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International

Blinken demande à Lavrov de mettre fin à la guerre

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Les ministres des affaires étrangères russe et américain, Antony Blinken Sergey Lavrov,de gauche à droite, se sont brièvement rencontrés au G20 à New Delhi, pour la première fois depuis le début de la guerre en Ukraine. (© KEYSTONE/AP/Manish Swarup)

Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a déclaré avoir pressé son homologue russe Sergueï Lavrov de mettre fin à la guerre en Ukraine jeudi en Inde. C'était leur premier échange en face-à-face depuis le début du conflit.

MM. Blinken et Lavrov se sont brièvement entretenus lors d'une réunion des ministres des Affaires étrangères du G20, qui s'est achevée jeudi sans communiqué commun du fait des différends concernant la guerre en Ukraine.

"J'ai dit au ministre des Affaires étrangères (russe) ce que j'ai dit, comme tant d'autres la semaine dernière aux Nations unies et ce que tant de ministres des Affaires étrangères du G20 ont dit aujourd'hui: mettez fin à cette guerre d'agression, engagez-vous dans une diplomatie significative qui peut produire une paix juste et durable", a déclaré M. Blinken lors d'une conférence de presse.

"Pas convaincant"

Son précédent entretien en tête-à-tête avec Sergueï Lavrov remontait à janvier 2022, quelques semaines avant l'invasion russe de l'Ukraine, le 24 février. Ils avaient toutefois discuté depuis au téléphone mais sur d'autres sujets que l'Ukraine.

La porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, a minimisé l'importance de cet échange.

M. Lavrov "lui a parlé, debout, dans le cadre de la deuxième session du G20". "Aucun entretien ni aucune véritable rencontre n'ont eu lieu", a assuré Mme Zakharova à l'agence de presse publique russe RIA Novosti.

Pour Harsh V. Pant, professeur au King's College de Londres, cette rencontre ne modifiera pas "fondamentalement la dynamique sur le terrain" en Ukraine.

MM. Blinken et Lavrov "n'ont rien dit qui convainque quiconque que cette crise évolue vers une résolution significative ou sérieuse", estime auprès de l'AFP cet expert en relations internationales.

"Comportement obscène"

Devant ses homologues du G20, le chef de la diplomatie russe a fustigé le "comportement obscène d'une série de délégations occidentales, qui ont transformé le travail sur l'agenda du G20 en une farce", d'après l'agence publique russe TASS.

La réunion des ministres des Affaires étrangères du G20 est intervenue après celle la semaine dernière des ministres des Finances, qui n'ont pu s'entendre samedi sur un communiqué commun en raison de leurs divergences concernant le conflit en Ukraine.

Jeudi, la Chine a de nouveau rejoint la Russie et refusé de signer le communiqué commun à l'issue de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G20.

Les deux pays ont fait part de leur opposition à un paragraphe exigeant le "retrait complet et inconditionnel de la Russie du territoire de l'Ukraine", selon un résumé des discussions du G20 publié par la présidence indienne.

La Russie souhaitait par ailleurs inscrire dans le document la nécessité d'une enquête "impartiale", après les explosions qui ont endommagé en septembre les gazoducs russes Nord Stream 1 et 2 en mer Baltique, a indiqué devant la presse M. Lavrov.

Les pays occidentaux et la Russie se rejettent la responsabilité de ces explosions.

Craintes au sujet de la Chine

Les délégués occidentaux craignent que la Chine n'envisage de fournir des armes à la Russie et ont déclaré avant le sommet qu'ils avaient l'intention de décourager Pékin d'intervenir dans le conflit.

"Si la Chine s'engageait dans un soutien matériel létal à l'agression de la Russie ou si elle s'engageait dans le contournement systématique des sanctions pour aider la Russie, ce serait un grave problème pour nos pays", a déclaré M. Blinken.

Depuis le début du conflit la Chine se présente comme neutre, tout en conservant des liens étroits avec son allié stratégique russe.

Multilatéralisme en crise

L'Inde avait souhaité que sa présidence du G20 cette année se concentre sur des questions telles que la réduction de la pauvreté et le réchauffement climatique.

Mais la guerre en Ukraine a quasiment éclipsé les autres points de l'ordre du jour.

"Nous devons tous reconnaître que le multilatéralisme est en crise aujourd'hui", avait asséné plus tôt le Premier ministre indien Narendra Modi dans une déclaration pré-enregistrée, à l'ouverture de cette réunion.

"L'expérience de ces dernières années - crise financière, changement climatique, pandémie, terrorisme et guerre - montre clairement que la gouvernance mondiale a échoué", a-t-il souligné, appelant le G20 à s'entendre pour surmonter leurs différences.

