie: limiter l'optimisation fiscale


