International
Les premières annonces-choc de Trump, à peine investi à Washington
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2025/01/lun-des-premiers-decrets-signes-par-donald-trump-concerne-un-nouveau-retrait-des-etats-unis-de-laccord-de-paris-sur-le-climat-1000x600.jpg&description=Les premières annonces-choc de Trump, à peine investi à Washington', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Etat d'urgence à la frontière avec le Mexique, retrait de l'accord de Paris sur le climat et de l'OMS, grâces pour des centaines d'assaillants du Capitole: à peine investi président des Etats-Unis, Donald Trump a signé une pluie de décrets lundi à Washington.
Une partie de ces mesures spectaculaires risque néanmoins d'être difficile à mettre en oeuvre et promet de vives contestations devant les tribunaux. Certaines semblent même violer la constitution américaine.
Offensive anti-immigration
Promise, la vaste offensive anti-immigration de Donald Trump a pris forme dès son discours d'investiture à la mi-journée. "Toutes les entrées illégales seront immédiatement arrêtées et nous commencerons à renvoyer des millions et des millions d'étrangers criminels là d'où ils viennent", a martelé le président républicain.
"Je vais envoyer des troupes à la frontière sud pour repousser l'invasion désastreuse de notre pays". Dans la soirée, il a signé à la Maison-Blanche le décret déclarant l'état d'urgence à la frontière avec le Mexique.
Donald Trump compte aussi s'attaquer au droit d'asile et au droit du sol. Premier effet concret dès lundi: la plateforme de demandes d'asile lancée par l'ancien gouvernement a cessé de fonctionner. "Les rendez-vous existants ont été annulés", indique le service sur son site en ligne.
Climat et OMS
Le retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris est en marche: Donald Trump l'a mis en scène en en faisant un de ses premiers décrets signés, sur un bureau installé sur la scène même de la grande salle de Washington dans laquelle quelque 20'000 de ses partisans étaient réunis.
Cette mesure, venant du deuxième plus gros pollueur mondial derrière la Chine, met en péril les efforts mondiaux face au dérèglement climatique. Elle devrait être effective dans un an. Les Etats-Unis avaient déjà quitté brièvement l'accord international sous le premier mandat du milliardaire américain, avant que l'ancien président américain Joe Biden n'acte leur retour.
Donald Trump, notoirement climatosceptique, a également signé un décret déclarant un "état d'urgence énergétique" pour doper la production d'hydrocarbures aux Etats-Unis. "Nous allons forer à tout-va", a-t-il répété, une formule devenue un de ses slogans de campagne ("We will drill, baby, drill").
Autre décret-surprise: le retrait des Etats-Unis de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). "L'OMS nous a escroqués", a-t-il lancé, affirmant que la contribution des Etats-Unis à l'organisation internationale est beaucoup plus importante que celle de la Chine.
Canal de Panama
"Nous allons reprendre" le canal de Panama, a lancé encore le nouveau président. Construit par les Etats-Unis, son contrôle a été transféré au Panama en 1999, après un accord conclu en 1977. C'est "un cadeau insensé", a fustigé Donald Trump.
"L'objectif de notre accord et l'esprit de notre traité ont été totalement violés", a-t-il affirmé. "Les navires américains sont gravement surtaxés [...] Et surtout, la Chine exploite le canal de Panama, et nous ne l'avons pas donné à la Chine".
"Le canal appartient et continuera d'appartenir au Panama", lui a répondu le président panaméen José Raul Mulino.
Sur l'autre sujet territorial du moment, le Groenland, dont il souhaite prendre le contrôle, le président américain s'est dit "sûr que le Danemark va se faire à l'idée" que les Etats-Unis en ont "besoin pour la sécurité internationale".
Assaillants du Capitole
M. Trump a également gracié plus de 1500 participants à l'assaut du Capitole le 6 janvier 2021. Pour les quatorze autres personnes condamnées, leur peine est commuée en période de prison déjà purgée.