L'Inde, qui préside cette année le Groupe des Vingt, n'a pas condamné l'invasion de l'Ukraine. New Delhi est par ailleurs un important client de Moscou dans le domaine militaire et a accru depuis un an ses importations de pétrole russe, à rebours des pays occidentaux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Économie

Le G7 cible la Chine pour son soutien à Moscou

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Le G7 a accueilli vendredi des chefs d'État et de gouvernement non membres, dont l'Indien Narendra Modi, Abdallah II de Jordanie, le Turc Recep Tayyip Erdogan, l'Argentin Javier Milei et le Brésilien Luiz Inacio Lula da Silva. (© KEYSTONE/AP/Andrew Medichini)

La Chine a été la cible de virulentes critiques de la part des dirigeants du G7 vendredi en Italie. Elle a été accusée de fausser les règles du commerce international et de soutenir la Russie dans sa guerre contre l'Ukraine.

Dans un projet de déclaration finale consulté par l'AFP, le "Groupe des 7" (États-Unis, Allemagne, France, Italie, Royaume-Uni, Canada, Japon) a dit vouloir "agir ensemble pour (...) lutter contre les politiques et les pratiques non commerciales qui compromettent l'égalité des conditions de concurrence et notre sécurité économique, et renforcer notre coordination pour relever les défis de la surcapacité mondiale".

Joe Biden, Olaf Scholz, Emmanuel Macron et leurs homologues réunis en sommet avec l'Union européenne depuis jeudi à Borgo Egnazia, près de Bari, dans le sud de l'Italie, s'inquiètent du risque posé aux marchés mondiaux par la hausse des exportations chinoises de produits à bas coût, alimentée par des subventions aux nouvelles technologies, notamment dans les secteurs de l'énergie photovoltaïque, des véhicules électriques et des batteries au lithium.

"Politiques hors marché"

Tout en disant "aspirer à des relations constructives et stables avec la Chine" dont ils reconnaissent "l'importance dans le commerce mondial", les dirigeants du G7 expriment leur "préoccupation face aux "politiques et pratiques hors marché" qui entraînent des "conséquences au niveau mondial, des distorsions de marché et une surcapacité néfaste dans un nombre croissant de secteurs".

"Nous défendons une concurrence mondiale juste", a écrit sur X la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Face à la surproduction chinoise, les pays du G7 et Bruxelles aligneront "leurs réponses" sur la question des surcapacités industrielles, a-t-elle promis.

A l'issue du sommet, Emmanuel Macron a lui aussi évoqué un besoin de "synchronisation" des économies des pays du G7, en particulier celles des Etats-Unis d'un côté, de l'Europe de l'autre. Les réponses à la Chine "ne doivent pas conduire à une concurrence entre les membres du G7 et une discussion a été décidée sur la question des subventions dans nos économies", a-t-il dit à des journalistes.

Le G7 exhorte aussi Pékin à "s'abstenir de (...) mesures de contrôle des exportations, en particulier sur les minerais critiques, qui pourraient générer des perturbations significatives de la chaîne d'approvisionnement mondiale", alors que le pays impose des restrictions sur les exportations de minerais cruciaux pour des secteurs comme les véhicules électriques et les télécoms.

Droits de douane

En représailles aux importations massives de véhicules électriques chinois dans l'UE, qui menacent les constructeurs européens, Bruxelles a annoncé mercredi jusqu'à 38% de droits de douane supplémentaires, très loin, toutefois, des 100% de droits annoncés en mai par le président américain Joe Biden.

Réagissant à l'annonce de l'UE, la Chine a annoncé jeudi qu'elle "se réserve le droit" de porter plainte auprès de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) "et de prendre toutes les mesures nécessaires pour défendre résolument les droits et les intérêts des entreprises chinoises".

Le G7 évoque aussi dans son projet de déclaration l'aide chinoise à l'effort de guerre russe, la situation militaire et diplomatique dans la zone "indopacifique" avec en point de mire les contentieux territoriaux entre Pékin et ses voisins, dont Taïwan, et la sécurité des voies maritimes en mer de Chine méridionale.

"Nous appelons la Chine à cesser de transférer (...) des composants d'armes et des équipements qui alimentent le secteur de la défense russe", indique la déclaration.

50 milliards pour l'Ukraine

"Nous sommes solidaires pour soutenir le combat de l'Ukraine pour sa liberté et sa reconstruction aussi longtemps que nécessaire", affirment les chefs d'État et de gouvernement, qui ont reçu jeudi le président ukrainien Volodymyr Zelensky et lui ont promis 50 milliards de dollars tirés des revenus des avoirs russes gelés, un "signal sans équivoque" envoyé à Poutine.