"Nous espérons qu'ils sortiront cette nuit", a déclaré Donald Trump. Les poursuites encore en cours contre quelques centaines de personnes sont également annulées.
Droits de douane
"Nous imposerons des droits de douane et des taxes aux pays étrangers pour enrichir nos citoyens", a promis le 47e président des Etats-Unis dans son discours d'investiture.
Dans le bureau ovale en soirée, il a précisé en envisager "de l'ordre de 25% sur le Mexique et le Canada". A partir de quand? "Le 1er février", a-t-il estimé. Les plus proches voisins des Etats-Unis sont pourtant théoriquement protégés par un accord de libre-échange signé durant son premier mandat.
Genre
Enfin, le milliardaire républicain veut "mettre fin au délire transgenre", un autre de ses engagements de campagne. "A partir d'aujourd'hui, la politique officielle du gouvernement des Etats-Unis sera de dire qu'il n'y a que deux sexes, masculin et féminin", définis à la naissance, a asséné lundi Donald Trump lors de son investiture à Washington.
"Ces sexes ne sont pas modifiables et sont ancrés dans une réalité fondamentale et incontestable", a complété un décret publié par la Maison-Blanche dans la soirée, texte qui devra être appliqué par toutes les agences fédérales.
"Les fonds fédéraux ne doivent pas être utilisés pour promouvoir l'idéologie de genre", affirme le même décret, qui veut "restaurer la vérité biologique". Un autre texte ordonne la fin de tout programme de diversité et d'inclusion au sein du gouvernement fédéral.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Oklahoma City à un succès du titre
Le Thunder est à un succès du titre en NBA. Oklahoma City a dominé les Indiana Pacers 120-109 à domicile lundi pour mener 3-2 dans cette finale des play-off.
OKC, qui a pu craindre un temps un nouveau retour miraculeux des Pacers, a donc pris pour la première fois l'avantage dans cette série. Le Thunder bénéficiera d'une première occasion de conclure jeudi à Indianapolis lors du match 6.
Lieutenant du MVP Shai Gilgeous-Alexander (31 points, 10 passes), Jalen Williams a été exceptionnel avec 40 points, 6 rebonds et 4 passes décisives. "Mes coéquipiers me donnent une grande confiance en moi, me demandent de rester moi-même", a-t-il expliqué au micro du diffuseur.
"On a l'opportunité de se servir de nos expériences passées. Ce soir, c'était honnêtement exactement comme le match 1 (avec un retour victorieux des Pacers). On apprend au fil de cette finale, c'est ce qui rend notre équipe si bonne. On a été capables collectivement d'obtenir des stops défensifs pour l'emporter."
Les Pacers, largement dominés en première période (59-45 à la pause, après avoir accusé jusqu'à 18 longueurs de retard), sont en effet revenus à deux points en début de quatrième quart dans le sillage de Pascal Siakam (28 points, 6 rebonds, 5 assists, 3 interceptions) et de l'étonnant T.J. McConnell (18 points).
Leur héros habituel Tyrese Haliburton, touché au mollet droit en début de partie, a en revanche raté son match (4 points, tous sur la ligne des lancers-francs, 0/6 au tir). Et, contrairement à ce qui s'était passé dans un acte I remporté par Indiana en Oklahoma, le Thunder a cette fois-ci tenu bon dans le "money time".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Conflit Israël-Iran: Trump quitte prématurément le G7
Donald Trump a décidé de quitter prématurément lundi le sommet du G7 au Canada. Une décision motivée par son envie de se consacrer à l'évolution du confit entre Israël et l'Iran, a annoncé la Maison Blanche.
"A cause de ce qui se passe au Moyen-Orient, le président Trump va partir ce soir après le dîner" avec les autres dirigeants du sommet du G7 au Canada, un jour plus tôt que prévu, a annoncé lundi sa porte-parole Karoline Leavitt sur X.
Le président américain, dont le séjour dans les Rocheuses canadiennes devait se prolonger jusqu'à mardi en fin de journée et se conclure par une conférence de presse, "rentre à Washington pour s'occuper de nombreux sujets importants", a-t-elle déclaré par ailleurs dans un court communiqué.