Le G7 est "d'accord pour agir ensemble" contre la fourniture par Pékin à Moscou de "matériels nécessaires pour sa machine de guerre", a affirmé jeudi le président Joe Biden au cours d'une conférence de presse commune avec M. Zelensky.

Ce dernier a toutefois assuré que le président Xi Jinping lui avait "donné sa parole", lors d'un entretien téléphonique, que Pékin ne vendrait pas d'armes à la Russie.

Le G7 a accueilli vendredi des chefs d'État et de gouvernement non membres, dont l'Indien Narendra Modi, Abdallah II de Jordanie, le Turc Recep Tayyip Erdogan, l'Argentin Javier Milei et le Brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.

Le pape François est également venu disserter sur l'intelligence artificielle, mettant en garde contre l'usage militaire de l'IA et appelant à interdire les "armes autonomes létales".

Frictions

Le sommet a par ailleurs été marqué par des frictions entre la France, les États-Unis et l'Italie, pays hôte, critiquée pour s'opposer à une référence en faveur de la défense du droit à l'avortement dans la déclaration finale du sommet.

Le projet de déclaration finale n'inclut aucune référence directe au droit à l'avortement, mais conserve peu ou prou une formulation plus vague publiée à l'issue du sommet de Hiroshima (Japon) en 2023 évoquant "les droits et la santé sexuels et reproductifs".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La princesse Kate va faire son retour en public

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La princesse Kate n'a plus été vue en public depuis Noël (archives). (© KEYSTONE/AP/Alastair Grant)

La princesse Kate, atteinte d'un cancer, a annoncé son retour officiel en public samedi pour la parade d'anniversaire du roi Charles III. Elle se réjouit des "bons progrès" de son traitement mais reconnaît ne pas être "tirée d'affaire".

Dans un message publié vendredi soir sur les réseaux sociaux, l'épouse du prince William, qui n'a plus été vue en public depuis Noël, donne ainsi pour la première fois des nouvelles de sa santé depuis l'annonce de sa maladie dans une vidéo fin mars.

Celle que tout le monde considère comme l'atout glamour de la famille royale y apparaissait fatiguée après des semaines de silence qui avaient alimenté les spéculations.

"Bons et mauvais jours"

"Je fais de bons progrès, mais comme toute personne suivant une chimiothérapie le sait, il y a des bons et des mauvais jours", écrit Kate, 42 ans, dans son message, accompagné d'une photo prise cette semaine à Windsor selon ses services.

Elle précise que son traitement doit se poursuivre "encore pendant plusieurs mois" et décrit comment dans les jours les plus difficiles, elle se sent "faible, fatiguée", et à l'inverse vouloir "profiter au maximum" des moments où elle se sent mieux.

"C'est une joie de participer à la vie scolaire (de ses trois enfants, George, Charlotte et Louis), de consacrer du temps à des choses qui me donnent de l'énergie et de l'optimisme" ou encore de "faire un peu de télétravail", ajoute la princesse.

Attendue au balcon

"Je me réjouis d'assister à la parade d'anniversaire du roi ce week-end avec ma famille et j'espère pouvoir participer à quelques engagements publics cet été, tout en sachant que je ne suis pas encore tirée d'affaire", annonce-t-elle encore.

Le souverain fêtera ses 76 ans le 14 novembre, mais la tradition veut qu'une cérémonie publique, avec défilé militaire et apparition de la famille royale au balcon du palais de Buckingham, soit organisée en juin.

La princesse devrait ainsi parcourir le Mall, la grande avenue qui mène au palais de Buckingham, dans un carrosse, accompagnée de ses trois enfants, et rejoindre les autres membres de la famille royale après la parade militaire du "Salut aux couleurs" ("Trooping the colour") pour le salut sur le balcon.

En tant que colonel des Irish Guards, la princesse de Galles assiste habituellement à ces festivités en passant notamment en revue un régiment de soldats.

Le Premier ministre Rishi Sunak s'est dit "ravi" que la princesse de Galles puisse assister à cette cérémonie, se félicitant d'une annonce "particulièrement importante pour ceux qui luttent contre le cancer et pour leurs familles".

Le roi en carrosse

Cette année, Charles III, également atteint d'un cancer, participera lui à la parade militaire à bord d'un carrosse et non à cheval comme l'année dernière, a récemment précisé le palais.

Peu avant l'officialisation de son cancer, une photo de la princesse avec ses enfants publiée sur les réseaux sociaux avait suscité la polémique.

Ce cliché avait été dépublié par les principales agences de presse mondiales, dont l'AFP, car il avait été manipulé numériquement, relançant les spéculations sur l'état de santé de la princesse, malgré ses excuses écrites publiées par le palais dans la foulée.

Kensington Palace n'a en revanche jamais précisé de quelle sorte de cancer la princesse souffre.