Cette annonce vient peu après que Donald Trump a écrit sur son réseau Truth Social: "Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement.
Le milliardaire républicain de 79 ans avait auparavant assuré qu'un "accord" allait être trouvé concernant le conflit entre l'Iran et Israël, sans bien expliquer si ce serait le résultat de la contrainte militaire ou de négociations.
Il est par ailleurs resté évasif lundi sur la question d'une participation américaine active à l'offensive aérienne sans précédent d'Israël.
Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive, Téhéran annonçant des frappes "sans interruption jusqu'à l'aube" après une nouvelle vague d'attaques israéliennes contre sa télévision nationale et plusieurs autres cibles.
Egalement depuis le Canada, le président français Emmanuel Macron a lui averti que vouloir renverser le régime iranien par la force serait une "erreur stratégique", en appelant à "cesser" les frappes contre les civils, que ce soit en Iran et en Israël.
Le départ prématuré de M. Trump ignifie par ailleurs que la rencontre bilatérale prévue avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky n'aura pas lieu, et que les Européens n'ont guère eu le temps de le convaincre de durcir les sanctions sur le pétrole russe.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Cinquième nuit d'escalade entre Israël et l'Iran
Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive mardi, alimentant les craintes d'escalade de la part des grandes puissances. A tel point que Donald Trump appelle à "évacuer Téhéran immédiatement".
Malgré les appels à la fin des hostilités émis par la communauté internationale, les deux ennemis jurés ne montrent aucun signe d'apaisement dans la confrontation militaire qui les oppose depuis vendredi, quand Israël a lancé une offensive sans précédent contre l'Iran avec l'objectif affiché de l'empêcher de se doter de la bombe atomique.
Après une nouvelle vague de frappes israéliennes qui a touché la télévision nationale iranienne, les deux pays ont activé dans la nuit leurs systèmes de défense anti-aérienne et les capitales étrangères semblent se préparer à une poursuite de l'escalade.
La Chine, via son ambassade, a pressé ses ressortissants à quitter Israël au plus vite tandis que les Etats-Unis ont annoncé déployer des "ressources supplémentaires" au Moyen-Orient pour y renforcer leur "dispositif défensif", selon le ministre de la Défense Peter Hegseth.
Le porte-avions américain Nimitz, qui croisait en mer de Chine méridionale, a mis le cap à l'ouest et prend la direction du Moyen-Orient, selon le Pentagone.
"Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement", a déclaré Donald Trump, qui va quitter le sommet des pays riches du G7 prématurément, dès lundi soir, pour se consacrer à l'évolution du conflit.
"L'Iran aurait dû signer l''accord' quand je leur ai dit de signer. Quel dommage et quel gâchis de vies humaines", a tempêté le président républicain, qui avait relancé récemment les négociations avec Téhéran sur le programme nucléaire iranien, sur son réseau Truth Social.
Mais la République islamique s'est retirée de ces pourparlers en raison des attaques israéliennes et sa riposte continue. Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique, ont annoncé une "neuvième salve d'attaque combinée de drones et missiles (qui) se poursuivra sans interruption jusqu'à l'aube".
Télévision d'Etat attaquée
Les sirènes d'alerte ont retenti à deux reprises mardi à l'aube dans plusieurs points d'Israël, notamment dans le nord, après que l'armée a annoncé avoir "identifié des missiles lancés depuis l'Iran vers le territoire de l'Etat d'Israël". Mais dans les deux cas, les habitants ont été autorisés à quitter les abris quelques instants plus tard.
Selon le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, les représailles iraniennes ont fait au moins 24 morts depuis vendredi.
Du côté iranien, les frappes israéliennes, qui ont visé des centaines de sites militaires et nucléaires, ont fait au moins 224 morts et plus d'un millier de blessés depuis vendredi, selon un bilan officiel établi dimanche.
Trois secouristes du Croissant-Rouge iranien ont été tués lundi à Téhéran dans un bombardement durant leur travail, a annoncé l'organisation. Et les émissions de la télévision publique iranienne ont été brièvement interrompues par une attaque israélienne contre son bâtiment.
Cette attaque s'est produite alors qu'une présentatrice critiquait vivement Israël à l'antenne. Elle a été vue quittant précipitamment le plateau dans un nuage de poussière, tandis que des débris du plafond tombaient autour d'elle.
Téhéran a condamné "un acte ignoble et un crime de guerre", et a appelé deux chaînes de télévision israéliennes à évacuer leurs locaux.
Changer "la face du Moyen-Orient"
Le Grand Bazar, le principal marché de Téhéran, est resté fermé lundi. Les rues de la capitale étaient pour la plupart désertes, les magasins fermés à l'exception de quelques épiceries, et de nombreux automobilistes faisaient la queue aux stations-service.
Un vendeur a signalé une augmentation des achats compulsifs, disant que son magasin "était en rupture de stocks d'eau".
Lors d'une conférence de presse télévisée lundi, Benjamin Netanyahu a affirmé qu'Israël était en train de changer "la face du Moyen-Orient".
"Nous avons éliminé les responsables de la sécurité de l'Iran parmi lesquels trois chefs d'état-major, le commandant de l'armée de l'air et deux chefs des services de renseignement. Nous les éliminons un par un", s'est-il vanté.
Dans plusieurs interviews à des médias internationaux, le Premier ministre israélien a également lancé un appel au peuple iranien pour qu'il se soulève contre la "tyrannie" et estimé qu'assassiner le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, mettrait "fin au conflit".
"Arrêter la guerre"
Au G7, le président français Emmanuel Macron a estimé que vouloir changer le régime en Iran par la force serait une "erreur stratégique" et a jugé "absolument essentiel que toutes les frappes qui se font de part et d'autre contre des infrastructures énergétiques, administratives, culturelles et encore plus contre la population civile cessent".
"Si les États-Unis peuvent obtenir un cessez-le-feu, c'est une très bonne chose", a également déclaré le dirigeant français, alors que Donald Trump avait assuré dans la soirée qu'un "accord" allait être trouvé. "A ce stade, de manière objective, rien ne me laisse espérer que dans les prochaines heures les choses bougent".
Sur X, le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi s'est demandé si le président américain Donald Trump "prend au sérieux la diplomatie et est intéressé d'arrêter la guerre". "Il suffit d'un seul coup de téléphone de Washington pour museler quelqu'un comme Netanyahu", a-t-il écrit.
Ce conflit a éclaté au moment où l'Iran et les Etats-Unis prévoyaient une nouvelle séance de négociations à Oman sur le nucléaire iranien dimanche.
Soupçonné par les Occidentaux et par Israël de vouloir fabriquer l'arme nucléaire, l'Iran dément et défend son droit à enrichir de l'uranium afin de développer un programme nucléaire civil.
Israël affirme avoir détruit "la principale installation" du site d'enrichissement d'uranium de Natanz, dans le centre de l'Iran. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a cependant affirmé qu'il n'y a "pas d'indication d'attaque" contre la partie souterraine du site, qui abrite la principale usine d'enrichissement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
Culture
USA: le principal médecin de Matthew Perry va plaider coupable
Le médecin de Matthew Perry, la star de la série "Friends", avant sa mort par overdose en 2023, a accepté un accord de plaider coupable, a annoncé lundi le parquet fédéral de Californie. Le médecin est soupçonné d'avoir exploité l'addiction à la kétamine
Principal médecin poursuivi dans cette affaire, Salvador Plasencia prévoit de plaider coupable de distribution de kétamine "dans les semaines à venir", a expliqué le parquet dans un communiqué. Il risque pour cela jusqu'à "40 ans d'emprisonnement".
Un second médecin de Los Angeles, Mark Chavez, a déjà reconnu avoir illégalement contribué à fournir de la kétamine à l'acteur et risque jusqu'à 10 ans d'emprisonnement.