Lors de certains de ses engagements publics, le prince William est lui aussi resté laconique, se contentant par exemple d'affirmer mi-mai qu'elle "allait bien" à l'occasion d'une visite sur les îles Scilly au large du sud-ouest de l'Angleterre.

Kate a toutefois maintenu la tradition qu'elle avait elle-même lancée en publiant sur les réseaux sociaux des photos prises par elle de ses enfants, Louis (6 ans fin avril) et Charlotte (9 ans début mai), à l'occasion de leur anniversaire.

De son côté, le roi a repris ses activités publiques fin avril, se rendant par exemple début juin en France avec la reine Camilla pour les célébrations du 80e anniversaire du débarquement en Normandie.

Le roi et la reine recevront ensuite fin juin l'empereur Naruhito du Japon et son épouse l'impératrice Masako, pour une visite d'Etat à l'invitation du gouvernement britannique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Murat Yakin ne veut pas sous-estimer la Hongrie

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Murat Yakin: son équipe est prête à entrer dans l'Euro 2024 (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Il a son équipe en tête et mesure la difficulté de la tâche qui attend la Suisse contre un adversaire de valeur. "L’important est d’être prêt", dit Murat Yakin.

Le sélectionneur assure que ses joueurs le sont. "Même si Denis Zakaria et Streven Zuber sont encore un peu ménagés, les vingt-six joueurs du cadre sont à ma disposition, se félicite Murat Yakin. Maintenant, il convient surtout de ne pas sous-estimer la Hongrie. Ses derniers résultats parlent pour elle. Mais je veux croire que mon équipe sera capable de jouer sur ses qualités."

A ses côtés lors de la traditionnelle conférence de presse à J-1, Granit Xhaka n’est pas tombé dans le piège, celui de crier sur les toits que la Suisse sera sacrée Championne d’Europe le 14 juillet prochain. "Mais on me connait. Tout le monde sait que je vois très large au moment de faire mes valises avant un tournoi, sourit le capitaine. Cela commence enfin demain pour nous. A nous d’annoncer clairement la couleur !"

Immense aura

Après une saison presque parfaite avec le Bayer Leverkusen - "elle l’aurait été si nous n’avions pas perdu la finale de l’Europa League", dit-il -, le Bâlois aborde cet Euro avec une immense aura. "J’accepte volontiers tous les compliments, poursuit-il. Mais ce n’est pas à moi de dire si je suis aujourd’hui l’un des meilleurs joueurs du monde. Je suis juste là pour aider l’équipe, pour la pousser vers l’avant."

Le capitaine est, à nouveau, revenu sur sa relation avec son sélectionneur. "Je suis heureux de me retrouver sous les ordres d’un entraîneur aussi ouvert, explique-t-il. Entre Murat Yakin et moi, il n’y a jamais eu le moindre problème. Ces derniers mois, il est venu souvent à Düsseldorf. Nous avons partagé de bons repas avec du bon vin. Tout ce qui a pu être écrit sur nous deux est ridicule." Comme si tout le monde avait rêvé...

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Euro 2024: la Hongrie est prête pour affronter la Suisse

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Marco Rossi, le sélectionneur italien de la Hongrie (© KEYSTONE/AP/Tibor Illyes)

C’est une équipe de Hongrie qui regorge de confiance que la Suisse défiera samedi à Cologne. "Elle n’a cessé de grandir au fil des mois", affirme son sélectionneur italien Marco Rossi.

"Notre premier but est d’apporter de la joie et du bonheur à nos supporters, dit-il. Nous y étions parvenus il y a trois ans même si nous n’étions pas sortis de la phase de poules." A la lutte avec le Portugal, la France et l’Allemagne, les Hongrois avaient échoué sur le fil.

Cette année, au sortir d'une série vertueuse de 14 matches sans défaite, ils espèrent un autre destin dans un groupe plus abordable. "Mais la Suisse est une équipe très forte. Très solide en défense. Parfaitement armée en ligne médiane avec Granit Xhaka. Et percutante en attaque, souligne le technicien italien. Nous avons étudié son jeu. Mes joueurs savent ce qu’ils doivent faire demain sur le terrain. La pression sur leurs épaules sera très grande. Mais je veux croire qu’ils sauront comment l’évacuer."

Cette confiance presque sans limite, on la retrouve dans les propos de Loïc Nego. Né à Paris il y a 33 ans et international hongrois depuis l’automne 2020, le défenseur du Havre lâche tout simplement qu’il "veut aller au bout dans cet Euro". "La Suisse impose un immense respect en raison de ses résultats depuis dix ans et en raison de la présence dans ses rangs de grands joueurs, dit-il. Mais nous avons également des atouts. Nous avons beaucoup travaillé sur nos forces, sur ce que nous devons faire pour gagner ce premier match."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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