La mort de Matthew Perry, retrouvé inconscient dans son jacuzzi en octobre 2023, avait choqué les fans de "Friends" et suscité une pluie d'hommages à Hollywood.
L'acteur avait parlé publiquement de ses problèmes d'addiction.
Il prenait de la kétamine de manière supervisée dans le cadre de sessions de thérapie contre la dépression. Mais cet anesthésiant légal est parfois détourné à des fins stimulantes ou euphorisantes, et il est retombé dans l'addiction à l'automne 2023, selon le parquet fédéral.
Une rechute qui l'a poussé dans les griffes de médecins "sans scrupules", d'après les autorités.
Le docteur Salvador Plasencia est soupçonné d'avoir joué un rôle central dans cette affaire, même s'il n'a pas fourni la kétamine qui a tué l'acteur.
Selon l'enquête, c'est lui qui aurait organisé "l'exploitation" du comédien malade.
"Je me demande combien ce crétin va payer", avait écrit en septembre 2023 le docteur Plasencia, dans un SMS exhumé par les enquêteurs.
L'accord de plaider coupable publié lundi par le parquet souligne que M.Plasencia se fournissait auprès du docteur Chavez, et se déplaçait lui-même au domicile de Matthew Perry pour lui injecter de la kétamine, ou la fournir à l'assistant de la star.
Au total, M.Plasencia "a distribué vingt flacons" de kétamine à l'acteur sur une quinzaine de jours à l'automne 2023, selon le parquet.
Les autorités ont précédemment expliqué que les flacons de kétamine coûtaient environ 12 dollars aux médecins impliqués, mais étaient revendus "2'000 dollars" à l'acteur.
Cinq suspects sont poursuivis pour leur implication dans la mort de M.Perry.
L'autre accusée au centre du dossier est Jasveen Sangha, une dealeuse connue à Hollywood comme la "reine de la kétamine".
Cette Américano-Britannique de 41 ans a vendu le flacon de kétamine qui a tué l'acteur, et risque la prison à perpétuité.
L'assistant personnel de Matthew Perry et un intermédiaire ont eux accepté de plaider coupable.
Longs problèmes d'addiction
Véritable phénomène culturel, la série diffusée entre 1994 et 2004 a marqué toute une génération de téléspectateurs, en narrant les péripéties d'une bande de joyeux copains à New York.
Mais en coulisses, Matthew Perry a longtemps caché un mal-être derrière son personnage jovial de Chandler. Il luttait de longue date contre son addiction aux médicaments et à l'alcool.
Dans ses mémoires publiés en 2022, il avait confié avoir suivi 65 séances de sevrage, dépensant plus de neuf millions de dollars.
Il avait aussi subi plusieurs opérations chirurgicales liées à ses problèmes d'addiction à la drogue, dont une intervention durant sept heures au niveau du colon en 2018, allant jusqu'à affirmer: "Je devrais être mort."
Lors d'une apparition à la télévision peu avant son décès, l'acteur avait surpris l'auditoire en admettant avoir souffert d'une grave anxiété "tous les soirs" pendant le tournage de "Friends".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
ÉconomieIl y a 3 jours
Crash du Boeing 787 d'Air India: le bilan passe à 279 morts
-
SuisseIl y a 3 jours
40 ans d'Espace Schengen: une Europe sans frontières intérieures
-
SuisseIl y a 3 jours
CFF: un badge pour les passagers souffrant d'un handicap invisible
-
InternationalIl y a 3 jours
Anniversaire du roi Charles: hommage aux victimes du crash en Inde
-
InternationalIl y a 2 jours
Israël-Iran: défense activée dans neuf provinces iraniennes
-
InternationalIl y a 2 jours
Trump s'est montré ravi de sa parade militaire à Washington
-
ClimatIl y a 2 jours
Violents orages sur le pied du Jura, une personne blessée à Bienne
-
CultureIl y a 2 jours
Festi'neuch: pas de blessés graves après l'orage